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    Maestro
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    Ghighi19
    Ghighi19

    71 abonnés 1 888 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    Une grande déception...sans doute j en attendais trop mais ici he ne mets pas en cause Led comédiens qui sont tous très bien .
    Mais comment pouvez vous parler de cette immense artiste sans parler de sa carrière ? Bien sûr la vie privée est importante mais pas pendant plus de deux heures ! . Le mise en scène un peu trop toc surtout sur la première partie n aide pas non plus à entrer dans son trip. Non vraiment c est au final du gâchis.
    Jeami74
    Jeami74

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    Indéniablement bien mis en scène et joué mais absolument rien à faire de l'histoire de ce musicien emblématique, torturé (et torturant).
    Guillonnicola
    Guillonnicola

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2024
    Servie par une esthétique époustouflante - certaines scènes semblent sortir d’un tableau de Hopper - et des acteurs littéralement habités - Carey Mulligan en route vers l’Oscar ? - cette splendeur, qui retrace sous un angle original la vie du génial Leonard Bernstein, renoue avec le meilleur mélodrame américain. La confirmation que Bradley Cooper est un vrai (grand) réalisateur.
    ffred
    ffred

    1 746 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2024
    Deuxième film devant et derrière la caméra pour Bradley Cooper après le succès de A star in Born en 2018. Après un remake aussi inutile que réussi, il s’attaque cette fois au biopic de Leonard Bernstein, monstre de la musique américaine du XXè siècle. Techniquement et esthétiquement Maestro est une splendeur. La mise en scène est ample et élégante. Le scénario aussi intéressant qu’instructif et poignant. L’interprétation est hors paire. Cooper se dirige donc lui-même et s’offre là le meilleur rôle de sa carrière, il est impressionnant. A ces côtés, Carey Mulligan est égale à elle-même : parfaite. Malgré quelques longueurs, on appréciera donc avec un certain plaisir cette nouvelle expérience acteur/réalisateur pour Bradley Cooper qui passe haut la main le test du deuxième film. Dommage par contre que celui-ci ne soit sorti chez nous que sur Netflix.
    François Huzar
    François Huzar

    9 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2024
    La critique complète du Huzar sur le toit : https://lehuzarsurletoit.substack.com/p/maestro-leonard-bernstein-facon-tennessee

    (...) S’il est un reproche qu’on ne peut pas adresser à Bradley Cooper, c’est celui d’avoir réalisé un biopic lisse et illustratif comme on en voit tant. La mise en scène de Maestro ne manque pas d’éclat. Formellement, il reconstitue les différentes parties de la vie de Bernstein en s’approchant du style cinématographique des différentes époques évoquées (des années 1940 aux années 1970). En tant que comédien, Cooper se donne corps et âme et livre une prestation habitée – bien aidé par un maquillage impressionnant. Il est accompagné par une Carey Milligan impériale, dont le regard transmet une foule d’émotions. Lorsque le film se concentre sur la carrière musicale de Bernstein, cela donne lieu à de très belles séquences : une scène dansée sur un thème tiré de la comédie musicale On the Town ou encore la direction de la symphonie n°2 de Mahler dans la cathédrale d’Ely, véritable moment d’anthologie. (...)

    Malheureusement, Cooper prend une direction plus contestable lorsqu’il fait du compositeur Leonard Bernstein et de son épouse Felicia les personnages d’une intrigue psychologique lorgnant vers le style des œuvres de Tennessee Williams[1]. A la manière d’Un tramway nommé désir ou de La chatte sur un toit brûlant, le scénario s’attarde longuement sur les rapports torturés entre les deux époux. De leur rencontre en 1946 à la mort de Felicia en 1978, leur relation est autant contrariée qu’inébranlable. Tout cela est écrit avec finesse mais l’enjeu de la bisexualité du chef d’orchestre prend une place démesurée. Les dialogues n’échappent pas toujours à une forme de théâtralité et le film est extrêmement bavard. En conséquence, un certain ennui s’installe. (...)
    Kat's eyes
    Kat's eyes

    33 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2024
    On n'est jamais aussi bien servi que par soi-même : Bradley Cooper s'offre une rôle à Oscar, taillé sur-mesure dans le costume de Leonard Bernstein. Bien accompagné par la talentueuse Carey Mulligan, il nous livre une partition sensible quoiqu'un peu décousue sur ce couple original. Néanmoins, malgré les qualités indéniables du film, il ressemble plus à une longue check-list de morceaux de bravoure à cocher qu'à une histoire romanesque bien racontée qui emporterait tout sur son passage.
    Baruch Jorgell
    Baruch Jorgell

    17 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2024
    Musique maestro ! Pour son deuxième film en tant que réalisateur, Bradley Cooper a mis le paquet. Il s’attaque ici à la vie du compositeur Leonard Bernstein. Sa vie, son œuvre, enfin pas tout à fait puisque Cooper prend un angle d’attaque à savoir la relation de Bernstein et de sa femme Felicia (jouée par Carey Mulligan). Le réalisateur Cooper dégaine l’artillerie lourde : noir et blanc et couleur, amples mouvements de caméras, décors et costumes soignés. L’acteur Cooper s’amuse, ce qui n’est pas le cas de sa partenaire. Mulligan offre une composition très classique : la technique d’acteur est là mais il manque une touche d’humanité, une fantaisie. Mulligan est souvent raide comme un piquet, difficile d’adhérer à son personnage surtout lorsque son partenaire compose un personnage assez fou et imprévisible, un corps tout en mouvement.
    Si la partie « Cooper » est réussie, la partie « Mulligan » est faible. La faute à un personnage dont on ne comprend pas les enjeux. « Il me trompe mais c’est un génie » semble dire le film.
    D’accord mais on aimerait plus de chairs, plus de larmes et de sentiments. Maestro est agréable à regarder mais c’est un objet froid et pas du tout empathique.
    Si Cooper a réussi ses gammes en tant que réalisateur, la musique est trop désaccordée pour nous charmer.
    AZZZO
    AZZZO

    309 abonnés 823 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2024
    Le maestro, c'est Bradley Cooper. Non-seulement son interprétation de Léonard Bernstein est très réussie mais sa réalisation est aussi d'une grande intelligence.
    Contrairement à beaucoup d'autres, il n'est pas tombé dans le piège du biopic wikipédia. Il a su saisir les moments clés de la vie de Bernstein pour raconter l'essence de l'homme, son rapport à la musique, à son épouse et aux hommes dans une époque encore incapable d'écouter les sentiments. La mise-en-scène est efficace, les plans et mouvements de caméra sont inventifs et l'utilisation du noir et blanc donne du charme au récit.
    Brillant.
    Thomas Renon
    Thomas Renon

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2024
    Maestro fait sa force dans le traitement de la vie privée de Bernstein qui présente un couple peu ordinaire mais pourtant rempli d'amour, dans des décors sublimes avec Bradley Cooper et Carey Mulligan au sommet de leur art qui interprètent avec brio des individus qui étaient déjà très modernes et nuancés pour leur époque dans leur vision des sentiments.
    Juan 75
    Juan 75

    64 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 janvier 2024
    Je n'ai pas retrouvé ici le souffle de À star is born. La direction artistique est magnifique mais il manque cruellement un scénario. Les époques se succèdent autour du couple sans réelle tension dramatique. Les acteurs sont excellents mais l'impression que tout vexé est vain domine. J'ai eu aussi du mal avec les prothèses de Cooper, très réalistes mais gênantes finalement. Bref une grande déception.
    Pascale Vernis
    Pascale Vernis

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Une interprétation magistrale de Bradley Cooper et Carey Mulligan, une merveilleuse histoire d'amour, un film très émouvant sur la vie de Bernstein... A voir!
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    "Maestro", le film biographique dramatique romantique de 2023, réalisé par Bradley Cooper, plonge dans l'univers complexe et passionné de Leonard Bernstein, l'emblématique compositeur américain. En mettant en lumière sa relation avec son épouse Felicia Montealegre, le film offre une perspective intime sur la vie d'un des plus grands musiciens du XXe siècle. Avec la production de Martin Scorsese et Steven Spielberg, et des performances remarquables de Carey Mulligan et Bradley Cooper, "Maestro" est un film captivant, mais qui ne manque pas de susciter certaines réserves.

    spoiler: Le récit se concentre sur la vie de Bernstein, interprété par Cooper, en explorant sa carrière musicale depuis ses débuts avec le New York Philharmonic jusqu'à ses dernières années. Les flashbacks de sa vie conjugale avec Montealegre, jouée par Mulligan, apportent une dimension émotionnelle et humaine, montrant l'équilibre fragile entre la vie personnelle et la carrière.


    La réalisation de Cooper, alliée à la scénographie et à la photographie, permet une immersion dans l'époque, avec des reconstitutions minutieuses des concerts et des spectacles de Bernstein. La performance de Cooper en tant que Bernstein est impressionnante, capturant l'essence de l'artiste avec une passion et une intensité palpables. Mulligan, quant à elle, livre une interprétation nuancée de Montealegre, soulignant la complexité de leur relation.

    Cependant, le film pêche parfois par un manque de profondeur dans l'exploration des conflits internes de Bernstein et de sa lutte avec son identité. spoiler: Les aspects les plus controversés de sa vie, notamment ses liaisons et ses combats internes, sont abordés mais restent en surface, ce qui empêche le film d'atteindre une véritable introspection de son personnage principal.


    La musique, élément central de "Maestro", est traitée avec le respect et l'admiration qu'elle mérite. La bande originale, interprétée par le London Symphony Orchestra sous la direction de Yannick Nézet-Séguin, est un hommage vibrant à l'œuvre de Bernstein.

    En somme, "Maestro" est un film qui réussit à capturer l'esprit d'une époque et d'un artiste exceptionnel, tout en offrant un aperçu émouvant de sa vie personnelle. Cependant, en ne creusant pas suffisamment dans les aspects les plus complexes de Bernstein, le film reste en retrait de son potentiel complet, ce qui en fait une œuvre intéressante mais quelque peu inégale.
    neufav
    neufav

    6 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    L'acteur Bradley Cooper est habité
    mais le film m'a ennuyé
    Beaucoup de détails sur sa vie privée mais peu sur la genèse de west side stopy
    fan_de-cinoche
    fan_de-cinoche

    19 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2024
    Prétentieux, mal foutu, surjoué... Bradley Cooper a définitivement largué les amarres. Aucun intérêt, seul le créateur des prothèses a bien bossé et, une nouvelle fois, la magnifique Carey Mulligan est cantonnée à un rôle de faire valoir.
    Aucune histoire, aucun souffle... Juste un vieil homo cavaleur pitoyable... Tu parles d'un hommage.
    Aucune humanité, aucun moment où l'artiste génial crée un chef d’œuvre. (parce que c'est arrivé, en fait dans la vraie vie, Bradley !)
    Ennui... quant à la symbolique de l'écran qui devient large spoiler: quand sa meuf se décide à mourir
    , mais qu'est-ce que c'est lourdingue !
    Et tu vas voir qu'il va se récolter un Oscar, un Globe ou un Ours (en guimauve) !
    Fiers R.
    Fiers R.

    116 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Un acteur qui passe à la réalisation, c’est plus que commun. Un acteur qui passe à la réalisation et cartonne dans tous les sens du terme avec son premier film ça l’est moins. Avec « A star is born » et son hit planétaire, Bradley Cooper a eu cette chance. Un film devenu culte aussi bien pour pas mal de cinéphiles que de simples spectateurs occasionnels fans de musique et de romance. Si la critique a peut-être été un peu moins emballée, le succès fut incontestable. Le passage au second film est toujours compliqué et le comédien s’en acquitte avec brio et nous prend de court en amenant son deuxième film vers quelque chose de plus pointu et de plus peaufiné et racé. Il reste dans le milieu de la musique mais plus sélective en taillant le portrait du grand compositeur et chef d’orchestre Leonard Bernstein par le prisme de sa relation avec son épouse. Et qui dit musique moins populaire et plus prestigieuse sous-entend performances, mise en scène et ambitions qui vont de pair...

    En effet, « Maestro » plaira plus aux élites cinéphiles et à quelques spectateurs intéressés ou téméraires qu’à un large public. Pas que le film soit complexe, hermétique ou réservé à une catégorie de spectateurs ciblée (comme le prétentieux et interminable « Tar » sur une cheffe d’orchestre aussi) mais il est bien plus exigeant et difficile à appréhender que son précédent opus. Très travaillé aussi, et dans le bon sens du terme. Il n’y a qu’à voir la composition et la texture de l’image qui évolue en même temps que le temps qui passe pour être raccord avec les modes visuelles de ladite période. Les plans magnifiques et très stylisés que nous offre Cooper (le plan-séquence dans la villa puis la piscine ou encore Felicia qui quitte un concert seule, sa silhouette terminant de clore le plan) sont remarquables. Et il y en a bien d’autres. Et puis il y a les compositions incroyablement habitées de l’acteur, bluffant en Bernstein, et de Carey Mulligan. S’il est extraordinaire à plus d’une reprise, du timbre de sa voix à sa gestuelle comme lors du concert final dans l’Église, elle est tout aussi incroyable dans une prestation moins directement extraordinaire mais tout aussi puissante.

    Malheureusement, on ne criera pas non plus au chef-d’œuvre, la faute à une première partie (un tiers du film environ correspondant à la période en noir et blanc) qui ne nous a pas touché. Un côté un tantinet onirique, une frénésie d’images telle une comédie musicale déchaînée à la « Moulin Rouge » et des évènements qui s’enchaînent un peu trop vite ont raison de notre patience. Difficile d’accrocher, mais quand le film se pose enfin et décortique la relation complexe des époux entachée par les excès de cet homme talentueux et son penchant pour les jeunes hommes, il est tragiquement passionnant. La manière dont succès et excès impactent la famille et la résilience de cette femme est bien montré, d’autant plus que ce biopic a eu l’aval total de la famille Bernstein, ce qui est assez rare pour être souligné. Certains moments sont déchirants et on sent que l’on assiste là à une œuvre, certes imparfaite, mais qui marque définitivement la naissance d’un grand cinéaste qui a en plus le mérite de nous livrer une performance clairement oscarisable. « Maestro » a parfois des airs du sublime « Blonde » d’Andrew Dominik, notamment formellement, mais en moins tourmenté. Et c’est un compliment.

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