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    Rifkin's Festival
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    Alain D.
    Alain D.

    583 abonnés 3 279 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Une très jolie Comédie romantique dirigée et écrite par Woody Allen. On retrouve avec plaisir le plus français des réalisateurs Américains, avec son ambiance, sa photographie et son charme si particuliers. Il ne tourne pas cette fois à Paris, l'action se déroule en Espagne à Saint-Sébastien pour un festival de cinéma où se rend le couple Newyorkais Morty et son épouse Suzanne.
    Woody ne manque pas de placer beaucoup d'extraits de films pour nous parler de cinéma.
    Avec tendresse et volupté et une jolie bouffée d'oxygène, il nous raconte la rétrospective de la vie de Morty, son personnage principal, formidablement interprété par Wallace Shawn qui porte le film.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 141 abonnés 5 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Un homme qui voit le bon côté des choses au travers des ses films préférés et qui les revit à travers les scènes les plus marquantes du cinéma.
    L’idée est très originale et le résultat plein de malice, de légèreté et de romantisme. La femme avec Louis Garrel est ridiculement hilarante et la jeune médecin ingénue charmante.
    C’est spirituel et surtout superbe dans cette jolie ville espagnole.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    35 abonnés 2 346 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2024
    Un couple américain, Sue et Mort Rifkin, se rend au festival du cinéma de Saint Sébastien. Elle est l'attachée de presse d'une cinéaste français (Louis Garrel) seduisant et fat (au passage, Allen égratigne l'intellectualisme pédant); il est un ancien prof de cinéma qui ne jure que par les grands maîtres européens. D'ailleurs, dans les courts songes de Mort (le double du cinéaste ou du moins son porte-parole), Woody Allen pastiche en noir et blanc Bergman et Fellini, Bunuel et la Nouvelle vague ("A bout se souffle" et "Jules et Jim"). Cet hommage au cinéma européen est peut-être une forme de bras d'honneur à l'Amerique qui a mis Allen au ban.
    Pendant que sa femme flirte avec son frenchie, Mort, quant à lui, fait la rencontre d'une jeune et belle docteur espagnole. On peine à croire que cette dernière trouve de l'intérêt au vieil américain et trouve un peu de temps à lui consacrer pendant les quelques jours du festival , mais peu importe. Cette esquisse d'une amitié éphémère a surtout l'utilité d'exposer les regrets de Mort d'être vieux et de ne plus pouvoir prétendre séduire une jeune femme, de dire sa nostalgie qui lui ferait sans doute sacrifier son bagage intellectuel (idée récurrente chez Allen) pour une nouvelle et sensuelle histoire d'amour.
    On retrouve par moments des accents alléniens mais "Rifkin's festival" est un film de la vieillesse de Woody Allen qui a perdu depuis longtemps sa verve et, disons-le, son inspiration. Le cinéaste ne semble même plus chercher l'originalité ou la surprise.
    SAVONAC
    SAVONAC

    1 abonné 87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Il faudrait renoncer à faire une critique sur un film de Woody Allen tant les choses sont désormais établies: il y a les pour et il y a les contre!
    Je fais partie des "pour", autant le dire tout de suite. Comme ces amis que l'on revoit de temps à autre, qu'on trouve tantôt géniaux, tantôt pénibles mais qui restent des amis, souvent en souvenir du passé.
    Tels sont désormais les films de Woody Allen.
    Celui-ci n'est pas un chef d'oeuvre, c'est certain. Mais il y a l'humour, l'amour du réalisateur pour le cinéma. Ses amours cinématographiques (Bergman, Fellini, Truffaut, etc.) sont les mêmes que moi et, sans doute, que toute une génération de cinéphiles. Aussi, comment pourrais-je mépriser ces hommages, ces déclarations d'amour à des gens que j'ai idolâtrés?
    Le choix de Wallace Shawn pour le rôle principal n'est pas une bonne idée. Je l'ai trouvé faible, grimaçant, caricatural, sorte de double un peu raté du réalisateur. Un peu raté parce que sans séduction aucune alors que Woody, quand il joue dans ses films, même s'il peut crisper par son incroyable égocentrisme conserve toujours ce pouvoir de séduire par ses mimiques et ses attitudes.
    Wallace Shawn, traité d"'homoncule" dans Annie Hall (sauf erreur de ma part!,) est ici trop insignifiant pour entrainer l'adhésion.
    En revanche, les femmes sont parfaites, à commencer par Gina Gershon, dont, au fond, avec un mari pareil, on comprend qu'elle se laisse séduire par Louis Garrel.
    Pour le reste, beaucoup de blablas, des avis sur tel ou tel metteur en scène, une description peu amène sur un festival de cinéma et sa faune.
    Et puis, quand même, une visite d'un San Sebastian stupéfiant de beauté. Je connais cette ville que j'avais trouvée plutôt jolie. Mais là, la photo est simplement éblouissante et donne envie d'y retourner.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2023
    Absolument aucune surprise dans ce dernier Woody Allen, tous les ingrédients de son cinéma et de ses thèmes de prédilection sont ici présents et abordés avec la même forme cinématographique. Mais cela n'empêche pas pour autant de savourer ce film comme on savoure un plat que l'on connaît par cœur. C'est donc avec certes aucune excitation mais avec plaisir que ce regardé ce film mineur mais plaisant du maître New yorkais.
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2023
    Cinquantième film du grand Woody et c’est encore du grand Woody, bavard, conceptuel avec un chassé-croisé amoureux digne d’une romance d’adolescent. Le tout sous le charme de la belle San Sebastian.Un vaudeville qui mêle aussi un côté onirique et des scènes rétro en noir et blanc. Un beau film nostalgique et sympatoche
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2023
    Pas de grande surprise pour un Woody Allen, avec des allusions a de geads films reconnus. Mention speciale a Louis Garrel hillarrant en cineaste francais imbu de lui lui-même.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 951 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2023
    Le chant du cygne pour un Woody assez fatigué qui ressasse ses classiques avec nostalgie, mais sans magie.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Ne connaissant rien du dernier scénario signé Woody Allen, je pensais naïvement que Rifkin était un lieu !
    Eh non, Rifkin est un ancien professeur de cinéma qui accompagne sa femme Sue (Gina Gershon), attachée de presse au festival de San Sebastian.
    Après quelques minutes de présentation, je comprends vite que Mort Rifkin, légèrement plus jeune que Woody Allen, est à lui seul un festival de bons mots, de réparties malicieuses.
    Wallace Schawn interprète ce Mort Rifkin mais j’aurais tendance à écrire qu’il incarne Woody Allen !
    « Rifkin’s Festival » c’est Woody Allen qui s’auto-psychanalyse comme dans grand nombre de ses films ; d’aucuns diront à juste titre que le réalisateur se répète avec ses éternelles questions existentielles.
    Peu importe, comme je prends aussi de l’âge, bien que je sois plus jeune que Woody Allen, ses angoisses, ses interrogations finissent nécessairement par toucher ma fibre émotionnelle de façon plus aiguë. Comme elle est de plus en plus pour l’auteur de « Intérieurs».
    Au-delà de ses obsessions, c’est aussi un hommage au cinéma européen en citant Fellini, Bergman, Claude Lelouch et surtout la Nouvelle vague française avec Truffaut en tête, Godard, Eric Rohmer !
    Cinéma français représenté sous les traits de l’acteur Louis Garrel. Il ne faut pas être susceptible, mais force est de constater que Woody Allen est un brin moqueur, son personnage Philippe prête à sourire par son narcissisme artistique…
    Comme l’était la Nouvelle vague !
    Ça fait longtemps que je n’avais pas donné un petit coup de pique à la Nouvelle vague !
    Les rêves ou fantasmes de Mort Rifkin constituent de bons moments ; par exemple l’humour noir de la mort -« the Death » - qui se présente à Rifkin/Allen sur une plage.
    On sent que Christoph Waltz prend plaisir à jouer cette scène.
    Moi, j’ai pris plaisir à regarder ce dernier Woody Allen… en V.O si possible !
    didbail
    didbail

    30 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2023
    Pas le meilleur Woody Allen mais un film plein de nostalgie dans lequel le réalisateur rend hommage à ses réalisateurs favoris dans des séquences en noir et blanc. Il convoque ainsi Citizen Kane, Amarcord, A bout de souffle, Jules et Jim, Un homme et une femme, Personna, Le septième sceau, Le charme discret de la bourgeoisie.
    Sébastien B.
    Sébastien B.

    17 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2023
    On débarque pendant un festival du film à San Sebastian, on cumule les réflexions sur le 7ème art, on se moque des grandiloquences d’un réalisateur hype, on visite la ville en badinant avec l’Amour, on pastiche les grands films dans de petits hommages, on se vautre dans la somatisation et l’hypocondrie, on se querelle dans la mauvaise foi et le non-dit, on sourit très souvent et on rit franchement parfois, pas de doute on est chez Allen. Alors oui on est assez loin des sommets de sa filmographie (aussi puisque le choix du comédien jouant son alter égo est assez malheureux) mais offrir encore ce petit plaisir ravissant à 86 ans constitue quand même une belle performance. Merci (pour tout) Woody.
    christophe D10
    christophe D10

    16 abonnés 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2023
    Les derniers films de woody allen sont tous des films assez mineurs, et celui ci ne fait pas exception a la règle.
    Ca ronronne gentiment, et ca se regarde sans difficulté malgré quelques longueurs.
    Mais aussitôt vu, aussitôt oublié ..…
    Eric
    Eric

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mars 2023
    C'est douloureux de voir un film sur la déchéance aussi gênant. Le rôle principal est pénible et rend cette histoire pas du tout crédible. Les références culturelles sont trop prévisibles. Tout tombe à plat. Aucune nostalgie ne donne un peu de vie au film.
    Estonius
    Estonius

    3 309 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2023
    Woody Allen m'a rarement déçu et m'a souvent enthousiasmé, mais là je dois dire qu'on tombe de haut. La première chose qui frappe est l'interprétation, supporter Wallace Shawn pendant 90 minutes est au-dessus de mes forces. Quant à Louis Garrel il se prend pour un réverbère, sauf que les réverbères ne sont pas des acteurs. Reste l'histoire elle n'a aucun intérêt, alors allons-y pour les références culturelles tout azimutes dont on se contre fou, on s'ennuie, on a hâte que ça finisse.
    Benevaaucine
    Benevaaucine

    24 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2023
    Ce long métrage se déroule lors du festival de cinéma à San Sebastian. On y suit Mort Rifkin, sexagénaire américain, qui déambule dans les rues, fait des rêves étranges où il devient le protagoniste des films de grands réalisateurs, tombe amoureux d'une cardiologue...Pendant que sa femme, flirte ouvertement avec un réalisateur, sorte de "génie" du cinéma, qui croit qu'avec son prochain film il résoudra le conflit Israëlo-Palestinien, rien que ça !
    Louis Garrel prête admirablement ses traits à ce réalisateur adorablement détestable, nous montrant au passage qu'il sait faire preuve d'auto-dérision, et nous offre les scènes les plus drôles du film ! La scène des percussions brésiliennes restera dans ma mémoire !
    Comme dans beaucoup de film de Allen, la voix-off du personnage principal ponctue le film de ses interrogations existentielles, rien de très innovant à ce propos (faisons nous les bons choix ?en gros )
    Par contre, ce film amène une réflexion intéressante sur le septième art. Il pose la question du rôle du cinéma et de ce qui qualifie un "grand" film : est-ce le message politique qu'il véhicule ou la création artistique ?
    Pour répondre, W.Allen montre bien l'opposition de ces deux points de vue via le jeune réalisateur ambitieux qui fait des films politiques récompensés lors de festivals huppés et élitistes. Alors que Rifkin, lui, rêve de Godard, Bergman, Truffaut, Fellini...

    Mon Instagram : @benevaaucine
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