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    Plaire, aimer et courir vite
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    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 462 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2018
    C'est simple, je n'ai pas apprécié, non pas parce qu'il traite d'homosexualité et de SIDA, non, mais par ce qu'il dégage ou par les images -fortes -, mais par la réalisation lente, des images noires, qui n'offrent pas beaucoup de bonnes ondes ou de rayons de soleil. Certes, Vincent Lacoste nous montre une autre face, que ce jeune prof de colo (pardon il le fait encore en tant que directeur) de jeune écervelé.... qui a grandi, qui assume ses envies. Bref ce film ne m'a pas plu, même Denis Podalydès n'est pas convaincant !! (2)** !!
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    Nous sommes en 1993 et nous allons suivre la vie et les destins croisés de trois hommes qui aiment les hommes : le désir, le plaisir, l'amour, le libertinage, le sida, la mort...
    Trois superbes acteurs (Lacoste, Deladonchamps, Podalydès) que j'aime beaucoup et pourtant trop de longueurs et peu d'enthousiasme au final.
    Je n'ai pas accroché à cette oeuvre pas si mauvaise sur le fond, mais globalement décousue, ennuyeuse, bavarde, sans relief et tout simplement trop longue (2h12).
    Une vraie déception, bien loin de la puissance émotionnelle ressentie dans "120 battements par minute" (2017) sur quasiment le même thème.
    --> Site CINEMADOURG <--
    colombe P.
    colombe P.

    130 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mai 2018
    Points positifs : thème important et bons acteurs.
    Points négatifs : ambiance très ampoulée, durée beaucoup trop longue, la plupart du film se passe dans des tons froids et tristes, dialogues agaçants.
    Je suis restée jusqu'au bout mais ma soeur, avec qui j'étais, a préféré partir au bout d'une heure.
    gugaciao
    gugaciao

    4 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Une grosse, très grosse déception au delà pourtant qu'un film et scénariste français (contrairement associe une fois de plus l'homosexualité et le sida (comme si le sujet principal de toujours était le sida dans la vie d'un homosexuel).
    Hormis Vincent Lacoste qui est naturellement bon acteur et où le rôle me parait plus réaliste, le reste est superflux, où le rôle de son amis touché par le sida est juste exécrable et tombe dans les clichés. Perso IL est juste détestable par son arrogance intellectuelle et snobisme répétitif. Limite on est soulagé de la tournure que sa destiné doit prendrecar on ne s'identifie en rien à ce personnage, à moins de lui ressembler. Le scénario est creux et lent, on s'ennuie la plupart du temps. Il n'y a aucune surprise sur le scénario et la fin est juste une arnaque.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Évidemment, inévitablement on le comparera à "120 battements" de l'an dernier...Mais là on est dans l'intime, pas l'acte militant. Si le scénario est très autobiographique, d'après Honoré lui même, le déroulement du film nous amène progressivement vers l'émotionnel ; je dois dire que la "1ere heure" grosso mode ne m'a pas convaincu, ou du moins ému. Puis au contact du réel, de la maladie clairement montrée on est emporté. Les 3 comédiens principaux sont très convaincants: peut on envisager une triple prix d'interprétation à Cannes ? Why not?
    Jean-Marc G.
    Jean-Marc G.

    3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Contrairement à tout ce que j’avais lu sur ce film, ce ne sont que clichés et encore des clichés sur l’homosexualité.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2018
    Un récit d’apprentissage partiellement autobiographique. Passionnant et émouvant. Pierre Deladonchamps éventuel Prix d'interprétation ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 mai 2018
    L'affiche, la bande annonce, donnent l'impression d'un film positif, réjouissant, optimiste, drôle, et c'est bien l'inverse qui est servi... le marketing trompeur même pour les "films d'auteurs"...Le film est long et lent à mourrir, des personnages peu creusés, sauf par leurs problèmes, ça fait "écriture", ça fait profond....Les personnages féminins sont quasi inexistants, et servent de faire valoir, mais le réalisateur vous dira sûrement que tous les personnages, révèlent ici leur part de vulnérabilité, et finalement leur part de féminité. On dirait un déroulé d'images, de sons et de poncifs à la Télérama. Le film souffre réellement d'un problème de structure, il ne se passe rien, d'ailleurs quand on ne sait pas vraiment écrire, on répond qu'on filme la vie, qu'on saisit des tranches de vie, ou alors on parle de "destins croisés", c'est le mot magique des films d'auteurs. Par moments pour faire "chef d'oeuvre", (le rêve de tout réalisateur), celui ci envoie de la musique classique, de l'Opéra plus précisément, mais ça fait procédé, et ça frise la prétention. Le film sent le "diner débat" avec la table dressée et les micros tendus au réalisateur. 2H15 c'est tellement long, pitié ! pitié !
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2018
    On ne peut pas dire que Christophe Honoré soit mon metteur en scène préféré. On ne peut pas dire non plus qu’il soit banal ou ennuyeux. Il change de registre presque à chaque film. Après les costumes de l’horripilant Les malheurs de Sophie, il saute directement aux années 90 pour nous offrir là son meilleur film. Je partais pourtant pour détester. Et puis je ne voyais pas du tout Vincent Lacoste en jeune étudiant gay. Contre toute attente, il s’en sort très bien. Tout comme Pierre Deladonchamps, terriblement touchant, impeccable comme toujours, et comme Denis Podalydès, formidable. Le trio fonctionne à merveille. Il m’a tout de même fallu un petit moment avant d’adhérer totalement au film. La scène clé est pour moi celle de la voiture sur la chanson d’Anne Sylvestre. A partir de ce moment là, l’émotion m’a submergé jusqu’à la scène finale aussi déchirante que magnifique. Une mise en scène aussi discrète que maitrisée, un scénario et des dialogues aussi fins que drôles et intelligents. Autant de moments qui m’ont rappelé avec nostalgie des souvenirs de cette époque (parfaitement rendue). Si je suis sorti du film perturbé et bouleversé par ce premier/dernier amour, c’est plusieurs heures après qu’il m’a vraiment fait de l’effet et explosé littéralement dans le cœur. Bref, Honoré remonte en flèche dans mon estime. Pourvu que ça dure. En tout cas voilà, tout simplement l’un des plus beaux et des plus forts films français de l’année.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2018
    Aller voir un film de Christophe Honoré n'est jamais un moment facile pour moi. Mais cette fois-ci je me suis laissé tenter peut-être parce que le film se situe dans les années 90 avec une histoire autour du SIDA ou attiré par le duo d'acteurs. Et bien je n'ai pas été déçu. Le film est frais, original, bourré d'émotions aussi bien joyeuses que tristes. La rencontre par hasard de ces deux hommes qui vont suivre une correspondance téléphonique et écrite pour enfin se retrouver est très touchante. Le contexte du SIDA ne rend pas la chose facile mais on ne tombe jamais dans le larmoyant et ça grâce aux acteurs qui donnent de très belles performances. La réalisation et la direction photo sont sobres mais collent aux personnages. La reconstitution des années 90 est réussie. Je regrette que la bande annonce montre plus d'éléments de la deuxième partie du film du coup on s'attend à ce qu'il va se passer.
    palulos
    palulos

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2018
    Film trop long pour le peu de scénario qu'il a à proposer. L'histoire est donc diluée dans des scènes clichées de techniques cinématographiques. Quelques répliques intéressantes, mais dans l'ensemble le propos n'est pas très intéressant. Surfe sur la mode des films gays, sans avoir grand chose à ajouter ou de nouveau à proposer.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 mai 2018
    C'est fou cette propension de certains films qui traitent de l'homosexualité à n'en montrer que les excès dépourvus d'un seul iota de maîtrise de soi. Sans doute est-ce plus vendeur. Pour résumer: Un Xieme film venant parler du SIDA, faisant suite à des films ayant mieux traité le sujet, qui n'apporte rien de plus qu'on ne sache déjà, ennuyeux à souhait, confinant au voyeurisme malsain ou à l'obsession, ampoulé à bien des égards, aux clichés monumentaux qui feraient passer tous les homosexuels pour des gens superficiels, queutards jamais satisfaits, aux sentiments plus que contradictoires, égocentriques et percevant autrui comme chose à posséder ou un vulgaire miroir de ses propres angoisses et peurs (on se demande ainsi à un moment si Deladonchamps pleure pour la mort d'une personne qu'il a "aimé" ou si il pleure pour lui même... pour son propre devenir. De même on se demande si le fait de "sortir" avec un jeune n'est pas au delà d'un quelconque "amour" un moyen de se racheter une seconde jeunesse). Mise en opposition d'une jeunesse "gay" forcément superficielle et aux multiples conquêtes (or les enquêtes sociologiques prouvent le contraire) et d'une vieillesse "bonne amie" qui est forcément peu attrayante et à moitié "morte" (au regard de certains critères superficiels et étriqués) et qui n'a d'autre choix que d'avoir recours aux gars à la peau noire forcément hypersexués, présentés sous des aspects ridicules, endossant tous les clichés physiques censés leur être attribués et qui doivent évidemment se contenter du rôle de prostitué de service (assez dérangeant quand-même... ça en à fait rire certains dans la salle...pas moi!). Ne parlons pas de la question du SIDA qui n'est abordée que sous l'angle de comportements sexuels compulsifs en ignorant allègrement d'autres approches qui auraient peut-être apporté une nuance à ce microcosme ayant la prétention d'être représentatif de tous les "gays" des années 80- 90 comme d'un groupe monolythique... Sinon pour le plaidoyer en faveur de l'homoparentalité c'est raté... Bref je ne comprend absolument pas cet encensement par la critique et je cherche toujours cette "fantastique ode à l'Amour" dépeinte par beaucoup à part évidemment si on considére l'Amour comme une notion fourre-tout qui commence dès qu'autrui montre un soupçon d'anatomie. Quelques prises de vue visuellement intéressantes... sans plus. Vu le titre je m'attendais à qqch de plus "profond"... j'ai été déçu. Je n'ai eu qu'une seule envie: courir vite mais vers la sortie... J'ai par ailleurs espéré de toutes mes forces que certains proches n'aillent le voir pour ne pas ressortir remplis d'images à l'esprit ne me concernant pas! J'ai bien peur que sur certains points et sans le vouloir ce film soit susceptible de donner du grain à moudre à quelques homophobes ici et là...
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2018
    Sachant qu’il est question d’une histoire d’amour homosexuel se déroulant au début des années 90 et dont l’un des protagonistes est atteint par le sida, il est tentant de comparer ce film à celui qui faisait sensation, l’an dernier, à Cannes, « 120 battements par minute » de Robin Campillo. Les deux films sont pourtant extrêmement différents. Même s’il y avait place pour une romance à deux dans le film de Campillo, il y était surtout question de collectivité, des combats et des débats auxquels se livraient les membres d’Act Up. Rien de tel dans le film de Christophe Honoré qui se contente d’effleurer les questions soulevées par le film de Campillo et oriente son scénario vers la romance et le mélodrame.
    S’inspirant très probablement de sa propre histoire, Christophe Honoré raconte les histoires croisées de Jacques Tondelli (Pierre Deladonchamps), un écrivain trentenaire habitant à Paris, malade du sida et père d’un garçon d’une dizaine d’années, et d’Arthur (Vincent Lacoste), un étudiant de Rennes qui, bien qu’apparaissant en couple avec une jeune femme, se découvre de plus en plus attiré par des aventures charnelles avec des jeunes gens de son sexe. Les deux protagonistes se rencontrent à l’occasion d’une conférence à laquelle doit participer l’écrivain, dans un cinéma, se plaisent, s’aiment et entrent aussitôt dans la course que mentionne le titre. Il faut faire vite, en effet, ne pas perdre de temps, puisque, à cause de la maladie, les jours sont comptés.
    Sauf que ce n’est évidemment pas si simple, ne serait-ce qu’à cause de l’éloignement. L’un vivant à Paris et l’autre à Rennes, une grande partie du film nous les montre séparément, leur lien ne perdurant que grâce au courrier et au téléphone. Les désirs et les manières d’être de l’un et de l’autre ne sont pas non plus totalement accordés : du fait de sa maladie, mais aussi de son âge, Jacques Tondelli se révèle hésitant, peu sûr de lui et gardant une certaine distance (il persiste à vouvoyer son partenaire) tandis qu’Arthur, tout à la fougue et à l’insouciance de son jeune âge, ne songe qu’à rejoindre celui qu’il aime et à jouir du temps présent.
    Cette histoire, qui ne peut que finir dans les larmes, Christophe Honoré a su la décliner assez habilement en ménageant des scènes graves, douloureuses, avec d’autres, beaucoup plus légères, voire drôles. Les personnages secondaires, comme l’ami intime et voisin de Jacques Tondelli joué par l’excellent Denis Podalydès, apportent leur part d’élégance, empêchant le film de trop accentuer son penchant lacrymal. Cela étant dit, il faut reconnaître que le réalisateur ne manque pas de talent quand il s’agit d’exposer de la souffrance à l’écran. De ce point de vue, certaines scènes sont particulièrement réussies, comme celle qui montre les hésitations et les pleurs de Jacques au volant de sa voiture tandis qu’il écoute une chanson d’Anne Sylvestre.
    Beaucoup de critiques encensent ce film et c’est bien. Pour ma part, je suis un peu plus réservé, pour des raisons strictement cinématographiques : le film m’a semblé trop long et quelque peu redondant. Pour ce qui concerne le récit lui-même, je le juge bienvenu. Les regards sur l’homosexualité ont déjà beaucoup évolué dans notre pays et je m’en réjouis. Cela étant, on le sait, il ne suffit pas de grand-chose pour que ressurgissent les propos (ou même les actes) homophobes, comme on a pu le constater, par exemple, à l’occasion de certaines manifs. Pour ce qui me concerne, en tout cas, je ne laisse place à aucune once d’ambiguïté : je condamne fermement toute démonstration d’homophobie, quelle qu’elle soit, et me réjouis de la parution sur nos écrans de films qui, comme celui de Christophe Honoré, nous encouragent à changer définitivement nos regards.
    Jean Luc L
    Jean Luc L

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 octobre 2018
    Film banal previsible ennuyeux et vide.. acteur insipide au profil niveau tele ne supportant pas l echelle du grand ecran. Car trop peu de charisme. Peu d expressivité.de caractere.
    Histoire longue rien ne se passe sur un sujet et dans une ambiance deja archi explorée.. je ne comprends pas toutes ces bonnes critiques .. car absence d originalitè et donc de creativite.. au ton faussement libre avec peu de moyen intellectuel voir emotionnel.
    T T
    T T

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2018
    J'ai du mal à comprendre comment Ch. Honoré ait pue faire un si mauvais film après tous ses oeuvres.
    Le film est long, les dialogue parfois exagéré et le jeux d'acteurs pas crédible.
    Je ne le recommande pas.
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