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    Portrait de la jeune fille en feu
    Note moyenne
    4,0
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    376 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    Lenteur, ennui, personnages figés et au ton monocorde, spoiler: on ne sait pas comment le sentiment nait entre les deux personnages
    spoiler: et je n'ai senti aucune alchimie entre les actrices
    , les dialogues sont plats, les visages inexpressifs, grosse déception. Certains parlent d'humour...? J'ai du décrocher...
    Jean-Michel K.
    Jean-Michel K.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Magnifique et esthétique. Un scénario original des actrices poignantes, c'est un film à voir absolument
    Fred ciné
    Fred ciné

    8 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 octobre 2019
    Difficile de rentrer dans ce film lent et indolent ou il ne passe pas grand chose. Les actrices sont aussi banales que le scénario (bien que palmé?) .
    Toutefois, Les images sont plutôt belles, donc c est parti pour une soirée diapos chez les amies de retour de vacances, si vous avez le courage....
    Fan Thomas
    Fan Thomas

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    On peut tout d'abord se demander comment ce film a pu obtenir le prix du scénario au festival de Cannes étant donné que celui-ci n'est pas original. En effet, on reconnait assez vite "Le Doutage" réalisé par Mylenie de Gouinaloux en 1990. Presque 30 ans après, le rythme et les dialogues sont assez similaires, sans pour autant atteindre le niveau bouleversif de l'original. Je mets donc 2.5 étoiles pour la nostalgie procurée et aussi parce que les actrices arrivent à faire leur job. Ah, Théréza...
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Ce film ne m'a pas touchée. Il est froid, empesé et artificiel. Je l'ai regardé avec détachement mais sans m'endormir contrairement à beaucoup. Adèle Haenel manque de subtilité. Noemie Merlant est bien, mais quel exercice de style, avec la référence bien lourde à Orphée et Eurydice, l'histoire de l'avortement qui arrive comme un cheveu sur la soupe. Alors oui c'est féministe et oui ça parle de peinture et oui les images et les femmes sont belles, mais c'est raté.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    La réalisation trop appuyée ne permet pas au film de se déployer vraiment. Dommage. De beaux passages
    Cart2on
    Cart2on

    4 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Film à la pointe de l'esthétique lesbienne et féministe (solidarité féminine au delà de la classe, ombre de sorcellerie.), il n'en demeure malheureusement pas moins fade. Dans le genre, il ya beaucoup, beaucoup mieux.
    Cette histoire d'amour est lente, lourde, pataude et, pour ma part, elle ne m'a pas ému le moins du monde (le principal problème). Les dialogues sont mauvais tant dans le contenu que dans la forme (faux français soutenu un brin pédant, vouvoiement, etc). La caméra passe son temps à filmer des regards, toujours les mêmes (Haenel en a 4, j'ai compté et Merlant que 2 mais ils sont moins caricaturaux), et on en a marre. Le film est riche en symbolisme poussif. L'ensemble su scénario se tient quand même, l'ennui se cantonne au niveau moyen (il y a des films bien pires) et il y a quelques effets de correspondance entre scènes intéressants.
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Bon film mais quelques longueurs, bonnes interprétations des deux actrices, on passe malgré tout un bon moment de cinéma
    benoitG80
    benoitG80

    3 410 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2019
    « Portrait de la jeune fille en feu » de Céline Sciamma, est à mon avis un véritable paradoxe, car autant les images sont magnifiques, délicates telles de véritables peintures baignées de clair obscur, autant cette histoire manque cruellement de subtilité et de sensibilité pour l’époque !
    On devine de suite le fil conducteur qui va faire que ces deux femmes vont être amenées à vivre une passion, et tout cela avec de bien gros sabots, car tout est montré bien lourdement et de façon à ce que le rapprochement soit évident et inévitable, par des situations qui s’enchaînent rapidement et trop bien pour arriver au résultat escompté...
    Et d’autre part, Adèle Haenel semble déjà bien trop vieille en tant que jeune-fille sortant d’un couvent, et sa composition à l’écran ne semble ainsi pas crédible et donc loin d’être convaincante.
    Pour renforcer le tout, le jeu des deux actrices est de plus terriblement désincarné et artificiel, ce qui donne l’impression d’assister à une histoire ne se déroulant absolument pas en 1770, les personnages étant bien trop contemporains dans leur façon de se comporter, pour qu’on s’imagine être au XVIII ème siècle.
    On ressent d’emblée chez elles une trop grande liberté, jusqu’à oublier de montrer le poids des lourdes conventions et des tabous très prégnants à l’époque !
    De même que ce qui est fort dommage, tient au manque d’enjeu central à propos de cette fameuse peinture faite à l’insu de son modèle, qui devient de fait totalement secondaire et un total prétexte à cette histoire d’amour bien trop facile, bien trop démonstrative jusqu’à des scènes très explicites devenant même essentielles et principales dans la deuxième partie.
    Et ce qui se rapportait au modèle et à son observation discrète, presque en cachette, est vite escamoté au profit d’une relation sentimentale complètement assumée.
    On perd ainsi tout le côté ambigu attendu, tout ce que l’on pensait voir être suggéré en étant de l’ordre du frémissement et du désir inavoué, ceci dans une approche autrement plus délicate dans les rapports humains, et dans le respect et l’esprit du film historique !
    20centP
    20centP

    15 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Céline Sciamma signe un film personnel et lumineux avec une photographie magnifique. Les 2 actrices principales jouent avec intensité et inspiration. A travers le cadre historique, le film pose un regard moderne évoquant la cause féministe. Beaucoup de références artistiques qui ajoutent à l'émotion du jeu des actrices. Très intéressant !
    C1ange69
    C1ange69

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2019
    Ce film magnifique sur la condition des femmes, quelque soit leur niveau sociale, parle d'amour impossible et d'avortement clandestin. Etre libre de choisir son destin et d'avoir ou non un enfant est tellement d'actualité que je conseil ce film touchant.
    La réalisatrice joue beaucoup sur les jeux de regards et les respirations pour créer une ambiance. Et la lumière de la cheminée et des bougies est parfaite. Ce film est d'une beauté époustouflante. Aucune vulgarité ni musique ni de dialogues inutiles. Céline Sciamma va à l'essentiel et c'est juste un pur bonheur.
    Ikabena
    Ikabena

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2019
    Très beau film, touchant, sensuel, très esthétique dans ses paysages et sa sobriété, magnifique relation de ces trois femmes, Noémie Merlant est sublime !
    Jrk N
    Jrk N

    39 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Souvent quand je rejoue (mal) une des sonates (les faciles) de Beethoven, je me dis : "Dommage qu'il ait égaré ses ciseaux ce jour-là." C'est super mais trop dilué.

    C'est souvent comme ça dans les films français d'aujourd'hui. C'est bien joué, le scénario est intéressant, pas mal filmé mais 20-25 minutes en moins, ça donnerait du nerf.
    En plus les dialogues ne sont pas toujours au top, ils sont souvent dits trop vite et pas assez pro-non-cés.
    C'est un peu dur pour Portait de la Jeune Fille en Feu (Sciama 2019, 2 heures) mais c'est tout de même juste. On rêverait d'une version de la même histoire avec les mêmes beaux paysages de Quiberon, avec les quatre mêmes actrices Adèle Haenel, Noémie Merlant, Valeria Golino, Luana Bajrami), toutes excellentes, mais dirigées par Todd Haynes, l'auteur de Carol (2016). Ce serait un chef d'oeuvre.
    On éviterait aussi de nombreux anachronismes involontaires (mais - j'oubliais ! - au cinéma il n'y a pas d'anachronisme, il n'y a que de l'imagination), on aurait une meilleur musique, une prise de vue plus sobre et des séquences plus construites...
    Bref à mon avis ce film est beau, intéressant, très bien interprété, mais ce n'est pas un chef d'oeuvre.
    Epikouros
    Epikouros

    40 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2019
    J’ai vu ce film dans des conditions optimales : dans une grande salle parisienne, en milieu d’après-midi, nous étions 3 en tout et pour tout. Donc, à l’inverse de ce qui se passe actuellement au Louvre, j’étais en tête-à-tête avec LE chef-d’œuvre de Céline Sciamma.
    Je suis entré dans son œuvre d’emblée et à la fois progressivement… avec une curiosité, un plaisir et un intérêt croissants. Je me suis peu à peu immergé dans la lenteur… dans la beauté… dans la féminité… dans la musicalité… dans le jeu subtil des regards, d’abord s’évitant puis s’apprivoisant et enfin s’enflammant ! – regard bleu et regard noir –… je me suis immiscé dans l’Amour reliant progressivement deux êtres… double prodige insufflant du rire et des sourires… de l’humour aussi… une chair sublimée et transcendée façon Georges de La Tour… des émois et des pudeurs… bref, la Vie dans tous ses états ! Et la liberté d’oser, de transgresser, d’aimer.
    Qu’est-ce qui m’a le plus touché dans « Portrait de la jeune fille en feu » ? Tout. La lenteur, je l’ai dit. La beauté. L’art en action et création. L’omniprésence féminine et l’absence des mecs. La splendeur insulaire. Le mugissement des vagues. L’interprétation ds comédiennes de moins en moins hiératique, de plus en plus chaude, palpitante, frémissante. La toile qui peu à peu sous le pinceau prend vie, avec ses esquisses, ses hésitations, ses repentirs. Tout comme l’Amour, l’Art balbutie. et tâtonne. Et c’est en cela qu’ils sont tous deux tellement humains ! Et la musique aussi ! Le tumultueux orage vivaldien en ses « Quatre saisons » tout comme la polyphonie crescendo des femmes durant la fête. J’ai été touché par la mélancolie et la douceur de l’inévitable séparation de ces deux femmes, fidèle en cela au mythe d’Orphée et d’Eurydice (mais dans une relecture volontariste audacieuse). Bref, avec Marianne et Héloïse, et la servante confidente, j’ai vu sur l’écran une éblouissante et incandescente célébration, une ode à la Liberté et à l’Art, un hymne frémissant au défi de la symbiose amoureuse et tumultueuse, quel que soit le carcan du machisme et des conventions sociales.
    Pas étonnant que je sois sorti de la salle obscure le cœur battant et le regard ébloui. Littéralement « en feu », pas une flambée dévastatrice, non, plutôt un brasero paisible et réconfortant, avec cette certitude chevillée au cœur, au corps, en forme de la reconnaissance émue : le 7e Art, qu’est-ce que c’est beau !!! Décidément, Céline Sciamma (et ses trois comédiennes complices, sans oublier la peintre Hélène Delmaire) est une artiste accomplie, une féministe de haut vol, une immense cinéaste. Ad majorem gloriam Dei.
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    151 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Un film en costume sur la condition féminine ? Je vous vois froncer les sourcils d’ici !
    Pourtant, que nenni, la dernière création de Céline Sciamma est à la fois passionnante, troublante et unique en son genre.
    Par petites touches, toutes minimalistes, mais aussi toutes puissantes, le tableau prend forme avec un rythme lent et des tons froids, pour ensuite aborder les couleurs de la passion jusqu’à littéralement prendre feu et déborder du cadre imposé par la société !
    Avec une frugalité de lieux et de personnages et uniquement 2 morceaux de musiques, le film repose presque essentiellement sur sa beauté formelle et sur les regards échangés.
    Chaque plan est travaillé à la façon d’un tableau, couleurs, éclairage, cadrage, rien n’est laissé au hasard et les images délivrées par Claire Mathon sont un émerveillement constant.
    L’économie ne veut pas dire film à petits moyens. La reconstitution d’époque est charmante et la texture des costumes est absolument superbe, nous sommes plongés dans une époque révolue avec soucis du détail.
    Le scénario est une merveille qui met en avant les regards, que ce soit ceux directs et francs, ceux plus mystérieux ou volés, ou encore ceux de la société. Les échanges entre Adèle Haenel et Noémie Merlant font des étincelles inattendues, le jeu des deux actrices est non seulement parfait mais en prime, il rajoute une couche profonde sur les regards. Brassens le chantait si bien (elle) "se laissaient toucher par les charmes du joli tableau", qui du peintre ou du modèle regarde réellement l’autre ? Quand perçoit-on le désir de l’autre… et le sien ? Comment un portrait évolue au fur et à mesure que l’on apprend à connaitre l’autre et qu’on le désire ?
    Ce film est aussi sur la puissance du souvenir, comme un tableau oublié, ressorti des années plus tard et qui reste toujours aussi éclatant et vivace.
    Il n’y a aucune ombre au tableau, ou plutôt si, mais que celles voulues par Céline qui maitrise parfaitement son film du bout de son pinceau.
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