Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
yeepee
24 abonnés
61 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 10 février 2020
Film qui sans être un chef d'oeuvre, se laisse très agréablement regarder :-) C'est aussi, en cette époque assez agitée pour la société française, toujours agréable et reposant de voir un film qui se déroule en Corée du sud, mais j'aurais pu écrire Japon ou Chine, c'eut été la même chose: une société qui certes est loin d'être parfaite (nulle ne l'est) mais ou le collectif l'emporte clairement sur l'individu, avec ce que cela implique de respect d'autrui (et du bien d'autrui) qui font qu'un occidental qui atterrit sur place un peu par hasard, peut partir à la découverte de ce nouveau monde sans jamais se sentir inquiété.
Film dépaysant car on découvre en partie seoul et son aéroport...Le scenario est un peu tire par les cheveux mais on s'attache quand mème a ce personnage un peu naïf qui va jusqu'au bout des choses
Je suis comme beaucoup tombé dans le piège de la bande annonce m'attendant à un film charmant et dépaysant. Rien de tout cela. Alain Chabat n'a jamais été aussi mauvais laissant place à l'improvisation au détriment du jeu d'acteur. Blanche Gardin prend un accent Basque une scène sur deux dans un charabia incompréhensible, j'avoue avoir eu du mal à la suivre. Des scènes absurdes et ridicules. Le comédien oublie son rôle de chef cuisinier dans des pitreries insupportables notemment à l'aéroport de Séoul. Également, s'il avait pu lâcher 5min son téléphone portable greffé à la main et arrêter de shooter tout ce qu'il a sous les yeux tout au long du film, cela aurait été un réel soulagement. L'histoire du nunchi sud coréen est mal traitée et bâclée alors qu'elle est le sujet principal du film. Non, c'est est un ratage total sans doute dû à des faiblesses de scénario et une mauvaise direction des acteurs, malheureusement.
Pas une très grande réussite pour ce film. Je l'ai trouvé sans intérêt et d'une lourdeur... J'ai détesté le personnage de Stéphane (rien à voir avec Alain Chabat qui incarne bien son rôle) pathétique et niais. J'ai du mal à comprendrespoiler: pourquoi il reste autant de temps à l'aéroport et qu'il ne parte pas découvrir le pays. Et puis ça tourne limite au harcèlement cette histoire. J'ai été très frustrée de ne pas voir davantage de Corée du Sud mais au moins, le film a l'avantage de donner vraiment envie d'y voyager. Aussi, il y a toute une histoire autour des réseaux sociaux (un gain de followers extraordinaire sur Instagram) et autour des médias que j'ai trouvé complètement insipide. Je ne vois pas où le film veut en venir : est-ce pour dénoncer les réseaux sociaux, ou les relations virtuelles ? En tout cas c'est ennuyeux et le film se termine sur une touche de "sans intérêt" également. Personnellement je ne recommande pas même à mamie.
C'est de l'ennui 5 étoiles ! Le sentiment d'ennui d'Alain chabat dans l'échec de sa quête est transmis parfaitement ! Ce qui fait zéro étoile comme note ! On devrait être payé pour voir ça !
Chabat est bon, la Corée est belle. Mais ... c'est creux. Rien. Et Blanche elle était sensée avoir un accent basque ?. Raté Blanche. Et elle était là pourquoi Blanche ? Pas compris ...
Tirer un scénario à partir d’un fil conducteur reposant sur les nouvelles techniques de la communication, captures d’écran et d’image à l’appui pour rythmer, n’est plus quelque chose de nouveau. L’idée de départ et la promesse de cette histoire restent toutefois originales. Du virtuel au réel, la rencontre ne va pas se passer comme prévu. C’est ça le thème. Le problème, c’est que de ce fait il ne se passe plus grand-chose. Le scénario essaye de meubler par la découverte d’un autre monde, la Corée (du Sud) sur fond de choc culturel. Mais ça reste très superficiel et de peu d’intérêt cinématographique. Un film qui se laisse toutefois regarder parce qu’on en attend quelque chose, qu’on n’aura finalement pas.
Quand un film devient une révélation... quand la réalité n est pas le rêve que l on avait imaginé ! Alain Chabat est tellement beau dans la justesse de son jeu . J ai adore ce film qui est un rêve éveillé . Alain Chabat est merveilleux
Un sujet intéressant, mais le scénario est médiocre. Les actions dures. Il reste à l'aéroport 3 jours, pour quelle raisons ? La chute du film est mauvaise, et abrupte. Un film à éviter
En une poignée de longs-métrages, Éric Lartigau s'est taillé une réputation d'auteur de comédies populaires. Ce qui ne doit pas occulter une tendance à mélanger légèreté avec des personnages en crise ou laissés de côté (cf. La Famille Bélier, Prête-moi ta main). #Jesuislà s'inscrit dans la continuité du cinéma de Lartigau avec Stéphane. Cuisinier divorcé, partagé entre son restaurant et ses deux fils, le fringant divorcé n'est pourtant jamais totalement avec eux. Il rêve d'un ailleurs, et cet ailleurs il le trouve sur les réseaux sociaux en la charmante compagnie de Soo en Corée du sud. Puis un jour, il décide de franchir le pas et d'abolir les 12.000 kilomètres qui les séparent. Sur sa première partie, #Jesuislà fait preuve de jolies idées de mise en scène, en intégrant les messages, captures d'écrans et photographies à la vie de Stéphane, une manière simple mais classieuse de résumer son quotidien et la place occupée par cette "escapade". Comme une bulle confortable mais qui le coupe légèrement de sa vie en vrai. L'hyper-connexion tel un Janus dont il faut accepter les deux faces aussi opposées qu'indissociables. La deuxième partie évoque un Lost in Translation distrayant mais longuet. Les diverses rencontres et interactions provoquées par Stéphane amusent mais je me demande où le réalisateur veut se (nous?) perdre. Hélas, c'est une fois qu'il révèle où il veut en venir que le film me perd. En dehors du message habituel qui invite à allumer ses chakras et éteindre son portable, le film raccroche maladroitement les wagons avec son introduction pour conclure tout aussi étrangement. Reste qu'avoir Alain Chabat comme guide touristique est un privilège dont on ne saurait se priver. J'aurais cependant aimé que le voyage soit aussi agréable que lui.
Le film démarre bien, les paysages du Sud-ouest sont magnifiques et on ressent la crise de la cinquantaine dans le personnage d'Alain Chabat qui a construit sa vie sur celle léguée par son père, et qui est à la recherche d'un renouveau...Le père devenu défunt va lui réserver une belle surprise, et lui va se décider à franchir le pas vers l'autre avec laquelle il discute au bout du monde ; on est d'abord surpris, ce film nous parle des réseaux sociaux et du virtuel, de ses revers aussi : à vouloir faire abolir les frontières physiques on oublie qu'il y en a certaines, culturelles et bien ancrée dans le mental, qui demeurent malheureusement infranchissables et inaccessibles à l'instantanéité des désirs du moment présent...Ceci étant posé, on est d'abord amusé puis on finit par s'ennuyer ferme dans une histoire dont ne se rend pas compte où elle veut nous mener si ce n'est nulle part. Une réflexion existentielle doublée d'un constat lucide sur le fossé qui sépare des cultures que tout sépare depuis des millénaires, l'histoire est peu crédible mais Alain Chabat dans son rôle de "ravi de la crèche" dans cet aéroport de Séoul est tout de même ultra-positif et il nous communique cet élan, en cela il nous donne un bel exemple à suivre à notre époque où on en a tous bien besoin, mais je m'attendais quand-même à autre-chose, les générations se retrouvent à la fin et c'est le moment le plus ennuyeux, avec des poncifs un peu lourds, mais bon, ça se laisse regarder...
Un film qui ne vaut que pour l'interprétation d'un Alain Chabat lunaire ,les paysages du sud-ouest et l'excellent clip publicitaire sur l'aéroport de Séoul. L'histoire c'est quoi , un quinquagénaire pas bien dans sa tête ,un mariage factice (mais ,à notre époque, pourquoi?) des thèmes effleurés quelques secondes et toujours cette question ,Pourquoi? film inutile,sauf pour...voir le début de la critique.
Tout le sujet est dans le titre : La réalité de la vie. L’intelligence émotionnelle. C'est être ici et maintenant. Le lieu changeant tout le temps ou pas, au grès de soi; Toujours en contact avec soi, en lien; Et maintenant, et le moment qui suit, et encore le suivant et chaque maintenant, que fait-on de soi, de sa vie, dans sa vie ? Que décide-t-on, d’après soi et d’après l’extérieur, les événements. Que fait-on de nos envies, de chacune d'elles? Les réalise-t-on ou pas ? Pourquoi ? Et qu'en fait-on ? Si oui comment, toujours en lien avec soi et le monde. Etre et rester en lien avec ses émotions pour décider de ce que l'on fait. Avoir ses émotions pour guide. Il y a soi et il y a l'autre. Où en est-il lui, elle, de ce rapport avec soi-même dans sa propre vie ? Qu'en fait-elle ? Elle peut mentir, pour servir son propre équilibre ! ? Difficile à cerner et à accepter comme sujet, pour certains spectateurs. Surtout que rien dans la présentation du film ne nous y préparait. Sauf le titre, évidemment ! Film difficile pour ceux qui vivent complètement hors d'eux-mêmes, (sans considérer ce que leur "conscience" leur dit), embarqués dans des rites, des traditions et autres valeurs qui ne les concernent pas ou ne leur correspondent pas, plus ! Et les aprioris ... Ils ont choisis ça pour eux-mêmes et peuvent s'arrêter quand ils le veulent. Ils peuvent ! Le croient-ils ? C'est sur pourtant. Et quand la célébrité virtuelle rejoint la vie réelle de cet homme dans l'aéroport, c'est comme un poids immense qui lui tombe dessus, sans aucune attention ! Non. Il ne se doutait pas que partager avec ses proches et le monde entier sur réseau le bonheur de ces découvertes et rencontre, lui amènerait ça. Il s'écoute encore et dit stop. Puis met fin. Superbe film.
J'ai passé un très bon moment devant ce film. Chabat est touchant et attachant, les images autant en France qu'en Corée sont superbes. Contrairement à certains je trouve que le scénario se tient très bien. Merci à toute l'équipe du film pour ce si bon moment.