AlloCiné
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Votre avis sur Un tour chez ma fille ?
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Un film avec beaucoup de comédie.
Le rôle de Jérôme Commandeur est toujours désopilant, et plus nuancé. Il a notamment une magnifique scène avec sa femme. Il suscite beaucoup d'empathie comme toujours. Un rôle décalé, la tête dans les nuages et les pieds sur terre (enfin au moins un pied).
Josiane Balasko est le ressort comique et heureusement elle n'en fait pas trop, elle est réaliste (à l'inverse de certains comédiens qui en font des tonnes pour être drôles). Elle prouve encore ses immenses qualités de comédienne.
Mathilde est magnifique avec un rôle tout en nuances, un personnage vrai. Souvent elle ne dit rien et tout passe dans jeu, un sourire et on comprend plusieurs choses à la fois. Et c'est bien comme ça qu'on l'aime.
Ce film est surtout un point de vue sur la place de chacun dans son couple, dans sa famille, avec toutes ces personnes qu'on aime tout autant qu'elles nous agacent ; c'est cependant important de leur dire et de leur rappeler qu'on les aime.
Un excellent moment que je recommande.
Le rôle de Jérôme Commandeur est toujours désopilant, et plus nuancé. Il a notamment une magnifique scène avec sa femme. Il suscite beaucoup d'empathie comme toujours. Un rôle décalé, la tête dans les nuages et les pieds sur terre (enfin au moins un pied).
Josiane Balasko est le ressort comique et heureusement elle n'en fait pas trop, elle est réaliste (à l'inverse de certains comédiens qui en font des tonnes pour être drôles). Elle prouve encore ses immenses qualités de comédienne.
Mathilde est magnifique avec un rôle tout en nuances, un personnage vrai. Souvent elle ne dit rien et tout passe dans jeu, un sourire et on comprend plusieurs choses à la fois. Et c'est bien comme ça qu'on l'aime.
Ce film est surtout un point de vue sur la place de chacun dans son couple, dans sa famille, avec toutes ces personnes qu'on aime tout autant qu'elles nous agacent ; c'est cependant important de leur dire et de leur rappeler qu'on les aime.
Un excellent moment que je recommande.
Bien meilleur que le premier. Une comédie fraîche et drôle servie par un casting d'excellence. Un film qui fait du bien et de superbes décors. J'ai adoré !
Comédie française sans prise de tête dans la continuité de cette longue liste de films faisant dans le 'faisons ce qui a déjà été vu 1000 fois mais que l'on parvient toujours à rentabiliser, sans prendre le moindre risque de nouveautés'
Côté humour, le plus fort du film tient dans ses bandes annonces, il ne faut s'attendre à rien de plus, sinon cette comédie de situation étalée sur tout un film.
Ma note du film tient uniquement dans son (et c'est rare que je fasse ça) casting.
Ce sont les acteurs que l'on aime, et non leurs personnages, car au fond, les personnages, ne sont rien d'autres que monsieur madame tout le monde, auprès desquels tout le monde peut s'identifier, en tant que parent/enfant/conjoint(e), et c'est ce qui sauve le coup, ou l'anéanti: l'exposé d'une anecdote que l'on pourrait connaître de sois même et d'une de nos connaissances.
Le film file du point A au point B, est-il à recomendé?
Disons pour le public facile comme moi, ayant un abonnement ciné à rentabiliser et ne payant pas Quinze Euro Quarante sa place de cinéma pour un film qu'on peu très bien attendre de voir sur petit écran, ou pas.
Côté humour, le plus fort du film tient dans ses bandes annonces, il ne faut s'attendre à rien de plus, sinon cette comédie de situation étalée sur tout un film.
Ma note du film tient uniquement dans son (et c'est rare que je fasse ça) casting.
Ce sont les acteurs que l'on aime, et non leurs personnages, car au fond, les personnages, ne sont rien d'autres que monsieur madame tout le monde, auprès desquels tout le monde peut s'identifier, en tant que parent/enfant/conjoint(e), et c'est ce qui sauve le coup, ou l'anéanti: l'exposé d'une anecdote que l'on pourrait connaître de sois même et d'une de nos connaissances.
Le film file du point A au point B, est-il à recomendé?
Disons pour le public facile comme moi, ayant un abonnement ciné à rentabiliser et ne payant pas Quinze Euro Quarante sa place de cinéma pour un film qu'on peu très bien attendre de voir sur petit écran, ou pas.
5 ans après "Retour chez ma mère", Eric Lavaine nous repropose une petite comédie domestique sympathique, toujours au sein de la famille Mazerin.
Cette fois-ci, ce n'est plus la fille qui revient vivre chez sa mère, mais l'inverse !
Et une maman envahissante, à domicile ou à l'extérieur, c'est toujours hilarant, surtout quand le rôle est tenu par une Josiane Balasko jubilatoire.
Et pour changer du premier volet qui mettait surtout en avant Stéphanie (Alexandra Lamy), la fille au centre de cette nouvelle histoire est maintenant sa soeur Carole (Mathilde Seigner).
Le spectateur n'y perd pas au change, les imbroglios familiaux font mouche et amusent largement la galerie.
Jérôme Commandeur est encore une fois une attraction comique à lui tout seul.
Drôle, frais et dynamique, avec le trait dramatique moins épais que le premier opus.
A voir pour lâcher prise.
Site CINEMADOURG.free.fr
Cette fois-ci, ce n'est plus la fille qui revient vivre chez sa mère, mais l'inverse !
Et une maman envahissante, à domicile ou à l'extérieur, c'est toujours hilarant, surtout quand le rôle est tenu par une Josiane Balasko jubilatoire.
Et pour changer du premier volet qui mettait surtout en avant Stéphanie (Alexandra Lamy), la fille au centre de cette nouvelle histoire est maintenant sa soeur Carole (Mathilde Seigner).
Le spectateur n'y perd pas au change, les imbroglios familiaux font mouche et amusent largement la galerie.
Jérôme Commandeur est encore une fois une attraction comique à lui tout seul.
Drôle, frais et dynamique, avec le trait dramatique moins épais que le premier opus.
A voir pour lâcher prise.
Site CINEMADOURG.free.fr
Jolie suite.La famille sur un ton léger. Un film plein de tendresse. Bravo aux acteurs et actrices.
Quelques passages assez drôles. On s’amuse bien surtout pendant la première moitié de cette suite attendue grâce notamment à une bande-annonce bien ficelée.
Mais problème : globalement le scénario est vraiment trop creux et je crains d’oublier assez vite ce film.
Mais problème : globalement le scénario est vraiment trop creux et je crains d’oublier assez vite ce film.
L'AlsacienParisien
"Un tour chez ma fille" est la suite du film "Retour chez ma mère", qui a rencontré un certain succès lors de sa sortie en 2016. Je me souviens avoir beaucoup rigolé face à certaines scènes aux répliques cocasses (la fameuse tourte picarde !) et c'est donc aveuglément et sans déplaisir que je me suis lancé à la découverte de ce deuxième volet. Bon, y'a pas à tortiller, même si on ne boude pas le fait de retrouver les mêmes personnages, cette suite n'égale pas son prédécesseur et peine à convaincre sur sa totalité. Le long-métrage raconte comment Jacqueline, en plein travaux dans son appartement, est contrainte d'aller vivre "quelques jours" chez sa fille ainée et son gendre. Alexandra Lamy n'est plus de la partie et les rôles secondaires de la soeur et du gendre prennent la relève ! De façon prévisible, les rôles sont donc inversés. Dès le départ, on sent le côté réchauffé et le manque d'inspiration et/ou de moyen. Alors que le premier film se distinguait par son huis clos, celui-ci a du mal à trouver sa singularité. J'avoue avoir été déçu, en premier lieu, par la mise en scène d'Eric Lavaine, très ordinaire et sans relief qui s'apparente beaucoup trop à un téléfilm d'après-midi insignifiant. Et ce n'est pas avec les quelques plans des Calanques qu'on va crier à l'originalité. Le scénario a du mal à prendre et j'ai trouvé que les acteurs cabotinent beaucoup. Josiane Balasko la première ! C'est dommage car j'adore l'énergie de l'actrice en règle générale, mais là, on y croit à peine... Sa relation mère/fille avec Mathilde Seigner n'est pas très fouillée, ni vraiment touchante. C'est même assez superficiel, voire anecdotique. Pour une fois que cette dernière ne passe pas son temps à jouer les râleuses de service. Jérôme Commandeur, par contre, réussit à nous enlever quelques rires grâce à un quiproquo rigolo poussé à l'extrême ! Ce qui nous sauve du foirage total. Je reconnais, je fais mon difficile mais "Un tour chez ma fille" se laisse tout de même regarder et permet de se vider la tête, sans trop s'ennuyer. C'est juste que ça manque d'exigence, d'enjeux et de sincérité, en tout point de vue. Là, on sent que ça surfe sur la vague du succès commercial du premier, et que ça se repose sur ses acquis sans chercher à se distinguer des comédies standards.
Film drôle, un moment divertissant, quiproquos rigolos, je le recommande si vous aimez les films légers pour se vider la tête
Un film avec une quantité de bons comédiens , quelques scènes et répliques amusante mais complètement gâché par une mise en scène inexistante. Seul jerome commandeur excellent sauve le film.
Misère du cinéma français. On a honte pour lui. Palme d'or absolue de la ringardise. Comment ose-t-on faire en 2021 ce genre de comédie gâteuse, visqueuse et grossière à vous donner des boutons d'urticaire?! Balasko est pathétique, Seigner ne dupe plus personne et Commandeur est une mauvaise farce à lui tout seul.
GyzmoCA
Suite de "Retour chez ma mère" de 2016 du même réalisateur, "Un tour chez m fille" n'est pas vraiment une suite dans l histoire mais une suite dans la qualité toujours moyenne du long métrage. Exit Alexandra Lamy, la comédie est sauvé par le duo Commandeur / Balasko dont leur jeu est toujours correctement exécuté. Quelques moments drôles mais trop peu pour rendre le film intéressant ou inoubliable ....
Suite du Retour chez ma mère, on retrouve la plupart des personnages mais dans un ordre inversé puisque Jacqueline, alias Josiane Balasko, va débarquer chez sa fille alias Mathilde Seigner car son appartement est en travaux.
En pleine thérapie de couple, ce retour dans la vie de tous les jours va mettre tout le monde en difficulté.
Les personnages sont attachants mais l'humour est trop peu présent et le film parait long à suivre.
Bref : un tour et puis s'en va.
En pleine thérapie de couple, ce retour dans la vie de tous les jours va mettre tout le monde en difficulté.
Les personnages sont attachants mais l'humour est trop peu présent et le film parait long à suivre.
Bref : un tour et puis s'en va.
Une comédie qui ne démarre jamais vraiment malgré une Josiane Balasko en forme. Je me pose sérieusement la question, a savoir si je dois encore me déplacer au cinéma pour aller voir ce genre de film qui cible surtout le troisième âge.
tixou0
On avait déjà subi l'une de ses filles, "Stéphanie" (Alexandra Lamy), revenant par nécessité économique chez elle ("Retour chez ma mère", en 2016), on doit ici faire mine de s'intéresser au retard de son chantier (
spoiler:
confié à un faux Polonais)
, la contraignant à s'inviter chez l'autre, "Carole", alias Mathilde Seigner spoiler: (le 3e rejeton, alias Philippe Lefevbre, étant aux abonnés absents, eu égard à tout un tas de complications de couple)
- son mauvais caractère spoiler: l'ayant brouillée avec son soupirant attitré et voisin ("Jean", alias Didier Flamand).
.
"Déveine" (du spectateur) rime (rime quasiment riche) une nouvelle fois avec "Lavaine" (Eric) ! 8e "long" entièrement réalisé par ce dernier, et nouvelle daube - les "Incognito" et "Barbecue" de sa filmo en tant que metteur en scène apparaissant (sans être des chefs d'oeuvre d'ailleurs - mais pouvant être visionnés avec quelque agrément) comme des exceptions. EL est un authentique spécialiste de la daube cinématographique - persiste et signe, de crétinerie en crétinerie.
"Un Tour chez ma fille" enchaîne les blagounettes pourries, les "périéties" éculées, tricote, vaille que vaille, à trous béants (ni idées originales - même un tout petit peu - ni rythme, ni humour, ni.... du grand RIEN, en fait), pour arriver à (presque) 90 minutes.
Josiane Balasko, dans une énième prestation (tous cinéastes confondus) à la Mme Musquin du "Père Noël", supplémentée façon écornifleuse, voire mère tape-dur, ici, fait dans le minimum syndical. Et comme dans le volet précédent de la "saga" Jacqueline Mazerin, c'est bien la seule qui semble (à peu près) à l'aise. On espère vivement que le désastre filmique s'arrêtera là : de grâce, pas de (par exemple) "Echappée de l' EHPAD" (où "Mamoune", alias Line Renaud, se ferait la malle, pour vivre sa vie chez quelque parent Mazerin, et lui pourrir la sienne)...
, la contraignant à s'inviter chez l'autre, "Carole", alias Mathilde Seigner spoiler: (le 3e rejeton, alias Philippe Lefevbre, étant aux abonnés absents, eu égard à tout un tas de complications de couple)
- son mauvais caractère spoiler: l'ayant brouillée avec son soupirant attitré et voisin ("Jean", alias Didier Flamand).
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"Déveine" (du spectateur) rime (rime quasiment riche) une nouvelle fois avec "Lavaine" (Eric) ! 8e "long" entièrement réalisé par ce dernier, et nouvelle daube - les "Incognito" et "Barbecue" de sa filmo en tant que metteur en scène apparaissant (sans être des chefs d'oeuvre d'ailleurs - mais pouvant être visionnés avec quelque agrément) comme des exceptions. EL est un authentique spécialiste de la daube cinématographique - persiste et signe, de crétinerie en crétinerie.
"Un Tour chez ma fille" enchaîne les blagounettes pourries, les "périéties" éculées, tricote, vaille que vaille, à trous béants (ni idées originales - même un tout petit peu - ni rythme, ni humour, ni.... du grand RIEN, en fait), pour arriver à (presque) 90 minutes.
Josiane Balasko, dans une énième prestation (tous cinéastes confondus) à la Mme Musquin du "Père Noël", supplémentée façon écornifleuse, voire mère tape-dur, ici, fait dans le minimum syndical. Et comme dans le volet précédent de la "saga" Jacqueline Mazerin, c'est bien la seule qui semble (à peu près) à l'aise. On espère vivement que le désastre filmique s'arrêtera là : de grâce, pas de (par exemple) "Echappée de l' EHPAD" (où "Mamoune", alias Line Renaud, se ferait la malle, pour vivre sa vie chez quelque parent Mazerin, et lui pourrir la sienne)...
Nous souhaitions voir cette suite, une petite comédie s’annonçant sympa ... MAIS (sic Line Renaud), surpris, nous avons tous découvert et apprécié un film fort réussi, rudement bien joué mené tambour battant : 1h23 de pur bonheur comme on aimerait en trouver à chaque séance. Rires, quiproquos et rebondissements garantis, du début jusqu’à la fin. Bravo au trio Balasko/Seigner/Commandeur … et merci pour le tuyau des bouchées à la reine St Jacques de Picardie. Nous attendons avec impatience le 3ième opus.
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