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    Vivarium
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    Marlon M.
    Marlon M.

    46 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Un début intéressant où on entre plutôt bien dans l'atmosphère angoissante du film à huis clos. Les acteurs sont convaicants. Au bout d'une heure on arrive hélas à saturation et on impatiente d'obtenir des réponses à toutes nos interrogations mais finalement... rien , le vide sidéral. On se rend compte qu'on a juste perdu une heure et demi de notre précieuse existence. Hier j'ai écouté un chant de cacatoès pendant une heure et j'ai trouvé que c'était plus enrichissant que cette chose qui n'aurait vraisemblablement jamais dû voir le jour.
    Dkc
    Dkc

    24 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2020
    Signe ! Signe là ! Oui ! Endette toi à vie. Pauvre humain. Et Ennuie toi dans une vie uniforme et insipide. Travaille jusqu'à la mort. Élève des enfants monstres. Consomme des produits standardisés et insipides. Jusqu'à cette mort si redoutée et souhaitable. Quoi ? Tu hésites encore ? Ce film glaçant, drôle ironiquement et admirablement joué nous livre une féroce parodie de la société actuelle ! ( gerardmer 2020 )
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    185 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2020
    Un film SF mais surtout une sorte de thriller psychologique, avec un univers en huis clos bien maîtrisé et construit. J'ai bien aimé le propos du film, et la lecture qui en est faite, où en tout cas que je pense être retranscrite. Le fait que l'accès à la propriété fasse partie d'un contrat social et du but absolu à atteindre dans sa vie familiale, avec l'endettement inclus pour aboutir à ce rêve, entouré d'une dénonciation d'une certaine uniformité des banlieues pavillonnaires, tout se ressemble, sans aucune personnalité propre. Au final, le film dresse le portrait d'un monde abondé par le consumérisme et le système capitaliste. Le carton avec la phrase laissée par le promoteur est claire "Élevez cet enfant et vous serez libre.", alors que c'est le contraire que le système moderne impose, où élever un enfant demande du temps, de l'énergie, et une participation obligatoire et vitale à la société de consommation... où le temps accordé à l'éducation d'un enfant, n'ait pas celui accordé à la rébellion ou la critique d'un système profondément ancré et paraissant naturel aux yeux de tous. L'enfant représente ce système. L'effet de mimétisme, de duplication, de colère dés qu'on ne s'occupe plus de lui... et son père, le promoteur, représenterait alors l'Etat qui contrôle ce système, et qui semble inaccessible, parfois invisible. Une histoire qui se répète année par année, chef d'Etat après chef d'Etat... une boucle dans la boucle.
    L'univers est donc posé intelligemment, et à la manière d’un épisode de La quatrième dimension, par la prisme de ce que la société attend de nous, c'est en réalité une démonstration de l'absurdité de celle-ci.
    Le décor en huis clos est bien pensé, et extrêmement visuel, inspiré de l'oeuvre "L’Empire des lumières" de Magritte.
    Et c'est aussi les effets spéciaux qui créer l'ambiance anxiogène. À l'origine c'est 12 maisons qui devaient être construite en décor en studio, mais le budget le permettant pas, ils ont décidé de n'en construire que 3, avec 3 jardins et une partie de la route qu'ils empruntent, le travail consistait ensuite à dupliquer numériquement en 3D et en peinture 2D les différents éléments afin de créer l'environnement d'un réel lotissement sans issue.
    Le casting est très bon et convainquant, surtout le promoteur qui inspire une réelle angoisse rien qu'en le voyant. Et le duo Jesse Eisenberg/Imogen Poots fonctionne très bien !
    Je reste tout de même un peu sur ma fin, il y avait matière à trouver une issue plus impactante et originale je pense, car la fin reste un peu téléphonée. Je m'attendais à une conclusion qui mènerait vers un mythe et une explication plus large et étonnante. Mais cela reste un très bon premier film, surtout pour la double lecture du propos !
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2020
    Vivarium contemple sa propre vacuité pendant 90 minutes, en se prenant pour une oeuvre d'art subversive. Aussi ridicule qu'ennuyeux. Le stade des gros sabots a ici été largement dépassé et nous sommes sur d'énormes bottes de chantier tant la subtilité est absente de ce film: s'il s'est agi de faire une critique de... on ne sait pas trop en fait (le seul tort des protagonistes est d'avoir voulu acheter une maison)... une critique des vie dociles et conformistes (déjà, de quoi tu te mêles, Lorcan Finnegan?) et bien c'est fait sans une once du subtilité, sans propos, sans poésie, sans vision... sans la moindre sensibilité en fait. Le sujet a été choisi pour le prestige qu'il transfère à celui qui le traite mais ici la manoeuvre est grosse: sur le plan du propos c'est vide, sur celui du récit aussi, et en tant qu'objet de cinéma c'est très convenu, en somme tout ce qui reste est surtout la vanité des auteurs de cette chose, qui se sont fait plaisir. Le pire je crois est la façon dont le récit est à la fois forcé et maladroit: il n'y a aucune cohérence à ce que ces personnages là en particulier se retrouvent dans cette situation, mais l'auteur les y force, comme on voudrait nous forcer à penser que ce film est intelligent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 avril 2020
    Un film prétentieux et d’un ennui abyssal. Il n’y a rien à sauver dans ces 1h30 qui auraient pu tenir en 20 minutes. La 4ème dimension et Black Mirror ont montré qu’on peut dire beaucoup en peu de temps et ce film aurait du en prendre de la graine.
    Les effets spéciaux et les décors sont en carton, ce qui aurait pu être une idée vu le concept de l’histoire, mais ça ne prend pas.
    Le gamin est une tête à claques, ce qui aurait pu aussi être un concept, mais là non plus, ça ne prend pas.
    Tout est mou, les sons sont énervants, la musique est saoulante, les protagonistes sont passifs, les couleurs sont écoeurantes et le scénario doit tenir sur un post-it.
    Si ça se veut une critique de la société moderne, c’est raté parce que ce film en est l’exemple type: vide, prétentieux et inutile.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Assez déçu de ce Vivarium dont la bande annonce laissait présager un film tout à fait sympathique et assez original pour valoir le détour et finalement j'ai l'impression que ça ne raconte pas grand chose et que c'est assez gentillet.

    Certes le film n'est pas déplaisant parce que le concept de départ est assez intriguant et voir ce couple piégé dans un lotissement de banlieue suffit pour maintenir le spectateur éveillé, mais j'ai l'impression qu'on aurait pu aller plus loin. Heureusement le film ne s'amuse pas à tout expliquer, bien que la fin soit assez prévisible, ce qui permet de garder le mystère autour du film quasiment intact. Cependant ça n'avance pas, il ne se passe pas grand chose et surtout j'ai l'impression que le message du film sur le fait de venir s'enterrer dans un lotissement où rien n'a de saveur pour élever son rejeton et crever en ayant renoncé à tous ses rêves s'épuise assez vite et que le film ensuite n'a plus grand chose à raconter.

    Oui, le gamin a un petit côté flippant comme dans le Village des damnés, mais rien de bien foufou non plus. En fait il reste cette impression au film d'être long pour pas grand chose, une idée de court métrage d'un film à sketch qui aurait été étalée sur 1h30... et où, au bout, ben on a plus rien...

    Aussi, je pense que le film aurait mérité d'être plus anxiogène, la mise en scène n'arrive pas forcément à faire sentir l'isolement des personnages, capter les tensions dans le couple... c'est un peu plat, comme ce lotissement...

    Bref, c'est pas un film antipathique, juste un film trop long pour ce qu'il raconte.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mai 2019
    Le peu d’acteurs présents dans le film sont bien choisis, la mise en scène réussie et quelques traits d’humour bien vus. Mais sinon, rien. Le vide. Pas de suspense, pas de rebondissement, pas d’angoisse si ce n’est celle de ne jamais voir apparaitre le générique de fin.

    Séduite par l’étrangeté du scénario, déçue par son exploitation amorphe.

    de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress
    gpasdepseudo
    gpasdepseudo

    10 abonnés 258 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mars 2020
    Dans un esprit totalement "4ème dimension", Vivarium pêche malheureusement par une lenteur et une mise en place trop laborieuse. Certes, ici et là on peut y trouver une critique très mollassonne sur l'accès à la propriété, le conformisme de base, mais c'est bien trop peu expressif pour que le parallèle y soit sincère et surtout intéressant pour y emporter l'adhésion.
    Le début est plutôt bien amené, assez rythmé mais tombe rapidement dans une apathie exaspérante. Une fois le pitch compris, au bout d'une 20aine de minutes, le réalisateur est en roue libre et offre une fin totalement prévisible. Mais entre les deux, il faut meubler et dieu que c'est long...
    En court-métrage ou dans un film à sketchs, ce film aurait facilement eu son petit succès...
    benitoberlon
    benitoberlon

    59 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Intriguant au premier abord, bizarroïde très souvent, le film délivre plein d'indices sans nous en expliquer le sens...alors, certes on devine une critique de la société consumériste, avec l'achat d'un pavillon (identique aux autres), mais le film s'étire en longueur, avec un profond ennui, sans nous apporter un semblant de réponse (même si le titre en est un) : On en attendait pas moins, mais un peu plus de matière et d'atmosphère anxiogène aurait sans doute apporter plus à ce thriller qui tombe à plat.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Oubliez la piètre nouvelle version télévisuelle, le plus bel hommage contemporain à "The Twilight Zone" s'appelle désormais "Vivarium" !

    Dans l'imaginaire collectif, le but ultime de tout couple est de trouver la maison idéale, avec son bout de gazon, au sein d'une banlieue tranquille, dans un lotissement parfait, tout ça pour y élever de futurs charmants bambins avec amour dans ce cadre idyllique. Et, quelque part, c'est exactement ce qui arrive à Tom et Gemma, jeune couple cherchant à concrétiser cet objectif conformiste bien enfoui dans l'inconscient de chacun dès le plus jeune âge... mais sûrement pas dans les circonstances qu'ils espéraient.
    En effet, en visitant une maison dans un immense lotissement correspondant en tout point à l'image que l'on décrivait, ceux-ci s'y retrouvent abandonnés par l'étrange agent immobilier qui les accompagnaient. Pire, ils se rendent peu à peu compte qu'ils est impossible de sortir de cette quatrième dimension cauchemardesque !

    Car, oui, toute cette perfection de surface va bien évidemment se révéler être un cauchemar pour le couple désormais condamné à vivre en autarcie dans le vide de ce quartier croisant l'esthétique d'un Truman Show particulièrement tordu à celui d'un cartoon glauque. C'est bien simple, dans ce "Vivarium" que l'on prend un malin plaisir à scruter comme les forces supérieures qui le gouvernent, tout ce qui devrait être la source normale du bonheur de Tom et Gemma se retourne contre eux ! Une maison que l'on ne peut plus quitter, une nourriture en abondance réduite à sa définition la plus élémentaire, un décor "de rêve" qui conduit à la folie par son immobilisme... et, le plus important, l'arrivée d'un enfant qui va transformer la satire de cette vie de couple sur avance rapide en tableaux allégoriques franchement brillants !
    À l'instar de n'importe quelle naissance, ce bébé va être le point central de l'évolution de la relation entre Tom et Gemma mais, comme il est aussi une vision déformée de la réalité par sa nature, ce qu'il engendre comme "pastilles" de ce couple ne sont que des détournements absurdes de son quotidien. L'élever devient ainsi synonyme de captivité, le rôle d'une mère au foyer vire à celui d'infirmière psychiatrique, celui du père à s'enfermer dans un labeur grotesque pour s'échapper du reste... On s'arrêtera là sur ce point pour ne pas en dévoiler plus mais sachez juste que, dans cette optique de tourner en dérision la globalité d'une existence dédiée à un enfant, "Vivarium" ne cessera d'impressionner par l'intelligence des doubles-lectures qu'il propose avec générosité ! Ajoutez à cela les géniaux Jesse Eisenberg et Imogen Poots pour les interpréter et il devient quasi-impossible de ne pas se coller à la vitre de ce vivarium pour tenter de découvrir ce qu'il s'y passe !

    Parallèlement, "Vivarium" va bien entendu jouer sur son mystère et le faire d'ailleurs plutôt bien en ne cessant d'élargir la bizarrerie de ce monde à travers des rebondissements très bien distribués tout au long de sa durée. Si, au regard de son prologue et de certains événements en cours de route, la finalité globale de cette histoire dans ces grande lignes ne pourra pas vraiment créer la surprise (les dernières minutes seront assez prévisibles en ce sens), c'est clairement dans son déroulement que le film impressionnera le plus, en ne se répétant jamais, en maniant l'art de l'ellipse au bon moment pour ouvrir de nouvelles portes et, surtout, en parvenant toujours à garder notre œil fasciné sur ce monde et ses phénomènes hors-norme. Dans "Vivarium", tout semble pouvoir arriver à tout instant et c'est une de ses plus grandes qualités, d'autant plus que ce "tout" arrivera même souvent !
    Bref, le film de Lorcan Finnegan est un pur épisode de "The Twilight Zone" qui réussit, de surcroît, le tour de force de tenir son postulat étrange sur plus de 1h30. Pas de doute, Rod Serling aurait applaudi.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    400 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Petit film bizarre s’enfermant dans son concept, tel un épisode de la Quatrième Dimension qui ne saurait pas comment se conclure, sans message particulier sur le monde si ce n’est son aseptisation, rien de neuf donc, mais au mystère tenant néanmoins en haleine.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 728 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mai 2020
    Vivarium commence par des images étranges des premiers cycles de vie d'un coucou. Le film semble mettre en place les profils de personnage de Poots et Eisenberg. Les 30 à 45 premières minutes semblent contenir une intrigue intéressante. Après cela tout tombe à plat. Le développement des personnages s'envole par la fenêtre et le film prend un cycle répétitif déprimant, jusqu'à ce qu'il se termine sans aucune explication réelle. Il n'y a pas de point culminant majeur dans le film. Il n'y a pas de fin heureuse. Si vous vous endormez et que vous vous réveillez 30 minutes plus tard, vous serez de retour là où vous avez commencé car rien n'aura changé. Pas d'intrigue, pas d'histoire, pas de dialogues rédempteurs. Une perte de temps totale qui ne vous laisse aucun sentiment. Les métaphores étaient superficielles, prétentieuses et le rythme du film était terrible. Et il n'y avait pas aucun rebondissement. Vous pouviez voir beaucoup de choses venir à un kilomètre. J'aurais voulu ne jamais avoir vu ça et n'avoir pas perdu mon temps...
    Graziella K
    Graziella K

    2 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2020
    film complètement inutile. j'y suis allée pour la comparaison avec Black Mirror je me dis que j'aurais dû faire comme un monsieur dans la salle et m'en aller.
    ce film est d'un ennui qui me fascine ! on cherche un rebondissement, quoique ce soit qui vienne créer du suspense, un début d'explication et on attend.
    j'ai repéré des références à Men In Black, Alice aux Pays des Merveilles, les Simpsons même, sans savoir si j'étais dans le vrai.
    certains diraient que le couple, obsédé par le fait de trouver la maison parfaite est piégé par un monde qui au final exige d'eux de répondre à certains codes et d'agir comme il est attendu d'eux pour le bien d'une société dont on ne sait rien.
    la fin est assomante et m'a limite mise en colère. je me suis sentie trompée parce que l'effet de loop qu'ild ont voulu créer n'est pas expliqué et difficile à comprendre. SPOILER A DEUX FRANCS : l'extraterrestre leur dit que le devoir du couple était de l'élever pour qu'il sache se comporter dans la société humaine, mais de ce qu'on voit, une fois l'âge adulte, il n'interragit pas avec l'humain mais ne fait que de vendre des maisons à des couples. c'est tout. il ne sélectionne pas les couples selon leurs coeurs, leurs apparences, il suffit qu'ils poussent la porte de son agence. ses seules activités c'est d'aller de l'agence au quartier factice jusqu'à ce qu'un autre vienne le remplacer. ou alors je n'ai vraiment rien compris et dans ce cas j'aimerais VRAIMENT etre éclairée.
    borowski
    borowski

    19 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2020
    Film sans queue, tête ni explication. C'est la première fois en 3 ans de cinéma illimité que je sors en étant incapable d'expliquer le film vu. En même temps il est sans intérêt. Un naufrage complet. À éviter.
    julien4341
    julien4341

    9 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2020
    D'un ennuie sans fin... l'idée était bonne mais pas développée sur certains aspects. Dès le générique on se doute qu'il y a eu des difficultés de financement vu le nombre de boites de production. Même les décors sont trop simples et l'intérêt part aussi vite que l'intrigue.
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