AlloCiné
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Votre avis sur Kate ?
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Ça fait le job ! De l'action , du sang , des gros flingues ! Une fin prévisible , un scénario déjà vu souvent , mais put..n c'est quand même jouissif !!
Et j'anticipe les critiques des intellos qui vont nous pondre 300 lignes ecritent dans un style empoulé ,
Y'A UN PUBLIC POUR ÇA , si vous aimez pas regardez ARTE !
Et j'anticipe les critiques des intellos qui vont nous pondre 300 lignes ecritent dans un style empoulé ,
Y'A UN PUBLIC POUR ÇA , si vous aimez pas regardez ARTE !
un grand moment d'éclate totale.
D'accord, ça ne révolutionne pas le genre et, parfois, il est mieux de ne pas s'écarter des sentiers battus.
perso, je me suis bien amusé. Genre de films à vous faire avaler 2 méga pizzas.
D'accord, ça ne révolutionne pas le genre et, parfois, il est mieux de ne pas s'écarter des sentiers battus.
perso, je me suis bien amusé. Genre de films à vous faire avaler 2 méga pizzas.
RedArrow
Au tour de Mary Elizabeth Winstead d'aller faire exploser les jauges de body count dans son propre film d'action survitaminé rien qu'à elle ! Et tant mieux car il faut bien reconnaître que l'on adore cette talentueuse comédienne dont le potentiel prometteur d'action woman a d'ailleurs encore été entrevu dernièrement par l'intermédiaire de son rôle de Huntress dans "Birds of Prey". Charismatique au possible et totalement investie dans le rôle de cette tueuse à gages déterminée mais rattrapée par ses failles, elle est bien évidemment la principale attraction de "Kate", sans doute même bien plus que d'autres comédiennes s'étant récemment essayées à ce style de long-métrage cherchant à prouver que la gent féminine peut rivaliser sans mal avec les capacités meurtrières d'un John Wick ! Cependant, "Kate" a également le malheur d'arriver justement après une fournée de films de ce genre sans autre grand argument que son actrice aussi douée au corps-à-corps que derrière le canon d'une arme pour décimer une bonne partie de la population mafieuse de la capitale nippone.
Non pas que l'on ait des grandes attentes de subtilité en ce domaine mais, scénaristiquement, on ne peut pas dire que "Kate" cherche en effet à faire le moindre effort pour se démarquer du lot en accumulant bon nombre de lieux communs indissociables de ce type d'intrigue : une héroïne élevée pour tuer façon "Nikita", une envie de normalité après le trauma d'un dernier job, l'approche fatidique de sa propre mort sur le très court-terme pour faire monter la sauce, une fillette sur sa route afin de l'humaniser, des rebondissements à base de traîtrises qui n'étonneront guère qu'un nouveau-né dans le milieu des meurtres commandités au cinéma... Faute d'une quelconque cartouche originale à balancer dans cette histoire, "Kate" mise sur une espèce de pot-pourri maximal d'enjeux clichés dans le but de précipiter le plus vite possible sa tueuse vengeresse dans une série d'affontements où seules sa condition précaire et la question familiale l'unissant de par les circonstances à plusieurs personnages seront là pour apporter de l'émotion à l'ensemble (en cela, les interactions intergénérationnelles du trio composé par Mary Elizabeth Winstead, Miku Martineau et Jun Kunimura sur leur douleur commune feront leur petit effet).
Prenant pour cadre un Japon mêlant la modernité aux traditions, où les couleurs vives et l'imagerie naïve du kawaii se disputent à la froideur citadine comme pour mieux souligner les réminiscences d'une enfance volée dans les ténèbres criminelles, les séquences de combat quant à elles auront toujours le mérite de se montrer efficaces, n'éludant jamais la violence qu'implique la rage de son héroïne face à son sort (et les coups qu'elle se prend en retour) tout en faisant preuve d'un minimum d'inventivité grâce à la propension de cette dernière à improviser selon les moyens du bord. Certes, rien de bien révolutionnaire à signaler sur ce point mais, dès que la faune locale de gangsters se frotte d'un peu trop près à Kate, on est quasiment assuré que la caméra de Cedric Nicolas-Troyan saura mettre en valeur les prouesses de son actrice principale face aux pires menaces, qu'elles soient en masse dans les ruelles tokyoïtes ou réduites au plus petit nombre durant un face-à-face haletant dans le penthouse luxueux d'un immeuble.
Porté par une Mary Elizabeth Winstead -que l'on savait par avance- irréprochable dans ce registre, "Kate" fait donc le job en n'ayant finalement pas grand chose d'inédit d'autre à offrir que l'actrice au centre de scènes d'action convaincantes. Ça n'en fait pas un vilain petit canard en sa catégorie pour autant, loin s'en faut même, mais on ne pourra que regretter de voir gaspiller un tel atout dans une proposition ne se donnant pas toutes les chances d'être un minimum marquante au-delà de l'aspect divertissant que représente son visionnage.
Dame Winstead méritait mieux.
Non pas que l'on ait des grandes attentes de subtilité en ce domaine mais, scénaristiquement, on ne peut pas dire que "Kate" cherche en effet à faire le moindre effort pour se démarquer du lot en accumulant bon nombre de lieux communs indissociables de ce type d'intrigue : une héroïne élevée pour tuer façon "Nikita", une envie de normalité après le trauma d'un dernier job, l'approche fatidique de sa propre mort sur le très court-terme pour faire monter la sauce, une fillette sur sa route afin de l'humaniser, des rebondissements à base de traîtrises qui n'étonneront guère qu'un nouveau-né dans le milieu des meurtres commandités au cinéma... Faute d'une quelconque cartouche originale à balancer dans cette histoire, "Kate" mise sur une espèce de pot-pourri maximal d'enjeux clichés dans le but de précipiter le plus vite possible sa tueuse vengeresse dans une série d'affontements où seules sa condition précaire et la question familiale l'unissant de par les circonstances à plusieurs personnages seront là pour apporter de l'émotion à l'ensemble (en cela, les interactions intergénérationnelles du trio composé par Mary Elizabeth Winstead, Miku Martineau et Jun Kunimura sur leur douleur commune feront leur petit effet).
Prenant pour cadre un Japon mêlant la modernité aux traditions, où les couleurs vives et l'imagerie naïve du kawaii se disputent à la froideur citadine comme pour mieux souligner les réminiscences d'une enfance volée dans les ténèbres criminelles, les séquences de combat quant à elles auront toujours le mérite de se montrer efficaces, n'éludant jamais la violence qu'implique la rage de son héroïne face à son sort (et les coups qu'elle se prend en retour) tout en faisant preuve d'un minimum d'inventivité grâce à la propension de cette dernière à improviser selon les moyens du bord. Certes, rien de bien révolutionnaire à signaler sur ce point mais, dès que la faune locale de gangsters se frotte d'un peu trop près à Kate, on est quasiment assuré que la caméra de Cedric Nicolas-Troyan saura mettre en valeur les prouesses de son actrice principale face aux pires menaces, qu'elles soient en masse dans les ruelles tokyoïtes ou réduites au plus petit nombre durant un face-à-face haletant dans le penthouse luxueux d'un immeuble.
Porté par une Mary Elizabeth Winstead -que l'on savait par avance- irréprochable dans ce registre, "Kate" fait donc le job en n'ayant finalement pas grand chose d'inédit d'autre à offrir que l'actrice au centre de scènes d'action convaincantes. Ça n'en fait pas un vilain petit canard en sa catégorie pour autant, loin s'en faut même, mais on ne pourra que regretter de voir gaspiller un tel atout dans une proposition ne se donnant pas toutes les chances d'être un minimum marquante au-delà de l'aspect divertissant que représente son visionnage.
Dame Winstead méritait mieux.
Le visionnage n'es pas déplaisant bien que le scénario pompe allègrement d'autres oeuvres du même genres. Mélange de Nikita et de Kill Bill jusqu'à reprendre le même modèle de chaussure que Béatrice Kido, sans oublier des films comme 3 jours à tuer, voir les aventures de Snake Plisken pour le côté contre-la-montre de l'héroïne. Les combats sont bien chorégraphiés et plutôt sanglants, les gunfights nerveux et l'ambiance nippone permette de faire un peu abstraction d'un scénario très convenue, guère originale et n'hésitant pas à empiler les clichés. Niveau acteurs pas grand-chose à reprocher Woody Harelson est toujours très bon bien que peu présent et Mary Elizabeth Winstead fait le job.
Dik ap Prale
Aux vues des premiers retours, Kate pourrait sembler bien inutile aux productions du genre qui lorgnent de partout sans se démarquer et pourtant... Les personnages sont palpables et l'intensité constante. Pour sa deuxième réalisation, sans être une suite ni une grosse redite, avec sa bande son Pop japonaise, Nicolas-Troyan insuffle un air frais, un style acidulé et frais, si bien qu'on reprendrai bien de nouveau un BoumBoum Citron.
gimliamideselfes
J'ai regardé ça pour les beaux yeux de Mary Elizabeth Winstead et j'aurais dû éviter... (mais je le savais avant de lancer le film)
Mais après tout, un film avec de l'action sans arrêt, avec une ambiance néon flashy, pourquoi pas ? Surtout si l'héroïne joue pas trop mal et est charismatique. On sent d'ailleurs un petit côté Ellen Ripley dans Aliens, entre le regard, la coupe de cheveux... Malheureusement dès la scène d'ouverture on grille qui sera le méchant de l'histoire spoiler: c'est toujours l'ami du héros, surtout s'il est joué par une star
ce qui fait qu'on s'ennuie ferme à voir le film tenter de lancer des fausses pistes alors que tout est cramé depuis le début. Triste... C'en est même gênant...
Mais surtout qu'est-ce-que le film est bavard pour trois fois rien, vraiment l'histoire est conne au possible, on n'a pas besoin que le film se prenne au sérieux à nous raconter ses enjeux pendant 107 ans surtout si c'est pour dire si peu de choses intéressantes. On peut noter aussi que le film n'arrive pas à choisir entre un ton grave, avec son héroïne qui est condamnée et on le sait dès le début du film (le Polonium pardonne rarement) et quelque chose d'un peu plus "marrants" avec des moments où le film joue avec l'imagerie pop japonaise... Difficile de concilier une héroïne mourante, mais qui décide quand même de marcher au ralenti sur de la musique pop avec une clope au bec et des lunettes de soleil, juste parce que c'est "cool".
Reste donc deux ou trois scènes d'action, qui pourraient être sympatoches si elles avaient été mises dans un meilleur film, plus cohérent, moins bête, même si globalement il ne propose absolument rien que le spectateur n'ait pas déjà 50 fois ces dernières années, notamment avec John Wick et tous ses clones spirituels.
Je note qu'encore une fois ça baise en soutien-gorge... Il va falloir arrêter ça aussi. Si vous n'avez pas le contrat pour mettre l'actrice à poil, ce qui est fort dommage, ben c'est pas grave, ne mettez pas de scène de cul, surtout si elle est aussi ridicule et qu'elle n'apporte rien, comme c'est le cas ici.
J'ai finalement plus eu l'impression d'avoir un cahier des charges qu'un vrai film...
Pour un film d'action dans l'air du temps il nous faut :
- une héroïne badass
- une gamine chiante dans les pattes de l'héroïne histoire qu'on voit que malgré le fait qu'elle soit une tueuse, elle a un coeur... imagine, sinon la ménagère responsable des achats ne pourra plus s'identifier au personnage
- un retournement de situation
- des néons... partout
- une ou deux scènes d'action à mettre dans la bande annonce, avec de la musique et des ralentis, comme ça les gens vont s'extasier dessus sur les réseaux sociaux
- des acteurs connus
Secouer tout ça, on s'en fout si ça fait déjà vu, cliché, ou si c'est quand même pas très bien réalisé, on a mis des néons, c'est zoli ! le public s'en contentera...
Il faut noter qu'au moment le film aurait pu finir, où on a eu la révélation et tout, le film rajoute encore un quart d'heure pour absolument rien, rendant le tout encore plus poussif qu'avant... Et en vrai si le film avait duré 1h15, j'aurais pas trouvé ça si mal, ça enchaîne les bastons, ça ne pense pas trop, c'est bien... mais venir ralentir le rythme pour faire la causette, c'est juste pas possible...
Il y a des choix qui ont été faits dans ce film qui sont assez incompréhensibles... Si s'arrêter, en faisant gagner le méchant rend le film meilleur, plus digeste et mieux rythmé, (tout en étant plus cohérent), ben faut pas hésiter... ça ne sert à rien de rallonger inutilement...
Et c'est pour ça que je vais éviter de rallonger cet avis inutilement.
Mais après tout, un film avec de l'action sans arrêt, avec une ambiance néon flashy, pourquoi pas ? Surtout si l'héroïne joue pas trop mal et est charismatique. On sent d'ailleurs un petit côté Ellen Ripley dans Aliens, entre le regard, la coupe de cheveux... Malheureusement dès la scène d'ouverture on grille qui sera le méchant de l'histoire spoiler: c'est toujours l'ami du héros, surtout s'il est joué par une star
ce qui fait qu'on s'ennuie ferme à voir le film tenter de lancer des fausses pistes alors que tout est cramé depuis le début. Triste... C'en est même gênant...
Mais surtout qu'est-ce-que le film est bavard pour trois fois rien, vraiment l'histoire est conne au possible, on n'a pas besoin que le film se prenne au sérieux à nous raconter ses enjeux pendant 107 ans surtout si c'est pour dire si peu de choses intéressantes. On peut noter aussi que le film n'arrive pas à choisir entre un ton grave, avec son héroïne qui est condamnée et on le sait dès le début du film (le Polonium pardonne rarement) et quelque chose d'un peu plus "marrants" avec des moments où le film joue avec l'imagerie pop japonaise... Difficile de concilier une héroïne mourante, mais qui décide quand même de marcher au ralenti sur de la musique pop avec une clope au bec et des lunettes de soleil, juste parce que c'est "cool".
Reste donc deux ou trois scènes d'action, qui pourraient être sympatoches si elles avaient été mises dans un meilleur film, plus cohérent, moins bête, même si globalement il ne propose absolument rien que le spectateur n'ait pas déjà 50 fois ces dernières années, notamment avec John Wick et tous ses clones spirituels.
Je note qu'encore une fois ça baise en soutien-gorge... Il va falloir arrêter ça aussi. Si vous n'avez pas le contrat pour mettre l'actrice à poil, ce qui est fort dommage, ben c'est pas grave, ne mettez pas de scène de cul, surtout si elle est aussi ridicule et qu'elle n'apporte rien, comme c'est le cas ici.
J'ai finalement plus eu l'impression d'avoir un cahier des charges qu'un vrai film...
Pour un film d'action dans l'air du temps il nous faut :
- une héroïne badass
- une gamine chiante dans les pattes de l'héroïne histoire qu'on voit que malgré le fait qu'elle soit une tueuse, elle a un coeur... imagine, sinon la ménagère responsable des achats ne pourra plus s'identifier au personnage
- un retournement de situation
- des néons... partout
- une ou deux scènes d'action à mettre dans la bande annonce, avec de la musique et des ralentis, comme ça les gens vont s'extasier dessus sur les réseaux sociaux
- des acteurs connus
Secouer tout ça, on s'en fout si ça fait déjà vu, cliché, ou si c'est quand même pas très bien réalisé, on a mis des néons, c'est zoli ! le public s'en contentera...
Il faut noter qu'au moment le film aurait pu finir, où on a eu la révélation et tout, le film rajoute encore un quart d'heure pour absolument rien, rendant le tout encore plus poussif qu'avant... Et en vrai si le film avait duré 1h15, j'aurais pas trouvé ça si mal, ça enchaîne les bastons, ça ne pense pas trop, c'est bien... mais venir ralentir le rythme pour faire la causette, c'est juste pas possible...
Il y a des choix qui ont été faits dans ce film qui sont assez incompréhensibles... Si s'arrêter, en faisant gagner le méchant rend le film meilleur, plus digeste et mieux rythmé, (tout en étant plus cohérent), ben faut pas hésiter... ça ne sert à rien de rallonger inutilement...
Et c'est pour ça que je vais éviter de rallonger cet avis inutilement.
Et un de plus dans la longue lignée et probablement interminable des films a baston où une femme voir gamine qui se bastonne avec un voir plusieurs hommes en même temps.
Rien de nouveau ou d'original dans ce vu et revu d'une pâle copie à la John Wick.
Rien de nouveau ou d'original dans ce vu et revu d'une pâle copie à la John Wick.
Encore une enieme blockbuster Netflix, réalisé par un quasi quidam français qui n’est même pas réalisateur mais spécialiste des effets spéciaux… Donc blockbuster Netflix : un fourre-tout de goubli goubla indigeste mais cette fois-ci pour draguer les fans de manga et compagnie. Tout est cliché, de la BO à la photo ou encore les perso secondaires et ce, sans parler des scènes de combat… J’ai été attiré malgré mes soupçons par la présence du génial Woody mais idem, il passe 30 secondes à l’écran et son nom sert d’attrape cinéphile… Grotesque dans l’ensemble
Il y a de l'action, de bons acteurs, une belle photo, une bonne réa bref tout pour plaire mais tout ça est plombé par un scénario trop mince. Du coup on a du mal à s'attacher aux personnages et on s'ennuie même un peu par moment. Peut être que ça arrive après trop de films dans le même genre et qu'on aurait justement aimé un peu de renouveau par le fait que ce type de rôle soit interprété par une femme. Ça devient plus intéressant avec la rencontre avec la jeune fille mais cela arrive un peu tard et c'est pas vraiment développé. Dommage
Bon bah encore une mouise de netflix. Beaucoup d’effets spéciaux mais l’histoire bateau comme d’hab. Bref c’est pas fou lol.
🎬 RENGER 📼
Kate est une prodigieuse tueuse à gage jusqu’au jour où elle échoue à éliminer sa cible et se retrouve empoissonnée par une toxine irradiante ne lui laissant que 24 heures pour se venger de ses assassins (à défaut de pouvoir mettre la main sur un antidote).
Deux mois après le superficiel Bloody Milkshake (2021), on se retrouve avec un énième film badass façon John Wick au féminin, sauf qu’une fois de plus, les histoires se suivent et se ressemblent. L’absence d’originalité, un scénario aussi prémâché et vu et revu ne semble choquer pas grand monde. Ça ressemble de loin à Hyper Tension (2006), le tout transposé dans des décors abjectes (qui puent le carton-pâte) censés représenté Tokyo (il ne suffit pas de foutre une enfilade de néons pour pleinement satisfaire).
L’absence d’enjeu dramatique et ne serait-ce qu’une once de scénario vient clairement nous sauter aux yeux. Le film ne cesse d’enchaîner les pseudos scènes de fight sur fond de musique pop japonaise abrutissante et un étalage de la culture nippone, visiblement le film n’avait rien d’autre de plus intéressant à nous offrir…
Réalisé par le français Cedric Nicolas-Troyan, avec à la production, un certain David Leitch, à qui l’on doit notamment John Wick 1, 2 & 3 ainsi que Nobody (2021), lui-même une pâle copie de la franchise avec Keanu Reeves, on n’est donc absolument pas surpris du résultat.
En dehors du plaisir d’y retrouver Mary Elizabeth Winstead foutrement badass, très clairement Kate (2021) n’a absolument rien d’orignal à nous offrir et vient s’ajouter aux innombrables productions insipides Netlfix que l’on oublie aussi vite qu’on l’aura vu.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Deux mois après le superficiel Bloody Milkshake (2021), on se retrouve avec un énième film badass façon John Wick au féminin, sauf qu’une fois de plus, les histoires se suivent et se ressemblent. L’absence d’originalité, un scénario aussi prémâché et vu et revu ne semble choquer pas grand monde. Ça ressemble de loin à Hyper Tension (2006), le tout transposé dans des décors abjectes (qui puent le carton-pâte) censés représenté Tokyo (il ne suffit pas de foutre une enfilade de néons pour pleinement satisfaire).
L’absence d’enjeu dramatique et ne serait-ce qu’une once de scénario vient clairement nous sauter aux yeux. Le film ne cesse d’enchaîner les pseudos scènes de fight sur fond de musique pop japonaise abrutissante et un étalage de la culture nippone, visiblement le film n’avait rien d’autre de plus intéressant à nous offrir…
Réalisé par le français Cedric Nicolas-Troyan, avec à la production, un certain David Leitch, à qui l’on doit notamment John Wick 1, 2 & 3 ainsi que Nobody (2021), lui-même une pâle copie de la franchise avec Keanu Reeves, on n’est donc absolument pas surpris du résultat.
En dehors du plaisir d’y retrouver Mary Elizabeth Winstead foutrement badass, très clairement Kate (2021) n’a absolument rien d’orignal à nous offrir et vient s’ajouter aux innombrables productions insipides Netlfix que l’on oublie aussi vite qu’on l’aura vu.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Une daube monumentale! Pas la peine d'en rajouter. Degré zéro du film d'action, sans âme. Ça pétarade à tour de bras, ça saigne et c'est tout. Qui peut aimer ce genre de fils?
Emballé par une bonne critique d'un magazine, je me suis laissé tenté.
Non ce n'est même pas bien réalisé, c'est une compil de tous les poncifs du film d'action bas de gamme. Les allusions aux films de référence sont minables, le scénario est à hurler de rire.
Un navet.
Non ce n'est même pas bien réalisé, c'est une compil de tous les poncifs du film d'action bas de gamme. Les allusions aux films de référence sont minables, le scénario est à hurler de rire.
Un navet.
Un scénario sans intérêt mais qui se permet néanmoins d'être un vrai fouillis, des scènes de combat bien clichés qu'on a déjà vu mille fois, un ressort dramatique qui ne fonctionne jamais. Rien de passionnant même si l'actrice principale fait ce qu'elle peut (mais sans susciter d'empathie pour son personnage)
Voici un nouveau film d’action portée par une femme chez Netflix.
Après Kate Beckinsale dans Jolt, Karen Gillan dans Gunpowder & Milkshake, Charlize Theron dans The Old Guard, Blake Lively dans The Rythm Section, voici la version portée par Mary Elisabeth Winstead.
Comme pour le plutôt nanarisant Wasabi, c’est la version vendue depuis 20 ans du Japon : quartiers chauds, ville qui ne dort pas, yakuzas derrière chaque stand de Ramen. Le réalisateur nous a épargné les clichés du gaijin qui débarque de France/USA. C’est tout.
Le réalisateur livre un film d’action des plus banals, avec une esthétique néon flashy et des ruelles sales.
Ce qui est dommage, connaissant le talent de l’actrice principale, c’est qu’elle est capable de faire mille fois mieux si on lui laisse l’opportunité de jouer un rôle un tant soit peu complexe. La tueuse à gages badass qui veux se venger en tuant ses ennemis avant la fin de la journée est juste une machine à tuer sans émotions.
L’idée de rajouter l’ado Ani, est une erreur, car on voit le travail évident du scénariste de vouloir donner à l’héroïne une bonne conscience et une idée de se racheter une conduite. Reste plus qu’à insérer les violons et les larmes faciles.
Ce qui est dommage, c’est que le côté déjà-vu, et l’absence de toute nouveauté aurait dû donner la puce à l’oreille aux auteurs de ne pas se prendre au sérieux, et d’insérer des moments décalés voir drôle, avec de l’humour noir par exemple.
Mais ils ont préféré copier le ton d’Alien 3 en fusionnant le personnage d’Ellen Ripley condamnée à une mort certaine et celui de Kate empoisonnée.
Un film de commande, proche d’un direct-to-dvd, éternel gâchis de temps et d’argent…
Après Kate Beckinsale dans Jolt, Karen Gillan dans Gunpowder & Milkshake, Charlize Theron dans The Old Guard, Blake Lively dans The Rythm Section, voici la version portée par Mary Elisabeth Winstead.
Comme pour le plutôt nanarisant Wasabi, c’est la version vendue depuis 20 ans du Japon : quartiers chauds, ville qui ne dort pas, yakuzas derrière chaque stand de Ramen. Le réalisateur nous a épargné les clichés du gaijin qui débarque de France/USA. C’est tout.
Le réalisateur livre un film d’action des plus banals, avec une esthétique néon flashy et des ruelles sales.
Ce qui est dommage, connaissant le talent de l’actrice principale, c’est qu’elle est capable de faire mille fois mieux si on lui laisse l’opportunité de jouer un rôle un tant soit peu complexe. La tueuse à gages badass qui veux se venger en tuant ses ennemis avant la fin de la journée est juste une machine à tuer sans émotions.
L’idée de rajouter l’ado Ani, est une erreur, car on voit le travail évident du scénariste de vouloir donner à l’héroïne une bonne conscience et une idée de se racheter une conduite. Reste plus qu’à insérer les violons et les larmes faciles.
Ce qui est dommage, c’est que le côté déjà-vu, et l’absence de toute nouveauté aurait dû donner la puce à l’oreille aux auteurs de ne pas se prendre au sérieux, et d’insérer des moments décalés voir drôle, avec de l’humour noir par exemple.
Mais ils ont préféré copier le ton d’Alien 3 en fusionnant le personnage d’Ellen Ripley condamnée à une mort certaine et celui de Kate empoisonnée.
Un film de commande, proche d’un direct-to-dvd, éternel gâchis de temps et d’argent…
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