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    Minari
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    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2021
    Des récits sur le rêve américain, beaucoup de films nous les ont narrés sous différentes formes, des premiers colons dans les films d’époque, à la ruée vers l’or avec les westerns jusqu’à l’immigration économique connue aujourd’hui. Et c’est sur ce dernier versant que « Minari » nous montre l’arrivée d’une famille coréenne dans le fin fond de l’Arkansas pour y devenir fermiers. Un endroit peu coutumier de ce genre de population. Mais malgré le choc des cultures propice à des instants de comédie, c’est davantage un récit d’apprentissage et de résilience en mode minimaliste que ce film nous propose. Et le tout est autobiographique car le réalisateur Lee Isaac Chung n’est autre que le jeune garçon de cette famille et qu’il nous propose de revivre un pan mémorable de son enfance. Avec une modestie et une sincérité rares et qui forcent indubitablement le respect.



    C’est ce qui donne certainement à « Minari » toute sa justesse mais aussi sa force. Pas besoin de rebondissements excessifs ni de sur dramatisation, ce récit se suffit lui-même et respire le vécu. Et cela permet aussi d’éviter de sombrer dans toute sorte de clichés. On s’attache à cette famille et à leur nouvel environnement, on ressent leurs peines, leurs doutes, on frémit avec eux, on rit avec eux dans un ruisseau d’émotions justes et simples. On pourrait même avancer que cette chronique familiale a des vertus apaisantes tant les valeurs présentées ici sont belles et cristallisent ce qui fait la vie tout en posant des questions sur la famille, le travail, la réussite et les différences culturelles. La mise en scène de Chung s’apparente parfois à du Terrence Malick dans sa façon de filmer la nature. Moins contemplatif et plus naturaliste, ses images sont belles et lumineuses, elles magnifient la campagne américaine sans le maniérisme exacerbé et les envolées lyriques parfois trop lourdes du cinéaste à la Palme d’or.



    Il y a peut-être un petit quart d’heure de trop et une fin qui tire inutilement vers les larmes et le mélodramatique mais on apprécie « Minari » pour sa simplicité et son réalisme. Le personnage de la grand-mère est le plus pittoresque et il apporte une dose de légèreté et d’humour bienvenu quand celui joué par Will Patton nous fait développer de l’empathie pour les bigots de l’Amérique profonde. Le film montre également bien la difficulté d’une communauté et d’une culture à se fondre dans une autre, même sans qu’on lui mette des bâtons dans les roues. Il en résulte un film poignant et doux porté par des acteurs au diapason. Une œuvre sans esbroufe, empreinte de réalisme qui nous touche en plein cœur et fait du bien avec délicatesse.



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    SAINT CLAR
    SAINT CLAR

    11 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2021
    Un film qui se déroule au rythme du quotidien de cette famille Sud-coréenne déracinée qui espère vivre ‘’son rêve américain’’.
    Au rythme des échecs, des coups durs , des espoirs, les personnages tentent de tenir et de se relever.
    La relation entre la grand-mère et son petit-fils apporte une bouffée d’air frais et de dynamisme pour relancer le rythme du film qui s’écoule lentement.
    Sans doute à l’image de ce que peuvent vivre nombre de familles déracinées, plus encore au fin fond de campagnes éloignées de tout.
    Entre réalisme et délicatesse, le tout sous-tendu par une certaine pudeur et un vent de poésie le réalisateur partage des tranches de son enfance . Il nous amène à toucher du doigt la force et le courage qu’il faut pour se faire sa place dans un autre géographie, une autre culture, une autre langue. Et si c’était nous ?
    Simple mais joli film.
    cortomanu
    cortomanu

    74 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2021
    Un épisode peu raconté au cinéma sur l'immigration Coréenne aux USA. Mais le film est surtout une chronique de l'intégration d'une famille et de ses difficultés. C'est raconté simplement et en finesse. Joli film.
    FaRem
    FaRem

    8 590 abonnés 9 492 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    Comme on peut s'en douter, "Minari" est inspiré de la propre expérience du réalisateur. Il nous raconte son histoire à partir du moment où il a déménagé en Arkansas avec ses parents. Chung est ici David, un petit garçon atteint d'une malformation cardiaque. Avec ses parents et sa sœur, ils vivaient une vie stable, mais Jacob, le père, décide de s'installer à la campagne pour devenir agriculteur. Alors qu'il continue d'être sexeur de poussins, il va en même temps se heurter aux difficultés du métier d'agriculteur. "Minari" est une chronique familiale assez simple et sobre qui s'attaque plus ou moins au rêve américain. Lorsque les choses se passent mal, le réalisateur ne pointe personne du doigt, ou du moins personne d'extérieur à la famille. Jacob a pris cette décision difficile de venir s'installer ici et il l'assume jusqu'au bout. On pourrait s'attendre à un mélodrame qui pourrait par exemple parler de racisme vu qu'il s'agit d'une famille qui s'installe dans un coin paumé, mais ce n'est pas du tout le cas et tant mieux. La famille rencontre pas mal de problèmes, mais le réalisateur ne leur donne pas assez de poids pour avoir un réel impact sur le récit. Les problèmes d'agriculture, au sein du couple, la maladie, tout cela est évoqué de façon assez superficielle. On peut dire la même chose sur les relations avec les membres de cette famille. Le film a son charme, il y a des moments amusants et tendres, mais je m'attendais à être plus touché par cette histoire. Bref, c'est pas mal, mais pas marquant.
    traversay1
    traversay1

    3 550 abonnés 4 839 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2021
    Minari ne manque pas de potentiel et aurait pu donner la trame d'un western, si l'action avait été transposée un siècle plus tôt. Cette chronique d'une famille coréenne immigrée, venue se frotter au rêve américain et censée fourmiller d'émotions est pourtant globalement assez fade, dans la répétition des jours où ledit rêve pourrait bien devenir un cauchemar et faire imploser un couple qui ne partage pas nécessairement les mêmes objectifs. Modeste en tout point, le film de Lee Isaac Chung surprend, et non et bien, par un manque d'intensité et une accumulation d'anecdotes qui n'impriment pas un véritable rythme. Oui, les enfants sont charmants, mais le réalisateur n'est pas Ozu, et la grand-mère est amusante mais cela ne crée pas de grands enjeux. Par ailleurs, certaines scènes n'ont qu'une une utilité très relatives comme celles ayant trait à la religion. On voit bien quel est le but de ce récit impressionniste, qui se refuse à des facilités dramatiques, mais, sans qu'il y ait de véritable ennui, le risque est d'éprouver peu d'intérêt devant un film aussi peu dense et dont la tonalité ne change quasiment jamais. Cela en devient presque aussi peu excitant que le travail exercé par le couple de coréens, à savoir trier les poussins selon leur sexe, et bien moins épicé que la cuisine du pays du matin calme. Les Golden Globes ont récompensé Minari dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère, alors qu'il s'agit d'un film très américain (bien plus que coréen), le paradoxe en est-il vraiment un ?
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2021
    C'est une famille coréenne qui s'installe dans un bout de paradis vert, au cœur des USA. Le père de famille boude les conseils des habitants, notamment lorsqu'il s'agit de trouver une source d'eau. Le couple prend place dans une baraque de fortune, tous les rêves du père étant de cultiver des légumes de son pays. "Minari" a à voir avec l'histoire du rêve américain. La famille a quitté la Corée et voit dans cet exil, une opportunité à s'enrichir et à prospérer. Mais les choses n'arrivent pas toujours comme on le souhaite.

    La mise en scène, absolument intelligente, est d'une grande sensibilité. Les enfants, et particulièrement David, le petit garçon maladif, occupent une place étonnante et attachante. Ils regardent les parents se disputer, ils vivent dans cette atmosphère angoissante. Pour autant, ils sont remplis de vie et tentent de construire un destin commun avec cette grand-mère originale qui débarque à la maison. En réalité, les comédiens sont formidables. Ils portent ce récit autobiographique avec une véritable sincérité, permettant de mesurer l'ancrage identitaire qui les façonne et la volonté d'intégrer le modèle américain. Le film n'échoue jamais dans la complaisance et ne force jamais à l'émotion. On regarde ces gens s'aimer, se battre et se déchirer non sans plaisir car, finalement, ils trahissent quelque chose de nos propres existences.

    "Minari" est une belle surprise. Le format ne pèse jamais et on ressort de cette tranche de vie, rempli de joie et de projets.
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    43 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2021
    Première partie intéressante, belle musique, bons comédiens mais je n'ai bien vu où le réalisateur voulait mener le spectateur. Dommage
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 132 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 juin 2021
    En matière de cinéma, il arrive parfois qu'on se demande si on est "normal". Par exemple quand on s'ennuie à mourir devant un film qui semble faire l'unanimité tant auprès des critiques que du public. C'est ce qui vient de m'arriver avec "Minari", ce film américain réalisé par un fils d'immigrés coréens dont la famille s'était installée il y a 40 ans environ dans une ferme de l'Arkansas. Un film dont le caractère autobiographique n'échappera à personne puisqu'il raconte l'histoire d'une famille d'immigrés coréens qui ont quitté la Californie pour venir s'occuper d'un terrain agricole dans l'Arkansas. Le père et la mère étaient sexeurs dans un élevage de volailles mais Jacob, le père, croyant dur comme fer au rêve américain, veut réussir sa vie dans l'Amérique de Reagan en faisant quelque chose de grand, en l'occurrence en cultivant des légumes coréens qu'il compte vendre à la population d'origine coréenne qui peuple de nombreuses villes des Etats-Unis. Sa femme Monica est beaucoup moins enthousiaste que lui, leur fils David a un souffle au cœur et leur fille Anne est ... Bon, elle est là, mais on n'en sait guère plus sur elle. Et puis, il y a aussi Soonja, la mère de Monica, une veuve fantasque venue depuis la Corée vivre avec eux, et dont les rapports avec David évoluent au cours du temps. Durant près de 2 longues heures, on va suivre cette famille dans sa nouvelle vie, avec Paul, un voisin passablement abimé par sa foi en Jésus et qui aide Jacob à la ferme, avec la vie paroissiale, avec quelques épisodes météorologiques difficiles à vivre, etc. Tout cela est filmé avec un manque de rythme remarquable : David a un souffle au cœur mais du souffle, le film en manque cruellement. Quant à l'émotion, dans ce film qui pourrait s'apparenter à un mélo, eh bien on n'en ressent aucune. Étonnant, non ?
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 352 abonnés 4 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2021
    Grand Prix du Jury et du Public au Festival de Sundance 2020, “Minari” est un long-métrage coréano-américain de Lee Isaac Chung. L’histoire décrit une famille qui déménage dans une petite ferme de l’Arkansas dans les années 80 pour vivre le rêve américain. Oppressé par le travail et la maladie du fils, le couple se dispute souvent. Pour les aider, ils font venir la grand-mère maternelle avec qui l’enfant va développer une relation très étroite. “Minari” est un portrait intime et pudique d’une famille portée par d’excellents comédiens. A la fois poétique et intriguant, le film hésite cependant à opter pour un ton et en fait un récit fragile.
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    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 856 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2021
    Chronique douce amère qui nous emmène en Arkansas partager le quotidien difficile d'une famille sud-coréenne qui tente de s'en sortir en cultivant la terre, "Minari" aborde avec finesse sur un rythme lent, sans pathos, la difficulté de l'intégration, la tentation du communautarisme, et le délitement d'une famille qui a tout investi dans l'espoir de réussir. Chaque personnage possède une belle profondeur psychologique. L'arrivée d'une grand-mère excentrique bousculera le quotidien de cette petite tribu attachante. Les épreuves se succèdent mais l'espoir n'est jamais loin. Un joli film récompensé aux derniers Golden Globes.
    Audrey L
    Audrey L

    629 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2021
    Minari est une bonne comédie dramatique, produite par Brad Pitt, qui a concouru dans plusieurs cérémonies (le grand perdant des Golden et Oscars), ce qui n'a pas manqué d'attirer notre curiosité. On y suit la difficile intégration d'une famille coréenne dans le fin fond rural de l'Arkansas, faite de décalages religieux, d'un emploi peu gratifiant pour les immigrés (sexeurs de poussins) et d'un mal du pays viscéral (les racines de la Corée leur manquent). Mais rapidement, on s'aperçoit que Minari pêche à surprendre, si l'on enlève le facteur comique qu'est la grand-mère (le personnage qui éclipse tous les autres sans même avoir à parler) et la nationalité coréenne de cette famille (élément d'originalité sur lequel le scénario se repose un peu trop), on pense à dix autres films de famille qui s'entraide pour réussir qui nous ont bien plus marqué. Les personnages manquent aussi de profondeur (le principal, pourtant, dans un film de famille), on ne sait pas grand-chose d'eux : peu d'interactions avec les locaux donc pas d'évolution de ce côté (c'est vraiment la grand-mère qui fait tout, dans Minari), la petite fille est transparente, on résume en un trait de caractère la mère, au final seul le trio grand-mère / père / fils s'impose avec plus de consistance, ce qui nous a empêché d'accompagner l'émotion du film comme on aurait aimé le faire. La durée s'en est faite ressentir, surtout qu'on a d'abord eu le malheur de choisir la version doublée en français (l'erreur du siècle, pour ce film qui joue beaucoup sur l'alternance des dialogues en anglais et coréen pour montrer l'intégration - ou non - des personnages), qui nous a poussé à le revoir en VO (mille fois mieux !). On s'attendait aussi à beaucoup plus de drama avec l'élaboration compliquée de la ferme (surtout avec l'inexpérience du père), les maladies de cœur du petit garçon (dont on ne fait rien, en fin de compte), et avec le final qui commençait à prendre des risques sur le pathos (intéressant) mais coupé dès après (on ne s'en est pas non plus assez servi). Minari n'aura donc pas été la claque attendue, bien qu'il reste sympathique et que sa mamie attachante vaille amplement un détour du côté de l'Arkansas.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    78 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2021
    Un très joli film discret, qui brasse rêve américain, dureté de la vie rurale, résilience, amour de la famille.... avec subtilité, tendresse, poésie.
    Jacob (Steven Yeun) et Monica (Ye-Ri Han) sont américains d'origine coréenne et bons chrétiens. Tout ce que le rêve américain leur a donné, ce sont des boulots de "sexeurs". Vous ne savez pas ce que c'est? Ce sont ces gens qui d'un pouce exercé, décident si un poussin est mâle ou femelle. Les mâles sont, chose abominable, broyés et brûlés. Une fumée noire sort de la cheminée de l'entreprise.....
    Jacob rêve d'autre chose: devenir exploitant agricole -et prospère, naturellement. Il achète dans l'Arkansas un grand terrain et une maison. La maison est une sorte de mobil home, qui ressemble plutôt à un long wagon en planches qui risque de s'envoler à la première tornade, mais dont Monica arrive à faire, la première déception passée, un intérieur cosy. Ils ont deux enfants, Anne, une petite fille d'une douzaine d'années très raisonnable (Noel Kate Cho) et un petit bonhomme d'environ cinq ans, David (Alan Kim), qui malheureusement n'a pas le droit de courir car il a un souffle au coeur qu'il faudra opérer quand il sera un peu plus grand. De l'argent, ils n'en ont pas, celui que Jacob a gagné a servi, en bon fils asiatique, à aider sa famille. Et pendant qu'il poursuit son rêve, Monica stresse, supportant de plus en plus mal cette situation. La dessus arrive de Corée, pour garder les enfants la grand mère, (Yuh-Jung Youn), une incroyable vieille dame indigne qui jure, joue aux cartes, ne sait pas faire la cuisine et se mêle de tout, qui jargonne une sorte de sabir coréo-américain, et que David ne veut pas voir (mais à la fin ils seront complices)....
    Jacob, défriche, plante, le gros problème c'est l'eau: l'eau de la ville est trop chère; le puits se tarit.... L'acheteur espéré se défausse au dernier moment.... Il est aidé par Paul (Will Patton), encore une figure incroyable, un vieux cinglé mystique qui fait des exorcismes et le dimanche trace la route en portent sur son dos une lourde croix de bois, semblable à celle du Christ...
    Dans le monde de Lee Isaac Chung, tout le monde est gentil. La famille est accueillie à bras ouverts par les paroissiens. C'est la vie qui est dure, ce sont les éléments, Ce sont le soleil qui tape trop fort, la nappe phréatique qui s'assèche, le vent qui ravage. Rien ne se passe comme prévu....Mais en bon asiatiques ils sont courageux, persévérants, et solides parce qu'ils s'aiment. Le symbole de leur force, n'est ce pas le minari, dont la grand mère a ramené quelque plants, ce cresson qui une fois replanté s'étend et se développe, et qui est tout à la fois médicament, épice, légume, et qui a la propriété de dépolluer l'eau du ruisseau dans lequel il pousse.
    Ce beau film vous redonne le moral; c'est tellement bien de voir de temps en temps au cinéma des gens... biens, justement. Le réalisateur a mis en scène son enfance, car c'est l'histoire de sa famille, remobilisé ses souvenirs.... et c'est celà, sas doute, qui fait que le ton est si juste. C'est à voir absolument, et on en sort émus et heureux.
    Ciné-13
    Ciné-13

    117 abonnés 1 066 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2021
    Une famille de Sud-Coréens s'installe dans une roulotte aux US pour cultiver des plantes coréennes, sur un terrain de 50 acres.
    Mais les parents se disputent en permanence concernant les objectifs à atteindre, sur les investissements à faire.
    Les personnalités sont assez incompatibles. Et la grand-mère arrive, pas très bien acceptée. Mais elle conseille de cultiver du MINARI.
    L'histoire est en fait assez banale, lentement racontée.
    La fin est balayée en quelques minutes et nous fait passer trop rapidement du drame à la rédemption.
    Véronique P.
    Véronique P.

    44 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2021
    Belle leçon de vie, belles images, belle histoire, bon acteurs.
    Finesse, à voir et revoir sur grand écran, que du plaisir.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    6 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juin 2021
    Bon film, bien joué, mais trop personnel à mon goût, et qui esquive tous sujets sensibles comme le racisme.
    Par contre, la culture coréenne est bien représentée (garçon roi, repas, etc.) et la fragilité du couple très réaliste (encore une fois grâce au bon jeu des acteurs), c'est pourquoi la fin est quelque peu incohérente aussi.
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