AlloCiné
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Votre avis sur Amants ?
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Pierre Niney est l'un de mes acteurs préférés mais il faut reconnaître que ce film n'est pas digne de ce qu'on a été habitué à voir de lui. Il joue bien, mais les personnages de ce film n'ont aucun profondeur, même aucun caractère ni personnalité. Stacy Martin joue à peine et ne fait que réciter ses répliques, c'est affligeant. Le film n'a aucun rythme, aucun intensité, aucun fil conducteur... pas de suspens ni de rebondissements. Et une fin vraiment prévisible et décevante à la fois. Rien ne captive, rien ne surprend, tout nous ennuie... un scénario qui nous laisse dans l'impatience que le film se termine pour qu'on puisse enfin quitter la salle
Le personnage féminin ne présente aucun intérêt et ne fait pas grand chose hormis s'enrouler dans des peignoirs blancs ou colorés... on a du mal à comprendre pourquoi les mâles s'ébrouent et se battent autour d'elle...!! Ca démarrait pourtant pas mal... dommage !
Passé le magnifique premier plan du film (tellement beau qu'on dirait un tableau) j'ai trouvé ce film décevant, peu convaincaint, limite ennuyeux... J'attendais bcp mieux de nicole Garcia. C'est moi ou...?
J'attendais avec plaisir le nouveau film de Nicole Garcia, et bien je suis déçue.... L'histoire est simple, vue et revue, le jeu des acteurs est fade et sans saveur. Je n'ai malheureusement pas été embarquée par ce trio amoureux.
Comment j'attendais ce film avec impatience depuis 2/3 mois que j'avais vu la bande annonce au cinéma et quelle déception ... Alors Pierre Niney est toujours fidèle à lui même, franchement presque rien à redire. Benoît Magimel aussi vraiment pas mail, il faut le dire. Pour Stacy Martin, plutôt moyen hélas. Mais c'est surtout l'histoire, en fait c'est assez banal, c'est du vu et revu et surtout aucune subtilité, rien de fin, tout dans le bâclé limite. J'ai pas trop compris car Nicole Garcia, c'est quand même quelqu'un. J'ai trouvé aussi le tout un peu longuet et assez répétitif. Ça manque aussi clairement d'une BA digne de ce nom. Après, en ce qui concerne les personnages en eux même, j'ai plutôt bien aimé car on peut s’identifier à chacun. Pour être totalement transparent, je dirai pas que "Amants" est râté mais il est très décevant. Malgré un suspense quand même au rendez-vous, à part quelques bons points, pour le reste ... c'est plus que moyen. 11/20.
Je sors déçue. J'attends encore un sourire d'un des comédiens. .. Tout le film est lent, les personnages subissent leur vie d'où l'absence de sourires. L'histoire est traitée façon drame. Dommage... sous forme de thriller avec un peu de suspense et un peu de rythme ça aurait pu être bien.
Ayant été bluffé par Pierre Niney dans "Boîte Noire", j'étais persuadé de retrouver la même qualité d'interprétation et de filmographie dans cet "Amants"
Le postulat est simple. Niney incarne un dealer qui côtoie toutes les strates de la société, il fait ses deals et a une petite amie très (trop) aimante. Puis un jour, un de ses potes fait une overdose, il veut s'enfuir, sa copine aussi, mais sil la laisse en plan et s'en va. Elle le retrouve trois ans plus tard par hasard, mais elle est cette fois ci mariée.
On m'avait vendu un triangle amoureux, des perceptions psychologiques, des remords, des non dits...je me retrouve dans une salle de 650 personnes avec 18 autres spectateurs à ressentir une incompréhension atteignant toutes les strates du film. La psychologie des personnages est bazardée très vite dans le film. Ils sont binaires. Mais vraiment, comme si ils changeaient à l'aide d'un simple bouton. Ensuite, comme tout film français, il y a beaucoup trop de scènes de nu en full frontal inutile. Mettre une actrice à poil de manière inutile est gênant et sujet à controverse, allez voir Les Magnétiques pour voir un contre exemple flagrant.
Le film est séparé en trois parties, et il n'y a un semblant de construction que dans la fin de la troisième. Le reste du temps n'est rempli que d'incohérences et de déconstruction des personnages. Personne dans la salle n'a compris pourquoi.
Même si Pierre Niney et Magimel font dans le service minimum, il faut cesser de mettre des acteurs ayant 25 ans de plus avec des jeunettes et de trouver cela normal. On a l'impression de voir une relation incestueuse plus qu'autre chose.
La fin du film, complètement random, intervient sans qu'il n'y ait un cheminement véritable. Le pire est la légèreté avec laquelle le film tente de trouver un semblant d'explication pour cette dernière.
On ressort de là avec moult questions, et le sentiment que c'est beau de coucher à droite à gauche, mais ça ne fait pas un film. Enfin si, mais dans un autre registre. Il y avait du potentiel pour faire un beau film de deux heures, avec par exemple l'ajout d'un fil rouge policier, ou une stratégie plus psychologique de la part des personnages, mais...non. On dirait un épisode de série qui sait qu'elle va crever avant même la fin de saison, un truc lancé avec plein d'espoir mais qui fait un plat monumental.
Le postulat est simple. Niney incarne un dealer qui côtoie toutes les strates de la société, il fait ses deals et a une petite amie très (trop) aimante. Puis un jour, un de ses potes fait une overdose, il veut s'enfuir, sa copine aussi, mais sil la laisse en plan et s'en va. Elle le retrouve trois ans plus tard par hasard, mais elle est cette fois ci mariée.
On m'avait vendu un triangle amoureux, des perceptions psychologiques, des remords, des non dits...je me retrouve dans une salle de 650 personnes avec 18 autres spectateurs à ressentir une incompréhension atteignant toutes les strates du film. La psychologie des personnages est bazardée très vite dans le film. Ils sont binaires. Mais vraiment, comme si ils changeaient à l'aide d'un simple bouton. Ensuite, comme tout film français, il y a beaucoup trop de scènes de nu en full frontal inutile. Mettre une actrice à poil de manière inutile est gênant et sujet à controverse, allez voir Les Magnétiques pour voir un contre exemple flagrant.
Le film est séparé en trois parties, et il n'y a un semblant de construction que dans la fin de la troisième. Le reste du temps n'est rempli que d'incohérences et de déconstruction des personnages. Personne dans la salle n'a compris pourquoi.
Même si Pierre Niney et Magimel font dans le service minimum, il faut cesser de mettre des acteurs ayant 25 ans de plus avec des jeunettes et de trouver cela normal. On a l'impression de voir une relation incestueuse plus qu'autre chose.
La fin du film, complètement random, intervient sans qu'il n'y ait un cheminement véritable. Le pire est la légèreté avec laquelle le film tente de trouver un semblant d'explication pour cette dernière.
On ressort de là avec moult questions, et le sentiment que c'est beau de coucher à droite à gauche, mais ça ne fait pas un film. Enfin si, mais dans un autre registre. Il y avait du potentiel pour faire un beau film de deux heures, avec par exemple l'ajout d'un fil rouge policier, ou une stratégie plus psychologique de la part des personnages, mais...non. On dirait un épisode de série qui sait qu'elle va crever avant même la fin de saison, un truc lancé avec plein d'espoir mais qui fait un plat monumental.
Long et sans saveur , l’actrice a toujours une tête de chien battu elle est agaçante on y croit pas du tout
Tout est effectivement raté dans ce film dépourvu de rythme et de profondeur, pour une histoire sans originalité, avec une actrice totalement insipide. Mais surtout en tant que femme, je trouve aussi choquant que désormais si souvent on nous présente des héroïnes au physique de petite fille de 13 ans ! Quel mauvais casting pour un pareil titre, un Pierre Ninet éternellement adolescent, une gamine qui a l'air pré pubere, on voit 2 jeunes à la limite romantiques qui n'ont aucune crédibilité ni dans le registre passionnel, ni dans celui de jeunes flirtant avec les limites du crime... Ninet n'a absolument pas l'étoffe d'un amant, et on se demande ce que fait cet actrice dans le cinéma ?
Autant le dire tout de suite, je m'attendais à largement mieux de cette sorte de thriller passionnel porté par un bon casting et réalisé par Nicole Garcia.
Simon (Pierre Niney) et Lisa (Stacy Martin) sont amoureux mais suite à un drame à Paris, Simon fuit seul à l'étranger sans donner de nouvelles.
3 ans plus tard, sur une île de l'océan indien, Lisa recroise Simon par hasard dans un hôtel : malheureusement, elle a refait sa vie et est désormais mariée avec Léo (Benoît Magimel)...
Ce triangle amoureux ne fonctionne pas vraiment, les dialogues sonnent creux et le rythme est totalement flemmard !
Une photographie soignée, mais aucun punch, presque pas d'émotion et une histoire assez pauvre : une vraie déception cinéma !
Site CINEMADOURG.free.fr
Simon (Pierre Niney) et Lisa (Stacy Martin) sont amoureux mais suite à un drame à Paris, Simon fuit seul à l'étranger sans donner de nouvelles.
3 ans plus tard, sur une île de l'océan indien, Lisa recroise Simon par hasard dans un hôtel : malheureusement, elle a refait sa vie et est désormais mariée avec Léo (Benoît Magimel)...
Ce triangle amoureux ne fonctionne pas vraiment, les dialogues sonnent creux et le rythme est totalement flemmard !
Une photographie soignée, mais aucun punch, presque pas d'émotion et une histoire assez pauvre : une vraie déception cinéma !
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traversay1
Dans Amants, le chiffre 3 régule toute l'action : 3 lieux, Paris, l'Océan indien et Genève ; 3 temporalités, avec suaves ellipses à la clé ; 3 personnages, selon le schéma classique du triangle amoureux, et une femme en suspens entre la passion et la sécurité. Que du déjà vu, bien sûr, dans ce film noir de Nicole Garcia, mais la forme, toute en élégance de la mise en scène et contraste entre ombre et lumière, parvient presque à nous faire oublier le côté convenu de son scénario. Ce qui est gênant, malgré tout, c'est la présence d'au moins 2 (pas 3) coïncidences assez énormes qui ruinent la crédibilité de l'entreprise. A vrai dire, l'usage de ces béquilles narratives fait partie de certaines conventions d'un cinéma qui ne joue pas la carte du réalisme à tout crin, lui préférant une certaine mythologie développée à Hollywood ou ailleurs, mais surtout à Hollywood. Au-delà de ces "lacunes", Nicole Garcia montre une fois de plus qu'elle est sans doute la réalisatrice française qui sait le mieux montrer les fêlures masculines, qui se manifestent aussi par une certaine violence. Sa direction d'acteurs est impeccable : le maigre Niney et le massif Magimel sont brillants et la cinéaste a l'intelligence de leur donner peu de scènes communes, ce qui intensifie d'autant plus leurs rares face à face. Quant à Stacy Martin, sa partition est très subtile dans un rôle de femme fatale malgré elle dont les palinodies ne semblent jamais inexplicables.
Un essai raté de faire du Chabrol ?
Long et profondément ennuyeux.
Le jeu des acteurs ne sauve pas l'absence de scénario et les multiples scènes intimes sont dérangeantes, les 2 hommes semblant coucher avec une enfant tout juste ado.
Long et profondément ennuyeux.
Le jeu des acteurs ne sauve pas l'absence de scénario et les multiples scènes intimes sont dérangeantes, les 2 hommes semblant coucher avec une enfant tout juste ado.
Après une première demi-heure plutôt intéressante et promettante, le scénario s'essouffle, repose sur de plus en plus de facilités et de raccourcis, pour tomber dans l'ennui voire le désarroi. Tout n'est cependant pas à jeter, car les acteurs s'en sortent plutôt bien (Benoît Magimel signe pour moi une très bonne performance), et l'ambiance globale du film reste cohérente. Mais personnellement, je pense que le vrai problème vient des dialogues, du rythme trop lent, tout ça en raison d'un scénario sûrement pas à la hauteur au départ. Un film qui se regarde, mais qui s'oubliera facilement par son manque de personnalité.
Yves G.
Lisa (Stacy Martin) et SImon (Pierre Niney) sont jeunes et fusionnels. Ils forment un couple inséparable que la vie va pourtant séparer. Mais quelques années plus tard, alors que Lisa a refait sa vie avec Léo (Benoït Magimel), les hasards de l'existence vont les réunir à nouveau.
Depuis plus de quarante ans, Nicole Garcia mène dans le cinéma français une carrière originale, devant comme derrière la caméra. Son éclectisme lui vaut d'ailleurs un curieux record : c'est la seule personne à avoir été nominée aux "Césars" dans six catégories différentes (meilleur film, meilleur premier film, meilleure actrice, meilleure actrice dans un second rôle, meilleur réalisateur et meilleure adaptation) Sa sensualité trouble (ses ébats avec Christophe Malavoy dans "Péril en la demeure" en ont ému plus d'un.e), son élégance, son intelligence font souvent mouche. Les films qu'elle co-écrit avec son complice Jacques Fieschi ne se reconnaissent pas au premier coup d'oeil. On ne se dit pas "Ah ! voilà un film de Nicole Garcia !" d'autant qu'elle refuse systématiquement de s'y mettre en scène. Mais ils partagent tous une même élégance vénéneuse un peu surannée.
C'est ce compliment empoisonné qui vient à l'esprit devant "Amants" : élégant, vénéneux et suranné. Elegant car tourné dans des décors luxueux avec la fine fleur du cinéma français. Vénéneux en raison de son scénario qui louche du côté du polar ou du film noir façon Hollywood des 40ies. Mais un peu suranné aussi tant les personnages qu'il met en scène et les situations dans lesquelles il les place semblent parfois artificielles et guindées.
"Amants" m'a fait penser à "Villa Caprice", le récent film avec Niels Arestrup et Patrick Bruel sur lequel j'ai récemment tiré à boulets rouges. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, Amants aurait pu m'inspirer un jugement tout aussi cinglant. Mon indulgence tient à deux motifs. Le premier est la qualité de l'interprétation. Autant Niels Arestrup et Patrick Bruel me donnent l'impression d'acteurs à bout de souffle recrutés sur la seule foi de leur légitimité, autant j'aime la fraîcheur gracile de Stacey Martin et le jeu fiévreux de Pierre Niney - que je classe sans guère de risque de me tromper parmi les tout meilleurs acteurs de sa génération. Le second est la tension du récit qui m'a tenu en suspens jusqu'à sa conclusion - quelles que soient les réserves qu'elle m'ait finalement inspirées.
Depuis plus de quarante ans, Nicole Garcia mène dans le cinéma français une carrière originale, devant comme derrière la caméra. Son éclectisme lui vaut d'ailleurs un curieux record : c'est la seule personne à avoir été nominée aux "Césars" dans six catégories différentes (meilleur film, meilleur premier film, meilleure actrice, meilleure actrice dans un second rôle, meilleur réalisateur et meilleure adaptation) Sa sensualité trouble (ses ébats avec Christophe Malavoy dans "Péril en la demeure" en ont ému plus d'un.e), son élégance, son intelligence font souvent mouche. Les films qu'elle co-écrit avec son complice Jacques Fieschi ne se reconnaissent pas au premier coup d'oeil. On ne se dit pas "Ah ! voilà un film de Nicole Garcia !" d'autant qu'elle refuse systématiquement de s'y mettre en scène. Mais ils partagent tous une même élégance vénéneuse un peu surannée.
C'est ce compliment empoisonné qui vient à l'esprit devant "Amants" : élégant, vénéneux et suranné. Elegant car tourné dans des décors luxueux avec la fine fleur du cinéma français. Vénéneux en raison de son scénario qui louche du côté du polar ou du film noir façon Hollywood des 40ies. Mais un peu suranné aussi tant les personnages qu'il met en scène et les situations dans lesquelles il les place semblent parfois artificielles et guindées.
"Amants" m'a fait penser à "Villa Caprice", le récent film avec Niels Arestrup et Patrick Bruel sur lequel j'ai récemment tiré à boulets rouges. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, Amants aurait pu m'inspirer un jugement tout aussi cinglant. Mon indulgence tient à deux motifs. Le premier est la qualité de l'interprétation. Autant Niels Arestrup et Patrick Bruel me donnent l'impression d'acteurs à bout de souffle recrutés sur la seule foi de leur légitimité, autant j'aime la fraîcheur gracile de Stacey Martin et le jeu fiévreux de Pierre Niney - que je classe sans guère de risque de me tromper parmi les tout meilleurs acteurs de sa génération. Le second est la tension du récit qui m'a tenu en suspens jusqu'à sa conclusion - quelles que soient les réserves qu'elle m'ait finalement inspirées.
Une histoire invraisemblable, deux amants obligés de se séparer et qui, par le plus grand des hasards, se retrouvent quelques années plus tard dans l'océan indien, sur la même île, dans le même hôtel. Les dialogues sont creux, les comédiens s'ennuient et nous aussi...
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