Relic
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128 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 18 octobre 2020
Le film commençait bien et puis un ennui s'installe plus le film avance et la fin du film on ne sait pas si c'est un remake de E.T ou que sais-je, en tout cas nous avons été plusieurs dans la salle à avoir bien ris en vue de la scène finale... un film d'horreur ou un film d'humour telle est la question.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 18 octobre 2020
Aucun spoiler! De toute facon , il n y a rien a spolier! N allez pas voir ce film!
1h30 de perdue, pourtant fan de film du genre, je n ai jamis été déçue par un film a ce point!
C est tres mou, ca n a ni queue ni tete et et aucune explication sur ce qui ce passe. Apres pour les fans de film qui laisse place a l imagination , vous serez servi!. Les actrices sont douées quand meme je reconnais. Mais voilà ! Je reste vraiment sur ma fin , apres avoir vu la bande annonce je m attendais a quelques frissons!
Med S
Med S

5 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 octobre 2020
C'est un film intéressant qui semble traiter subtilement de la relation mère-fille au travers de la grand-mère, la mère et la petite-fille.
Il reste quand même difficile d'accès notamment par sa mise en scène et la fin originale mais pas forcément accessible.
mat niro
mat niro

374 abonnés 1 872 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 17 octobre 2020
Frissons garantis devant ce "Relic" où une fille et une petite-fille viennent au secours de leur grand-mère disparue depuis quelques jours. Natalie Erika James reprend les codes du genre tout en y mettant une touche personnelle. Derrière ce film épouvante/horreur, elle traite à travers le personnage d'Edna, la vieillesse et la perte de lucidité. "Relic" ne révolutionne pas le genre, mais grâce au jeu des acteurs (Emily Mortimer impeccable), il permet de passer par tous les états dans cette production australienne.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 17 octobre 2020
il ne faut pas voir ce film comme un film d'horreur, mais plutôt comme une métaphore de la vie, dont l' horreur est malheureusement bien réelle.
JO IV
JO IV

1 critique Suivre son activité

1,0
Publiée le 16 octobre 2020
Une seul chose à dire .. si vous souhaitez perdre 1h30 de ciné pour rien , amusez vous ..
C'est dommage , il n'y a plus de bon film d'horreur de nos jours .
Une histoire totalement flou et inexplicable .
Zoumir
Zoumir

68 abonnés 1 043 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 octobre 2020
L'âge, cet ennemi invincible que l'on souhaite pouvoir côtoyer le plus longtemps possible. Chaque jour est gagné mais chaque jour est un pas de plus vers la défaite. Nous perdons tous à la fin et Relic dépeint ces moments, ceux où on assiste, impuissant et terrifié, à la déroute de l'individu, à la métamorphose sournoise et déboussolante d'un être cher.
Dans ce film australien à l'angoisse latente et progressive, on navigue entre thriller psychologique, vision de cauchemar et présence malfaisante pour souligner la décrépitude du corps et de l'esprit face aux affres de la vieillesse. Cette décrépitude prend les traits d'Edna, meurtrie Robyn Nevin, disparue dans des circonstances toutes aussi inexplicables que sa réapparition. Sa fille, fatiguée et éprouvée Emily Mortimer et sa petite-fille retrouvent alors une femme aimée mais inquiétante, à la lisière du méconnaissable, entre l'étrange et l'étrangère, qui va doucement, par ses agissements, installer une ambiance pesante dans une maison qui ne semble faire écho qu'au passé des trois femmes. Des photos, des souvenirs, des objets et des connaissances sont autant de réminiscences d'un temps regretté.
Natalie Erika James montre avec ce premier film qu'elle est à suivre, à l'image d'un Ari Aster, d'un Robert Eggers ou d'un Trey Edward Shults. La réalisatrice joue avec nos angoisses intimes en enfermant ses protagonistes dans une situation qu'elles ne peuvent fuir. Les liens qui les retiennent sont immatériels. Pas de chaînes, pas de verrous mais simplement un amour à toute épreuve qui, même s'il est mis à mal, dépeint avec justesse l'épreuve que représente une telle situation.
Relic s'inscrit dans la continuité des réalisateurs suscités, dans ces films d'épouvante où l'ambiance vient servir une pression qui va crescendo à mesure que les images faites d'ombres, de regards, de mimiques, de silences et de détails s'insinuent dans notre tête. Petit à petit, il gagne chacun de nos membres jusqu'à nous contraindre pleinement lorsqu'il embrasse l'horreur et le surnaturel qu'il se limitait à suggérer. Relic nous contracte, nous enserre, nous raidit jusqu'à nous laisser recroquevillés sur nous mêmes lorsqu'il transpose l'oubli, la perte, la folie naissante, à travers les murs d'une maison rongée par l'absence et les souvenirs. Puis, comme coup de grâce, il nous touche au cœur, nous fait ressentir des choses sur lesquels nous ne pouvons pas encore mettre des mots. Il nous abandonne, abasourdis, déstabilisés par les messages qu'il distille dans la noirceur de cette déchéance. Il nous rappelle, drapé dans son sombre manteau décrépi de surnaturel que les moments qui précèdent la mort et la perte nécessiteront du courage et de l'abnégation. Il ne peut en être autrement, pour ceux qui partent et ceux qui restent.
Avec son premier film, Natalie Erika James superpose le deuil à la fin de vie et nous offre une porte de sortie touchante inondée de sens. Relic nous prévient.
Un film sur la peur de dire adieu et sur la peur de ne pas réussir à le faire correctement.
L'Info Tout Court
L'Info Tout Court

422 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 16 octobre 2020
Point de surprise dans Relic. Traité avec une sincère sensibilité et fort de ses références cinématographiques, il ne tombe jamais dans le scénario totalement attendu. Contrairement à Insidious et autres dossiers Warren, cette œuvre demeure suffisamment personnelle et constitue une bonne entrée en matière pour sa réalisatrice.
Nicothrash
Nicothrash

397 abonnés 3 062 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 16 octobre 2020
La mode est lancée ! Le film d'épouvante dramatique initié avec des métrages tels que Hérédité ou encore La Forêt fait recette depuis quelque temps, problème ? La qualité n'est pas toujours au rendez-vous et l'on peut vite s'ennuyer si l'on n'adhère pas à l'intrigue. Et pour ma part, c'est le cas ici, le scénario éculé ne nous accroche guère une fois la mise en place passée, peu de frayeur, une atmosphère lourde certes mais peu palpitante et très peu d'action. La dernière demie heure s'emballe quelque peu mais pour nous mener vers un final grotesque. Même si ça fait sens psychologiquement et que l'on comprend à peu près où la réalisatrice veut nous mener, on se demande bien pourquoi on en arrive là ... Je crois qu'il y en a tout simplement assez de l'abstrait au cinéma, La Plateforme avait réussi le pari, ici ça n'a pas marché, dommage car les actrices sont plutôt intéressantes au final.
Ludovic E
Ludovic E

15 abonnés 41 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 15 octobre 2020
Bonjour, très beau film, pour ma part une grande réussite. Un film sombre ou devrais je dire empli de noirceur. Un film intelligent, sensible qui a laissé en moi une trace, j'étais très triste après, nostalgique et le temps qui passe tic tac, comme j'ai ressenti le temps passé après, comme il m'a apparu précieux... j'avais oublié...je me suis dis "Oh Mon Dieu il est encore temps, vite , je ne veux pas finir comme cela, mais ça ce n'est pas moi qui pourra le choisir, par contre j'ai eu très envie de tel à ma maman, il était 23h... elle dort, mais demain je l'appel et dorénavant je le ferais beaucoup plus souvent. Voilà ce que m'a laissé ce film, une réappropriation de ma conscience envers ma maman, envers moi et le temps qui passe, ou l'oublie me guète aussi et mon fils bien sur...C'est très fort, très beau, vivace, de l'amour bien entendu, beaucoup d'amour...de la peur aussi d'abord au 1er degré et ensuite une peur plus profonde, plus encrée, la peur de vieillir en sombrant, la peur de mourir, la peur .... la peur. Merci pour ce film d'horreur, fort intelligent, prenant( avec pour moi comme un deuxième langage, je ne sais comment elle s'est débrouillée pour que tout s'articule mais après avoir vu le film j'ai vu une base concrète et un entendu un deuxième langage, c'est la finesse de son esprit) ....qui m'a fait très peur, cela s'immisce à l'intérieur même après la fin et je dirais surtout après la fin, pour moi une sorte de terreur, il va falloir que j'y réfléchisse...et en même temps l'amour. C'est d'ailleurs l'amour qui va me sauver de ma terreur. Je ne sais quel chemin intérieur vous ferez mais je vous recommande chaudement ce merveilleux film. Tout est dis ou presque sur la vieillesse, la mort, l'abandon, la culpabilité, la fuite, le retour, l'éternelle recommencement... il y a tant de choses, c'est extrêmement riche comme film et puis c'est d'une finesse dans l'esprit, merci, une bouffée d'air concernant cela, pas de gros sabots ici, tout en délicatesse mais aussi en force. Elle parle de quelque chose, je ne vais pas spolier d'une façon remarquable, le cinéma à déjà traité ce sujet, assez rarement toutefois, mais elle le fait de la plus belle des façons, c'est personnelle bien sur. Film de la trempe de Mister Babadook (comme lui un premier film) et bien pour son 1er film je dis, Magnifique et un Grand Merci au metteur en scène Natalie Erika James, l'ambiance, l'intelligence d'avoir traité ce sujet avec tant de finesse, les traces que cela laisse au plus profond, la remise en question Merci, Merci. Les comédiennes sont excellentes...je vous souhaite de passer un magnifique moment, effrayant :) car oui effrayant et intelligent, ce film nous parle à notre cœur car il a un cœur et pour un film d'épouvante avoir un cœur c'est le summum, il va vous faire battre le votre, du moins le mien à battu sur plusieurs rythmes, de la peur, de l'effroi à l'Amour. J'ajoute au cas ou… il a bien sur une âme. Pour conclure, elle a choisi un très beau thème, que le cinéma ne traite que rarement, elle a fait cela sans pathos, sans mièvrerie, par contre cela fait froid dans le dos, c'est totalement glaçant…. nous vivons dans une société si civilisée, n'est ce pas ? tellement qu'on dit aux êtres, occupes toi de ta vie, tu es déjà tellement débordé, certes en esclavage, mais pour tes parents ne t'inquiète pas on a des instituts fait exprès... c'est le progrès, c'est l'évolution...du coup l'être à tellement entendu ce langage inhumain que face à ce qu'il y a de plus humain, vieux comme le monde il n'arrive plus, on lui à tant volé à l'homme... j'ai lu des critiques oups... bien triste. Ce n'est pas un film à regarder avec l'intellect, cela le metteur en scène s'en charge, c'est un film à regarder avec son cœur …ou est passé le cœur de certains pour ne pas comprendre ce film ? j'ai pu lire, "ça mets un temps fou à démarrer" , mais pas du tout on y est dès le départ, "qu'elle était trop timide pour imposer son style"...euh pardon ?? et aussi "Durant toute l’histoire, il y a un concept qui est développé, mais finalement il y a zéro explication sur la manière dont il survient ou qu’il fonctionne. " c'est incroyable de lire cela, ouvrez votre cœur ou s'est la fin, ça aussi c'est glaçant, je rajoute cela après avoir lu des critiques car vraiment je ne comprends pas qu'on ne comprennes pas le film, oui c'est onirique si vous voulez, mais c'est ce que j'explique il y a deux lectures, c'est à dire le concret et le 2eme langages et justement là est le brio de Natalie Erika James c'est qu'elle a su entremêler les deux d'une façon extraordinaire...si on devait écrire cette histoire noir sur blanc attention, il faudrait êtres sacrément subtil pour ne pas tomber dans le pathos, dans le truc qui va aussi nous emmerder, des vieux ouais ok mais bon... ah et voilà que ça se pisse dessus etc... Bien tout cela est montré mais avec délicatesse, avec amour, avec effroi… avec une grande, une putain d'Humanité, cela prends au plus profond de nous, du moins de moi...le seul concept qui d'ailleurs n'est pas une concept dans le film mais une réalité et fort bien expliqué, faire mieux je ne vois pas. Et l'image du vitrail.... Superbe et la scène ou elle mange les photos...le moment semi lucide ou elle dit "mais ou sont les autres, tous les autres", pour moi la plus belle scène, l'effroi total et la blessure totale. Je vous laisse découvrir la scène finale, admirable d'Amour, de réconciliation, de tendresse et d'une profonde tristesse. Prenez soin de vous.
Ectoplasma
Ectoplasma

1 abonné 1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 14 octobre 2020
Du très très bon !
Le point fort du film est ce trio d'actrices formidables. Une superbe photographie.
Certes, Natalie Erika James, la réalisatrice du film, utilise des éléments bien classiques du cinéma d'horreur : la vielle dame aux longs cheveux qui fait peur (la grand mère), la maison au parquet qui craque, la forêt lugubre, le monstre tapi sous le lit... Mais ces éléments sont parfaitement maîtrisés et donnent une ambiance angoissante comme on aime, une vraie beauté dans la peur.
Enfin, le film aborde avec subtilité le thème des relations dans une famille. Les non-dits, les regrets, des étreintes et de la tendresse face à une tension qui ne cesse de grandir. À voir !
Rudy S.
Rudy S.

3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 14 octobre 2020
Pour son premier film, la réalisatrice Natalie Erika James , réussi un coup de maître.

Ce film m'a perturbé, épouvanté et sensibilisé par le drame inhérent à sa seconde lecture.
Il s'agit bien d'un film d'horreur, et au carré...

Reprenant avec beaucoup d'efficacité les codes du cinéma d'horreur asiatique, Natalie Erika James soigne sa mise en scène, sa photographie, son rythme (d'une lenteur aussi implacable que nécessaire pour monter le trouillomètre à son paroxysme) à l'instar de l'excellent travail de son compatriote australien James Wan sur The Conjuring ainsi que certains plans d'Hideo Nakata sur la trilogie "Ring".

Mais le film ne s'arrête pas là, car, au delà de son caractère oppressant et dérangeant, il s'affranchit intelligemment de sa dimension dramatique en surfant sur les allégories de la mort, des maladies dégénératives tels qu'Alzheimer.
C'est précisément sous cet arc que l'horreur prend tout son sens, car il nous renvoi, sans la moindre concession, à nos pires angoisses.

A la dimension hautement psychique du propos, s'ajoute une matérialisation presque poétique (sur le final).
En cela, la réalisatrice a démontré un grand talent en parvenant à insuffler cette poésie avec un plan extrêmement chargé en émotion au beau milieu d'une séquence particulièrement macabre et abjecte.

En sortant de la salle, je me suis senti mal.
Le pari est donc très réussi.
Aude Charlotte E
Aude Charlotte E

36 abonnés 12 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 octobre 2020
Une longue métaphore sans concession sur la mort, le rapport à l’héritage et à la descendance. Relic parvient à nous effrayer en mélangeant les codes du cinéma d’horreur et en proposant une histoire originale sur le déclin de l’esprit. On regrettera le manque d’explications sur de nombreuses zones d’ombres du film et un rythme parfois assez lent.
Alice025
Alice025

1 718 abonnés 1 387 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 octobre 2020
Drame sur la démence et la fin de vie en utilisant des codes horrifiques, on peut dire que « Relic » est une réussite, surtout pour un premier film. Plus indépendant qu'autre chose, il ne faut pas juste s'attendre à des fantômes qui claquent des portes, c'est beaucoup plus subtil que ça.
Porté par un beau casting féminin représentant trois générations, l'ambiance est très pesante, angoissante, avec un visuel toujours grisâtre mais révèle un drame familial dont la fin est très poétique.

http://cinephile-critique.over-blog.com
Laurent C.
Laurent C.

267 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 13 octobre 2020
Les affiches ont toujours le don d'annoncer le film le plus effrayant de l'année. A cela s'ajoutent des critiques qui vous laissent penser que ce premier film renouvelle un genre déjà bien épuisé depuis longtemps. En réalité, "Relic" n'échappe pas aux poncifs d'un cinéma fantastique maintes fois vus sur les écrans. Les murs tremblent, les objets se déclenchent tout seul, et l'on pressent un vague fantôme errer dans la maison.

La véritable originalité demeure que le récit s'intéresse à la sénilité et fait endosser la malédiction dans les traits d'une vieille personne, aussi odieuse qu'elle est dérangée par Alzheimer. Elle plonge peu à peu dans une sorte de violence terrible à l'égard de sa mère et de sa petite-fille. La mise en bouche horrifique est très longue et l'on se dit au milieu du film qu'on était sensé attendre plus de frayeur et de cris que ne donne à voir le film. Finalement, on s'ennuie beaucoup dans cette histoire prévisible et conventionnelle.
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