J'ai cru mourir d'ennui ! Aucun intérêt - film trop long ressassant l'idée fixe d'une quarantenaire - l'humour est trop maigre pour nous tenir éveillés - vraiment quelle déception - comment un jury a pu porter ce summum d'ennui aux nues ?
En un mot : insupportable. ce film suinte le parisianisme bourgeois de toute part, ce même parisianisme - nombriliste et vaniteux, d'une vacuité sidérale - qui fait agoniser le cinéma français depuis des décennies. Ce film est d'un ennui rarement rencontré au cinéma. C'est insupportable d'assister aux péroraisons masturbatoires de ces cinéastes parisiens déclinant vers la vieillesse et s'accrochant encore à des tentations infantiles. Un beau soleil intérieur ? Un vacuité intersidérale !
Un naufrage épique!! Des dialogues médiocres pour une histoire inintéressante au possible, même les acteurs n’y croient pas et participent à un enchaînement de scènes gênantes sans queue ni tête! C’est tellement mal joué et mal dirigé qu’on dirait que chaque scène a été tourné à la va vite et qu’on a mis la moins pire au montage final! Rien n’est crédible dans l’interaction de Juliette Binoche avec ses amants, surtout le premier, c’est une suite de mauvais dialogues mal joués. Ce film est un désastre et un embarrassment au cinéma français... Mais où est la Juliette de « Bleu » ou de « Les amants du pont neuf » ? La cinquantaine pour elle c’est accepter tout ce qu’on lui propose à partir du moment où on va la mettre en valeur et lui dire qu’elle est jeune et belle? Super pour booster son ego, terrible pour sa carrière! 😞
Bien sûr, c'est du Angot avant tout. Et quand on aime les saillies verbales de l'écrivain, on ne peut que se réjouir de ce flot de discussions autour d'Isabelle, aussi belle qu'elle est légère, agaçante, immature et peu certaine. Car Isabelle chercher le grand amour. Et finalement, ce beau titre ne recèle rien d'autre qu'une course effrénée à la recherche l'homme dont on espère qu'il l'accompagnera quelques années. Mais les hommes qui hantent ce film sont des sortes de caricatures d'eux-mêmes : un banquier grossier et grotesque, un acteur qui ne sait pas ce qu'il veut, etc. "Un beau soleil intérieur" rate son but. Si le sujet est une opportunité à raconter l'amour qui manque chez les femmes célibataires qui ont dépassé la quarantaine, il se perd dans une longue et fastidieuse juxtaposition de scènes qui amorcent des portraits avortés et caricaturaux. Même le personnage sanglotant d'Isabelle, interprété par une Juliette Binoche généreuse, passe à côté de lui-même. On ne voit que l'extrême beauté douteuse de l'héroïne, la minceur juvénile du corps, et un milieu social artistico-bourgeois qui se moque de lui-même. Tout y passe : la détestation des hommes, l'aristocratie parisienne, la province arriérée, dans un fatras épais de dialogues, de larmes de crocodile. On s'ennuie beaucoup dans ce "Beau Soleil Intérieur" dont on ne parvient pas à croire qu'il soit aussi ironique que Claire Denis et Christine Angot voudraient nous faire penser.
Un flot de dialogues insipides et hésitants sans queue ni tête, une histoire bourrée de clichés, bref très très décevant. J'ai eu un vrai fou rire au moment de la promenade dans la forêt : franchement c'était le pompon ! Juliette Binoche est rayonnante et magnifique et Philippe Katherine est le seul personnage un peu décalé et solaire de ce navet bobo intello parigo ! à fuir !
Bande annonce en décalage franc avec le film... Déçu de l'expérience, dialogues très longs sur l'ensemble du film... Une invitation à une atmosphère positive dans la bande annonce et expérience négative et plutôt déprimante l'issue de la projection... Sensation d'un parti pris non abouti...
Je me suis ennuyee une bonne partie du film avec des dialogues qui ne riment à rien ... La meilleure scène du film est avec Depardieu et on nous colle le générique de fin comment à t il pu accepter ça ! Bref j y suis allée les yeux fermés car j avais vu Juliette Binoche en parler au 20h mais quelle déception !! Coco
Je n’ai jamais trop aimé les films de Claire Denis. J’avais même détesté son dernier Les salauds. Je suis allé voir celui-ci un peu à reculons, attiré par le beau casting et surtout pour Juliette bien sûr. Comme toujours, elle est formidable. Même dans les mauvais films, ce qui n’est pas le cas ici. Mais on est pas devant un chef d’oeuvre non plus. Je reste perplexe sur le résultat final. Le film est extrêmement bavard. C’est assez bancal. Il y a de très jolies choses, d’autres beaucoup moins biens, et d’autres très ennuyeuses. C’est co-écrit par Christine Angot, je n’ai jamais rien lu de cette auteure mais je la trouve très bizarre, ceci explique peut être cela ! On se retrouve devant une succession de scènes où Binoche est (avec bonheur donc) omniprésente et où un acteur différent vient faire son numéro. Il n’y a pas vraiment de fil conducteur. Si on s’attache d’emblée au personnage (qu’on nous fait tout de même passer pour une Marie-couche-toi-là !), on a du mal avec tout les autres. Malgré tout, on est là devant un beau portrait de femme plus chaotique qu’autre chose où l’émotion a du mal à poindre. La dernière scène (avec Depardieu) et le générique de fin sont par contre magnifiques. Bref, un film qui, pour ma part ne restera pas dans les mémoires, et qui vaut surtout pour la présence et la prestation lumineuse de Juliette Binoche.
On s'ennuie du début à la fin. Uniquement ou presque des scenes à deux ou Isabelle et un homme papotent et tournent autour du pot pendant de très longues minutes.
Long, inconsistant, bavard... Du vent. Une fois vu il n’en reste rien. Binoche est toujours aussi lumineuse, mais elle ne sauve pas le film. Sauf peut-être le générique de fin. Ça ne suffit pas.
le film à trop de dialogues et l image est secondaire .des scènes répétitives de rencontres vouées à l échec des le début.....c est plus une étude de moeurs quune comédie.....plus littéraire que visuelle.
Film parisien prétentieux dans toute sa splendeur. Histoire décousue, personnages stéréotypés, épilogue fantasque. Tout sonne faux et creux, même la litanie rébarbative des sanglots de Juliette Binoche