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    Relic
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    127 critiques spectateurs

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    Skrzypczaktony13
    Skrzypczaktony13

    4 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2021
    Film d'horreur psychologique qui traite le sujet de la démence sénile et du vieillissement.
    On ne sursaute pas forcément tous les 5 mins , mais le spectateur est vite attiré par un scénario très intelligent qui va décortiquer le sujet de la vieillesse de la grand-mère et la maison qu'elle habite , à travers de nombreuses métaphores visuelles très bien filmées ( ex: le temps qui passe = les fruits pourris du saladier...) .. la fin du film mettra en réflexion le spectateur ce qui donne une très bonne touche finale au film .
    why_so_serious
    why_so_serious

    16 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    Compliqué d'apprécier ce film tant il est inégal.
    La 1ère moitié du film n'est pas franchement intéressante, on est sur un film à suspense (ce n'est pas un film d'horreur) assez classique avec des personnages pas vraiment développés ou attachants ou inquiétants et donc on s'ennuie dans toute cette première partie, avec quelques scènes qui fonctionnent tout de même mais dans l'ensemble il n'y a rien de surprenant ou de neuf. Et puis le film se réveille quand la maison commence à faire des siennes et perd les personnages dans ses pièces changeantes et ses couloirs labyrinthiques (pour rester vague et ne pas trop spoiler).
    Le parallèle entre l'état de la maison et la vieillesse devient plus évidente et la solitude, l'enfermement, l'isolement, l'incompréhension du monde pourtant familier qui nous entoure et l'incapacité à communiquer ou même se faire entendre sont bien rendus à l'écran.
    Et on arrive à la fin et ce film vaut le coup pour ses 10 dernières minutes. Après les scènes qui valent au film sa classification "horreur" (abusive mais ça doit être vendeur), on débouche sur un calme, une poésie, une sérénité et une tendresse qui surprennent et qui m'ont personnellement beaucoup touchés. Le film devient entièrement symbolique et métaphorique et on ressent enfin le lien entre les personnages et de l’empathie pour eux.
    Ainsi sur les 3 actes, le 1er n'a que peu d’intérêt, le second n'invente pas grand-chose mais est plaisant à regarder et le dernier par contre est celui qui sauve le film.
    A voir donc pour cette fin et parce que même si le début ne réinvente rien, il n'y a pas de faute majeure non plus.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    324 abonnés 2 989 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2021
    Longtemps apathique, un contenu faible pour une intrigue entre folie, possession..? Mais la maison évolutive et labyrinthique (déjà vu!) n'a aucun sens, tout comme le choix final... Un pseudo film horrifique qui n'apporte rien.
    After D
    After D

    8 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2021
    Une ambiance mystérieuse, inquiétante, qui devient oppressante et claustrophobe sur la fin, mais une trame confuse et des allégories scabreuses, font que je reste sur un sentiment mitigé après visionnage. Techniquement très réussi, le problème vient de la volonté d'en faire un peu trop dans le second, troisième ou quatrième degré sur certaines scènes, pour aboutir à un final presque grotesque tant le sens de l'histoire a un peu perdu le spectateur en route. Des qualités certaines, mais un fond pas suffisamment maîtrisé pour captiver.
    Pasthen
    Pasthen

    60 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2021
    "Relic" paraît simple, une vieille dame disparaît, sa fille et petite fille sont prévenues et débarquent pour savoir ce qu'il s'est passé. Peu de temps après, Edna (la vieille dame) réapparaît subitement. En un peu plus d'une heure, Natalie Erika James parvient à installer une ambiance oppressante et malsaine en jouant essentiellement avec le cadrage. Elle réalise un travail de suggestion, si l'on voit de temps en temps une ombre, une forme en arrière-plan, notre œil est invariablement attiré par cette vieille femme qui ne dit presque rien mais dégage une aura toute particulière. Chacun de ses regards est interpellant. Le décalage créé entre les trois femmes paraît simple mais la subtilité qui en découle est impressionnante. Chacune a des attentes différentes et joue avec beaucoup de retenue en évitant la surenchère du moins jusqu'au dernier quart d'heure où logiquement la tension et la peur augmente. Le final est surprenant et la métaphore exceptionnelle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Non mais c'est quoi ce film?
    L'ambiance en effet est très angoissante mais on nous laisse dans le flou total!
    On doit y voir quoi comme métaphore en fait?
    Et cette relique qu'elle est son rôle?
    Enfin pleins de questions qui resteront sans réponse tout le long du film et ce jusqu'à la fin!
    En résumé ce film est long et ennuyeux.
    Très décevant pour un film dit d'"horreur"...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 janvier 2021
    Un premier film intéressant mais qui peine a (se) montrer, hélas, tout le potentiel de cette réalisatrice. Ceci dit, certains bons signes sont perceptibles :)
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    189 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    Relic est un film d’horreur aux fondations trop classiques : une vieille maison malsaine, une vieille dame qui parait un peu sénile, avec une atmosphère de plus en plus oppressante. La recette peut fonctionner, elle l’a déjà prouvé, mais ici, difficile de vraiment rentrer dedans. Ça manque de rythme, on commence vite à s’ennuyer, et le scénario s’embourbe rapidement sans explication correct, sans cohérence globale. C’est fou comme on peut avoir du mal à se retrouver dans les personnages quand leurs comportements semblent si peu adapté à la situation. Une fois que le film perd tout son sens, il nous perd nous, dommage, car la réalisation n’était pas si mauvaise.
    FaRem
    FaRem

    8 742 abonnés 9 589 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Après plusieurs courts-métrages, Natalie Erika James réalise enfin son premier long-métrage qui est plus proche de ses derniers projets que de ses premiers tant au niveau du contenu que de l'ambiance. S'il n'est pas présenté comme tel, "Relic" semble être une adaptation du court-métrage "Creswick" auquel de nombreuses modifications ont été apportées. Dans le court, une femme vit avec son père et est témoin de choses étranges tandis que dans le film, ce sont trois femmes d'une même famille à savoir la grand-mère, la fille et la petite-fille qui vivent ensemble et qui sont témoins de phénomènes perturbants. Ces deux dernières se sont rendues chez Edna suite à sa disparition, mais lorsqu'elle refait surface, les choses deviennent encore plus bizarres. Pour donner plus de consistance au mystère, Natalie Erika James joue sur les deux tableaux avec le côté rationnel et surnaturel de l'histoire. Est-ce qu'il se passe vraiment des choses inquiétantes dans cette maison ? Est-ce qu'un intrus terrorise la vieille dame comme elle le craint ? Ou est-ce que tout ceci est dans sa tête ? Cette double lecture est assez commune dans les drames horrifiques, mais c'est quelque chose de très important. Avec ce film, la réalisatrice parle notamment de la sénilité et de la fin de vie avec beaucoup de pudeur et de sobriété, mais aussi du sentiment d'impuissance pour les proches qui ont l'impression d'abandonner la personne concernée. Dans cet aspect, le film est assez touchant. Pour ce qui est de la partie épouvante, c'est très réussi avec une ambiance oppressante parfaitement distillée et des scènes bien angoissantes et stressantes. Il y avait eu "The Taking of Deborah Logan" dans un style plus ou moins similaire avec une grand-mère inquiétante, mais ce film est bien plus abouti et surtout plus efficace. Le début est un poussif et la fin est très spéciale, mais c'est un bon film d'horreur.
    Jorik V
    Jorik V

    1 278 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Dès la scène d’introduction, ce petit film horrifique venu d’Australie instaure une ambiance putride et malsaine du meilleur effet et on se plaît à espérer une réussite du niveau de « Mr. Badabook » venu du même pays il y a quelques années. A l’instar du « The Visit » de M. Night Shyamalan, « Relic » va nous parler de la vieillesse par le biais du genre horrifique. Mais, contrairement au petit plaisir coupable du maître des révélations finales chocs, on est davantage porté ici vers le drame et le premier degré que l’horreur pure et l’humour noir. On y suit trois générations de femmes, en l’occurrence la grand-mère, la mère et la petite fille, dont les rapports ne sont pas au beau fixe. Et le film d’ausculter la notion de vieillesse et de déliquescence physique, psychologique et morale par le prisme de l’horreur grâce à une allégorie parfois un peu ténue mais puissante dont on laissera la surprise.



    D’ailleurs, « Relic » peut paraître parfois opaque et il faut bien suivre pour y voir toute la symbolique exprimée parfois dans d’infimes détails. La maison où se déroule l’action étant la représentation du corps et de l’esprit malade et en fin de vie de sa propriétaire. Il manque peut-être de clés de compréhension, tout ne nous est pas servi sur un plateau, mais c’est aussi bien parfois de laisser l’intelligence du spectateur faire le travail et la réflexion faire son cheminement. « Relic » peut paraître quelque peu lancinant dans sa première partie, jouant sur l’économie d’effets et évitant les jump scares faciles à la mode pour se focaliser sur l’ambiance. A ce niveau c’est d’ailleurs très réussi. Entre les bruits étranges, les plans sur une maison qui s’effrite en même temps que cette vieille dame et des images parfois dérangeantes, nos nerfs sont mis à rude épreuve. C’est noir, jusqu’au-boutiste et assumé en tant que tel et cela nous met dans une position inconfortable face à notre rapport à la vieillesse et à la peur que cela distille en nous.



    La dernière partie s’avère réellement terrifiante et malaisante jusqu’à un dénouement qui s’avère à la fois surprenant, dérangeant, écœurant mais aussi émouvant (et oui tout cela à la fois). C’est la preuve que la réalisatrice maîtrise son sujet et a réussi à nous attacher à ces personnages. Pour un premier film c’est tout à fait honorable et digne d’éloges pour un genre trop souvent tiré vers le bas et le superficiel. Certaines images extrêmes nous font d’ailleurs penser parfois aux films de Cronenberg dans la manière gore et surnaturelle dont est montrée l’horreur réelle de la décomposition du corps humain. « Relic » peut sembler parfois un peu opaque dans son propos et classique sur la forme tout comme dans ses aspects horrifiques et l’envie de faire sursauter. Néanmoins, il ne démérite pas face au formatage actuel de ce genre d’effets dans la production horrifique actuelle et parvient à faire entendre une voix différente. On retiendra quelques images chocs et malsaines qui imprègnent la rétine, un fond pertinent et un final étonnant. Du film d’horreur adulte et intelligent pour qui aime les films qui prennent leur temps.



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    Hi2816J.
    Hi2816J.

    8 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Un film très intéressant grâce a son ambiance calme mais sous tension permanente, grâce à sa réalisation et à son scénario astucieux, jouant sur les ombres et les formes dans les coins du cadre où l'on ne s'y attend pas. Bref, ça vaut le détour.
    Ti Nou
    Ti Nou

    506 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2020
    Même si son premier acte est assez laborieux et exploite des effets prévisibles, "Relic" se situe au-dessus du tout-venant du cinéma d'horreur en abordant de front la peur du vieillissement et de la dépendance. La qualité du film augmente crescendo pour mener à une excellente dernière demi-heure.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    699 abonnés 3 038 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2020
    Relic est, à l’instar You Should Have Left sorti il y a peu (David Koepp, 2020) ou de The Glass House (Daniel Sackheim, 2000), une œuvre qui pense l’épouvante intime par le prisme de la maison. Les hématomes que porte Edna se reportent à l’identique sur les murs de la vieille bâtisse, de vastes taches noires qui semblent gagner en taille à mesure que le temps passe ; le spectre de la mort se cache sous le lit comme une préfiguration de la chute et de la décomposition. L’entièreté du long métrage, régie par l’idée de dégradation, prend l’aspect d’une vanité tout droit sortie du XVIe siècle : on pense beaucoup aux Trois Âges et la Mort du peintre Hans Baldung qui représentait, de la gauche vers la droite, la même femme saisie à trois âges différents de son existence et apparaissant sous la forme d’une jeune femme, d’une vieillarde, d’un squelette enfin. Une vanité qui se rejoue ici dans la lente destruction de l’édifice familial qui n’abrite plus que les fantômes des gens qui y vécurent autrefois. « Où est tout le monde ? », demande Edna, apeurée. Compilé dans un album photo, que l’on enfouit sous la terre dans l’espoir de lui faire prendre racine, de ressusciter la galerie de clichés qu’il contient. Tout, des vieux vinyles dansés au vitrail ornant la porte d’entrée, semble vieillir avec le personnage et ne plus rien signifier sinon l’angoisse d’une disparition. La maison devient un espace jumelé entre le diurne et le nocturne, écartelé entre des visites pleines de promesses et la langueur désespérante du temps qui s’y passe ; les pièces se redoublent, le placard devient une pièce qui elle-même ouvre sur un couloir, comme dans le miroir dans la véritable maison ; c’est là que Sam partage, tel un cauchemar duquel elle parvient à s’extraire, l’agonie de sa grand-mère, les troubles de perception, les confusions, les mirages, une paranoïa qui va croissante à mesure qu’elle perd ses repères et étouffe entre des murs toujours plus proches. C’est cette approche métaphorique de la décrépitude qui confère à Relic son intérêt : il se plaît à convoquer une esthétique qui définit aujourd’hui le genre de l’épouvante pour mieux la détourner et la vider de ses artifices, y greffer ensuite une thématique inattendue et forte. Néanmoins, cet intérêt ne saurait pallier l’aspect plan-plan d’un film qui se complaît quelque peu dans la dégradation qu’il met en scène, au point de s’appesantir lourdement sur les situations et d’appuyer ses symboliques. Nous reprocherons également un formalisme ampoulé qui se repaît des postures incongrues et répétitives adoptées par ses personnages, rappelant la démarche stérile d’un Ari Aster… Reste une curiosité intelligente et originale.
    Kowalski
    Kowalski

    2 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2020
    Relic a semble-t-il séduit un peu plus la presse et autres amateurs éclairés que le grand public (qui fut sans doute déçu dans son attente d’un film d’horreur). En effet, le film de Natalie Erika James n’a pas grand chose à voir avec les productions Blumhouse à la James Wan, mais s’inscrit plutôt dans la nouvelle vague fantastique contemporaine avec des gens comme Ari Aster (Hérédité), Robert Eggers (The Witch) Trey Edward (It Comes At Night) et autres. Pour ma part, je reste très intéressé par ce genre de production qui cherche moins à faire sursauter sur son siège qu’à créer un climat anxiogène et mortifère. La réalisatrice y parvient d’autant plus que rien n’est laissé au hasard, et surtout pas l’interprétation des personnages, trois générations de femme toutes crédibles, et surtout de bonnes idées de mise en scène, comme celle d’un parcours du combattant labyrinthique métaphore d’un deuil à domicile impossible. Même si on comprend assez vite les tenants et aboutissants du film, la perte des repères (brève incursion dans l’envers du décors, au-delà de l’ici et maintenant) associée à celle d’un être cher (qui part en lambeaux) n’est pas sans rappeler un roman culte, La Maison des Feuilles de Mark Z. Danielewski.
    Louis R.
    Louis R.

    33 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 octobre 2020
    Il faut reconnaître à relic le très beau travail qui a était effectué sur la lumière, le film est sombre, empli de noirceur, le seul bémol .. c'est que les qualités de ce film s'arrête là. En voulant faire une "fable" sur la solitude de la vieillesse, la réalisatrice n'a réussi qu'à faire un film ennuyeux, sans aucun intérêt scenaristique et qui laisse après l'avoir vu une sorte d'incompréhension totale sur l'histoire qui a voulu être racontée.. les actrices font ce qu'elles peuvent pour essayer d'emmener un peu d'épaisseur à ce film qui en manque tant, sans malheureusement jamais vraiment y arriver.
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