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Sterwerze
34 abonnés
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4,5
Publiée le 26 juin 2020
un film qui, malgré quelques erreurs, suit plutôt bien le concours Eurovision de la chanson. en tant que fan je ne suis pas déçu. quelques blagues marche bien et certaines m'ont fait rire aux éclats ! un petit bijou.
Frais ! Drôle et émouvant. C'est tout ce dont on avait besoin en temps de crise sanitaire (covid) ! Rachel mcadams y est incroyable et will toujours aussi dingue. A voir et revoir et encore revoir. J'étais parti dans l'optique que se serait ridicule mais détrompez vous car c'est tout le contraire. G E N I À L !!
Certains diront que le scénario suit inlassablement le sentier balisé de ce genre de production, allant même jusqu’à réitérer une séparation entre les deux protagonistes principaux avant d’orchestrer leurs retrouvailles. D’autres y trouveront des longueurs, pointeront du doigt un ventre mou à mi-parcours où les stratégies de séduction du beau Russe prennent le pas sur le récit-cadre et ralentissent inutilement l’action. Mais ces reproches, fondés, se convertissent en éléments constitutifs du spectacle investi, à savoir l’Eurovision, ses chansons à la pop répétitive et aux paroles mielleuses, ses performances dont l’éclat constitue une finalité en soi, ses rivalités intestines qui mettent la musique – et son appréciation – sous le joug de motivations politiques souterraines. Le concours de l’Eurovision constitue un ensemble codifié, de la durée maximale des chansons aux sourires affichés par les présentateurs ; aussi le long métrage de David Dobkin l’est-il tout autant, sans jamais perdre de vue le charme de son couple de chanteurs islandais ni le comique général. Car ce que réussit fort bien Eurovision Song Contest : The Story of Fire Saga, c’est à brosser le portrait de personnages profondément attachants : les mésaventures initiales de Lars et Sigrit servent d’accroches pour le spectateur, et l’approche parodique adoptée ici n’a pour effet que de souligner l’artificialité du dispositif mis en place pour mieux exacerber les sentiments véritables. Le concours de l’Eurovision est perçu comme un lieu de facticité où tout est prévu à l’avance, répété en coulisses et synchronisé via technologie. Or, nos deux Islandais raccordent le spectacle à son immédiateté et aux risques pouvant s’y produire à chaque instant : monsieur et madame catastrophe – frère et sœur, meilleurs amis, amants – font de la scène un espace de jeu quasi théâtral où s’extériorisent les conflits intérieurs, résultats du récit d’apprentissage de nos deux ingénus projetés dans le monde. Ainsi, chaque représentation est unique. Ainsi, les deux chanteurs font évoluer leur art au fur et à mesure de leurs propres expériences, ils investissent l’espace scénique comme seul lieu d’une parole sincère puisque le chant, le chant véritable, vient du cœur. C’est sur scène que l’incommunicabilité se résout, c’est sur scène que l’amour triomphe, l’amour sincère et vrai, aussitôt exclu de la compétition. Porté par des acteurs épatants, mention spéciale à Rachel McAdams et Will Ferrell, ainsi qu’à Pierce Brosnan qui trouve là un rôle sensible, Eurovision Song Contest : The Story of Fire Saga est une excellente surprise : énergique – la mise en scène foisonne d’idées originales pour dynamiser l’ensemble –, drôle, charmant en dépit des apparences. Et surtout fort de chansons mémorables. Jaja Ding Dong !
Le Feel Good Movie dont on avait besoin. Entraînant, drôle et émouvant avec une Rachel McAdams époustouflante et un Will Ferrell toujours aussi excellent !
Un film plein de fraîcheur qui nous embarque dans cette belle ambiance du concours Eurovision de la chanson. À la fois drôle et émouvant, on apprécie ce film dont les acteurs Will Ferrell et Rachel McAdams forment un excellent duo donnant parfaitement vie à des personnages totalement décalés et attachants. Des chansons originales et reprises très plaisantes et un caméo d'anciens candidats de l'Eurovision assez amusant tout comme la présence de Demi Lovato au casting du film. Même si le film est loin d'être un chef d'oeuvre à cause de ses quelques maladresses et effets spéciaux bas de gamme, on passe un excellent moment devant. - 15/20 Critique sur Eurovision Song Contest: The Story of Fire Saga Vue le 29.06.2020 sur Netflix
Drôle, touchant, beau ! Eurovision Song Contest - The Story of Fire Saga est tout simplement incroyable, le duo Will Ferrell / Rachel McAdams fonctionne à merveille ! Le scénario ne va pas bien loin mais ce n'est pas ce qu'on attend dans ce genre de production, ce qu'on veut c'est rire avant tout ! De plus le côté comédie musicale passe très bien, n'en étant pas un très grand fan de base j'ai pourtant adoré. Les musiques sont toutes superbes (surtout Ja Ja Ding Dong) ! Si vous cherchez à passer un bon moment dans un canapé confortable, quelques poignées de minutes à rire en compagnie de ce cher M.Ferrell, n'hésitez pas une seule seconde !
Avec ce film, on peut avancer une chose de manière sûre et certaine : Will Ferrell est un sacré phénomène et un véritable showman. S’il n’est certainement pas le meilleur acteur qui soit, il ose vraiment tout dans ses films et n’a vraiment pas peur du ridicule. Qu’il soit un pilote de course (« Ricky Bobby, roi du circuit »), un frère attardé (« Frangins malgré eux ») ou un patineur (« Les Rois du patin »), le comédien, injustement peu connu en France, est capable de tout. Des costumes les plus improbables aux gags les plus foireux en passant par les mimiques les plus folles, il n’a peur de rien et peu d’acteurs de son âge peuvent se targuer du même pedigree dans la folie (Jim Carrey peut-être à son époque). Son leitmotiv semble être de nous faire rire et de nous détendre même si ce n’est pas toujours d’un goût raffiné et cela fonctionne assez souvent parce que tous ces efforts transpirent la sincérité. Et son duo amoureux et musical avec Rachel McAdams, peu crédible de prime abord, fonctionne finalement très bien ici.
« Eurovision Song Contest » prend le parti de rire de ce fameux concours de chant européen mais le fait avec bienveillance et une certaine candeur tout à fait louable. On est presque plus dans une forme d’hommage déguisé que dans une satire au vitriol. Durant deux heures qui passent sans que le temps soit long (ce qui n’est pas toujours gagné pour une comédie), on pénètre dans les coulisses de ce concours pour en rire sans méchanceté. Et la bonne idée du scénario est de faire des deux protagonistes principaux un couple d’islandais avec l’accent qui va avec. Cela permet une première partie plutôt exotique où ce petit pays si caractéristique est croqué avec humour (et un petit peu de clichés) et amour (beaucoup) ainsi que quelques petits saillies gentiment moqueuses (la consanguinité ou les croyances ancestrales). De plus, il y a des vues sur des paysages magnifiques bien mis en valeur par la caméra de David Dobkin qui montre tout le long du film qu’une comédie peut aussi être filmée avec goût et une esthétique raffinée, comme en témoignent les moments de chant.
D’ailleurs, à ce niveau, si vous n’êtes pas fan de pop music voire d’euro dance, cela peut faire mal aux oreilles mais les numéros musicaux sont assez divertissants et colorés pour que l’on passe outre. Et le medley en milieu du film, lors de la fête dans le manoir avec tous les participants du concours (et des guests stars improbables dont on vous laisse la surprise), est assez fou, original et plein d’énergie pour valoir à lui seul la vision de cette gentille comédie. Néanmoins, il faut avouer qu’on sourit plus qu’on ne rit, « Eurovision Song Contest » manquant certainement de quelques bons gros gags à se remémorer après l’avoir vu. De plus, le déroulement de l’histoire est si classique et attendu qu’on pourrait en prédire tous les développements à l’avance. Mais c’est assez frais, plaisant et surtout sincère pour que l’on passe un bon moment devant cette sympathique mise en boîte de l’Eurovision.
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Beaucoup d'avis dithyrambiques mais au final on es face à un film très vide et au scénario ultra balisé qui tourne presque en boucle sur ses thèmes abordés pendant les 2h que dure le film. Will Ferrell fais ce qu'il sait faire le mieux à savoir le grand dadet légèrement niais, tous comme dans les Rois du patins, Frangins malgré eux, Ricky Bobby, Get hard ect... Sauf que sans Adam McKay derrière la caméra il cabotine beaucoup. Alors le film n'es pas mauvais en soit, mais il es tellement prévisible que l'ennuie s'installe progressivement surtout que l'humour y es très inégale, et qu'on a cette fâcheuse impression que l'on a déjà vu tous ça 1000 fois. Le reste du casting est plutôt pas mal Rachel McAdams en tête. Reste le côté festif de l'Eurovision plutôt bien retranscrit, mais qui ne suffit pas à rendre le tout suffisamment captivant sur la durée.
Pas de concours cette année (cause sanitaire oblige), il faut donc se rabattre sur ce film dont la meilleure scène reste celle dans le manoir de Dan Stevens (et sa coupe de George Michael) : tous les concurrents chantants ensemble. Une belle image. Je pensais que le scénario allait nous montrer les coulisses du show, un peu comme un faux documentaire, finalement se ne sera pas le cas et au bout d'une heure le soufflé retombe. Forcément on n'évite pas quelques critiques sur certains pays comme les Etats-unis et la Russie, mais pour la bonne cause cette fois-ci. BONUS : le manoir ou se passe la fête était le Manoir Wayne dans BATMAN de 1989.
En 1974, le groupe suédois ABBA remporte l’Eurovision. Devant son poste de télévision, le jeune Lars est subjugué. Depuis ce jour, il n’aura plus qu’une seule idée en tête : participer lui aussi à ce concours musical. Avec son amie d’enfance Sigrit, Lars répète jour et nuit la chanson qu’ils espèrent un jour interpréter sur scène. Dans leur petit village en Islande, les deux musiciens sont la risée des autres habitants et la honte de leurs familles. Jusqu’à ce que, sur un concours de circonstances assez grotesque, ils soient sélectionnés à l’Eurovision pour représenter leur pays.
Le film de David Dobkin exploite la base narrative de la plupart des feel good movies musicaux : un duo de personnages en lesquels personne ne croit se bat pour réaliser un rêve commun. Seulement, Eurovision Song Contest : The story of Fire Saga prend très rapidement le parti de – trop – tourner en ridicule ses protagonistes. L’humour décalé qui aurait pu émaner de l’exubérance des deux participants excentriques est délaissé au profit d’une accentuation constante de leur aspects les plus pathétiques.
Si des anti-héros pitoyables peuvent finalement devenir attachants – c’est le cas des personnages qu’incarnent Rachel McAdams et Dan Stevens – Eurovision Song Contest rate le coche de manière assez exceptionnelle avec celui de Will Ferrell. L’homme-enfant qui amuse surtout par son accoutrement peine à séduire le spectateur. Cette lacune dans l’écriture du personnage affecte les tournants narratifs du film, les affaiblit. Sigrit, folle amoureuse de Lars, est convoitée par un candidat Russe plutôt frivole, qu’interprète Dan Stevens. Or, ce dernier, qui prend d’abord l’apparence d’un antagoniste, s’avère finalement bien plus honnête et charmant que Lars. Une inversion plutôt illogique de caractéristiques qui donne au triangle amoureux un aspect tronqué. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2020/07/05/eurovision-song-contest-the-story-of-fire-saga/)
L'aspect exubérant et loufoque du fameux concours Eurovision dans tout ce qu'il y a de plus agréable et sympathique. On suit avec plaisir l'épopée de ce groupe islandais. Les petits extraits de chansons reflètent à merveille l'aspect unique du concours. Le duo Rachel McAdams et Will Ferell fonctionne à merveille. bref, un feel good movie sans prétention qui fait passer un excellent moment.
David Dobkin, à qui l’on doit Serial noceurs (2005) et le pathétique Frère Noël (2007) dresse ici une comédie aussi kitch et ringarde que peut l’être le concours de chanson et en cela, on peut dire que le film est fidèle et devrait ravir les fans de la première heure, pour les autres, prenez votre mal en patience…
Coproduit, coscénarisé & interprété par Will Ferrell, ce dernier s’octroie le rôle-titre et ne laisse que les miettes à Rachel McAdams, dont on se demande clairement ce qu’elle est venue foutre ici. En dehors de la séquence musicale avec le clip "Volcano Man - Protecteur volcanique" (au tout début du film) qui s’avérait amusante, rien ne viendra relever le niveau du film. A aucun moment le film ne parviendra à nous offrir ne serait-ce qu’une once d’originalité ou de drôlerie.
C’est lénifiant à n’en plus finir (sur 120 minutes, on a tout le loisir de trouver le temps long), les répliques sont fades, l’intrigue aussi improbable que paresseuse, avec un Will Ferrell dans quasiment tous les plans, on frise rapidement l’overdose.
Mais hélas, ce n’est pas tout. On jurerait que le film a été financé par l’office du tourisme islandais (en guise de remplissage, le film enchaîne à un rythme effréné les plans sur les monuments les plus célèbres de la capitale, et ce, sans la moindre ligne de dialogue, juste pour combler un manque évident). Ajoutez à cela, que tous les extérieurs de nuit ont été reconstitués en CGI particulièrement dégueulasses (!), sans doute parce qu’à cette période du tournage, il ne faisait jamais nuit en Islande (comme c’est le cas en été, où même la nuit, il fait encore jour). Quoi qu’il en soit, les CGI sont immondes sur chacun des plans, cela frise l’indécence d’oser montrer cela aux spectateurs.
Eurovision Song Contest (2020) est clairement un gros coup de projecteur et une superbe opération marketing pour les organisateurs du célèbre concours has-been (le film est d’ailleurs coproduit par l’European Broadcasting Union, qui exploite entre-autre l’Eurovision). En dehors d’avoir permis au film de réutiliser de véritables images de l’Eurovision, l’équipe du film a aussi pu profiter de l’édition 2019 tournée en Israël pour y faire quelques séquences sur place. Et partenariat oblige, on a même droit à des caméos parfaitement inutiles de Bilal Hassani (représentant la France à l’Eurovision en 2018), Conchita Wurst (gagnant(e) de l’Eurovision en 2014) ou encore Netta Barzilai (gagnante de l’Eurovision en 2018).
Une comédie incroyablement poussive, fainéante & bourrée de bons sentiments nauséeux. Bref, à l’image de l’Eurovision, c’était ringard & gênant à la fois.
Le début est un peu long mais on apprécie le show d'entrée fantasmagorique qui annonce un peu la couleur. Mais très vite on comprend ce qui va se passer : on s'aime mais on n'ose pas se l'avouer, l'ascension accidentelle ou chanceuse, la crise avant la déclaration, le méchant qui ne l'est pas tant que ça,... etc... Mais à contrario il y a quelques idées savoureuses comme la critique de l'égocentrisme américain ou l'homophobie russe. On apprécie le travail sur les chansons au formatage eurovision assumé et assuré avec quelques morceaux pas si mal même si les chansons sont quasi toutes coupées. Le film est donc un hommage plein de dérision mais sans surprise car reposant trop sur un canevas éculé de la comédie US habituel. Site : Selenie
Eurovision song contest. Un duo, une histoire d 'amour sur fond de concours de chant. Trop long par rapport à la pauvreté du contenu. Deux étoiles et demie.