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    Queen & Slim
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    143 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 647 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2020
    Les réalisateurs patentés de clips musicaux se révèlent peu souvent des cinéastes convaincants. Melina Matsoukas, avec Queen & Slim prouve qu'il n'y a pas de fatalité à condition d'avoir un regard et une adaptabilité au rythme ô combien différent d'un long-métrage. Cela n'empêche pas son premier film d'user parfois de raccourcis narratifs et de souffrir de son aspect démonstratif, surtout quand il s'agit d'évoquer le racisme, mais l'ensemble est pétri de qualité pour une cavale américaine qui n'est pas seulement un Bonnie & Clyde noir, loin de là. Et si Queen & Slim était avant tout une épopée romantique, à l'ère de Tinder, une œuvre lyrique et sentimentale déguisée en road movie pour un couple de voyageurs sans bagages ? Porté par une B.O enthousiasmante et l'épatante interprétation de Jodie Turner-Smith et de Daniel Kaluuya, le film mélange une coolitude nonchalante (les dialogues font mouche) à un sens dramatique exacerbé, sous-tendu par un discours politique un poil trop insistant et maladroit (la scène des émeutes). Si la cinéaste trouve presque toujours le bon tempo et entretient finement le suspense, cela ne l'empêche pas de ménager des moments de pause, voire de bonheur fugace, filmés avec un naturel confondant, la qualité du jeu des deux acteurs principaux n'y étant pas pour rien. Malgré un final trop prévisible (au moins, ce n'est pas le dénouement ouvert que l'on rencontre si souvent), Queen & Slim contient beaucoup de promesses quant à l'avenir cinématographique de Melina Matsoukas. Il lui reste juste des progrès à faire dans le dosage des ingrédients de son récit et à être plus subtile dans les vérités qu'elle a envie de jeter à la face de l'Amérique d'aujourd'hui.
    Kénan H
    Kénan H

    13 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2020
    Queen & Slim est un film qui a histoire très banale, mais c'est film où jamais on ne s'ennui.
    Jodie Turner-Smith est très bonne, dans son rôle mais c'est surtout Daniel Kaluuya qui est vraiment excellent, le duo est très attachant.
    Les dialogues entre les deux personnages principaux sont très bons, le film est riches tensions, et en émotions dès le début du film.
    Et pour finir la bande son qui est la chose la plus présente pendant le film, est excellente

    En conclusion, c'est donc un film que j'ai adoré, qui m'a plus par tout se qu'il raconté, et proposé.
    Marc S
    Marc S

    25 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2020
    Excellent film!
    Beaucoup de références Hip Hop, on découvre la culture Afro de la Louisiane et la Floride.
    Le côté très "Afro" du film pourra, peut être, rebuté les personnes qui n'y sont pas habitués.
    Par contre, en tant que jeune afro-européen, j'ai grave kiffé.
    selenie
    selenie

    6 346 abonnés 6 209 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2020
    La profession de Queen, avocate, ne sert strictement à rien, mais le plus étonnant, reste la vidéo policière qui est clairement à charge pour le policier sans que ça se révèle dans le film, aucune remise en question de qui que ce soit ?! D'emblée par contre on aime l'atmosphère très seventies, la B.O. inspirée, la photographie léchée et surtout un couple de cinéma qui s'impose aussi naturellement qu'icôniquement avec la révélation définitive de la sublime et puissante Jodie Turner-Smith. Le fait de pousser la dénonciation des bavures racistes dans une histoire contemporaine semble toujours poussif mais cette sensation anachronique fait aussi force de persuasion en démontrant qu'il faut éviter à tout prix un retour en arrière. Malgré ses maladresses et/ou raccourcis Melina Matsoukas signe un film magnifiquement mis en scène et d'une vraie puissance émotionnelle qui préfère laisser la place à l'amour plutôt qu'à la haine.
    Site : Selenie
    Flower 0478
    Flower 0478

    71 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2020
    je mets cinq étoiles car pour ma part c'est mérité, entre la course poursuite et les péripéties qui vont avec, même si vous dites que la fin est prévisible on s'ennuie pas et c'est émouvant. pour ma part aller y.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2020
    Un road movie à la Roméo & Juliette, où sa réalisatrice a plus tendance à se reposer sur sa mise en scène plutôt que son scénario.
    Une cavale un peu trop simple, sans véritable tension et obstacles.
    Un premier film plaisant à voir pour son duo principal, mais loin d'être aussi marquant qu'on aurait pu le croire au départ.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Une sacrée belle surprise qu’on ne voyait pas venir avec ce magnifique « Queen and slim ». Et surtout la seconde le même mois, après le sublime « Waves », à être porté par une distribution quasiment essentiellement d’origine afro-américaine, preuve que ça bouge un peu du côté d’Hollywood au niveau de la représentation des minorités. Ceci mis de côté, on peut également mettre en exergue le fait que ce soit un premier film d’une réalisatrice de clips et de séries Melina Matsoukas. Et c’est clairement un coup de maître. Le début prend peu ou prou le même postulat que « The Hate U Give » sorti l’an passé, soit une arrestation injuste et partiale d’un couple afro-américain au volant par un policier blanc raciste. Sauf qu’ici c’est le policier qui est abattu. Une scène forte et radicale, peut-être un peu manichéenne et excessive mais qui permet à « Queen and slim » de poser ses galons et de lancer une intrigue totalement jouissive et imprévisible. Et aussi de voguer vers un bonheur cinématographique de chaque instant qui nous emmène vers des directions soupçonnées. Il émane même de ce film une douceur et un sentiment de plénitude, étonnant au vu des événements en cours, plus les tourtereaux descendent du Nord au Sud des USA.



    Ce qui surprend le plus ici c’est ce délicat numéro d’équilibristes que réussissent les scénaristes et la réalisatrice de ce « Queen and Slim ». Le mélange des genres n’est pas donné à tout le monde et pourtant ici, c’est d’une fluidité qui s’apparente à la perfection. Débutant comme un thriller, se poursuivant comme un road-movie teinté de chasse à l’homme, accrochant au passage le genre politique et la chronique sociétale contestataire pour se terminer comme un magnifique film d’amour, le mélange était osé et ardu. Il se révèle comme par magie particulièrement probant à l’écran. Mieux même, il est clairement passionnant et hypnotique. On est convié à une ballade criminelle et amoureuse à travers les Etats-Unis, une ballade filmée avec brio et emballée avec maestria. Cela fait tellement de bien de voir un cinéma différent, hors des carcans habituels, tellement habitués que nous sommes à voir des films formatés, entre gros blockbusters et petits films indépendants, laissant la voie du milieu dépérir à petit feu. Il faut donc encourager ce cinéma à la fois engagé et divertissant qui sait être exigeant.



    Le long-métrage pourra apparaître un peu opportuniste d’arriver sur les écrans juste après les récentes affaires mettant en cause policiers blancs et population noire. Au contraire, on le trouvera juste opportun, comme un miroir sociétal d’une certaine partie de l’Amérique. Nécessaire même, quand bien même certaines scènes n’y vont pas avec le dos de la cuillère pour appuyer le propos. Justement, celle de la station-essence paraît invraisemblable et celle de l’émeute, un peu de trop. La puissance du propos et la clairvoyance du spectateur suffisaient selon nous à comprendre où la réalisatrice voulait en venir. Deux séquences sur deux heures de film c’est peu et on n’en tiendra pas rigueur. A l’inverse, il y a des séquences qui ont vraiment de la gueule. Dans le suspense, comme celle chez le couple blanc qui cache les protagonistes, mais aussi dans la sensualité comme cette sublime scène de danse dans un bar enfumé. De manière générale, « Queen and slim » est filmé avec grand soin, on sent que la néo-cinéaste vient du clip, et tout ici a fort belle allure. Même les paysages délabrés de Louisiane, du Kentucky, de l’Ohio et de Floride, loin de ce qu’on peut voir de l’Amérique filmée habituellement, sont capturés de belle manière. Ce beau duo de cinéma entre un « Thelma et Louise » contemporain et un « Bonnie and Clyde » black et sans le vouloir, illumine l’écran. Et même si le dernier quart ronronne un peu, on ne s’ennuie pas une seule seconde jusqu’à un final époustouflant, tragique et magnifique. Une découverte aussi nécessaire que passionnante.


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    Sterwerze
    Sterwerze

    35 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2020
    C'était génial ! Le film tente de nouvelles choses dans ça manière de faire dire les choses aux personnages, ils nous embarque sans longueurs et fait nous accroché aux personnages. Il n'est ni brutal, ni trop doux. Je le conseille fortement !
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 534 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 février 2020
    Suite à un contrôle routier qui va dégénérer, un duo d'Afro-Américains se retrouve en cavale à travers les Etats-Unis.
    Ce road movie était très attirant sur le papier avec ce thème totalement dans l'actualité américaine : la discrimination policière évidente de certains policiers blancs à l'encontre des personnes noires de peau.
    Malheureusement, à part les 15 premières minutes réussies et lançant superbement les hostilités, c'est ensuite 1h50 d'un ennui presque total avec ce couple traqué par toutes les forces de l'ordre du pays.
    Certaines situations sont même à la limite du crédible !
    Le rythme est mou, les longueurs s'enchaînent avec des dialogues d'une pauvreté affligeante.
    Rien ne sonne véritablement vrai dans cette fuite en avant circonstancielle, c'est vraiment dommage car je m'attendais à vivre un moment cinéma intense et émouvant.
    Les 5 dernières minutes sont tout de même visuellement remarquables, c'est largement insuffisant pour faire de ce thriller dramatique une oeuvre à retenir.
    Long, lisse et très décevant.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 354 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2020
    J'aurai voulu y adhérer à cette histoire de Bonnie & Clyde sur fond de racisme et de violences policières.

    Mais rien a faire, ce road-movie n'aura pas su me convaincre, la faute à un scénario que j'ai trouvé improbable et surréaliste (aucun détail pour éviter de spoiler). Mais les circonstances aggravantes auxquelles doivent faire face les deux tourtereaux ne semblent tellement pas les inquiéter (à en voir leurs réactions et la façon avec laquelle ils sont accueillis par les membres de leurs communauté tout au long de leur trajet... méritent réflexion).

    Certes, pour un premier long-métrage, il faut saluer une certaine idée de mise en scène, mais il n'empêche qu'avec ses 130min au compteur, face à une intrigue aussi mince et un périple aussi long qu'erreintant, on finit rapidement par déchanter par tant de désillusions.

    Il ne suffit pas au film de brandir son étendard "film engagé" pour que l'on y adhère les yeux fermés, d'autant plus que le film sème le trouble quant à son positionnement (assassinat ? Légitime défense ?).

    Reste l'excellente interprétation de celui que l'on ne présente plus Daniel Kaluuya (Get Out - 2017).

    http://bit.ly/CinephileNostalGeek
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2020
    Queen & Slim sillonne des routes vidées de leur circulation, parcourt des petites villes sans âme qui vive et rend palpable, par cette absence présente dans l’environnement même, le danger qui harcèle notre couple de fugitifs. C’est une Amérique réduite à l’état de friperie que nous dépeint Melina Matsoukas, un pays où chacun doit porter un vêtement qui n’est pas taillé pour lui mais qu’il endosse par souci de jouer son rôle dans la machine sociétale : un homme noir est sous un costume de policier et suscite la révolte d’un jeune adolescent, Queen revêt une robe tigrée prise à son amie, Slim une veste bordeaux appartenant au mari de cette dernière. D’une camionnette à une Cadillac bleue, d’un fastfood à l’autre, nous empruntons et mettons en circulation des objets censés transporter une identité à cacher, à l’instar de ces boîtes à chaussures accumulées dans le coffre de la première automobile et que le policier soupçonne de contenir toute sorte de substances illicites. Le film repose sur un interdit, cet interdit au fondement même de la déchirure opposant les Blancs et les Noirs. Et la bonne idée du long métrage – une parmi beaucoup d’autres – consiste à croiser le récit d’une fuite vers l’ailleurs avec un flirt qui se transforme peu à peu en ébauche d’une relation amoureuse. La révolte contre l’injustice sociale se double ainsi d’une révolte profondément sexuelle, en témoigne l’enchâssement de deux scènes mises sur le même plan chronologique, à savoir une manifestation non-violente contre les violences policières et l’initiation de nos deux amants à l’amour physique, dans leur voiture. Comme dans Thelma & Louise – qui est ici une référence importante, et cela dès son titre –, le motif de la voiture est central dans le film, il incarne cet idéal d’évasion vers un au-delà redéfini à chaque kilomètre et les pannes de cet idéal : changer le ventilateur, voire de voiture, forcer le démarrage à l’aide d’un tournevis. La fin de chemin n’est jamais loin, mais sans cesse repoussée, comme des moments de vie volés à ceux qui font la loi. En dépit d’une tendance parfois malvenue à la fétichisation de ses personnages principaux dont le traitement naturaliste teinté de poésie aurait suffi à construire la notoriété voire la dimension iconique, Queen & Slim est un coup de poing balancé au visage de l’Amérique tout en rendant sa lutte suffisamment juste et universelle pour qu’elle puisse résonner partout dans le monde et en tout temps. Melina Matsoukas, talent à suivre.
    Francesca P
    Francesca P

    9 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2020
    Scénario approximatif, scènes plaquées les unes sur les autres sans cohérence, c'est long, grandiloquent, lourdement démonstratif. Bref il ne suffit pas de s'emparer d'un grave sujet politique et de société pour faire un bon film.
    Chris M
    Chris M

    21 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2020
    Un road trip entre Cleveland et la Floride, plein de clichés mais on ressent une empathie pour les deux protagonistes. Malgré tout, quelques longueurs tout de même. Les paysages sont jolis et la BO très bonne. Dommage que la fin soit si évidente.
    zorro50
    zorro50

    117 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    Un petit film qui ne paye pas de mine mais qui sait pourtant capter toute notre attention et ce, dès le tout début pour ne plus nous lâcher grâce à de multiples péripéties, jusqu'au dénouement. Excellente surprise que cette fuite éperdue qui se situe entre "Thelma & Louise" et "Bonnie & Clyde" !
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    184 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2020
    Quel beau moment passé avec ce film. Melina Matsoukas réalise un grand premier film, très puissant, tant par la charge émotionnelle qui est porté tout le long, que la magnifique mis en scène et photographie. Il n'est pas étonnant d'apprendre qu'elle est issue du "clip vidéo" tant la lumière, et une grande partie des plans dans Queen&Slim matérialise une certaine aisance dans l'aspect visuel de chaque scène.
    Le thème du racisme et de la violence policière n'est pas nouveau au cinéma, qui est traité de plus en plus aux US, mais la réalisatrice réussit ici à apporter quelque chose de neuf au genre. D'ailleurs, si on peut étiqueter ce film en tant que film thriller dramatique, il passe en réalité dans le prisme de plusieurs genre, à la fois thriller, drama, road-movie, policier, politique, social et même film romantique, le mélange des genres est osé et brillamment construit. J'ai bien aimé aussi le contrepied de départ sur lequel se déroule et se construit l'intrigue, avec la mort d'un policier "blanc" par un individu "noir" pour ensuite exprimer l'injustice et l'oppression envers la communauté noire malgré un contexte de légitime défense ou au minimum d'une dérive policière caractérisé et filmé. C'est d'ailleurs ce point qui manque un peu au récit à mon sens, c'est à dire que jamais on remet, ne serait-ce que quelques secondes, en question l'agissement du policier blanc malgré des preuves filmées (qui sont habituellement absente ou effacée dans ce genre d'affaire). Mais passons ce détail, cela n'enlève en rien la qualité du scénario, bien construit, avec une vraie écriture travaillée des 2 personnages, qui apparaissent très attachant et permet de donner encore plus de résonance à la scène finale... Difficile de ne pas penser à une version moderne noire de Bonnie&Clyde même si le contexte dans lequel s'inscrit le duo est totalement différent.
    J'ai juste ressenti un petit creux dans le rythme après spoiler: la scène de réparation de leur voiture au garage
    , où la mécanique narrative commençait à être un peu redondante spoiler: (en mode on change de voiture, on a une aide extérieure, on s'enfuit, on veut se laisser vivre mais on est à deux doigts de se faire piéger à chaque fois etc)
    mais c'est ensuite reparti au bon rythme avec une mise sous tension supplémentaire et la préparation de la conclusion.
    Que dire en tout cas de la prestation de Daniel Kaluuya encore... très convaincante à tous les niveaux et à travers tout son parcours émotionnel dans le film. Je crois que c'est surtout ce qu'il arrive à exprimer simplement par le regard qui me fascine chez cet acteur, que ce soit dans le comique ou le tragique, il parvient vraiment à transmettre des choses juste par son regard qui est assez incroyable d'intensité. Mais Jodie Turner-Smith est aussi à la hauteur bien que je n'ai pas compris l'insistance qui est fait au début sur le fait qu'elle soit avocate... alors que cette faculté n'est jamais utilisé pour la suite du film alors qu'on aurait pu penser qu'elle en joue pour convaincre de leur démarche et leur innocence... mais non. Bon, pourquoi pas. En tout cas, il y a vraiment une alchimie qui se dégage de ce duo, qui monte de façon crescendo, scène après scène, forcément indispensable puisque la conclusion du film repose sur ce constat ! Et ça fonctionne. Très beau premier film donc à travers une étonnante efficacité et maîtrise visuelle ainsi qu'une écriture des personnages rigoureuse et pertinente. Très prometteur pour la suite !
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