Mon compte
    Vivarium
    Note moyenne
    2,6
    2789 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Vivarium ?

    340 critiques spectateurs

    5
    27 critiques
    4
    48 critiques
    3
    103 critiques
    2
    66 critiques
    1
    45 critiques
    0
    51 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Elisabeth M
    Elisabeth M

    30 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2020
    C’est d’un ennui mortel, a moins d’être un philosophe qui arrivera a trouver la logique et la morale a cet chose indigeste et ennuyeuse qu’est ce film. C’est trop tordupour le commun des mortel,,qui comme moi cherche a travers le visionnage d’un film, un simple divertissement. Mais je ne me suis pas diverti un seul instant, c’est long, gnangnan, sans queue ni tête. Rien d’intéressant dans ce huis clos. Je ne sais pas comment j’ai tenu jusqu’au bout, j’espérais une fin logique qui aurait donner un sens a cette histoire, mais non, a l’image de l’ensemble du film, ça n a pas vraiment de sens a moins d’être, comme je le dis au début un philosophe capable de trouver les métaphores cachées derrière cette histoire abracadabranqueste.... Je ne comprends même pas que l’on puisse appeler ça un film, c’est plutôt un essai philosophique sur notre propre existence et sa raison d’être... C’est une perte de temps que d’avoir regarder ce pseudo film, on’espère tout le ,o’g qu’il va se passer quelque chose, mais non... rien, c’est le vide, le néant tout du long. Sa seule utilité est peut-être de pouvoir remplacer un somnifère en cas d’insomnie, ou un laxatif tellement c’est ch****....
    GIJoe
    GIJoe

    107 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 octobre 2020
    La lecture du pitch m'avait intriguée. Car je m'attendais à un scénario, une intrigue et des péripéties un peu + sophistiqués... Aux prix Nobel qui mettent 5 étoiles parce qu'ils essaient de prendre l'air intelligent des pseudo élites => je ne pense pas que les inepties de bobos que j'ai lues constituent des explications logiques à ce vide abyssal qu'est l'histoire. Le couple ne semble pas obsédé par la recherche d'une vie parfaite en banlieue. Donc cette soi disant finalité névrotique ne peut même pas justifier le scénario. Aucune profondeur. Un "mystère" qui laisse toute latitude aux philosophes de bac à sable pour disserter pendant des dizaines de lignes et probablement alimenter leurs conversations des jeudis soirs autour de leur bouteille de Beaujolais nouveau. Aucun intérêt donc...
    lmc-3
    lmc-3

    275 abonnés 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2020
    Film sortant des sentiers battus, histoire atypique et intrigante dans laquelle on se laisse volontiers porter, sans savoir où le récit va nous mener. Les acteurs jouent bien et l'ambiance générale est efficace, pour un moment passé sortant des habitudes. Attention cependant, si le film est captivant, il reste cependant très mou.
    Une chose cependant concernant le découpage: dénouement amenée trop brutalement après le long pourcentage de situation initiale/élément perturbateur/péripéties, le rendant très court, beaucoup d'éléments laissés en suspend, dont la nature du lieu et de "la chose", ou encore de l’inconnu mimé, l'objectif général, et tout l'arc concernant les mystérieuses images à la TV et le livre qui les accompagne, le cadavre trouvé au fond du trou est-il signe d'un schéma qui se répète? Quel était le bruit entendu de temps en temps en provenance de sous la terre? était-il réel ou imaginaire? la nature de l'apparition des boîtes quand on regarde ailleurs?
    s'il peut être normal que des films laissent des questions sans réponse pour laisser libre court à l'imagination des spectateurs, là ça fait beaucoup.
    Film très intéressant.
    traversay1
    traversay1

    3 655 abonnés 4 881 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2020
    En ces temps de confinement chez soi, Vivarium, qui en décrit les joies de manière sarcastique, prend une résonance particulière. Il a été dit un peu partout que le deuxième long-métrage de l'irlandais Lorcan Finnegan ressemble à un vieil épisode de la Quatrième dimension et c'est exact. La critique de notre société consumériste est limpide et distillée avec une dose d'humour noir et cinglant, vrai aussi. Le problème du film apparait au bout d'une grosse demi-heure quand les personnages n'en peuvent plus de tourner en rond au même titre que le scénario qui ne trouve pas d'éléments suffisamment neufs pour nous sortir de la routine maussade et anxiogène de ce couple piégé. Et le dénouement, en forme de boucle, ne suscite pas vraiment de surprise. Ceci dit, il faut louer la cohérence stylistique de l'ensemble, ses qualités esthétiques et sa froideur assumée. Cette parabole fait la part belle à l'interprétation des deux principaux personnages du film et cela tombe bien car Imogen Poots et Jesse Eisenberg sont réellement impeccables. Peut-être eût-il fallu un grain de la folie dans la mise en scène et la narration, avec davantage d'audace dans son aspect fantastique pour que Vivarium échappe à une sorte de tranquillité cauchemardesque ? Un bon point supplémentaire à noter, malgré tout : inclure un morceau de XTC dans le générique de fin est une preuve de très bon goût.
    BettyB
    BettyB

    25 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juillet 2020
    Malgré la présence de Jesse Eisenberg, Vivarium est un nanar total, ridicule de bout en bout. Le pitch fait pshitt, aucune densité dramatique ou humaine ne vient dynamiser cette fable molle et ennuyeuse, qui se la joue anti-système alors qu'on patauge dans le formatage esthétique et un récit à l'artificialité maladroite. Un très mauvais épisode de la quatrième dimension étiré sur 1h30. Usant de vacuité.
    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 095 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2020
    Un Thriller légèrement surnaturel mais surtout sans saveurs ni réel interet. On s'ennuie beaucoup, c'est vraiment très moyen ...
    Sblurch J.
    Sblurch J.

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Le cauchemar absolu de notre vie moderne ! C'est féroce, parfois méchant, souvent très drôle, et petit à petit très angoissant. Mais pas angoissant comme un film d'horreur... Angoissant parce que, se retrouver face au vide absolu de nos existences, quoi de plus terrifiant finalement ?
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    138 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2020
    L'histoire est plutôt bien trouvée et bien écrite, mais était plutôt faite pour un court métrage que pour un film d'une heure et demie. Fatalement le film souffre de quelques longueurs, surtout que la fin est beaucoup trop facile à deviner. L'absence de toute mise en perspective ou d'explications réduit le film à une sorte de long épisode de la quatrième dimension. Heureusement que les acteurs sont bons, ce sont eux qui sauvent le film. C'est tout de même de la science fiction qui sent la naphtaline et les années 50.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    147 abonnés 3 104 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2020
    ATTENTION, il y a une tromperie sur le sujet ce film n'est pas un thriller ni de la science fiction mais un film d'horreur. Le début fait illusion. Le thème pouvait être intéressant avec de bons acteurs mais le traitement d'ensemble est de l'horreur et presque rien d'autre de compréhensible.
    Chenille81
    Chenille81

    5 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2020
    Qu'est-ce qu'il est étrange ce film ! La première moitié de ce long-métrage est captivante mais après au fur et à mesure, le film commence à me lasser, à devenir soporifique et je voulais arriver à la fin le plus vite possible (et pourtant il ne dure que 90 min). Je devinais déjà la fin quand spoiler: le gosse est devenu adulte,on savait qu'il sera le prochain agent immobilier.

    Le concept est intéressant (on aurait pu croire que c'est du Stephen King genre in the Tall Grass, etc) mais il manque des explications :
    spoiler: Je suppose que le gosse et l'agent immobilier au début sont des aliens ou autres créatures non humaines ? quel est leur but réel sur Terre ? quel est l'intérêt du bouquin ? ont-ils besoin de l'être humain pour grandir ? (explication donnée par le gosse à l'adulte) Comment se fait-il qu'ils tournent en boucle, pourquoi sont-ils bloqués dans cette zone ? la maison ne brûle pas ? qu'est-ce que Yonder, une bulle invisible de ces créatures ?

    Ou bien le sort de ce couple était lié au karma ? spoiler: les deux bébés oiseaux morts (à cause de Tom?) sont enterrés, le couple fini par avoir le même destin ?

    Vivarium se développe mal pendant la seconde de partie, des questions sans réponses et la chute était prévisible.
    Une déception pour moi.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    706 abonnés 3 075 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Vivarium s’ouvre sur l’expulsion hors de leur nid de petits oisillons qui meurent au bas de l’arbre qui les abritait, leur offrait un toit, chassés par de nouveaux occupants soucieux de trouver là une habitation idéale. Ce mouvement de substitution constitue la dynamique profonde du long métrage de Lorcan Finnegan qui a l’intelligence de soigner ses quelques coups de théâtre afin de les engluer dans une banalité sordide et amollissante : en attaquant par le prisme du surnaturel la banlieue pavillonnaire américaine telle que représentée par Tim Burton notamment dans Edward aux Mains d’argent, le réalisateur réorganise un ordre des choses et du monde qui décalque à peu près le fonctionnement normal de notre société occidentale, mais dont l’automatisation évacue les excès, les bigarrures, les défauts, tout ce qui pouvait renvoyer à de l’humain vivant. Et si la mise en place de ce vivarium risquait de prime abord de tomber le film dans les travers du laboratoire anthropologique soucieux d’appliquer une formule, de mener à son terme une expérience scientifique – tel est le cas de La Plateforme, par exemple –, son traitement refuse le théorique pour se cantonner à suivre le couple de protagonistes dans son nouveau quotidien, un quotidien qui radicalise ses occupations antérieures en incitant Tom à creuser un trou devant la maison dans l’espoir d’y trouver des réponses, lui qui était paysagiste et qui tente, on le comprend, de se réapproprier le paysage avec lequel il doit cohabiter, en convertissant la profession de Gemma, institutrice de maternelle, en celui de mère de substitution. Dit autrement, les personnages s’enferment dans leur travail au point de se détruire la santé et d’altérer leur complicité mutuelle. Préfiguration du cycle consumériste dans lequel s’engagent les classes moyennes : acheter une belle maison à crédit, se tuer à la tâche pour rembourser ce crédit et payer des études aux enfants, mourir. Qui plus est, le garçon qu’on leur refile incarne cette trajectoire destinale placée sous le signe de la fatalité : de petit consommateur de céréales trempées dans du lait, il deviendra vendeur de rêve, agent immobilier en somme, répétant la boucle de la consommation. L’espace de la maison est le théâtre non pas d’un passage des âges et des êtres mais du ressassement des mêmes images : la télévision diffuse des programmes mystérieux où se meuvent des formes, sans texte apparent, les étagères supportent des bibelots mais aucun livre, aucun support culturel. Ce que met en scène Vivarium, c’est l’automatisation galopante de la pensée, la mort de la réflexion et de l’esprit critique au profit d’une obéissance à des signaux lumineux – le soleil se lève et se couche – et sonores – les cris du gamin. Le mystère inhérent à cette banlieue pavillonnaire est un faux mystère, du toc : la route séparant les maisons fait un bruit de sol d’hypermarché quand les talons de Gemma la foulent, les coups de pelle et de pioche amènent Tom à creuser sa propre tombe et découvrir les corps des anciens occupants, preuve de l’engrenage mécanique dans lequel il est pris. Le film exhibe de façon remarquable les dangers de l’uniformisation qui ne peut que déboucher sur de l’impersonnalité : le domicile familial est une maison-témoin sans désordre ni culture, les produits de consommation sont livrés dans un carton sans que le couple n’ait au préalable passé commande. Vivarium révèle au grand jour le processus de dépersonnalisation de soi au profit d’un confort de vie qui n’est que vie déléguée par procuration, vie manquée, vie pas vécue. Une œuvre passionnante qui semble annoncer la naissance d’un cinéaste, Lorcan Finnegan.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 avril 2020
    Film inutile!! Une histoire complètement grotesque, des scènes redondantes, une fin médiocre !!
    Honnêtement je ne comprend pas ou le réalisateur souhaitait en venir ??? Aucun intérêt je déconseille fortement
    S5Clem
    S5Clem

    85 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2020
    Tabloïd triste de la reproductibilité de l'être humain et de ses objectifs de vie conformistes et aseptisés. Tous différents et pourtant tous si semblables, rêvant à l'unisson des mêmes réussites uniformisées. Du rêve utopique au cauchemar, la frontière est mince quand on prend conscience de la prison dans laquelle la société moderne et ses chimères nous enferment. Véritablement un chef d'oeuvre, un film qui ne ressemble à aucun autre et qui nous emmène dans son voyage introspectif et métaphorique de la vie en société moderne. Rarement critique philosophique n'a été aussi pertinente sur grand écran. Rien à voir ici avec un Black Mirror, c'est même l'opposé tant tout est à comprendre soit même à l'inverse de la série qui nous mâche le travail de réflexion. Chapeau, même si il est certain qu'il n'est pas à la portée de tous d'en saisir l'essence
    Lecter_H
    Lecter_H

    202 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Encore un film particulier, qui sort des sentiers battus. Dans le registre du mystère, du fantastique et un peu de l'horreur, on a ici un huis clos assez angoissant. Pas de sang, pas de massacre mais une situation pesante qui n'évolue jamais dans le bon sens. C'est très bien écrit, très bien joué. J'aurais juste aimé plus d'explication à la fin. Le film se termine comme il a commencé : plein de mystère. Un film très surprenant mais qui nous garde en haleine d'un bout à l'autre et rien que pour ça, il vaut le détour.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2020
    On ne peut qu’encourager ce type de proposition de cinéma fantastique audacieuse et originale. Car on est vraiment dans la fantastique pur et dur ici, loin des errements récents du genre en la matière depuis quelques décennies qui se traduisaient par des films d’épouvante bas de gamme ou de l’imaginaire familial aux oripeaux merveilleux. Hormis quelques perles comme « It follows » ou « Hérédité », le genre a perdu ses lettres de noblesse depuis des années. Ce « Vivarium » de Lorcan Finnegan n’est que le second film de son réalisateur et il est diablement abouti. En lorgnant légèrement vers la science-fiction, il a la bonne idée d’être à la fois original sur le propos, formellement abouti et doté d’un sous-texte social pertinent et fort. Mais pour apprécier ce type de long-métrage, il faut aller mettre de côté ses penchants cartésiens et être friand de films bizarres et étranges. De la même manière, il faut concéder de ne pas tout comprendre. Se faire sa propre idée fait partie intégrante du jeu et du contrat passé entre le réalisateur et son spectateur.



    On pense beaucoup à un épisode allongé de séries mythiques telles que « Twin Peaks », « La Quatrième dimension » ou « X-Files » avec cette œuvre au postulat dément. Quant à la forme, les réalités déformées des peintures de Dali peuvent venir à l’esprit à l’instar de tout un imaginaire collé aux banlieues anonymes devenues terrifiantes. Et c’est réussi et anxiogène à souhait sur ce point. « Vivarium » utilise la fable pour pointer du doigt, de manière un peu appuyée, le consumérisme extrême de nos sociétés capitalistes et le besoin de posséder. Tout comme celui de se fondre dans une masse formatée par des publicités vendant un rêve de normalité. Et le film dépeint parfaitement comment ces idéaux peuvent être transformés en cauchemar éveillé par le biais d’un processus narratif en huis-clos angoissant et introspectif. En creux, le pouvoir nocif de la télévision est aussi pointé du doigt.



    Le duo d’acteurs est impeccable et permet une totale identification avec leurs personnages. Leur plongée dans l’enfer du conformisme et du consumérisme, poussée à l’extrême, traverse l’écran pour nous hanter comme ils le sont. Le lotissement et la maison sont en tous points horribles de perfection et la métaphore sur notre façon de vouloir vivre suit impeccablement son cours. Il y a parfois des airs de « Truman Show » cauchemardesque ici. On a droit à quelques moments de terreur et de visions dérangeantes où le bizarre nous met (vraiment) mal à l’aise, surtout avec ce petit garçon irritant offert au couple enfermé. Parfois on se dit néanmoins qu’un court-métrage d’une demi-heure aurait peut-être mieux synthétisé tout cela, « Vivarium » relevant parfois trop du film concept qui se prend les pieds dedans. En effet, comme les personnages, le dernier tiers finit par tourner un peu en rond et les points de suspension s’avèrent un peu nombreux. Mais un second visionnage pourrait éclairer certaines symboliques. En l’état, c’est stressant, bien fait et en total accord avec ce que pourrait être la notion de famille idéale dans une maison idéale avec une vie idéale poussée dans ses retranchements négatifs les plus extrêmes. Innovant, pas commun et à voir.


    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top