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    Maestro
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    112 critiques spectateurs

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    Pierre Chambon
    Pierre Chambon

    1 abonné 222 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 novembre 2024
    une biographie de léonard bernstein, qui ne passionnera que les passionnés, dont je ne suis pas - pas de message dans ce film - bradley cooper en fait un peu trop, il éteint carey mulligan, visiblement moins passionnée par la vie du grand homme
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    71 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2024
    Oui, c’est une oeuvre bien exécutée, ambitieuse et qui transpire la conviction de son réalisateur. Mais on a aussi le droit de trouver cela un peu pompeux, emphatique, un peu répugnant (romancer le vieux cocktail puant fait de bourgeoisie, gloire, débauche et immoralité) et surtout sans grand intérêt, le talent de compositeur de Bernstein n’étant pas le thème développé.
    Jojo le héros
    Jojo le héros

    1 abonné 60 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juillet 2024
    C’est l’histoire d’un couple sans histoire, enfin la seule, c’est que lui aime apparemment aussi les garçons. Mais rien de grave. Bref rien de bien palpitant. Une première partie en noir et blanc: il fume et ils ont tous les deux un rire imbécile permanent. Puis irruption de la couleur: il fume, et ils font la gueule. Quand à sa carrière, on n’en parle pas.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 646 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2024
    Pour son deuxième film, B.Cooper ré-agite ses baguettes de chef d'orchestre d'acteur-réalisateur et replace ses caméras au plus près de ses personnages et de leurs fils de vie, sous un fond, encore ici, musical. Exit le pop-rock-folk de "A Star Is Born", ici B.Cooper incarne (à la perfection) le chef d'orchestre de musique (pas uniquement classique) Léonard Bernstein: sa naissance au grand public, son travail et son investissement, sa notoriété. Ce biopic a la malice d'avancer au regard de son épouse et des relations fortes et complexes qui se lient entre eux. Il ne s'attache pas à tous les détails de la biographie de l'homme, s'autorise des sauts dans l'espace temps, pour vite oublier le musicien et son art pour se concentrer sur cette relation libre mais intrinsèque que ce couple forme. Alors que la prestation de B.Cooper est remarquable, le film laisse une place prépondérante à l'épouse, incarnée magistralement par C.Mulligan. Le réalisateur livre un film encore ici puissant mais sans la grandiloquence de "A Star Is Born". Magnifiquement filmé et plus posé, peu rythmé dans sa conception, "Maestro" se démarque en ce deuxième film par son aspect auteuriste qui risque de déplaire au grand public qui attendrait un remake du film précédent. Mais "Maestro" confirme que B.Cooper est un incroyable réalisateur maîtrisant techniques et direction d'acteur, capable de resurgir sur sa pellicule, un étonnant panel d'émotions. Le "Maestro", ici, c'est lui !
    Sebastien Francois
    Sebastien Francois

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2024
    interprétation magistrale de Bradley Cooper, le mimétisme avec Bernstein lorsqu'il dirige l'orchestre est saisissant
    Jupii
    Jupii

    121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2024
    J’ai adoré Bradley Cooper qui au même titre que star is Born est sur tous les plans. Il a appris pendant 6 ans à diriger un orchestre et cela se fait ressentir. (la course a l’oscar). Il faut dire que le début est un peu long mais j’ai adoré être dans le couple de cette artiste. En beaucoup de points j’ai pu me reconnaître, preuve que la vie du couple est peut-être bien représentée dans ce film. La scène de 6 min dans l’église m’a donné des frissons. Respect.
    Juliette Annet
    Juliette Annet

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2024
    très bien filmé, très bon acteurs mais scénario décevant.
    J'aurais apprécié qu'il explore davantage la vie et les inspirations de Bernstein.
    gizmo129
    gizmo129

    101 abonnés 1 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Toujours dans le monde musical après A star is born, Bradley Cooper nous revient pour sa deuxième réalisation avec un biopic sur le compositeur de West Side Story : Bernstein ! Mais loin d'apprendre des choses sur le parcours du chef d'orchestre, c'est davantage sur le personnage, ses failles et déviances de l'époque que le film se concentre. Finalement peu intéressant sur le fond, c'est sur la forme que le film retient notre attention, en particulier la performance des 2 acteurs principaux et en particulier Bradley Cooper pour un plan séquence magistrale dans une cathédrale. Film Netflix autant à la gloire de Bernstein que de Cooper qui occupe tout les rôles, le film a été boudé aux Oscar, peut être injustement pour le prix de meilleur acteur.
    Ciné-13
    Ciné-13

    127 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2024
    Pas récompensé aux Oscars 2024, alors que nominé 7 fois!
    COOPER nous propose une brillante interprétation de BERNSTEIN sur l'ensemble de sa vie, et c'est une véritable prouesse :
    tour à tour jovial, bienheureux, doué, passionné, cabotin, séducteur, ambigu...
    MULLIGAN elle aussi est brillante : tour à tour amoureuse, chagrinée, jalouse, fâchée, triste, malade...
    La couleur a été choisie un peu artificiellement quand les enfants ont environ 20 ans.
    Les meilleurs moments seront les disputes dans le couple; et bien sûr la direction de la symphonie n°2 avec choeur, orchestres et soliste avec une immense ferveur spoiler: (on découvrira la version originale étonnante dans le générique final)
    . J'aurais tant aimer écouter les réflexions du maestro sur sa musique, mais là la frustration est grande!
    Loriot Laurent17
    Loriot Laurent17

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Je ne m'attendais pas à ce regard, j'aime sa musique que je connais, j'espérais sûrement passer une heure 30 en musique intense mais non c'est un regard sur sa vie privée. Je connaissais cet aspect car j'aime ce qu'il a apporté à la musique au monde mais là il s'agit de sa vie privée et c'est un regard que je n'apprécie pas. L'homme tel qu'il était était merveilleux le reste les regardait. C'est une intrusion. J'espérais un film sur sa musique pas sur son homesualite et la dualité qu'elle a engendré et que je respecte. Donc oui le film est bien mais quel intérêt à déballer son intimité... aurait il voulu cela voilà la question doit on mettre en pâture. L'homme était merveilleux et c'est son œuvre que j'aime entendre et encore . Sa vie privée est privée comme s'il fallait justifier ses choix. Cela ne nous regarde pas. Donc oui je suis déçue par le choix choix de déballer sa vie privée son homosexualité. Comme si au final c'était une faute. En faisant ce choix cinématographique on ne lui rend pas hommage. Oui il était homosexual et alors.
    Evan D
    Evan D

    12 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2024
    Film sympa, Bradley Cooper joue bien même si j’ai une préférence pour le jeux de Carey Mulligan.
L’histoire est prenante, la première heure du film en noir et blanc fait vraiment penser à des films d’époque, et la relation entre les deux personnages principaux fonctionne bien.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    301 abonnés 3 174 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2024
    Je suis un peu toqué... bah oui car je pensait vraiment que ce film allait me faire perdre la tête tellement ça allait être un chef d'oeuvre et au final je suis tombé un peu de haut... bon c'est clair que Bradley Cooper est un génie de la réalisation et c'est clair aussi qu'il est un excellent acteur mais le parti pris du film m'a un peu gêné... c'est filmé bizarrement, beaucoup de moments importants de la vie de Bernstein sont mis sous silence pour mettre en évidence des moments plus secondaires et au final j'ai l'impression d'etre passé à coté de sa vie, de sa personnalité, de sa carrière... et j'en suis ressorti frustré... mais il n'empêche que Mr Cooper est un réalisateur prometteur et je lui souhaite la merveilleuse carrière qu'il mérite ! Bradley je t'aime !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    12 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2024
    « Si ça devient un sacrifice, alors je disparais. »

    Déjà encensé par le public et en grande partie par la critique pour A Star is Born (2018, remake d’un grand classique hollywoodien des années ’30, plusieurs fois repris), Bradley Cooper est un touche-à-tout de talent, c’est indéniable. Pour ma part, je l’ai découvert en acteur dans la trilogie Very Bad Trip (The Hangover, 2009, 2011, 2013) de son ami Todd Philips et j’ai été surpris par la nonchalance nihiliste de son personnage, dans une interprétation d’une sobriété exemplaire pour ce genre d’exercice.

    Comme souvent dans le cinéma contemporain, Bradley Cooper, réalisateur opposant plusieurs époques, s’adapte à chacune d’elle en adoptant sa syntaxe. Ainsi, la première partie, couvrant les années ’40/’50, est-elle tournée en noir et blanc en épousant le ratio d’écran de la période, aux 4/3. Classique, donc. En revanche, le jeu des acteurs s’adapte également, en flux rapide, à la manière des films de Capra, où les voix s’entrechoquent en dialogues vite inaudibles et d’un ton plus haut qu’aujourd’hui. Il en va de même pour les jeux d’ombre en plans fixes et lignes de fuite. On soulignera ainsi la qualité de la photo (Matthew Libatique, fidèle de Darren Aronofsky) et le soin apporté à la reconstitution d’époque.

    Au-delà du biopic, la première partie du film rend hommage à un genre encore méprisé en Europe, la comédie musicale, qui a su, aux Etats-Unis, réconcilier l’art élitiste de la musique classique et la culture populaire dans un même élan à travers Broadway et Hollywood.

    Peu avant l’heure de visionnage, quand on aborde les années ’70, la couleur revient mais avec un ratio identique, comme une transition en douceur. Les travellings semblent aussi de plus en plus lents, tout comme les dialogues, plus distants, plus froids, Bradley Cooper s’exprimant alors d’une voix grave, peut-être un rien surjouée, due à l’âge et à la cigarette.

    La lenteur du film devient alors omniprésente et ne se voit soutenue par aucun artifice narratif ou interprétatif, à l’image, justement, de certains travellings interminables. Initialement proposé à Martin Scorsese (qui a magnifié la comédie musicale à travers New York, New York, 1977) puis à Steven Spielberg (qui a réalisé le remake de West Side Story en 2021), tous deux producteurs du film parmi d’autres, Maestro rend plus hommage au second dans sa recherche de l’effet ponctuel et sa linéarité parfois soporifique qu’au premier et à son énergie rythmique beaucoup plus en phase avec le thème de la musique. On sera en effet surpris que les compositions de Bernstein, pourtant personnage central, n’accompagnent pas plus l’histoire, comme c’est le cas de West Side Story, à peine évoqué, ou de sa messe pourtant importante sur le plan socio-politique, qui témoigne des engagements du compositeur et chef d’orchestre. On regrettera par exemple qu’il ne soit jamais fait mention de son attachement à la musique pop (Les Beatles, Paul Simon) ou de son engagement envers les droits civiques, lui qui organise en 1970, avec Felicia, une soirée de soutien au mouvement des Black Panthers.

    Ainsi, malgré une première demi-heure énergique et originale, on retombe vite dans les travers de l’exercice difficile du biopic : une narration classique, voire académique, faisant abstraction de l’oeuvre de l’artiste et de sa personnalité publique pour se concentrer sur sa vie privée somme toute assez banale sauf si la question de l’homosexualité, de la bisexualité en l’occurrence, défrise encore quelqu’un. L’interprétation trop mesurée, une caméra certes inventive mais qui s’essouffle vite, tout concourt alors à faire de ce prétendant à l’oscar du meilleur film un téléfilm de très bonne facture, sans plus. Se voulant inclusif, Maestro reste un film sur un mec, réalisé par un mec et son propos pseudo-féministe ne leurre personne.

    Au niveau de l’interprétation, Bradley Cooper semble constamment se diriger lui-même (ce qui est le cas, de fait), prenant garde à éviter le moindre écart avec l’image policée, plastique, qu’il se fait du compositeur. Carey Mullingan, tellement émouvante dans Shame (Steve McQueen, 2011) et tellement combative dans Suffragette (Sarah Gavron, 2015), joue ici à l’opposé du présupposé de départ, en épouse et mère effacée, qui se sacrifie alors qu’elle s’en défend, comme soumise et transparente. Il est difficile de comprendre pourquoi les deux interprètent figurent au palmarès des Oscars 2024, quand l’une et l’autre sont capables de tellement mieux d’autant que Bradley Cooper s’autofilme et écrase constamment la présence du principal personnage féminin et la prestation de Carey Mulligan.

    Ça n’est pas mal joué, ça n’est pas mal filmé, certaines scènes valent détour et le scénario n’est pas inintéressant mais bon sang que c’est fade, mou et vieillot !
    Gilles Domenech
    Gilles Domenech

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2024
    Magnifique film qui illustre avec beaucoup de subtilité un thème très peu connu: la bisexualité.
    Magistrale interprétation
    Chloé Rabiller
    Chloé Rabiller

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2024
    Brillant et émouvant Bradley Cooper est épatant dans ce film un de ses meilleurs rôles !!
    Son oscar est amplement mérité
    Ce film est une réelle beauté pour les yeux et l’ouïe
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