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    La Plateforme
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    3,3
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    507 critiques spectateurs

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    black B.
    black B.

    42 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Si le film se pointe avec une idée un peu original, genre concept a la cube, mélangeant science fiction et satire de classe sociale, il ne sait absolument pas comment dérouler derrière.. Particulièrement la deuxième partie, qui après avoir apporté un fond d'univers et des questions, n'y répond finalement pas, et se perd totalement dans une fin ennuyeuse sans surprise, voir infantilisante.

    Encore un film qui ne fait que broder autour d'une idée, pour attirer le nonchalant. La mauvaise habitude Netflix. 2.3/5
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Sujet très intéressant dans la lignée de Cube, surtout la première partie. Malheureusement la fin tue tout le film.
    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2020
    Impossible de ne pas penser à « Cube » à la vision de « La Plateforme ». Le chef-d’œuvre inoubliable et totalement renversant pour l’époque de Vincenzo Natali est devenu culte à raison avec le temps et semble indépassable (on parle juste de l’original pas de ses suites bien moins glorieuses). Même principe avec des inconnus enfermés dans un espace clos, des niveaux différents et même mélange des genres avec un côté gore horrifique dissolu dans un film de science-fiction avec peut-être un côté métaphore sociale plus poussé peut-être ici. Il y a aussi un peu de « Snowpiercer » dans cette œuvre mais il est clair que cet essai espagnol n’arrive même pas à la cheville de ses illustres modèles et semble beaucoup moins abouti. Le concept est très bien pensé mais il finit par arriver dans un cul-de-sac.



    Donc au début, il est vrai que c’est intrigant voire captivant mais ça tourne vite en rond et plus le film avance plus il nous perd, faute de clés de compréhension jusqu’à un final complètement amorphe qui détruit tout ce que le script avait mis en branle comme pistes intéressantes. Comme un aveu d’impuissance et de vide de la part de l’équipe derrière cette production. Oui la métaphore sociale est là, identique à celle de « Snowpiercer », où l’on perçoit une vision de notre monde avec les riches du haut qui se partagent la plus grosse part du gâteau face aux pauvres mais elle est amenée avec de tels sabots qu’on ne peut dire qu’elle soit révolutionnaire, innovante et encore moins fine. De plus, le côté science-fiction et métaphorique n’excuse pas les errements du scénario et les incongruités comme le déplacement mécanique inexpliqué de cette fameuse plate-forme dans la fosse.



    Le fait que tant de pistes soient laissés en branle est frustrant mais donne surtout un goût profond d’inachevé et d’un long-métrage qui navigue à vue. Heureusement, il y a tout de même quelques bonnes idées (malheureusement la plupart inexploitées comme l’Administration), c’est plutôt assez court pour que l’ennui soit évité et l’interprétation est correcte. Et il y quelques séquences bien osées et gore dans une ambiance malsaine mais l’ossature générale est bien trop fragile pour qu’on soit conquis, même pour une production Netflix. Après c’est le genre de film qui divisera clairement entre les adeptes y voyant des choses que d’autres ne distingueront pas contre ceux qui n’entreront pas dans l’absence de logique de « La Plateforme ». On fait partie de la seconde catégorie et les possibles multiples niveaux d’interprétation sont bien trop nombreux et vagues pour convaincre. A la fin, une seule chose nous vient en tête : tout ça pour ça !



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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Encore un film ou la fin est bâclée... C'est la nouvelle mode, un film ou tu rentres dedans et ou tu ressorts déçue et énervée par des incompétents qui ne savent pas finir ce qu'ils commencent.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    23 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2020
    Un film qui m’a fait de suite penser à « Cube », que j’avais beaucoup aimé. Là, le principe de base est plutôt sympa et très original et on s’y plonge rapidement. Le début est vraiment prenant. Mais au final, je suis sorti assez déçu et avec pas mal de questionnements. En effet, j’aurais préféré une autre fin spoiler: et que ce soit bien la panna cotta le message
    . L’acteur principal, sosie de Zlatan, est plutôt bon.
    Yves G.
    Yves G.

    1 508 abonnés 3 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2021
    La prison dans laquelle Goreng (Ivan Massagué) a été incarcéré est composée de plusieurs centaines de cellules, accueillant chacune deux prisonniers, disposée verticalement, les unes sur les autres. Chacune est percée, au sol comme au plafond, d'un trou, "la fosse" ("El Hoyo", le titre espagnol original) par lequel descend une plateforme chargée de victuailles. Les étages supérieurs se servent les premiers, ne laissant aux étages inférieurs que leurs restes. 

    Hasard des calendriers, la sortie sur Netflix de ce thriller claustrophobe a coïncidé avec le premier confinement en mars 2020. C'est ce qui explique son succès. C'est ce qui explique qu'un an plus tard, j'y sois allé jeter un œil pour rattraper mon retard.

    "La Plateforme" nous vient d'Espagne. Son dispositif - un homme se réveille dans une prison de cauchemar dont il essaie de s'échapper - rappelle d'autres films similaires bien connus : "Saw" ou "Cube". Mais son sous-texte politique rappelle surtout "Snowpiercer" et "High-Rise" : deux métaphores plus ou moins réussies de nos sociétés capitalistes et inégalitaires.

    À première vue, la métaphore est simple sinon simpliste et sonne comme une critique dévastatrice de la théorie du ruissellement, l'idée selon laquelle les richesses créées par les plus nantis profiteraient aussi aux plus pauvres. "Détrompez-vous, pauvres gens, nous disent les prisonniers des étages supérieurs qui se baffrent au lieu de laisser leurs parts aux prisonniers des étages inférieurs ; il ne vous restera que des miettes".

    Mais "La Plateforme" est un peu plus subtil que cette dénonciation manichéenne. Film d'un pessimisme radical, il renvoie dos à dos l'égoïsme du capitalisme, la naïveté de l'humanisme (incarnée par le personnage de Imoguiri qui prône la solidarité par l'exemple) et même la brutalité du communisme. La seule philosophie qui vaille est celle du Don Quichotte, le livre avec lequel Goreng, dont la ressemblance avec le héros de Cervantes est frappante, migre de cellule en cellule : le monde est un théâtre peuplé d'hallucinations dans lequel chacun peut combattre l'injustice. 

    Sa fin est assez emberlificotée. On trouve sur Internet tout un tas d'interprétations possibles. La plus évidente n'est hélas pas la plus intelligente.
    Vador Mir
    Vador Mir

    263 abonnés 798 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2020
    Un film qui fait penser à Cube de Vincenzo Natali pour son minimalisme. Un scénario intrigant et un petit budget. Le film pose des bonnes questions sur la société et sur la nature humaine, mais prend le risque de devenir caricatural.
    lsnico
    lsnico

    31 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Un conseil, ne pas regarder ce film en mangeant à moins de vouloir faire un régime. Certaines scènes sont vraiment dures. C'est plutôt bien pensé mais ça sonne creux, surtout la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 mai 2020
    Ridicule message communiste qui tente une analogie avec la vie et tente de s'approprier le "camp du bien" dans les derniers instants, ça ne dupe pas. POSITIF: ambiance oppressante, caractère exacerbé des personnages présentant les facettes de l'humanité. NEGATIF: le héros présente un caractère trop parfait: il pense le bien, vit le bien, n'a aucun défaut bref n'est pas crédible. Un film à voir pour se passer un moment ni bon ni mauvais, le concept est intéressant mais le message est beaucoup trop politisé, des inégalités à la naissance il y en aura toujours, mais l’ascenseur social n'est pas bloqué.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Je suis confus. Mettre 0 étoiles ou 5 étoiles. Ce film par son concept de base, son idée et la réflexion à laquelle il ESSAIE de pousser est génial. Mais tout juste 1h30 pour un tel film est honteux. Une série aurait été plus adaptée. Ici, tout s'enchaîne. Il faut tout comprendre, tout déchiffrer, il n'y a pas le temps de la réflexion. Il manque des explications. Et pourtant j'adore les films qui font réfléchir, mais ici c'est brouillon, c'est confus. Pourtant l'idée est excellente. Je me suis créer un compte pour pouvoir dire cela. Imaginez à quel point ce film m'a déçu et pourtant je l'ai adoré. Mais j'aurais aimé que cela soit mieux fait.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 mars 2020
    Film pas terrible... rien n’est expliqué clairement. Pourquoi ce système d’emprisonnement existe ? Comment a-t-il été inventé... je trouve que l’idee globale a été un peu survolée voir baclée. Sans parler de la fin. Beaucoup d’attente pour ce film qui était si recommandé ces derniers jours.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 084 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2020
    La très grande fragilité de cette Plateforme, c’est qu’elle n’invite pas à penser mais s’obstine à cultiver un faux mystère sous la forme d’une réécriture ésotérique de Don Quichotte. Le film est écartelé entre d’une part son autosatisfaction dans l’opaque ainsi mis en scène et d’autre part le caractère conventionnel, sinon basique, de la fable politique qu’il propose. Dit autrement, le réalisateur joue au petit malin, choisit de donner à son spectateur certaines clefs et de le priver d’autres, à l’image de ce support qui descend d’étage en étage des mets parfois agrémentés de corps (vivants ou morts) puis qui remonte à toute allure ; le mystère n’en est que plus factice, et le spectateur sent bien que quelque chose cloche là-dedans. Les cellules supérieures et inférieures restent silencieuses, nous n’entendons que les deux détenus parler, jamais les autres. D’emblée nous ressentons l’artificialité d’un dispositif qui n’est que théorie politique plaquée sur de l’image choquante. Et si Cube pensait lui aussi à enfermer ses personnages dans une prison cubique, il n’oubliait pas de faire de sa mise en scène un compagnon engagé malgré lui dans une aventure labyrinthique aux confins de la folie humaine. Or, sur ce point, hormis la lumière rouge, aucun parti pris esthétique n’apporte un peu d’épaisseur à un corps abstrait qui paraît davantage se complaire dans les sévices endurés ou commis. Le réalisateur est un marionnettiste qui joue à la poupée, un scientifique persuadé de tenir là une expérience sociale pertinente : ce ne sont plus des souris que l’on empile par strates dans des boîtes, mais des hommes et des femmes que l’on affame au préalable. La Plateforme fait l’erreur impardonnable d’adopter un regard surplombant sur une situation qui requérait à l’inverse une immersion, un égarement, un mystère qui verrait le jour dans et par l’image. Tout est trop propre, trop pensé en amont, empêchant le spectateur d’engouffrer dans ces dédales de cellules ses propres angoisses, empêchant le spectateur de vivre une situation pour en tirer une conclusion. La morale est déjà là, elle nous attend, on nous la martèle. Que faire alors, sinon regarder ce qui se passe, puis cliquer sur la flèche ? Vu, mais pas vécu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 mars 2020
    La plateforme c'est encore une fois du cinéma Netflix. C'est à dire une série en un épisode qui finit en queue de poisson.
    Tout ceci sur fond métaphorique aussi attendu que le suggère le pitch : Dans un systeme plus fort que nous, mécanique inégalitaire par construction, partageons
    les richesses et n'oublions jamais que la roue tourne...
    Et quitte à ne pas élever le débat, je vois pour ma part Greta Thunberg dans cette fin qui interroge 5 minutes.
    Au crédit de l'oeuvre quand même une bande son parfois inspirée, une première 1/2h assez prenante, Zlatan Ibrahimovic qui joue pas trop mal, et surtout la bonne idée du mecanisme pervers qui fait le film, à ceci prêt qu'on ne fait pas un film avec une idée.
    Pierre Crescenzo
    Pierre Crescenzo

    30 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2021
    Du potentiel mais non exploité. L'idée de départ est excellente, mais il aurait au moins fallu un scénario et un sens pour ne pas tomber dans la facilité...
    yO0f’s
    yO0f’s

    26 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2020
    Le concept est très intéressant à la base, mais la réflexion n’est hélas pas poussée jusqu’au bout pour nous démontrer la portée de cette satire sociale bien pensée. « La plateforme » commence pourtant très bien, les premières explications, les deux premières mises en situation, on est totalement embarqué dedans et prêts à affronter ce qui va suivre, avec beaucoup de curiosité et de panache. Malheureusement la suite est brouillonne, pas si élaborée que ça ni vraiment cohérente. spoiler: La gamine qu’ils retrouvent alors que sa mère, elle, jamais, qui réussit à survivre on ne sait pas comment, il ne reste à Goreng que moins de 2 mois à purger alors qu’il est au niveau 6. Il aurait pu peut-être attendre de sortir pour mener sa révolution confortablement, mais non. Si au moins il se rendait compte qu’il ne sortait toujours pas malgré la fin de sa période de rétention, ce serait compréhensible, mais là...
    Le film stagne dans son idée de base, s’y accroche trop longtemps sans trop oser la dépasser ni mener des réflexions plus approfondies. La question d’équité, d’altruisme, d’intérêt collectif, de ne consommer que ce dont on a besoin ça on l’a bien compris que la plateforme était une métaphore de la société sur tous ces aspects là, mais toutes les mises en situation choisies ne sont ni assez vastes ni assez pertinentes pour nous épater avec plus de leçons de morales, pas d’exemples poignants non plus qui nous poussent à méditer sur la condition humaine. Les personnages aussi, à part l’exception Trimagasi (dont on applaudit la qualité de jeu d’acteur) n’ont pas suffisamment de profondeur, ils ne représentent pas grand chose qui évoque un intérêt particulier, on a vite fait de les survoler banalement. Le sosie d’Arnaud Tsamère, lui, n’a pas à rougir de sa prestation non plus, c’est juste qu’on aurait aimé avoir un parallèle plus évident avec le livre qu’il lisait et on aurait pu l’accompagner plus loin dans sa quête histoire d’y comprendre quelque chose, c’est dommage d’en être resté là. Ce qui exaspère encore une fois c’est son lot d’incohérences, d’absurdités, de questions sans réponses, je ne pense pas que ce soit voulu c’est surtout à mon avis que les scénaristes eux même bloquent là dessus, en tous cas il y a pas mal de choses pas vraiment très logiques. En fait, ce film commence soigné et rigoureusement présenté, puis continue à se dégrader au fur et à mesure de son parcours, pour se transformer en une copie brouillonne qui non seulement n’est pas très belle à voir, mais dont le contenu a été consommé un peu trop vite dès le départ sans avoir pensé à laisser plus de matière à la suite.
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