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GéDéon
85 abonnés
513 critiques
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2,5
Publiée le 25 juin 2021
Vingt ans après son premier long-métrage, Caroline Vignal revient avec une comédie romantique grand public. Le scénario ne présente aucune originalité majeure mais possède un certain charme. Pour rejoindre par surprise son amant (Benjamin Lavernhe) qui lui a fait faux bond pour les vacances, une jeune femme entreprend une randonnée dans les Cévennes, sur les traces du chemin de Stevenson. Laure Calamy, qui obtient le César 2021 de la meilleure actrice pour son rôle, offre une partition remplie d’humour et de sensibilité. Les situations comiques sont subtiles, surtout lorsque cette fille chamboulée engage une psychanalyse avec l’âne qui l’accompagne dans ce voyage. Bref, un divertissement bon enfant qui se laisse notamment regarder pour la beauté de ses paysages.
Antoinette, la jolie caille est follement amoureuse d'un coq, pas très beau et pas très franc, sévèrement marié à une poule autoritaire. Elle se pare des plumes de l'oiseau bleu pour le séduire davantage par son chant... Raté, le coq annule leur escapade pour randonner avec Madame la poule et leur poussin! Notre caille décide de s'allier à un âne nommé Patrick, afin de poursuivre Maître coq sur les chemins cévenols. Se faisant, elle rencontre des animaux sylvestres plein de charme et des humains pittoresques. spoiler: D'abord réticent, Patrick se montre plus fidèle et plus attachant que le coq qui se retrouve plumé.
Patrick, l'âne providentiel, provoque la rencontre de la caille et d'un gentil canard aux plumes noires et.... générique de fin.
Une comédie qui ne fait fait pas rire, et qui se regarde avec parfois un certain ennui. Heureusement, l'interprète principale , Laure Calamy, parfaite dans son rôle, parvient à capter notre attention et nous faire passer quelques bons moments.
Une très belle histoire d Amour avec un âne. Très touchant. Une belle illustration de la sensibilité des animaux. Film qui retourne aux valeurs saines de notre monde, tournées vers la Nature, l’instinct, à travers un animal, l’âne et la montagne.
Un bon petit film porté à bout de bras par la très pétillante Laure Calamy, déjà vue et appréciée dans la série Dix pour cent. Ce portrait d'une femme libre d'aujourd'hui, très juste et plus profond qu'il n'en a l'air de prime abord, se marie à merveille avec les paysages somptueux des Cévennes, et cette amitié avec un âne illustre superbement le périple raconté par Stevenson. Sort vraiment des sentiers battus. A voir.
ANTOINETTE DANS LES CEVENNES Avec la réouverture du cinéma, vu "Antoinette dans les Cévennes". Une gentille instit' célibataire, un peu naïve et sexy, dans toute la puissance de ses hormones, est follement amoureuse du père d'une de ses élèves. Ils se retrouvent dans la classe (vide), avant de passer une semaine de vacances, comme le lui a promis son amant, qui se défile au dernier moment pour partir avec sa fille et sa femme sur le Chemin de Stevenson. Alternative au Chemin de Saint Jacques saturé, qui se fait de préférence avec un âne.... N'écoutant que son petit cœur et ses hormones, notre Bridget-john à la française, leur emboite le pas avec un âne, pas forcément à la hauteur du second rôle qu'on veut lui faire jouer... Bluette amoureuse, gentiment coquine, avec les jolis paysages cévenols, un rien de philosophie qui ne fera pas date, pas vraiment du Lucchini, juste de quoi nous faire oublier un an de confinement... Et hormis l'épouse qui jouera une partition inattendue, rien de nouveau sous le soleil des hommes, des femmes et des maîtresses...
Film surprenant, car il évite les clichés sur le sujet, drôle, frais et profond en même temps, Laure Calamy extraordinaire, attachante et pimpante, des acteurs excellents en général, musique superbe qui donne aussi le rythme au film, Patrick (l'âne) adorable, les Cévennes magiques, une très grande réussite. Bravo à la réalisatrice Caroline Vignal pour sa finesse! Je l'ai vu et revu, hélas sur mon PC.
Vladimir annule la semaine de vacances prévue avec Antoinette, sa maîtresse. Il part en randonnée dans les Cévennes avec femme et enfant. Antoinette décide d'aller le retrouver.
Ce sympathique road movie, dans les beaux paysages cevenols, propose un scénario qui se cale sur le rythme de Patrick, l'âne qui accompagne l'héroïne : lent. Les scènes fantasques qui parsèment le film valent surtout pour la prestation de Laure Calamy, confondante de naïveté et de drôlerie.
"Antoinette dans les Cévennes" est un film que je trouve pas terrible. L'histoire est plutôt sympa mais les personnages ne sont pas trop attachants, certaines scènes sont gênantes et certaines sont quand même drôles.
Comment ce film peut-il avoir 'atterri' dans la liste des possibles 'césarisés' : aucun scénario, histoire idiote et sans aucun intérêt. Oui certes, Laure calamy joue bien la fofolle ingénue mais pas bien mieux que dans Dix pour cent. Je me suis ennuyée et eu l'impression de m'être faite avoir car c'est le seul film que j'ai pu aller voir avant la fermeture des salles.
J’y croyais pas trop et pourtant, j’ai eu un vrai coup de cœur pour cette comédie de Caroline Vignal, délicieusement rafraîchissante. « Antoinette dans les Cévennes » est un vrai bol d’air frais qui donne le sourire, à l’image de celui, magnifique, de Laure Calamy, couronnée d’un César mérité. Sa vadrouille initiatique sur le chemin de Stevenson n’aurait pas eu cependant la même saveur sans son compagnon de route, Patrick. Ça donne envie d’essayer.
Belle surprise pour ce film tourné dans les magnifiques paysages du Midi. Dans cette quête universelle de l'amour, Laure Calamy excelle entre tendresse et émotion. Elle n'a pas volé son César et grâce à Patrick, on sort de la salle avec le sourire aux lèvres et ça n'a pas de prix .