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wildjog
3 abonnés
30 critiques
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0,5
Publiée le 23 décembre 2022
Mon dieu …. Quel navet , Éric lavaine , comment as tu pu pondre ce film ? Tout est plat , mal joué , les blagues tombent à l’eau .. le rythment du film est lent. Et que des clichés à gogo
Une comédie banale en France, un peu lourde, un peu drôle, un peu beauf. Ça se laisse regarder sans grand plaisir ni déplaisir. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com
On passe un moment plutôt agréable, mais totalement vain. Il y avait une bonne ambiance dans la salle, les autres spectateurs ont eu l'air satisfait de leur séance.
Pour ma part, j'ai été assez attristé en me disant que j'avais passé un plutôt bon moment mais que c'était désolant qu'il y ait autant de monde pour voir un film si médiocre, qui n'apporte rien, ne laissera aucun souvenir, n'imprégnera la vie de personne je pense, alors qu'il y a tellement de films forts, utiles qui marquent leurs spectateurs à vie.
Il en faut pour tous les goûts, et ce film n'est assurément pas le pire. Il passe bien et peut être surement vu en famille même s'il y a quelques remarques salaces (je précise cela car dans la salle, il y avait un groupe de 5-6 jeunes filles d'une grosse dizaine d'année et je me suis interrogé sur le choix du film pour elles).
Une mère dont les travaux d'appartement n'en finissent plus trouve refuge chez sa fille, en pleine crise de couple. Cela ressemble donc à une pièce de de boulevard et ça se destine visiblement au même public, celui aux cheveux gris-bleus et aux sonotones qui s'endort pendant le spectacle parce qu'il a repris deux fois des profiteroles au dîner. Les dialogues sont bien ringards, les situations biens convenues et les acteurs bien cabotins. On est content quand ça se termine.
Comme quoi une suite c'est rarement une bonne idée. Scénario plat minimaliste attendu et réchauffé comme un surgelé picard. Mise à part quelques scènes qui font sourire comme le vol au vent ou le quiproquo entre balasko et son gendre on s'ennuie ferme.
c'est mal construit, décousu, attendu ; quand on est sec sur un sujet, on attend que l'inspiration revienne. Les acteurs/actrices nous aident malgré tout à endurer ce moment.
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12 423 critiques
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1,5
Publiée le 25 juillet 2023
Ça fait deux heures qu'elle est là et ils ont l'impression que ça fait six mois [...] Une suite paresseuse qui s'ètire entre les clichès et les gags gentiment poussifs! spoiler: Dans "Un tour chez ma fille" (2021), les rôles se trouvent inversès car ce coup-ci Josiane Balasko est contrainte de vivre chez sa fille (Mathilde Seigner) qui se trouve en pleine thèrapie de couple avec son mari (Jèrôme Commandeur). Donc ça tombe plutôt mal, mais Balasko n'en a cure, elle s'incruste, dèbulle, revit...A moins d'un tremblement de terre, elle ne partira jamais! Quelques situations drôles avec un psy et des boules quies, mais tout ça ne fait pas une suite rèussie! Eh oui, même l'absence au casting d'Alexandra Lamy (parti au Brèsil dans l'ècriture du film) ne change pas grand chose à cette nouvelle cohabitation forcèe...
On prend presque les mêmes et on recommence, mais en inversant les rôles... Cinq ans après avoir vu sa fille Stéphanie débarquer chez elle dans "Retour chez ma mère", c'est au tour de Jacqueline de s'incruster chez l'un de ses enfants en l'occurrence Carole, la sœur de Stéphanie, la petite préférée qui est actuellement au Brésil. Pas de retour en chair en os d'Alexandra Lamy donc avec Josiane Balasko, Mathilde Seigner et Jérôme Commandeur qui se partagent l'affiche. Ces deux derniers essaient de reconstruire leur couple, ce qui ne va pas être évident avec la présence d'une Jacqueline intrusive. Comme dans la plupart de ses films, y compris "Retour chez ma mère", Eric Lavaine part d'une idée de départ assez simple qu'il use au maximum. Cette suite est donc très proche du premier sauf que les rôles sont inversés. On fait assez vite le tour du concept, mais le film se laisse quand même suivre sans déplaisir. Il y a quelques passages amusants comme ce quiproquo sur l'échangisme. Bon, ça ne vole pas haut, mais ça passe pour passer le temps... En somme, une petite comédie moyenne qui n'est pas désagréable, mais qui ne marquera pas non plus les esprits.
Parfois, ou devrait-on dire souvent, les suites de films à succès s’avèrent inutiles, décevantes voire franchement ratées. Et encore plus pour les comédies. Ce n’est peut-être pas entièrement le cas ici, mais ce « Un tour chez ma fille » ternit quelque peu le bon souvenir que l’on a pu avoir avec « Retour chez ma mère », petite comédie française sans prétention mais hautement sympathique qui déridait les zygomatiques avec simplicité et humilité. Comme dans beaucoup de suites de comédies françaises à concept, ici le postulat est inversé. Ce n’est plus une fille qui se retrouve obligée de vivre chez sa mère mais la seconde fille qui se retrouve obligée d’accueillir sa maman chez elle. Pourquoi pas… Sauf que la fraicheur n’est plus au rendez-vous et que cette suite s’avère clairement moins réussie que l’originale.
Ici tout semble un peu plus forcé et moins naturel. Et le plus gros problème est surtout que l’on y rit bien moins que prévu. Le meilleur gag du long-métrage, celui du quiproquo sur l’échangisme et la vie sexuelle de Josiane Balasko qui incarne la mère, a malheureusement été éventé par la bande-annonce. Ce qui est bien dommage, même s’il revêt différentes formes durant le film de manière récurrente. Hormis cela, on sourit parfois mais on ne rit pas aux éclats comme dans « Retour chez ma mère ». L’absence d’Alexandra Lamy se fait aussi sentir et si Mathilde Seigner se révèle plutôt sobre et juste tout comme Jérôme Commandeur, Balasko en fait des tonnes, comme consciente que le projet a perdu un de ses atouts. Le jeu de l’ancienne du Splendid manque clairement de finesse et radote ici à l’instar de celui de son ancien comparse Christian Clavier qui nous refait aussi les mêmes mimiques depuis quelques années sans chercher à renouveler son jeu.
Le scénario tire à la ligne, n’étonne jamais et si on a droit à quelques gags amusants comme celui du décalage linguistique sur la technologie entre le couple Seigner-Commandeur et Balasko (concernant la télé et sa série phare en replay et streaming) ou celui avec Line Renaud toujours cassante avec sa fille. De l’attendu et du déjà-vu mais cela fonctionne plutôt bien, Sinon c’est très programmatique, prévisible et ça se pare de bien trop de vaudeville à l’ancienne. Quant à la mise en scène d’Éric Lavaine, elle s’apparente ni plus ni moins à celle d’un téléfilm ou d’une sitcom sur France Télévisions : tout juste illustrative et jamais recherchée. « Un tour chez ma fille » est donc une suite plutôt inconséquente dont on se serait bien passé mais elle se regarde sans déplaisir non plus. Le comique de situation, quelques dialogues bien troussés et un montage serré permettent tout de même d’y trouver son compte et de passer un moment dans la bonne humeur si l’on n’est pas regardant.
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une suite dont le scénario n'est pas aussi abouti que le premier. Les acteurs surjouent (certes c'est une comédie mais on dépasse les limites). On est content qu'ils aient rassemblé le casting et on passe un moment agréable à défaut d'un bon moment attendu.
Le film n'a pas grand chose à dire, mais se rattrape sur ses personnages, bien troqués dans leurs petits et grands travers. Josiane Balasko a un grand rôle de comédie avec son personnage de Jacqueline. Quelle démarche ! Et mention à Jérôme Commandeur
Après le succès de Retour chez ma mère (plus de 2 millions d’entrées), Eric Lavaine choisit de faire revenir le personnage interprété par Josiane Balasko mais en la confrontant cette fois à sa seconde fille incarnée par Mathilde Seigner (l’autre fille jouée par Alexandra Lamy qui tenait le premier rôle dans le film précédant se trouvant en Amérique du Sud). Comme le premier volet, Un tour chez ma fille est une œuvre possédant un aspect plus télévisuel que cinématographique mais restant sympathique. Même si l’ensemble est moins hilarant que prévu, le long-métrage possède des passages assez amusantsspoiler: (on retiendra en particulier les séquences jouant sur les malentendus entre Jacqueline et Alain sur certaines soirées) et profite de la présence de comédiens populaires (Josiane Balasko, Mathilde Seigner, Jérôme Commandeur…). Une fois de plus, Eric Lavaine signe donc une œuvre peu marquante mais qui est plutôt distrayante.
Les acteurs se donnent mais la mayonnaise ne prend pas vraiment. .. Les situations sont déjà vues et revues. Reste la fibre comique de Josiane Balasko.