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L’adaptation du livre (quasi) autobiographique de Philippe Besson « Arrête avec tes mensonges ». Le film aborde des thèmes allant de l’amour de jeunesse, des non-dits et des actes manqués. L’histoire vraie, en réalité un peu romancée, de P. Besson qui nous interroge sur la fabulation autour de nos souvenirs ou encore de comment se construire sur les cendres de nos histoires (partiellement fantasmées). En fait de nos propres mensonges. On revisite avec le film (et le livre) la notion même de mensonge : ce n’est pas quelque chose qui n’a pas existé c’est plutôt ici l’habillement qu’on donne à nos souvenirs, notre vécu, peut être pour les rendre plus supportable. En bref, un film d’une justesse rare et des acteurs qui crèvent l’écran ! Beaucoup (beaucoup) d’émotions et un film qui peut changer une vie, ou en tout cas qui donnera, à minima, au spectateur de quoi réfléchir à la sienne et qui touchera tout un chacun d’une manière ou d’une autre. À voir !
Cinéphiles 44
Adaptation du roman de Philippe Besson, "Arrête avec tes mensonges" est une oeuvre douloureuse sur une liaison cachée entre deux adolescents qui a continué à semer des difficultés avec le temps. Entre pudeurs et révélations, Guillaume De Tonquédec et Victor Belmondo (petit-fils de Jean-Paul) incarnent à la perfection leurs sensibles rôles.
Je l'ai vu hier soir lors du Festival Cheri-cherie, un Excellente adaptation du roman, très émotionnelle dès le début du film jusqu'à la fin, j'ai pleuré comme une madeleine...les acteurs choisis sont excellents!
Vu au festival Chéries-Chéris à Paris en novembre, je suis ressorti en larmes. Ça faisait très longtemps au cinéma. Le livre est magnifique, le film l'est aussi
Très émue par ce film !!! Des acteurs incroyables ! Merci pour ce beau moment 😊 N’hésitez pas, foncez le voir !
J ai vu ce film en avant première hier soir . J en suis encore bouleversé . Le
, le jeu des acteurs, le son et le choix des musique apportent à ce film une émotion sans nulle autre pareille . Le son saisi sur le vif , le bruit d un souffle , une simple déglutition rajoutent à la justesse magistrale de l ensemble des acteurs de ce film . Une gifle émotionnelle à l état pure ... je tiens à dire que je n avais pas lu le livre de Phillipe Besson, et tant mieux ! J ai pu ainsi saisir toute l intensité du film sans apriori ...mais le livre sera dès demain sur mon chevet et laissera libre cours à mon imagination .
De jeunes acteurs d une justesse incroyable ( avec une mention spéciale pour Jeremy Gillet ), Guillaume De Tonquedec , Guilaine Londez , cette équipe portée par un Olivier Peyon au sommet de son talent font de ce film un bijou de sensibilité et de vérité ...
un film à voir sans aucune hésitation , en espérant qu il reçoive le succès qu il mérite sincèrement ... mais cela ne dépend que de nous , le public !!
Je serai de nouveau dans la salle le 22 février pour sa sortie officielle !!
, le jeu des acteurs, le son et le choix des musique apportent à ce film une émotion sans nulle autre pareille . Le son saisi sur le vif , le bruit d un souffle , une simple déglutition rajoutent à la justesse magistrale de l ensemble des acteurs de ce film . Une gifle émotionnelle à l état pure ... je tiens à dire que je n avais pas lu le livre de Phillipe Besson, et tant mieux ! J ai pu ainsi saisir toute l intensité du film sans apriori ...mais le livre sera dès demain sur mon chevet et laissera libre cours à mon imagination .
De jeunes acteurs d une justesse incroyable ( avec une mention spéciale pour Jeremy Gillet ), Guillaume De Tonquedec , Guilaine Londez , cette équipe portée par un Olivier Peyon au sommet de son talent font de ce film un bijou de sensibilité et de vérité ...
un film à voir sans aucune hésitation , en espérant qu il reçoive le succès qu il mérite sincèrement ... mais cela ne dépend que de nous , le public !!
Je serai de nouveau dans la salle le 22 février pour sa sortie officielle !!
Jorik V
Écrivain très prolixe, Philippe Besson a pourtant encore été très peu adapté au cinéma (beaucoup plus à la télévision), bien qu’il ait participé à l’écriture de pas mal de films, téléfilms ou pièces de théâtre. « Arrête avec tes mensonges » corrige le tir, d’autant plus que c’est un roman autobiographique, en revisitant l’histoire de son premier amour. Le long-métrage reprend donc la même construction que le roman original, alternant récit du présent et flashbacks du passé. D’un côté, on a donc le retour d’un écrivain dans sa région natale (Besson lui-même donc) qui provoque des réminiscences de son passé de lycéen lorsqu’il voit le fils de son premier amour. Et de l’autre, on a ces retours en arrière figurant ledit amour. On sent très bien ici la base manuscrite du scénario, que le domaine littéraire plane au-dessus du film et l’enrobe constamment. Le matériel écrit à la base faisant d’ailleurs très probablement office d’exutoire ou de catharsis. Et « Arrête avec tes mensonges » d’être une sorte de miroir de sa vie en somme. Ce genre de procédé a déjà été maintes fois vu mais il est pleinement en adéquation avec ce que raconte ce film. Ce n’est jamais pesant ou maladroit dans la symbolique et ce qui aurait pu être une psychanalyse chiante est plutôt une œuvre agréable, belle et divertissante quoiqu’éminemment classique.
Les flashbacks représentant les souvenirs de ce premier amour sont très réussis. Peut-être même davantage que les scènes du présent pourtant plus nombreuses. Elles sont le cadencier du présent, celles qui permettent aux autres scènes d’exister et d’être touchantes, tout autant que pleines de sens. Ces amours interdites, sont superbement filmées, sans verser dans le trop ou le pas assez. Peyon a trouvé l’équilibre parfait dans sa représentation de l’amour gay adolescent et on y croit parfaitement. Leur intensité délivre un très agréable parfum de nostalgie. En revanche, le déroulement de celles dans le présent est plus programmatique à quelques exceptions près. Un petit rebondissement inattendu en moitié de film est plutôt réussi et permet une belle scène de confrontation ainsi qu’il autorise quelques saillies d’humour bienvenues grâce à Guilaine Londez. Celle-ci, dans un rôle pas aussi caricatural qu’on ne le pensait, apporte donc fraîcheur, surprise et un peu de légèreté et de rires au film. Guillaume de Tonquédec est également très à l’aise dans un rôle plus sensible et dramatique qu’à l’accoutumée et Victor Belmondo lui fait face de jolie manière. Notons tout de même, une bande sonore un peu incongrue par moments tant elle ressemble à celles des publicités pour des voitures ou des assurances, un peu en mode electro chill. En somme « Arrête avec tes mensonges » est un joli film, réalisé proprement, dont l’adaptation est simple et efficace bien qu’elle ne nous transcende pas non plus.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Les flashbacks représentant les souvenirs de ce premier amour sont très réussis. Peut-être même davantage que les scènes du présent pourtant plus nombreuses. Elles sont le cadencier du présent, celles qui permettent aux autres scènes d’exister et d’être touchantes, tout autant que pleines de sens. Ces amours interdites, sont superbement filmées, sans verser dans le trop ou le pas assez. Peyon a trouvé l’équilibre parfait dans sa représentation de l’amour gay adolescent et on y croit parfaitement. Leur intensité délivre un très agréable parfum de nostalgie. En revanche, le déroulement de celles dans le présent est plus programmatique à quelques exceptions près. Un petit rebondissement inattendu en moitié de film est plutôt réussi et permet une belle scène de confrontation ainsi qu’il autorise quelques saillies d’humour bienvenues grâce à Guilaine Londez. Celle-ci, dans un rôle pas aussi caricatural qu’on ne le pensait, apporte donc fraîcheur, surprise et un peu de légèreté et de rires au film. Guillaume de Tonquédec est également très à l’aise dans un rôle plus sensible et dramatique qu’à l’accoutumée et Victor Belmondo lui fait face de jolie manière. Notons tout de même, une bande sonore un peu incongrue par moments tant elle ressemble à celles des publicités pour des voitures ou des assurances, un peu en mode electro chill. En somme « Arrête avec tes mensonges » est un joli film, réalisé proprement, dont l’adaptation est simple et efficace bien qu’elle ne nous transcende pas non plus.
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Un Film poignant... Comment décrire les émotions ressenties, si ce n'est que l'on reste sans voix.
Vu en avant-première le 21 janvier 2023, aux Cinéma Le Grand Palace aux Sables-d'Olonne.
L'acteur Guillaume de Tonquédec, était présent pour nous en parler avec tant de passion... Merci !
À voir sans hésitation... À ne surtout pas râter... Je retournerai le voir à sa sortie...
Vu en avant-première le 21 janvier 2023, aux Cinéma Le Grand Palace aux Sables-d'Olonne.
L'acteur Guillaume de Tonquédec, était présent pour nous en parler avec tant de passion... Merci !
À voir sans hésitation... À ne surtout pas râter... Je retournerai le voir à sa sortie...
Un film intime et universel avec une distribution formidable et une réalisation élégante et humaine.
Guillaume de Tonquedec où on ne l'attendait pas, Guilaine Londez tellement juste et 3 jeunes acteurs plus charismatiques les uns que les autres : Victor Belmondo déjà identifié mais découvrez Jeremy Gillet et Julien de St Jean !
A ne pas rater.
Guillaume de Tonquedec où on ne l'attendait pas, Guilaine Londez tellement juste et 3 jeunes acteurs plus charismatiques les uns que les autres : Victor Belmondo déjà identifié mais découvrez Jeremy Gillet et Julien de St Jean !
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Ufuk K
"Arrête avec tes mensonges" adapté d'un livre best-seller est un drame convenable dans l'ensemble. En effet même si j'ai trouvé la première partie surjouée sur tous les aspects qui peuvent lasser plus d'un, la seconde partie s'avère nettement plus convaincante et émouvante abordant un sujet très intéressant (l'amour impossible entre deux hommes) et des jeunes acteurs convaincants (mention spéciale à Victor Belmondo).
Quel choc, que ce film bouleversant, qui parle d'amour avec pudeur et sincérité.
Du scénario impeccablement construit, aux acteurs sublimes, tout est palpable et ressenti.
Du très grand cinéma, indispensable.
Du scénario impeccablement construit, aux acteurs sublimes, tout est palpable et ressenti.
Du très grand cinéma, indispensable.
Un film bien fait sur un sujet encore tabou il y a quelques années du moins dans la façon où c'est présenté: l'homosexualité.Si certaines images ne sont pas à mettre entre tous les regards, il n'en reste pas moins vrai que l'ensemble est réussi même si on aurait pu s'attarder un peu plus sur la couleur locale.Si le film peut déranger, c'est qu'il a atteint un de ses buts et c'est le cas.On commence par un banc titre digne du grand cinéma, recherché, comme on n'en voit plus beaucoup dans le cinéma actuel.Le jeu des acteurs sonne vrai à commencer par Guillaume de Tonquédec.Jérémy Gillet et Julien de saint Jean forment le couple jeune de ce film avec la force et les nuances nécessaires pour ces deux rôles.Victor Belmondo est en train de se construire un prénom et dans son rôle de trait d'union entre le passé et le présent, il excelle.
Un film qui devrait être vu par tous les collégiens et lycéens. Guillaume de Tonquédec est excellent, Victor Belmondo est parfait, tous les acteurs sont parfait. Une vrai histoire qui fait réfléchir sur notre tolérance à l’autre. A voir absolument.
Un film subtil et touchant, où chacun se retrouvera , et aura peut être envie de " passer ce coup de fil qui change une vie"
Anne-France
Anne-France
traversay1
Que reste t-il de nos amours perdues ? C'est la question qui importe dans Arrête avec tes mensonges, comme dans la vie de presque tout un(e) chacun(e), avec ses et si ? qui laissent des regrets éternels. L'adaptation du roman de Philippe Besson vaut surtout pour sa description du présent avec un face à face captivant entre un homme en pleine maturité et le fils de celui qui fit battre son cœur, à l'adolescence. Les flashbacks sont bien évidemment présents pour montrer une relation secrète car non assumée par l'un des deux amants mais ce n'est pas d'eux que dépend réellement l'émotion qui va crescendo, avec une délicatesse de bon aloi. Toutes les scènes entre les excellents Guillaume de Tonquédec et Victor Belmondo, qui expriment tour à tour défiance et partage, permettent au film de s'élever, tandis que les moments de comédie, utiles pour atténuer la pression, avec un ton parfois bien trop facilement ironique pour les mœurs de province, manquent quelque peu de vitalité. L'aspect formel est d'ailleurs ce qui pêche le plus dans Arrête avec tes mensonges, à l'instar d'un certain nombre de films français, hélas, dont l'ambition semble bien petite en la matière. Cela ne gâche pas tout à fait le côté mélancolique, à tendance mélodramatique, qui imprègne un récit plutôt bien ficelé, qui conserve en chaque instant une pudeur douloureuse qui ne peut que toucher celui ou celle qui se souvient de son premier amour perdu mais jamais oublié.
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