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    Nomadland
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    363 critiques spectateurs

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    Philippe A.
    Philippe A.

    13 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juin 2021
    Un road trip décousu. Il semble que les US découvre des gens laissés pour compte lors de la crise. Des blancs, pas d'indiens dans les Badlands. J'ai voulu partir avant la fin tellement ça n'en finissait pas avec comme seul fil conducteur un malaise d'intégration et une volonté de se rapprocher de la nature qu'on ne découvre pas vraiment. Comme le personnage principal magnifique dans les billboards, j'ai ressenti un moment de solitude...
    fanfanrapetou
    fanfanrapetou

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2021
    Film admirable que Nomadland, de la poésie, de l’humanité, une profondeur de pensée parmi ces gens qui font avec ce qu’ils ont.
    Ce road trip est vivifiant à bien des égards .
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 602 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2021
    C’est l’envers du rêve américain, ou peut-être un nouveau rêve, celui de “pionniers” des temps modernes, comme dit un personnage du film. On est en tout cas en marge de l’actuel american way of life, du côté des laissés-pour-compte d’un système économique et social chaotique, du côté de ceux qui adopté, par choix ou par contrainte, un mode de vie alternatif. Sur la route. On est dans l’Amérique des vans, des petits boulots, du troc et de la débrouille. Il est beaucoup question de pertes et de vides, mais aussi de liberté et d’une fraternité nouvelle.
    C’est Frances McDormand, productrice et actrice du film, qui est allée chercher Chloé Zhao (The Rider) pour mettre en scène cette histoire adaptée d’un livre d’une journaliste (Jessica Bruder). Bon choix. La réalisatrice aborde le sujet avec simplicité et humilité, à hauteur d’hommes et de femmes, captant avec un souci d’authenticité leur quotidien, leurs joies et leurs peines, la rudesse de leurs conditions de vie tout autant que la beauté des paysages qu’ils traversent. C’est du cinéma intimiste dans de grands espaces. Minimaliste et ample. On apprécie la sensibilité de la cinéaste, qui transpire à l’écran. Pudeur et empathie. Humanisme délicatement émouvant. Justesse épurée. Pas de pamphlet sociopolitique ici, mais un réalisme pointilliste qui dit le monde d’aujourd’hui, ses errances, ses impasses, ses espoirs. Une poésie de l’essentiel. Chloé Zhao a le regard subtil des gens discrets.
    Cinévore24
    Cinévore24

    307 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Récompensé par 3 Oscars (film, réalisatrice et actrice), un road-movie dans la mouvance du cinéma vérité, et traversé par certains effets Malickiens, dans lequel Chloé Zhao ("The Rider") nous montre l'Amérique récente d'un autre point de vue.
    Frances McDormand et son visage marqué y sillonne les environs à bord de son van, au gré des jobs qu'elle peut décrocher et des rencontres qu'elle peut y faire.

    À travers son histoire personnelle, entre deuil et prise de conscience, entre solitude et entraide, "Nomadland" nous dresse surtout le portrait et le quotidien de ces nomades des temps modernes, "houseless" (sans maison) et non "homeless" (sans abri), de ces oubliés du système américain, qui ne rentrent dans aucune des cases mises en place par la société.
    Une communauté atypique qui s'est constituée au sein de la même société qui a fini par les laisser sur le bord de la route.

    Un docu-fiction où les parcours de vies et les vérités s'entrecroisent, et très intéressant de par le sujet, relativement inconnu, qu'il aborde et qu'il traite avec pas mal d'humanité, le tout doté d'un casting mélangeant acteurs et vrais nomades.

    Une œuvre libre et réussie dans son ensemble, même si j'ai toujours une légère préférence pour le précédent film de Zhao.
    comme les A.
    comme les A.

    12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Une belle de manière de ne rien filmer. Un message poignant mené par un vide qui m’a parfois donné envie de dormir. Heureusement la photographie est incroyable et Frances McDormand est comme toujours épatante.
    mat niro
    mat niro

    318 abonnés 1 739 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2021
    "Nomadland" est un portrait sans concession des classes défavorisées aux Etats-Unis à travers le parcours en Van de Fern (Frances McDormand) à travers le pays. Chloé Zhao ("The rider") montre bien la solidarité des nomades passant d'un petit boulot à un autre suite à la crise économique. McDormand est une nouvelle fois exceptionnelle, n'hésitant pas à s'enlaidir pour les besoins du film. Le bémol de cette oeuvre réside peut-être dans le fait de filmer à outrance les paysages, au demeurant magnifiques (on sent l'influence de Terence Malik). C'est plus le portrait d'une femme en errance, avec le poids de son passé à porter qui m'a séduit dans ce film sur l'Amérique des laissés-pour-compte.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    703 abonnés 1 436 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2021
    2008 : crise économique mondiale.
    Fern, la soixantaine, perd tout et décide de survivre en parcourant les Etats-Unis à bord de sa vieille fourgonnette aménagée.
    Rapidement, elle se rend compte qu'elle est loin d'être la seule à subsister de cette manière dans une Amérique des laissés-pour-compte.
    Tourné presque comme un documentaire, "Nomadland" se révèle puissant, touchant et terriblement de notre temps.
    Frances McDormand irradie l'écran de sa force emplie de bienveillance et d'une pointe de détresse.
    Beau et triste à la fois, ce drame nous ramène à notre propre fragilité et à cette société capitaliste censée être le modèle idéal.
    Profond.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    jeanmarcd
    jeanmarcd

    9 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2021
    très déçu, je ne comprends pas pourquoi ce film a été autant récompensé .
    Au-delà de belles images, ce film effleure les sujets sans jamais creuser ni s'intéresser à l'histoire des personnages.
    Peu de scènes "sombres" c'est déjà formaté pour Netflix et autres, la consensualité étant la caractéristique majeure
    de ce film.
    Ch De
    Ch De

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 juin 2021
    Plébiscitée par les Oscars, je viens de regarder ce navet, une sorte de de road movie sale, des images inintéressantes d'une Amérique terne, une sorte de tranche de vie ou on regarde cette victime du capitalisme sombrer dans un univers psycho-sentimentalo-suicidaire. A moins d'être profondément dépressif, on a du mal à s'identifier au personnage, excepté son côté "en dehors de la société" qui la fait plus humaine. Aucune poésie, c'est brut, c'est triste, mal écrit, ça sent la crasse et le cinéma de bas niveau. Seule l'actrice principale arrive à se tirer de ce bourbier ou elle a eu le malheur de s'engager ! Il y a tant de personnes qui vivent en dehors du système et qui pourtant sont pleines de vie et fières d'en être sorties, pourquoi peindre une nature si sombre ? Est ce la mode des films dépressifs, intimistes, chiants ?
    Kiwi P.
    Kiwi P.

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2021
    Il y a bien entendu les superbes paysages, les belles images et le regard cru sur les déclassés et la vie des nomades mais les images se succèdent dans une certaine monotonie. Décevant.
    Sylvain P
    Sylvain P

    311 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Nomadland est une baffe cinématographique. Une femme ruinée décide d'adopter le mode de vie nomade, en vivant dans un van et en sillonant le magnifique continent nord-américain. Chloé Zhao, la réalisatrice, a la bonne idée d'entourer la fabuleuse Frances McDormand de véritables nomades, dont les histoires hérissent les poils. Le traitement de l'image, les paysages grandioses et la musique de Ludovico Einaudi sont superbes, dignes d'un Terrence Mallick. Après son déjà très réussi Les Chansons que mes frères m'ont apprises, elle met une pierre de plus au bel édifice de sa carrière et nous fait, en un mot, voyager.
    velocio
    velocio

    1 203 abonnés 3 048 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Doit on se montrer surpris de ne pas se trouver totalement enthousiasmé par le début de ce film, d'autant plus lorsqu'on avait vu et apprécié les 2 films précédents de Chloé Zhao, "Les chansons que mes frères m'ont apprises" et "The Rider", d'autant plus lorsqu'on sait qu'il a raflé un maximum de récompenses à Venise, aux Golden Globes et aux Oscars ? Pas tellement en fait car "Les chansons que mes frères m'ont apprises" avait connu chez moi le même phénomène. En fait, avec Chloé Zhao, il semble bien qu'il faille un certain temps pour se laisser gagner par le sujet et l'atmosphère qu'elle met en scène. Cette fois ci, elle abandonne les amérindiens de ses 2 premiers films pour nous faire rencontrer une autre tribu, celle des nomades : des gens qui, pour une raison ou pour une autre (le plus souvent du fait des pensions très faibles que peuvent toucher des retraité.e.s même après avoir travaillé pendant 50 ans !) n'ont plus de domicile fixe et vivent qui dans des vans, qui dans des motor-homes. Des gens solidaires qui, lorsqu'ils se séparent, ne se disent pas adieu : un jour, leurs routes se croiseront à nouveau et, même, comme le croient certains, lorsque la mort les aura frappés. Dans ce film produit par Frances McDormand, on retrouve ... Frances McDormand comme tête d'affiche. Elle interprète le rôle de Fern, une sexagénaire qui, en 2011, a perdu à la fois son travail, son mari et la maison qu'elle habitait avec lui, la compagnie qui les employait et les logeait à Empire, dans le Nevada, ayant mis la clé sous la porte. Travaillant de temps à autre chez Amazon, dans des fastfoods ou dans des campings, elle vivote tant bien que mal tout en faisant des rencontres d'autres nomades. Petit à petit, le film devient de plus en plus émouvant. A part Frances McDormand, les autres "comédiens", à l'exception de David Strathairn, ne sont pas des professionnels et ils portent dans le film le prénom qu'ils ou elles ont dans la vie ce qui laisse supposer que ce sont de véritables nomades. La belle musique du compositeur et pianiste italien Ludovico Einaudi vient contribuer à la montée progressive de l'émotion, sans jamais se montrer envahissante. On peut également entendre d'autres chansons dont l'une, sur le générique de fin, interprétée par Cat Clifford qui jouait son propre rôle dans "Les chansons que mes frères m'ont apprises" et dans "The rider".
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 858 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Il y a de belles images, bien soignées, ça pourrait faire de belles cartes postales ? Mais après ?

    Parce qu'en vrai voir un film sur des déclassés aux États-Unis, tentant de se persuader qu'ils ne sont pas des sans abris vivant dans une précarité immense, ça m'intéresse, mais ce qu'en fait Chloé Zhao ne me parle juste pas.
    C'est un film gentil, lisse, où il ne se passe pas grand chose, où les conversations inconséquentes s'étalent sur quasiment deux heures. Je ne suis pas certain de comprendre le projet. Parce qu'en fait à la fin du film si j'ai appris des choses sur le passé du personnage de Frances McDormand, je ne sais rien d'elle, de quelle femme elle est, j'ai eu cette désagréable impression de voir un avatar totalement creux qui fait ce qu'on lui dit de faire : là tu es triste, là tu t'amuses... Mais que tout ça était désincarné...

    Je ne suis pas du tout investi émotionnellement dans le film, aucune situation ne dure assez longtemps pour qu'on ressente quelque chose, pour que quelque chose se développe...
    Elle rencontre des gens, on sent qu'ils passent du temps ensemble (Zhao abuse de l'ellipse on ne sait jamais réellement quand on est (ni où d'ailleurs), combien de temps se sont écoulés, il faut le deviner), mais le film semble se refuser d'explorer un peu ses personnages.

    Je veux dire qu'on a une vieille dame qui veut lui donner des conseils : il te faut une roue de secours, il faut repeindre ton camion... et on sent bien que McDormand n'en veut pas, que ça la saoule, mais le film n'en fait rien, il ne va pas plus loin... Alors que c'est quelque chose de très vrai comme situation et d'universel d'avoir quelqu'un de plus âgé qui te dit comment tu devrais faire les choses quand bien même on n'en a juste pas envie et qu'on veut juste faire à notre façon.

    C'est dommage... ça aurait donné de la consistance à ce monde, à ces personnages... En fait c'est comme si rien n'avait la moindre conséquence, jamais... peu importe qui elle rencontre, peu importe ce qu'elle fait, ce qu'elle dit, le film montre toujours et encore la même chose : des couchers de soleil... parfois on a une petite mélodie mélancolique qui vient accompagner le tout...

    Mais clairement il n'y a rien de nouveau qui nous est offert là. J'ai déjà vu ça, je connais tout ça... on se tape quand même pas mal de lieux communs, de banalités... le personnage qui est au bord de la mer et qui est tout content en écartant les bras... mais pitié, faut arrêter de faire ça, c'est plus possible (ou alors faut le faire autrement).

    Bref ce film me semble être un beau projet, mais qui tourne en rond, qui n'arrive pas à exploiter ses personnages, ses situations et surtout qui n'ose pas contrarier, troubler, c'est juste plat. J'ai vu ce film, je l'aurai oublié demain... Je ne dirais cependant que c'est mauvais, c'est juste que ça n'a aucun intérêt... C'est un film sage et poli, je suis sûr qu'il tient la porte et qu'il dit bonjour... par contre éveiller une émotion chez le spectateur, c'est une autre paire de manche...

    Parce qu'en fait le pire c'est que le film n'ose rien critiquer... La fille travaille chez Amazon pour la période de Noël et elle est toute contente, à aucun moment le film ne fait sentir une lassitude face à ce travail non qualifié totalement rébarbatif... jamais il ne montre les conditions de travail, non on a McDormand qui est tout sourire et qui salue tout le monde. Et je ne parle pas de montrer Amazon en monstre, mais juste de s'intéresser à ce que c'est que de travailler pour Amazon et de ne pas faire comme si c'était le paradis sur terre...

    C'est là le plus gros échec, en refusant de parler du travail, il échoue à être un film social qui dirait quelque chose sur son époque...

    Mais il reste les zolies cartes postales...
    Jmartine
    Jmartine

    154 abonnés 656 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Dans son premier film « Les chansons que mes frères m’ont apprises » Chloé Zhao, jeune réalisatrice new-yorkaise, d’origine chinoise, portait un regard doux et amer sur la vie dans une réserve indienne dans le Dakota du Sud. Un film réaliste, presque un documentaire (la réalisatrice a vécu plusieurs années dans cette réserve), au ton poétique et mélancolique, ballade désespérée mais néanmoins d’une esthétique magnifique, paysages arides, sols ravinés, ciels d’orages, immenses prairies qui ondulent au vent….C’est sur ce tournage que Chloé Zhao avait rencontré un groupe de cowboys Lakota, qui sont à la fois des Sioux Lakota Oglala et d’authentiques cowboys qui portent des plumes à leurs chapeaux en l’honneur de leurs ancêtres Lakota – des cowboys indiens – une réelle contradiction américaine. Cette rencontre a donné « The Rider »
    Ces deux films pouvaient être considéré comme des docu-fictions, à la forte dimension ethnographique. On pourrait en dire autant de son dernier film, « Nomadland » Un film beau et bouleversant, aux frontières du documentaire, à la rencontre des nouveaux nomades qui prennent la route en quête d’un nouvel horizon, mais aussi d’un travail. Après l’effondrement économique de la cité ouvrière du Nevada où elle vivait, Empire, et la mort de son mari, Fern décide de quitter cette ville devenue fantôme et de prendre la route à bord de son van aménagé et d’adopter une vie de nomade des temps modernes, en rupture avec les standards de la société actuelle. Elle va de petits boulots en petits boulots, d’Amazon, à la récolte des betteraves, en passant par un fast-food…elle croise et recroise des compagnons d’infortune, souvent des retraités âgés et désargentés, déshérités de l’Amérique d’aujourd’hui, garant son van sur des terrains en bordure de désert, à peine aménagés…
    C’est une errance nostalgique qui peut rappeler les road-movies des sixties, les raisins de la colère de Steinbeck ou l’image des déclassés de l’Amérique de Trump…C’est un beau film mélancolique qui fait l’éloge d’un mode de vie simple dans le sillage des pionniers et des hobos, trimardeurs mythiques de l’identité nomade américaine, ils sont ces « vans dwellers » cette communauté laborieuse et solidaire de routards…C’est une ode à une héroïne libre, sociable mais solitaire, sensible mais pudique, généreuse mais farouchement indépendante…Frances McDormand a reçu l’oscar de la meilleure actrice, et le film a reçu une pluie de récompenses…Chloé Zhao comme dans ses précédents films a eu l’intelligence d’associer aux acteurs professionnels, des amateurs dans leurs vrais rôles, comme Linda May, Swankie et le gourou Bob Wells qui chaque année organise une réunion de ces déclassés pour échanger tuyaux et confidences…Chloé Zhao nous offre un film poignant et intense, d’une grande beauté et d’une douce mélancolie dans le prolongement de ces précédents films.
    Maryannick Guillot
    Maryannick Guillot

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    De l'émotion sur ce sujet de la vie "seule"après le décès de son conjoint...je m'y suis reconnue a travers plusieurs passages...
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