AlloCiné
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Votre avis sur Relic ?
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Vraiment pas mal bien que très lent... Drame horrifique sur 3 génération de femme : la grand mère, la mère et la fille... Ces deux dernières doivent se confronter à la dégénérescence tant psychologique que physique de la première... Bref le film est une métaphore sur la vieillesse... Les 15 dernières minutes sont vraiment spéciales mais intéressantes...
Dans l’architecture étrange d’une maison putride, une mère et sa fille cherchent à comprendre le comportement glauque de leur mère. C’est plus un drame familial qu’un film d’horreur avec un scénario alambiqué sur fonds sonores agités. C’est déconcertant, ennuyeux, incompréhensible et aussi visqueux que la scène finale.
En plus d’être nul, ce film est indigeste. J’aurais du me douter qu’après 20 minutes déjà on attend toujours quelque chose à se mettre sous la dent. Une ineptie, une perte de temps, lisez vraiment cette critique avant de vous lancer dans ce merdier.
Un film qui nécessite visiblement une explication préalable. Il semble d'ailleurs que l'ensemble des mauvaises notes soient le fait de spectateurs étant passés à côté du sujet. C'était d'ailleurs mon cas...premier degré s'abstenir, une histoire qui donne à réfléchir malgré son angle assez malsain.
Ce que raconte l'histoire est top, en fait, c'est beaucoup imagé, je pense que beaucoup de gens ne vont pas comprendre le sens exact de l'histoire, moi personnellement, j'ai dû aller me renseigner pour comprendre le sens de certains passages... Sinon, le film pourrait être mieux, s'il était pas si lent et calme, car en réalité, le film est très plat, parfois, il faut même augmenter le volume, car même les personnages parlent doucement, c'est dommage, car le reste est plutôt correct. Mais gros point noir.
Un très bon film d'horreur australien . Une plongée terrifiante dans l'antre de la démence maitrisée .
Lorsqu’Edna, grand-mère octogénaire, disparaît subitement, sa fille Kay et sa petite-fille Sam se rendent dans sa demeure isolée afin de la retrouver. Mais quelque chose d'aussi mystérieux qu’inquiétant s’est emparé des lieux, et leur aïeule ne semble plus être tout à fait la même.
Même si je dois avouer avoir été subjugué durant le premier tiers de ce film par la puissance du jeu sonore, par la justesse du montage et des jeux d’image, par une ambiance ou chaque cadrage, chaque regard, chaque flou, chaque mouvement de main, chaque ombre instillent à merveille doute et angoisse, je confesse avoir fini par m’ennuyer sec ensuite. Dépassé par le mélodrame lent qui se déroulait sous mes yeux, j’ai regardé ma montre et baillé béatement sans n’avoir plus peur.
Et c’est bien dommage, car l’on sent le soins et la conviction de la réalisatrice à vouloir nous plonger, pour son premier long-métrage, dans la démence et la psychose. Mais « Relic » repose sur une métaphore bateau, seul niveau de lecture autorisé, n'offrant que peu de fils à tirer. On peine malheureusement à s’en dégager et tout sens autre, toute jubilation horrifique simple, tout volume est alors aboli.
N’est quand-même pas Ari Aster qui veut!
Même si je dois avouer avoir été subjugué durant le premier tiers de ce film par la puissance du jeu sonore, par la justesse du montage et des jeux d’image, par une ambiance ou chaque cadrage, chaque regard, chaque flou, chaque mouvement de main, chaque ombre instillent à merveille doute et angoisse, je confesse avoir fini par m’ennuyer sec ensuite. Dépassé par le mélodrame lent qui se déroulait sous mes yeux, j’ai regardé ma montre et baillé béatement sans n’avoir plus peur.
Et c’est bien dommage, car l’on sent le soins et la conviction de la réalisatrice à vouloir nous plonger, pour son premier long-métrage, dans la démence et la psychose. Mais « Relic » repose sur une métaphore bateau, seul niveau de lecture autorisé, n'offrant que peu de fils à tirer. On peine malheureusement à s’en dégager et tout sens autre, toute jubilation horrifique simple, tout volume est alors aboli.
N’est quand-même pas Ari Aster qui veut!
Je suis assez déçu de ce film finalement, au début j'ai trouvé l'intrigue assez alléchante, mystérieuse. Le casting est plutôt correct, l'ambiance est réussie : oppressante et angoissante. Mais au fur et à mesure, mon intérêt est retombé. Je suis restée sur ma faim, j'aurais aimé plus de détails sur le comment du pourquoi. Certes c'est poétique, métaphorique, mais un peu trop à mon goût. Dommage.
Belle surprise, la sous-lecture est assez évidente et tant mieux. Le film est oppressant et stressant tout du long, la fin est en accord avec le sujet, franchement chouette film qui ne finit pas en eau de boudin à tenter des choses vues et revues, même si finalement c'est peut-être une conclusion un peu trop molle et on manque un peu d'explications par rapport à la maison (sûrement plus une symbolique de sous-lecture qu'autre chose finalement). Qu'à cela ne tienne, c'est parfait pour un Halloween!
Rares sont les films d'horreur qui réussissent véritablement à me faire frissonner, ou même à vraiment me faire peur. Je peux facilement apprécier une idée, une mise en scène intéressante ou une ambiance particulière, mais de la vraie peur, je trouve que cela se perd de plus en plus. Pourtant, "Relic" est l'un de ses rares récents films d'horreur à pouvoir exprimer une vraie envie de ce type. À première vue cependant, rien ne pouvait laisser présager cela. Avec une metteur en scène inconnue, ainsi qu'un petit budget, on peut facilement passer à côté. Ce serait clairement dommage pour vous quand on voit les idées que le film explore. Déjà, j'apprécie le fait qu'il essaye d'être plus qu'un simple film d'horreur. Frôlant le fantastique sur les dernières minutes, il était très proche d'un film d'auteur. Tournant autour de thématiques comme la vieillesse ou encore la maladie d'Alzheimer. C'est un long-métrage qui va jouer sur une peur très connue de tous : la peur de vieillir. Cette peur qui nous fait oublier nos proches, nos gestes, notre passé, etc... Celle-ci est parfaitement retranscrite au sein du long-métrage et je trouve cela intéressant d'explorer des peurs plus profondes que de simples esprits très classiques. Le personnage d'Edna est, par conséquent, caractéristique de ce type de maladie. Elle est à la fois adorable et innocente, mais peut parfois vriller et apporter beaucoup d'angoisse dans ces changements de comportements. Face à cela, il y a donc deux types de réactions, parfaitement retranscrites par nos deux autres personnages. Kay, qui va signifier le rejet et le fait de fuir les responsabilités que cela implique. Et Sam, qui va symboliser l'inverse, la compréhension et l'écoute. C'est une vraie histoire d'auteur qui se met en place au milieu de ce film à l'atmosphère sombre et poisseuse, où chaque personnage va devoir se remettre en question et assumer sa vraie nature ainsi que ces responsabilités. La metteur en scène a parfaitement compris comment visualiser tout cela. Sa réalisation est très lente, très étudiée et va prendre le temps de faire montrer la pression sur l'ensemble de ces séquences. L'objectif est de plonger le spectateur dans une ambiance vraiment glaçante, le film ne va pas vraiment chercher à le faire bêtement sursauter. C'est un long-métrage qui va jouer avec votre angoisse, en favorisant les images gênantes ou glauques, plutôt qu'une peur vive. J'ai adoré ce principe et ce style, quelque chose qui se perd de plus en plus aujourd'hui. C'est donc une véritable réussite, un film d'horreur qui se veut plus profond que ce qu'il laisse penser. Pour conclure, gros coup de cœur.
J'attendais pas un chef-d'oeuvre, mais au moins un film d'ambiance, à l'atmosphère mystérieuse teinté d'horreur, dommage, il n'y'a rien de tout cela hormis peut-être dans le dernier quart d'heure. Cette façon de vouloir traiter la vieillesse et la décrépitude de l'esprit reste intéressante, mais le rythme reste très très moue et redondant par certains moments, la plupart des situations étant du déjà vue, troues de mémoires, fugues, démence, sommanbulisisme, bruits étranges et chuchotements ect.. pour illustrer cette descente vers la mort est du réchauffé. Pour un premier film cela reste correcte, mais sa manque malgré tout de réels originalité.
A vouloir faire un film sombre, l'ambiance l'est un peu de trop, je ne parle pas du climat général du film, mais la photo du film, on appuie les noirs, si bien que l'on essaie de deviner ce qui se tapie du côté obscur, et on n'y voit rien. Cela dessert l'histoire, car pourquoi nous offrir des nuances de noirs plus noir les unes que les autres, est-ce pour cacher qu'il n'y a rien à montrer.
On joue ici sur le surnaturelle, sur la présence de démon, sur la possession, sur la maison hantée, mais jamais la réalisatrice ne prend son parti, elle oscille entre les genres, et nous force à faire nos propres déductions, mais où veut-elle en venir ?
Jamais ce n'est explicite, vers la fin, la cadette se retrouve bloqué dans des antichambres de la maison, là on se dit qu'on va vers quelques choses, mais non, alors quelle est la métaphore ?
La réalisatrice a voulu nous donner sa vision de la vieillesse, tantôt romantique, tantôt inquiétante; mais pour ce qui est sur, c'est que cela la traumatise. Elle nous emmène sur les voies, nous montre des pistes, et puis, tout cela s'évapore sans d'autres explications.
Seul le trio des actrices sauvent un temps soit peu le film, Robyn Nevin, sous ses traits de la patriarche, visage usé par le temps, nous offre des regards à nous glacer les sangs. Mis à part ça, c'est bien trop compliqué pour être vraiment apprécié.
On joue ici sur le surnaturelle, sur la présence de démon, sur la possession, sur la maison hantée, mais jamais la réalisatrice ne prend son parti, elle oscille entre les genres, et nous force à faire nos propres déductions, mais où veut-elle en venir ?
Jamais ce n'est explicite, vers la fin, la cadette se retrouve bloqué dans des antichambres de la maison, là on se dit qu'on va vers quelques choses, mais non, alors quelle est la métaphore ?
La réalisatrice a voulu nous donner sa vision de la vieillesse, tantôt romantique, tantôt inquiétante; mais pour ce qui est sur, c'est que cela la traumatise. Elle nous emmène sur les voies, nous montre des pistes, et puis, tout cela s'évapore sans d'autres explications.
Seul le trio des actrices sauvent un temps soit peu le film, Robyn Nevin, sous ses traits de la patriarche, visage usé par le temps, nous offre des regards à nous glacer les sangs. Mis à part ça, c'est bien trop compliqué pour être vraiment apprécié.
A l'épreuve du temps
On n'est pas loin de l'unité de temps et de lieu dans ce film d'horreur psychologique à petit budget. Scénariste/réalisatrice débutante, Natalie Erika James démontre tout son talent avec cette variation sur le thème de la maison hantée, qui est finalement une ellipse sur l'ordre du temps et le cercle de la vie, de la naissance à la mort.
3.8/5
On n'est pas loin de l'unité de temps et de lieu dans ce film d'horreur psychologique à petit budget. Scénariste/réalisatrice débutante, Natalie Erika James démontre tout son talent avec cette variation sur le thème de la maison hantée, qui est finalement une ellipse sur l'ordre du temps et le cercle de la vie, de la naissance à la mort.
3.8/5
Je suis totalement d’accord avec le constat que le cinéma de Genre a autant le droit qu’un autre d’aborder des sujets dits “sérieux”...avec toutefois une petite réserve d’usage : le Genre ne doit pas non plus oublier qu’il est du Genre, ne pas inverser les priorités en somme. Il s’agit pourtant là d’une tendance très visible chez une certaine jeune garde d’auteurs-réalisateurs, qui se piquent “d’élever” le genre...mais tout le monde ne s’appelle pas Ari Aster. Ainsi, le canevas de ‘Relic’ peut bien paraître assez similaire (une mère et sa fille emménagent chez la matriarche, qui est en train de perdre la boule) mais il ne peut (ni ne veut, vraisemblablement) se présenter comme un concurrent du ‘The visit’ de Night M.Shaymalan. Tablant sur une certaine sobriété visuelle et un usage très restrictif du jump-scare, ‘Relic’ s’en sort relativement bien dans sa proposition personnelle de film de maison hantée, avec quelques inserts pseudo Ju-on et une certaine capacité à jouer avec les nerfs du spectateur claustrophobe. Cependant, la façon qu’on pourrait presque qualifier de “poétique” de traiter son sujet risque de rebuter une partie du public. Je suis pour ma part resté sur ma faim, bien que je ne songerais pas à soupçonner la réalisatrice d’une quelconque incapacité à apporter une conclusion à son scénario : il n’y aura ici nulle explication rationnelle ou même surnaturelle à attendre de ce qui tient plutôt lieu d’allégorie du vieillissement et de la décrépitude physique et mentale.
Ceci est de loin un des film les pires que j'ai et j'en ai vu... auncun sens, scenario tellement incohérent...lenteurs extreme...sombre, nul.
Surtout ne perdez pas 2h de vie en regardant ce navet par excellence.
Surtout ne perdez pas 2h de vie en regardant ce navet par excellence.
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