AlloCiné
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Votre avis sur #Jesuislà ?
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Film touchant
Chabat est excellent
Scénario original
Un peu de longueurs quand même
Une approche de la Corée du Sud
Chabat est excellent
Scénario original
Un peu de longueurs quand même
Une approche de la Corée du Sud
Film sensible et intelligent, très bien interprété. Ne vous fiez pas aux commentaires négatifs qui déplorent la faiblesse du scénario: l'intrigue est certes assez lâche puisqu'il s'agit pour le personnage de se réinventer une passion en abandonnant ses repères familiers, mais elle ouvre sur des moments de poésie pure.
J'ai adoré ! Porté par Alain Chabat très en forme égal à lui-même, ce film est une respiration tellement poétique !!!
Rien ne va dans ce film dont on a l'impression que la case "montage" a délibérément été oublié !
L'histoire début au Sud-Ouest ! Soit ! Venant moi-même de là-bas je suis ravi de voir que ENFIN un film se déroule là-bas ! J'ai parlé trop vite... le début est pourtant prometteur, on nous pose les bases d'une histoire, on nous présente les personnages leurs enjeux, peut-être on veut nous présenter trop de choses ?
Vient la première ombre noir au tableau : Blanche Gardin dont on se demande bien ce qu'elle est venue faire dans cette galère et à quoi elle sert parce que à part prendre un accent horripilant et très mauvais son rôle est réduite à faire rire l'audience mais il n'y a rien de drôle malheureusement !
Du côté de Alain Chabat, rien à dire, il fait le taf ! Mais malheureusement il se retrouve comme le spectateur piégé de ce film qui ne sait pas où il va. La seule bonne scène est celle de l'aéroport qui dure 30 min et qui rappelle beaucoup un mélange de Lost in Translation et Le Terminal.
On nous présente une ribambelle d'enjeux qui seront abandonnés par la suite spoiler: (la question de la technologie vite balayée à la moitié du film, le personnage de la coréenne qui est quand même le coeur du film et le fil rouge qui sera complètement mis de côté pour aucune raison...)
Et tout le film est comme ça, on sent une envie de la part du réalisateur, il y a une démarche, soit ! Mais il y a trop de choses et qui ne vont pas au bout de leurs idées, ce qui donne un film très très ennuyeux, surtout à la fin où on nous sert une sorte de film carte postale sur la Corée du Sud et le monde merveilleux que représente ce pays. J'étais allé voir cette séance avec une amie qui est coréenne et elle aussi n'en démord pas : elle a détesté la manière dont son pays est représenté.
Enfin bref je ne vous conseille pas ce film, il y en a d'autres sur les écrans en ce moment...
L'histoire début au Sud-Ouest ! Soit ! Venant moi-même de là-bas je suis ravi de voir que ENFIN un film se déroule là-bas ! J'ai parlé trop vite... le début est pourtant prometteur, on nous pose les bases d'une histoire, on nous présente les personnages leurs enjeux, peut-être on veut nous présenter trop de choses ?
Vient la première ombre noir au tableau : Blanche Gardin dont on se demande bien ce qu'elle est venue faire dans cette galère et à quoi elle sert parce que à part prendre un accent horripilant et très mauvais son rôle est réduite à faire rire l'audience mais il n'y a rien de drôle malheureusement !
Du côté de Alain Chabat, rien à dire, il fait le taf ! Mais malheureusement il se retrouve comme le spectateur piégé de ce film qui ne sait pas où il va. La seule bonne scène est celle de l'aéroport qui dure 30 min et qui rappelle beaucoup un mélange de Lost in Translation et Le Terminal.
On nous présente une ribambelle d'enjeux qui seront abandonnés par la suite spoiler: (la question de la technologie vite balayée à la moitié du film, le personnage de la coréenne qui est quand même le coeur du film et le fil rouge qui sera complètement mis de côté pour aucune raison...)
Et tout le film est comme ça, on sent une envie de la part du réalisateur, il y a une démarche, soit ! Mais il y a trop de choses et qui ne vont pas au bout de leurs idées, ce qui donne un film très très ennuyeux, surtout à la fin où on nous sert une sorte de film carte postale sur la Corée du Sud et le monde merveilleux que représente ce pays. J'étais allé voir cette séance avec une amie qui est coréenne et elle aussi n'en démord pas : elle a détesté la manière dont son pays est représenté.
Enfin bref je ne vous conseille pas ce film, il y en a d'autres sur les écrans en ce moment...
Caine78
On ne peut pas dire que jusqu'ici, Eric Lartigau avait particulièrement brillé, même si certaines de ses œuvres sont sympathiques, que ce soit « Prête-moi ta main », le très populaire « La Famille Bélier » ou le trop méconnu « Un ticket pour l'espace ». Avec « #Jesuislà », nous découvrons celui-ci dans un registre nouveau : la « comédie dramatico-mélancolico-existentielle ». Ainsi, l'introduction au Pays basque, sans être marquante, plante bien la situation et les enjeux à venir, malgré quelques choix assez étonnants. C'est toutefois clairement à l'arrivée de Stéphane (Alain Chabat, impeccable) en Corée que le film prend tout son sens, voire toute son ampleur, le récit devenant alors souvent imprévisible, Lartigau faisant preuve d'une inspiration dont il n'avait jamais fait preuve auparavant. Au-delà de sa manière, étonnante, de filmer l'aéroport de Séoul puis la ville dans son ensemble, je trouve que l'œuvre en dit long sur notre capacité à nous interroger sur le destin, notre rapport aux autres et aux nouvelles technologies en général. Sorte d'anti-comédie romantique, le film n'est ainsi jamais vraiment là où on l'attend, décrivant avec beaucoup de justesse comment une décision « sentimentale » prise sur un coup de tête peut tourner à la plus grande des solitudes, à une « dérive » ouvrant toutefois des perspectives inattendues, à l'image de l'évolution de notre héros à travers ses pérégrinations. Sorte de « Lost in Translation » français (sans Scarlett Johansson), évoquant également le « Terminal » et même brièvement « Elle et Lui », une douce mélancolie se dégage de l'ensemble, même si l'on pourra légèrement regretter que le réalisateur hésite dans le ton à donner à son œuvre, ou ce dernier quart où Stéphane est rejoint par ses fils, un peu longuet et moins pertinent dans le propos, heureusement illuminé par la personnalité de la délicieuse Camille Rutherford (comme quoi, pas besoin d'être présent des heures à l'écran pour briller). Bref, s'il y avait peut-être de quoi offrir une œuvre encore plus forte, troublante, on ne peut que se ravir que le cinéma français s'essaie à des histoires plus audacieuses, inattendues : ne serait-ce que pour ça, « #Jesuislà » vaut assurément le détour. Une bonne surprise.
Alain Chabat est ici dans un rôle tout en douceur, drôle et touchant. C'est le vrai atout de ce film ! L'ambiance est chaleureuse et cela donne du baume au coeur. J'ai beaucoup aimé la réflexion soulevée par le réalisateur concernant les réseaux sociaux qui montrent de nous ce que l'on veut bien montrer. Les interactions humaines se limitent de plus en plus au virtuel. La partie à l'aéroport était un peu longue et aurait mérité d'être plus condensée. La fin m'a également déçu car elle laisse en suspens de nombreuses interrogations mais le message essentiel est passé. Ça donne envie de vivre plus intensément !
Une sorte de "lost in translation" à la française, mais sans happy end nI réelle réflexion sur ces pseudos amours qui se tissent à distance entre deux êtres que tout oppose et que l'électronique engaillardit artificiellement.
L'idée est jolie et le début, qui traîne en longueur d'emblée, laisse envisager une sorte de "belle et la bête", un Orphée des temps modernes.
Alaîn Chabat, avec sa soutenable légèreté de l'être, émeut, attendrit, distrait...
Mais tout cela ne décolle pas et ce qui aurait pu être un Roméo et Juliette cybernétique devient un fiasco, une pantalonnade, un vaudeville qui s'effondre dans des retrouvailles familiales plates et ternes.
A la vérité, ce que l'une fait à l'autre, qui tue leurs rêves partagés, est un affront que nul ne souhaite vivre et cela rend l'histoire encore plus décevante.
L'idée est jolie et le début, qui traîne en longueur d'emblée, laisse envisager une sorte de "belle et la bête", un Orphée des temps modernes.
Alaîn Chabat, avec sa soutenable légèreté de l'être, émeut, attendrit, distrait...
Mais tout cela ne décolle pas et ce qui aurait pu être un Roméo et Juliette cybernétique devient un fiasco, une pantalonnade, un vaudeville qui s'effondre dans des retrouvailles familiales plates et ternes.
A la vérité, ce que l'une fait à l'autre, qui tue leurs rêves partagés, est un affront que nul ne souhaite vivre et cela rend l'histoire encore plus décevante.
J'ai une affection particulière pour Alain Chabat, il suffit de son nom sur l'affiche pour me donner envie de voir un film.
#LaCitéDeLaPeurForever
#LesNulsForever
#BurgerQuizForever
La filmographie d’Eric Lartigau par contre est clairement en dents de scie.
#LaFamilleBélier2014Canon
#LesInfidèles2012Horrible
A la fin de la projection, le verdict est tombé: la déception est à la hauteur de l'attente, tant le film avait un potentiel mais n'est jamais allé au bout de ses idées. Le personnage interprété par Alain Chabat est très sympathique, le film commence très bien, c'est léger, ça invite au dépaysement, puis passé la moitié du film, le soufflé retombe, les différentes intrigues s'essoufflent ou sont ignorées et la conclusion est clairement bâclée. Franchement il y avait mieux à faire, encore des choses à dire, les personnages étaient assez bons pour nous emmener plus loin. La note est sévère, mais montre juste que c'est gâché de conclure le film ainsi alors qu'il y a eu de si jolies moments. Vraiment dommage.
#Deception
#potentielInexploité
#JeSuisLàMaisJeMeSuisPerduEnRoute
#LaCitéDeLaPeurForever
#LesNulsForever
#BurgerQuizForever
La filmographie d’Eric Lartigau par contre est clairement en dents de scie.
#LaFamilleBélier2014Canon
#LesInfidèles2012Horrible
A la fin de la projection, le verdict est tombé: la déception est à la hauteur de l'attente, tant le film avait un potentiel mais n'est jamais allé au bout de ses idées. Le personnage interprété par Alain Chabat est très sympathique, le film commence très bien, c'est léger, ça invite au dépaysement, puis passé la moitié du film, le soufflé retombe, les différentes intrigues s'essoufflent ou sont ignorées et la conclusion est clairement bâclée. Franchement il y avait mieux à faire, encore des choses à dire, les personnages étaient assez bons pour nous emmener plus loin. La note est sévère, mais montre juste que c'est gâché de conclure le film ainsi alors qu'il y a eu de si jolies moments. Vraiment dommage.
#Deception
#potentielInexploité
#JeSuisLàMaisJeMeSuisPerduEnRoute
Excellent qui film qui ne va pas où on l'attend, et c'est tant mieux.
#jesuislà est, pour moi, à la fois tendre, sensible et mélancolique.
Le film m'a captivé de début à la fin et surpris par son originalité.
J'ai pensé parfois au film "Lost in Translation" qui évoquait des sentiments et des situations similaires dans une autre capitale d'Asie.
J'ai aussi pensé à David Lynch pour le mystère et une certaine ambiance onirique.
Ce film fût un beau voyage.
#jesuislà est, pour moi, à la fois tendre, sensible et mélancolique.
Le film m'a captivé de début à la fin et surpris par son originalité.
J'ai pensé parfois au film "Lost in Translation" qui évoquait des sentiments et des situations similaires dans une autre capitale d'Asie.
J'ai aussi pensé à David Lynch pour le mystère et une certaine ambiance onirique.
Ce film fût un beau voyage.
Merveilleux film, l'aventure d'un père qui voulait changer sa vie. #Chef #Culture #SouthKorea #Jesuislà
Aucun des sujets n’est approfondi. Décevant. Blanche Gardin a un accent ridicule, le jeu d’Alain Chabat n’est pas en cause. Peu d’intérêt. On découvre l’aéroport de Séoul !
On se laisse bercer par cette histoire bien pensée.
Malheureusement le film ne repose que sur les épaules (solides, certes) d'Alain Chabat.
J'eus aimé être un peu plus emmené.
peq
Malheureusement le film ne repose que sur les épaules (solides, certes) d'Alain Chabat.
J'eus aimé être un peu plus emmené.
peq
Une vraie déception 😩. Je pensais qu Alain Chabat nous emmènerait dans de la profondeur par rapport au sujet. Erreur...
Il ne se passe rien, rien, rien😩😩😩. On passe 3 quart d’heure dans l aéroport de Séoul!
Totalement inintéressant
A éviter .
Il ne se passe rien, rien, rien😩😩😩. On passe 3 quart d’heure dans l aéroport de Séoul!
Totalement inintéressant
A éviter .
Bon film, chaleureux, optimiste, plein de poésie, léger et méditatif, je suis surpris de voir certaines critiques assassines... Excellemment jouer par Alain CHABAT.
J ai l impression que ce film ne trouve pas son public. Ce film se rapproche d un Lost in translation à la Française avec un Alain Chabat en pleine crise de 50’n radieux, qui ne maîtrise pas tout aux réseaux #j’ycrois. Et les différences culturelles entre la France et la Corée sont amenées subtilement. Perso, j ai passé un bon moment de voyage à suivre les pérégrinations de monsieur Chabat en Corée.
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