Une affiche de film avec Alain Chabat avec un téléphone portable et un gros hashtag qui fait office de titre donnait l’impression de nous imposer encore une énième comédie française sans âme. Remballez vos préjugés ! “#Jesuislà” est une excellente surprise. Le comédien mène une vie paisible entre son métier de chef cuisinier, ses deux fils et son ex-femme. Chaque jour, il correspond avec une jeune sud-coréenne sur le réseau social Instagram. Sur un coup de tête, il décide de s’envoler pour la Corée pour la rencontrer. Mais la jeune femme ne semble pas vouloir l’y rejoindre. Cette longue partie du film fait penser au film “Le Terminal” de Steven Spielberg. En errant dans l’aéroport, Chabat nous rappelle que les instagramers les plus suivis ne sont pas forcément ceux qui ont les vies les plus palpitantes et heureuses. Il est tellement facile de créer l’illusion en inventant et en faisant croire ce que l’on veut. La suite du film va prendre encore plus de sens et ce voyage familiale sur les terres de Séoul nous émeut. Finalement, le plus important n’est-il pas ce qui se déroule en dehors de nos écrans ? D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Pas la peine d'y aller c'est sans rythme ou comment gâcher une saint Valentin avec un documentaire d'aéroport je caricature volontairement pour vous faire gagner du temps. Faites autre chose, un mille bornes un tarot ou des crêpes. En plus ils n'arrêtent pas de fumer leurs clopes tout le film ca rajoute a la pénibilité. Une étoile pour l'avion qui est bien dans son rôle. J'adore Chabat mais la... joker ! 🤔
J'avais vu des mauvaises critiques Mais je me suis dit "c'est Chabat, ça ne peut pas être mauvais à ce point" ! Et bien si ! C'est même tellement mauvais que je ne suis pas resté jusqu'au bout. Style convenu, séances interminables de SMS ! Bref un truc - je n'appelle pas ça un film - à vraiment éviter. Alain, si tu as des soucis de fin de mois, je suis sûr que tu peux trouver mieux que ça ! Même en "alimentaire" !!!
Pas grand chose à dire, car raconter l'histoire est un peu la "spoiler" (la bande-annonce m'avait trompée et je n'avais pas compris le titre). Un film tendre, chaleureux, souvent drôle et aussi poignant, qui nous fait passer un très bon moment. Chabat est impeccable, touchant et humain. Allez-y, vous ne regretterez pas !
Un film qui se laisse regarder. Construit en 2 parties, la première est réaliste, la seconde complétement loufoque et un peu indigeste. Mais des leçons de sagesses à prendre en considération
Fan inconditionnel d'Alain ou pas, la version corrigée du titre s'imposera... : JE SUIS PAS LÀ !!! Une vraie daube, sans lien, ni goût. Amoureux du portable, régalez-vous, il sera servi tout le long du repas... , jusqu'à l'écoeurement... Affligeant, tant on sort de ce triste service avec vraiment rien sous la dent... À FUIR ABSOLUMENT !
Pour vraiment apprécier ce film, il vaut mieux faire preuve du "nunchi" Coréen dont il parle. On est un peu dans un Lost In Translation revisité, et c'est intéressant de découvrir une facette d'A.Chabat qu'on voit rarement. Pas désagréable à voir. Pas indispensable non plus. En revanche faire parler Blanche Gardin avé l'assent, ça aurait été mieux sans.
Avec #Jesuislà, près de quinze apres « Prête-moi ta main » Eric Lartigau retrouve Alain Chabat pour un feelgood movie aux accents de comédie sur les relations à distance par les réseaux sociaux, la projection amoureuse et plus largement la recherche du bonheur. Telle était la promesse de la bande annonce. Oui mais voilà une bande annonce ne fait pas un film.
Autour d’un sujet intéressant et assez nouveau quelques ingrédients sont là pour séduire notamment des personnages secondaires aux lignes claires bien campés par un casting savoureux et un plaisir de travail du duo Lartigau/Chabat visible à l’écran. Pourtant cela ne prend pas. Très vite, une fois l’avion décollé, le duo confond « Slowtime & plénitude » avec mollesse.
Il a l’air sympa ce Stéphane cuisinier de son état, un peu comme une bonne pâte en toile cirée sur qui tout peut glisser. Alors moi aussi spectateur, comme ses proches j’ai envie de le voir heureux. Mais Stéphane erre sans autre réel but que celui d’attendre ce bonheur personnifié au beau milieu de l’aéroport comme un cœur en transit.
Malheureusement, les scènes s’enchainent pour lesquelles les enjeux et les basculements psychologiques de notre nouvel ami sont à peines effleurés. (Dommage !) Puis arrive le moment où tout s’emballe. Le voilà décidé à en découdre avec cette vie, ces fleurs de cerisiers, cette femme qu’il veut aimer et trouver belle. A cet instant le film pourrait (devrait !) twister de surprise et éclater en bouche pour relancer notre appétit mais non ! Mentionnée comme co-star Doona Bae - connue en France au cast de la série américaine Sense8 ou plus ancien encore dans Sympathy for M.Vengeance en 2002 (où elle est juste pleine de pep’s) - ne fait en réalité qu’un passage éclair. Clairement sous-exploitée à la fois comme actrice et personnage l’intérêt de ce film s’éloigne avec les pas de Soo.
A l’image de toutes les arches scénaristiques ouvertes et laissées non-traitées #Jesuislà est un film non abouti. Rien ne justifie une distribution en salle obscure mais il se regarde distraitement chez soi un jour de pluie.
J ai aimé. Ce film est doux, d'une belle sensibilité. Très belles images. Ne vous attendez pas à des blagues toutes les 5 minutes. C est bien plus spirituel que ça. Un petit clin d'œil au film "le terminal". Je recommande vivement pour un pure moment de douceur.
Film très décevant comportant des scènes et informations inutiles. L'attente de cette homme pendant 11 jours dans l'aéroport (ce qui n'est pas réaliste dutout) fait l'objet de 90% du film. La bande annonce est plus divertissante que le film en lui-même. Perte de temps et d'argent.
Excellentissime, un homme comme on aimerait en rencontrer #jesuislaaussi c'est frais, ça me donne envie d'aller dîner en Corée, les coréens semblent super gentils