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Votre avis sur La Chapelle du Diable ?
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Objectivons
Je ne regarde habituellement pas ce genre de film, mais j'ai décidé de me laisser tenter suite à la lecture du synopsis. J'ai bien fait car je l'ai assez apprécié : si l'ensemble est globalement prévisible, l'intrigue, le jeu des acteurs et la tension valaient le coup d'œil.
Il s'agit toutefois clairement plus d'un film fantastique teinté d'épouvante que d'un vrai film d'horreur, aussi beaucoup risquent d'être déçus s'ils s'attendent à avoir peur toutes les trente secondes...
Il s'agit toutefois clairement plus d'un film fantastique teinté d'épouvante que d'un vrai film d'horreur, aussi beaucoup risquent d'être déçus s'ils s'attendent à avoir peur toutes les trente secondes...
En voilà une bonne petite surprise !!! Un film intéressant et plutôt original, avec des acteurs au top (je suis fan de Jeffrey Dean Morgan) et surtout, de bons effets spéciaux et des frissons distillés. J'ai vraiment bien accroché !
RedArrow
Au titre de l'exposition la plus expédiée de l'année, "The Unholy" se pose en vrai favori ! En pas moins de dix minutes, Evan "va-falloir-prendre-un-pseudo-rapidement" Spiliotopoulos nous envoie à la figure un bon vieux bûcher d'antan, Jeffrey Dean Morgan en journaliste cynique, une vache, un prêtre, des murmures, un arbre louche, une poupée qui l'est encore plus, un accident nocturne, une mystérieuse fille en blanc, une jolie doctoresse à dragouiller et... un miracle !
Ouf, tout ce bazar a le mérite de nous amener à la vitesse de l'éclair et n'importe comment à l'essentiel du pitch ainsi que de son contexte (une jeune fille faiseuse de miracles à l'origine "inconnue") mais à quoi bon puisque que la totalité de ces bases ainsi posées éclairent le spectateur sur à peu près 98% de tout ce qui va suivre dans le film !
Alors que la provenance des illuminations divines de la jeune innocente nous est annoncée de but en blanc dès les premières secondes, il va tout simplement falloir se farcir plus d'une heure de long-métrage pour que les personnages arrivent à la même conclusion grâce à leurs capacités cognitives équivalentes à celles d'un embryon de plancton. Et vu que le reste de la mise en place nous a déjà envoyé des énormes signaux d'alerte sur la rédemption annoncée de son héros journaliste via son rapprochement avec Bernadette Soubirous 2.0, sa partenaire d'enquête désignée ou la menace qui pèse sur leurs têtes et certains concernés au plus près par cette histoire (seule la vache citée au début mènera une vie insouciante), il va bien falloir broder quelques trucs autour dans le but de démontrer que "The Unholy" a un peu plus à raconter.
L'arrivée d'un tel personnage de prophète dans notre monde en 2021 ? Le film tentera bien de s'y intéresser mais ça n'en restera qu'au stade de l'évocation facile.
Une Église toute heureuse d'en tirer profit ? Cela se résumera aux têtes narquoises de type satisfait où Cary Elwes excelle.
Les manifestations d'une entité au design plutôt prometteur ? La pauvre en restera à tendre sans arrêt le bras ou à se contorsionner en faisant des jumpscares grotesques dignes de vieux pranks d'Internet.
Quelques retours de flammes bien violents de ces miracles ? Le premier phénomène en ce sens arrivera très tardivement et se fera avec le hors-champ d'une autre époque...
On pourrait continuer longtemps comme ça tant "The UnHoly" est complètement prévisible sur les fondamentaux de son histoire et invraisemblablement anecdotique sur les pistes qui pourraient l'accompagner.
Quelque part, le développement le plus abouti de ce fourbis cousu de fil blanc sera le parallèle entre le parcours de ce journaliste victime de sa soif de notoriété et celui de sa protégée trompée par des voix surnaturelles mais ce sera surtout à mettre au crédit de la prestation de Jeffrey Dean Morgan, seule chose à tirer vers le haut une production dont les choix scénaristiques inconséquents cherchent à l'enfoncer toujours plus loin dans les abimes du néant. En ce sens, il est bien l'unique vrai miracle d'un projet si inutile. Toutefois, on lui conseillera de changer d'agent à l'avenir car celui qui lui a conseillé ce film est de toute évidence un collaborateur éminent du Diable.
Ouf, tout ce bazar a le mérite de nous amener à la vitesse de l'éclair et n'importe comment à l'essentiel du pitch ainsi que de son contexte (une jeune fille faiseuse de miracles à l'origine "inconnue") mais à quoi bon puisque que la totalité de ces bases ainsi posées éclairent le spectateur sur à peu près 98% de tout ce qui va suivre dans le film !
Alors que la provenance des illuminations divines de la jeune innocente nous est annoncée de but en blanc dès les premières secondes, il va tout simplement falloir se farcir plus d'une heure de long-métrage pour que les personnages arrivent à la même conclusion grâce à leurs capacités cognitives équivalentes à celles d'un embryon de plancton. Et vu que le reste de la mise en place nous a déjà envoyé des énormes signaux d'alerte sur la rédemption annoncée de son héros journaliste via son rapprochement avec Bernadette Soubirous 2.0, sa partenaire d'enquête désignée ou la menace qui pèse sur leurs têtes et certains concernés au plus près par cette histoire (seule la vache citée au début mènera une vie insouciante), il va bien falloir broder quelques trucs autour dans le but de démontrer que "The Unholy" a un peu plus à raconter.
L'arrivée d'un tel personnage de prophète dans notre monde en 2021 ? Le film tentera bien de s'y intéresser mais ça n'en restera qu'au stade de l'évocation facile.
Une Église toute heureuse d'en tirer profit ? Cela se résumera aux têtes narquoises de type satisfait où Cary Elwes excelle.
Les manifestations d'une entité au design plutôt prometteur ? La pauvre en restera à tendre sans arrêt le bras ou à se contorsionner en faisant des jumpscares grotesques dignes de vieux pranks d'Internet.
Quelques retours de flammes bien violents de ces miracles ? Le premier phénomène en ce sens arrivera très tardivement et se fera avec le hors-champ d'une autre époque...
On pourrait continuer longtemps comme ça tant "The UnHoly" est complètement prévisible sur les fondamentaux de son histoire et invraisemblablement anecdotique sur les pistes qui pourraient l'accompagner.
Quelque part, le développement le plus abouti de ce fourbis cousu de fil blanc sera le parallèle entre le parcours de ce journaliste victime de sa soif de notoriété et celui de sa protégée trompée par des voix surnaturelles mais ce sera surtout à mettre au crédit de la prestation de Jeffrey Dean Morgan, seule chose à tirer vers le haut une production dont les choix scénaristiques inconséquents cherchent à l'enfoncer toujours plus loin dans les abimes du néant. En ce sens, il est bien l'unique vrai miracle d'un projet si inutile. Toutefois, on lui conseillera de changer d'agent à l'avenir car celui qui lui a conseillé ce film est de toute évidence un collaborateur éminent du Diable.
Un bon début, quelques bonnes idées, d'autres moins, un peu trop fantaisistes. Mais ça reste un assez bon divertissement, tout le long du film.
Franchement décevant les seules ressorts horrifiques se posent uniquement sur des screamers archi prévisible et flanqués d'effets visuels très très laids. C'est d'autant plus dommage que le film avait un réel potentiel, bien que Les châtiments sortie en 2007 avait sensiblement le même scénario. La réalisation est bâclée, le montage effectué à la serpe, certaine scènes n'ont aucune cohérences où continuités entre elles. Les personnages ne semble pas vraiment réagir aux situations et ce dès le début lorsque le personnage joué par Dean Morgan entend des voix, pas plus surpris que ca d'être guidé par des voix étranges et de trouver une poupée vieille de plus de 100ans. Possédée toujours produit par Sam Raimi et également avec Jeffrey Dean Morgan était tout de même meilleur. Films d'horreur/ fantastique anecdotique qui n'a absolument aucun atout pour se démarquer un tant soi peu dans un genre déjà bien chargé.
Le dernier film avec l'acteur Dean megan était bien décevant et il était enfin temps de sortir de son personnage de la saga The Walking Dead. Dean megan s'en sort avec les honneurs dans "la chapelle du Diable", beau et charismatique dans son personnage, il réussit à captiver et sa part d'ombre (un pseudo journaliste graveleux à son compte la recherche d événements à vendre) est crédible à l'ecran. Le film est bien construit et l'histoire tient debout, ce qui n’était pas évident avec cette histoire de poupée trouvée dans un champs...les événements s'enchainent doucement et logiquement, la jeune marie captive elle aussi même si l'issue semble devinable. Peu de frissons (quoique..) mais dans cette histoire d'apparition de la Vierge Marie, on en fait pas trop, ce qui accrédite le phénomène surnaturel. Les acteurs s'en sortent bien aussi, et on suit l'histoire avec attention...c'est réussi pour moi !
Excellent film , certains parlent de déja vu , moi je trouve que l'histoire est intéressante et tiens en haleine. Pour un premier film c'est réussi.
Dans cette adaptation du roman Sanctuaire, tout commence par une investigation journalistique. Partout où dieu construit une église, le diable érige une chapelle : la foi détournée, manipulée est ici le fond du sujet, que l'on soit croyant ou non. Quelques effets savamment distillés, même s'ils ne sont pas toujours nouveaux, ce thriller horrifique attise toutefois la curiosité et maintient l'attention. Pour autant le final, assez risible, est décevant.
j'ai beaucoup aimé ce film , jai trouver la mise en scène et la réalisation travailler avec de bonne idée , un scénario pas si cliché que ce que l'ont peut croire et des acteurs très bon . le seul point faible sont certain effet visuels très "3D / cartoon" ou la "fausse" marie qui a une tête de télétubies .. c'est un bon film , qui aurait pût être mieux avec un budget + conséquent .
franchement une bonne surprise ce film jais adorait. j’adore ce style de films avec des sorcières, le diable, les démons, Dieu ex...
l'histoire est vraiment cool est tien la route. les acteurs sont sérieux dans leur rôle. en gros un bon film. Mais ce qui me manquer un peut ses d'avoirs plus de frisson il ne fait pas peur. Mes bons ses qu’une petite critique. à voir
l'histoire est vraiment cool est tien la route. les acteurs sont sérieux dans leur rôle. en gros un bon film. Mais ce qui me manquer un peut ses d'avoirs plus de frisson il ne fait pas peur. Mes bons ses qu’une petite critique. à voir
Un journaliste en disgrâce, ayant pourtant tutoyé les sommets de son métier par le passé, tente encore de trouver quelques reportages potables et un peu sensationnels à se mettre sous la dent.
La petite ville américaine de Banfield (Nouvelle-Angleterre) va lui apporter ce "miracle" qu'il attend, et même beaucoup plus...
Certes, le scénario n'a rien de vraiment surprenant avec tous les ingrédients classiques d'un thriller d'horreur : une église, un curé, une vision divine, une force démoniaque cachée...
Malgré une réalisation conventionnelle ne tombant pas dans l'épouvante à outrance (quelques jump scare sont tout de même là pour pimenter le tout !), l'histoire tient approximativement la route et on reste curieux de savoir comment tout cela va finir.
Moyennement correct mais largement évitable dans le genre.
Site CINEMADOURG.free.fr
La petite ville américaine de Banfield (Nouvelle-Angleterre) va lui apporter ce "miracle" qu'il attend, et même beaucoup plus...
Certes, le scénario n'a rien de vraiment surprenant avec tous les ingrédients classiques d'un thriller d'horreur : une église, un curé, une vision divine, une force démoniaque cachée...
Malgré une réalisation conventionnelle ne tombant pas dans l'épouvante à outrance (quelques jump scare sont tout de même là pour pimenter le tout !), l'histoire tient approximativement la route et on reste curieux de savoir comment tout cela va finir.
Moyennement correct mais largement évitable dans le genre.
Site CINEMADOURG.free.fr
Je n'attendais pas grand chose de ma visite dans cette chapelle diabolique et j'en ressors plutôt conquis. C'est un énième film sur une femme accusée de sorcellerie qui revient hanter la bourgade où elle a été torturée à mort plusieurs décennies auparavant mais ici le regard posé sur la croyance et l'idolâtrie est intéressant. Dans un monde comme le nôtre qui malheureusement trouve de plus en plus refuge dans des religions, quelquefois dévoyées par ses extrémistes, il est utile de voir que croire à tous prix aux miracles et au salut peut nous mener à notre perte.
Yannickcinéphile
Un film faiblard que ce métrage d’horreur des plus classiques. Pour ma part, j’ai apprécié l’histoire au début, car l’approche miraculeuse était sympathique Il y avait un côté plus « réaliste » du propos, avec notamment l’enquêteur religieux sur ces miracles à priori bienfaisants mais peut-être pas. Je dis, ok, l’approche est plus réaliste que d’ordinaire, le souci, c’est que le film est d’une lenteur ! Ca se traine mollement, ça décolle pas, on devine en plus ce qu’on va nous twister, c’est la plaie. Et puis le film abandonne carrément sa dimension réaliste pour virer franchement au fantastique sur une intrigue élimée et sur un final sans originalité. A ce moment, évidemment, le film emploie les jumpscare facile de rigueur, des ficelles formelles hyper classiques sans faire de miracle. Sans être laid, le film fait fauché, avec peu de lieux, peu de décors, une photographie aux effets numériques pas toujours heureux, un manque de véritable ambiance oppressante. Le métrage fait franchement téléfilm pour être honnête, c’est à croire que tout le budget est passé dans le salaire de Jeffrey Dean Morgan. Pour ma part, le casting est peut-être ce qui sauve un peu le film. Morgan est très bien dans son rôle, et j’ai également trouvé très convaincants le duo Cricket Brown et William Sadler. Leur relation est moins clichetonnesque que redoutée et Sadler s’en sort vraiment bien tandis que Brown joue bien la fille innocente manipulée malgré elle. Pour le reste on appréciera de revoir Cary Elwes dans un rôle d’appoint.
Musicalement il n’y a rien, et c’est un souci car bien entendu ça joue dans le manque d’ambiance du film et le côté téléfilm fauché.
Pour ma part, The Unholy est un film très dispensable dans le genre horrifique. C’est lisse, plutôt fauché, plutôt ennuyeux, il n’y a rien de franchement mémorable et qui nous change des innombrables productions horrifiques religieuses du même acabit. Sans être franchement raté, c’est faiblard. 2
Musicalement il n’y a rien, et c’est un souci car bien entendu ça joue dans le manque d’ambiance du film et le côté téléfilm fauché.
Pour ma part, The Unholy est un film très dispensable dans le genre horrifique. C’est lisse, plutôt fauché, plutôt ennuyeux, il n’y a rien de franchement mémorable et qui nous change des innombrables productions horrifiques religieuses du même acabit. Sans être franchement raté, c’est faiblard. 2
🎬 RENGER 📼
Un journaliste discrédité par ses pairs pour avoir pondu de faux articles tente de relancer sa carrière en écrivant des papiers sur le surnaturel. Jusqu’au jour où il tombe sur une étrange affaire, celle d’une petite ville en Nouvelle-Angleterre où des miracles ont eu lieu. Banfield dans le Massachusetts va-t-elle devenir un nouveau sanctuaire à l’image de Lourdes ? Supercherie ou vrai miracle ?
Il s’agit du premier long-métrage pour le scénariste Evan Spiliotopoulos, plus habitué à écrire pour des films Disney que pour le cinéma de genre. En adaptant le roman "Sanctuaire" de James Herbert, ce dernier ne réalise ni plus ni moins qu’un banal film d’épouvante, mêlant sorcellerie et démon. Le film se targue d’avoir été produit par Sam Raimi, certes, mais il n’en est pas le réalisateur et encore moins le scénariste et cela s’en ressent constamment. La Chapelle du Diable (2021) n’a absolument rien à nous offrir de croustillant, c’est d’une rare platitude à faire frémir les moins de 10ans. On pourra toujours essayer de se consoler sur la présence de Jeffrey Dean Morgan & William Sadler mais cela ne sauve pas le film et ne nous sortira pas de notre léthargie.
Cependant, on appréciera la façon avec laquelle le film égratigne les sanctuaires tels que Lourdes ou Fatima (les soi-disant sites d’apparition de la Vierge Marie). Devenus avec le temps des sites d’enrichissement, véritables poules aux œufs d’or pour l’église catholique à défaut d’autre chose. En dehors de ça, visiblement le film se complait de n’être rien d’autre qu’un ersatz de film d’épouvante pour teenagers où l’on s’ennuie sans discontinu.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Il s’agit du premier long-métrage pour le scénariste Evan Spiliotopoulos, plus habitué à écrire pour des films Disney que pour le cinéma de genre. En adaptant le roman "Sanctuaire" de James Herbert, ce dernier ne réalise ni plus ni moins qu’un banal film d’épouvante, mêlant sorcellerie et démon. Le film se targue d’avoir été produit par Sam Raimi, certes, mais il n’en est pas le réalisateur et encore moins le scénariste et cela s’en ressent constamment. La Chapelle du Diable (2021) n’a absolument rien à nous offrir de croustillant, c’est d’une rare platitude à faire frémir les moins de 10ans. On pourra toujours essayer de se consoler sur la présence de Jeffrey Dean Morgan & William Sadler mais cela ne sauve pas le film et ne nous sortira pas de notre léthargie.
Cependant, on appréciera la façon avec laquelle le film égratigne les sanctuaires tels que Lourdes ou Fatima (les soi-disant sites d’apparition de la Vierge Marie). Devenus avec le temps des sites d’enrichissement, véritables poules aux œufs d’or pour l’église catholique à défaut d’autre chose. En dehors de ça, visiblement le film se complait de n’être rien d’autre qu’un ersatz de film d’épouvante pour teenagers où l’on s’ennuie sans discontinu.
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Sincèrement j'ai beaucoup aimé ce film. Je ne pense pas que ce soit un film d'horreur style conjuring ou Annabelle mais on se laisse prendre au jeu au fil du film. Le jeu des acteurs sont très bons tous, et le suspense monte en grandissant. J'ai vraiment passé un très bon moment. Et je le conseille vivement à ce qu'elle le film d'horreur avec une bonne histoire à la base.
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