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Votre avis sur Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain ?
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Amélie Poulain, cette histoire nous raconte les merveilleuse aventure de crackland au pays imaginaire en quête du pays du bonheur est bien les multiples personnage me laisse perplexe. La DA du film est je pense produite avec un bon bol d'alcool mais bon du moment que Twilight existe je pense que tout film a le droit à son succès.
Je risque de ne pas etre d’accord avec beaucoup des spectateurs de ce film, mais m’attendant a un film génial j’ai simplement trouvé le film long et honnêtement inintéressant, malgré ça le film est très bien tourné, avec une ambiance exclusive et des transitions dialogues geniaux, l’histoire n’a pas collé et le film m’a paru long et inintéressant a ce niveau
Une vision de paris et de Montmartre très enfantine qui se retrouve tout au long du film et cela fait du bien. Les seul point noir du film sont les moments où cette vision enfantine est brisé notamment less scène de sexe qui sont inutiles trop mis en avant et brisé la magie de ce film.
Revu en 2024…. Une des plus belle histoire d’amour du cinéma…
L’image est belle, la musique est incroyable, les seconds rôles sont magnifiques, psychologiquement subtil, tes poétiques aussi.
Un petit chef d’œuvre du cinéma français et avec le temps un vrai chef du cinéma pour moi.
L’image est belle, la musique est incroyable, les seconds rôles sont magnifiques, psychologiquement subtil, tes poétiques aussi.
Un petit chef d’œuvre du cinéma français et avec le temps un vrai chef du cinéma pour moi.
C'est niais, c'est gnangnan mais ça fait horriblement du bien à l'âme. Idéal pour se rabibocher avec la vie quand celle-ci nous a martyrisée. Audrey Tautou illumine ce film de sa beauté .
A voir par tous, tous ceux qui ont envi de se faire du bien!
A voir par tous, tous ceux qui ont envi de se faire du bien!
Bonjour tout le monde, Très original filme comme un conte de fée dans Paris revisité par Jean - Pierre Jeunet ! aimez-vous Amélie Poulain er sa fabuleuse histoire ? Amicalement. Gérard Michel
Sûrement le premier film français qui m’as bluffer en tant qu’adolescent maintenant adulte ce film est toujours aussi bluffant voir plus
Le bonheur de retrouver Amélie et son quartier de Paris, revoir se film est a nouveau un grand plaisir. Jean Pierre Jeunet nous a réalisé un film qui nous donne une bouffée d'oxygène
Que dire de plus, 23 ans après la sortie d’un film qui a fait 8,6 millions d’entrées en France (32 millions dans le monde) et obtenu 4 Césars en 2002 (meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure musique et meilleur décor) et d’autres nombreuses récompenses (dont le Goya 2002 du meilleur film européen) ? A partir de la genèse d’une histoire d’amour (qui constitue le thème de 80 % des films), Jean-Pierre Jeunet a su la déconstruire en y introduisant son univers poétique et imaginaire, transcendant les petits événements du quotidien et les souvenirs d’enfance, et interprétant à sa façon le roman proustien (1871-1922), « A l’ombre des jeunes filles en fleurs » (1919), peut-être moins littéraire mais plus passionnant et hilarant [
spoiler:
cf. imagination des obsèques d’Amélie Poulain, sur des images d’archives, celles de Sarah Bernhardt (1844-1923), commentées par le grandiloquent Frédéric Mitterrand (1947-2024), comme dans son émission télévisée « Etoiles et toiles »
]. Tout concourt à en faire un bijou : le scénario inventif, fantastique, surréaliste [en collaboration avec Guillaume LAURANT (40 ans)], le casting [Audrey TAUTOU (25 ans), Mathieu KASSOVITZ (34 ans) et les seconds rôles, tous aussi excellents, sans oublier la voix off d’André DUSSOLIER], les décors avec leurs dominantes de vert et de rouge, la photographie de Bruno DELBONNEL, ce qui lui a permis d’obtenir le prix européen de la meilleure photographie et la musique de Yann TIERSEN (31 ans). Il s’agit aussi d’un film sur la solitude, celle d’Amélie Poulain et de son père, des habitants de son immeuble et du bar où elle travaille comme serveuse, mais qui est traité de façon optimiste : Amélie Poulain s’érige en justicière, spoiler: punissant l’odieux épicier Collignon
et améliorant la vie des autres. Sans oublier le Paris de carte postale (en 1997), principalement Montmartre, qui est reconstitué, d’autant que le film a été tourné après le retour des Etats-Unis de Jean-Pierre Jeunet qui y avait réalisé, pour la Twentieth Century Fox, « Alien, la résurrection » (1997), le 4e volet de la série.
]. Tout concourt à en faire un bijou : le scénario inventif, fantastique, surréaliste [en collaboration avec Guillaume LAURANT (40 ans)], le casting [Audrey TAUTOU (25 ans), Mathieu KASSOVITZ (34 ans) et les seconds rôles, tous aussi excellents, sans oublier la voix off d’André DUSSOLIER], les décors avec leurs dominantes de vert et de rouge, la photographie de Bruno DELBONNEL, ce qui lui a permis d’obtenir le prix européen de la meilleure photographie et la musique de Yann TIERSEN (31 ans). Il s’agit aussi d’un film sur la solitude, celle d’Amélie Poulain et de son père, des habitants de son immeuble et du bar où elle travaille comme serveuse, mais qui est traité de façon optimiste : Amélie Poulain s’érige en justicière, spoiler: punissant l’odieux épicier Collignon
et améliorant la vie des autres. Sans oublier le Paris de carte postale (en 1997), principalement Montmartre, qui est reconstitué, d’autant que le film a été tourné après le retour des Etats-Unis de Jean-Pierre Jeunet qui y avait réalisé, pour la Twentieth Century Fox, « Alien, la résurrection » (1997), le 4e volet de la série.
La ressortie en salles de ce qui fut un des plus grands succès publics de la fin des années 90 et du début du siècle (2001), permet d'évaluer sa pérennité, presque un quart de siècle après sa réalisation.
De mon point de vue, " le fabuleux destin..." n' a rien perdu de son charme. Plus que le scénario lui-même, simplissime ( une jeune serveuse, rêveuse, travaillant dans un café de Montmartre, trouve l'amour par des chemins de traverse) c'est la mise en image de JP Jeunet et son stylo visuel qui donne toute sa saveur au film.
Le cinéaste avait auparavant proposé sur le même ton " délicatessen" et " la cité des enfants perdus". Mélange entre l'univers de la BD et le conte pour enfants, " Amélie Poulain" n'a pas volé son succès ( ce n'est toutefois pas - selon moi- la meilleure réussite du cinéaste)
Portrait d'une vie simple ( le fabuleux renvoie à la fable ) où seule la bonté, l'empathie, la gentillesse à l'égard de ceux que le destin met sur notre chemin permet de rencontrer l'amour.
La première heure est très réussie tandis que la seconde éprouve des difficultés à se renouveler. On n' est pas dans le film à thèse, mais dans une forme d'expression de ce qu'est la magie du cinéma comme puissance orinique et d'évasion.
Audrey Tautou lancera sa carrière avec ce titre ( la documentation indique qu'elle sera même l'actrice la mieux payée du cinéma français en 2008) avant de la mettre entre parenthèse pour élever son enfant (2019).
Son style femme enfant, espiègle, timide, qui n'est pas sans rappeler celui de la chanteuse Chantal Goya ou de l'italienne Giulietta Massina a parfois occulté son potentiel.
Sa prestation dans " Thérèse Desqueyroux", dernier opus du regretté Claude Miller, montre que sa palette pouvait largement dépasser le registre dans lequel sa prestation dans " Amélie Poulain" l'a un peu trop cantonnée.
De mon point de vue, " le fabuleux destin..." n' a rien perdu de son charme. Plus que le scénario lui-même, simplissime ( une jeune serveuse, rêveuse, travaillant dans un café de Montmartre, trouve l'amour par des chemins de traverse) c'est la mise en image de JP Jeunet et son stylo visuel qui donne toute sa saveur au film.
Le cinéaste avait auparavant proposé sur le même ton " délicatessen" et " la cité des enfants perdus". Mélange entre l'univers de la BD et le conte pour enfants, " Amélie Poulain" n'a pas volé son succès ( ce n'est toutefois pas - selon moi- la meilleure réussite du cinéaste)
Portrait d'une vie simple ( le fabuleux renvoie à la fable ) où seule la bonté, l'empathie, la gentillesse à l'égard de ceux que le destin met sur notre chemin permet de rencontrer l'amour.
La première heure est très réussie tandis que la seconde éprouve des difficultés à se renouveler. On n' est pas dans le film à thèse, mais dans une forme d'expression de ce qu'est la magie du cinéma comme puissance orinique et d'évasion.
Audrey Tautou lancera sa carrière avec ce titre ( la documentation indique qu'elle sera même l'actrice la mieux payée du cinéma français en 2008) avant de la mettre entre parenthèse pour élever son enfant (2019).
Son style femme enfant, espiègle, timide, qui n'est pas sans rappeler celui de la chanteuse Chantal Goya ou de l'italienne Giulietta Massina a parfois occulté son potentiel.
Sa prestation dans " Thérèse Desqueyroux", dernier opus du regretté Claude Miller, montre que sa palette pouvait largement dépasser le registre dans lequel sa prestation dans " Amélie Poulain" l'a un peu trop cantonnée.
Un univers et une ambiance réussis, qui se démarquent des productions habituelles. De bonnes idées tant dans le scénario, que la photographie, que dans la narration. Malheureusement le récit n'est guère emballant et est un peu répétitif bien que quelques scènes redonnent du rythme. Au final rien de déplaisant, mais pas suffisament accrocheur.
Chef d'œuvre français absolu.
Le film repasse ce soir à la TV.
Même sensation 23 ans après lors la première de l'UGC Odéon, que j'étais retourné voir 2 fois
Un claque pour ce chef d'œuvre absolu.
Je le re-découvre 2 décennies plus tard.
Ce film est d'une richesse d'écriture extraordinaire. La photographie tellement lumineuse et colorée, une perfection.
JP Jeunnet le disait, son Amélie arrondi les angles, il va jusqu'au détail des voitures du décors bien arrondies.
Les acteurs sont parfaits, mais alors parfait.
On sent le film d'une vie de réflexion pour un réalisateur.
La musique, la musique...
Pas d'arme, pas d'insultes, pas de violence.
Une innocence enfantine que l'on aimerait retrouver dans ce monde de dingue.
Avec "La vie est belle" de Benigni et "Forrest Gump" de Zemeckis. Les 3 chefs d'œuvre absolus intemporels.
Le film repasse ce soir à la TV.
Même sensation 23 ans après lors la première de l'UGC Odéon, que j'étais retourné voir 2 fois
Un claque pour ce chef d'œuvre absolu.
Je le re-découvre 2 décennies plus tard.
Ce film est d'une richesse d'écriture extraordinaire. La photographie tellement lumineuse et colorée, une perfection.
JP Jeunnet le disait, son Amélie arrondi les angles, il va jusqu'au détail des voitures du décors bien arrondies.
Les acteurs sont parfaits, mais alors parfait.
On sent le film d'une vie de réflexion pour un réalisateur.
La musique, la musique...
Pas d'arme, pas d'insultes, pas de violence.
Une innocence enfantine que l'on aimerait retrouver dans ce monde de dingue.
Avec "La vie est belle" de Benigni et "Forrest Gump" de Zemeckis. Les 3 chefs d'œuvre absolus intemporels.
Film culte qui a marqué les esprits. Je recommande.
Mon film préféré, amélie est serveuse dans un bar à monmarte et elle adore observé les petites choses que les autres ne regardent pas habituellement, elle aime faire toutes sortes de stratagèmes et donne de la bonne humeur.
Une ode aux rêveurs sur fonds de décor parisien, mise en scène avec beaucoup d'humour. Une romance qui a à peine vieilli. La bo reste un monument.
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