AlloCiné
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Un film sympa sans plus.
Le début paraît assez bien car ça met en avant le fait que le personnage principal s'enfonce de plus en plus dans une accusation à tord contre lui-même.
C'est bien mais j'aurais bien aimé que le film propose de nouvelles choses au bout d'un moment ! On fait trop vite le tour de l'intrigue.
Et sinon, ça reste un film d'action des plus classique (voir un peu cliché de temps en temps)
À voir.
Le début paraît assez bien car ça met en avant le fait que le personnage principal s'enfonce de plus en plus dans une accusation à tord contre lui-même.
C'est bien mais j'aurais bien aimé que le film propose de nouvelles choses au bout d'un moment ! On fait trop vite le tour de l'intrigue.
Et sinon, ça reste un film d'action des plus classique (voir un peu cliché de temps en temps)
À voir.
Une histoire déjà vue mille fois, un agent accusé de double jeu, malgré une volonté de s'en sortir, le film est ennuyeux. Restent quelques scènes d'actions plutôt bien faites, surtout la scène de fin, film pas très intéressant.
Parfois, un film qui aurait pu être divertissant est plombé par sa réalisation. Troisième volet des aventures de l’agent Mike Banning (toujours incarné par Gérard Butler), La Chute du Président appartient à cette catégorie. En effet, sur un scénario pas particulièrement extraordinaire mais pas spécialement plus bête qu’une grande partie des films d’action des années 90 (précisons les films lambda ne se préoccupant pas de la crédibilité, pas les grandes réussites), la réalisation de Ric Roman Waugh peut rapidement faire décrocher son spectateur car il semble penser qu’il peut créer du rythme et immerger son spectateur en utilisant constamment une caméra portée alors qu’au contraire cela empêche de prendre le temps de s’attacher aux personnages dans les premières séquences mais aussi de bien suivre les scènes d’action (un comble pour quelqu’un qui a débuté comme cascadeur sur des projets comme Invasion Los Angeles, L’Arme fatale 2, Tango & Cash, Total Recall : Voyage au centre de la mémoire, Hook ou la revanche du Capitaine Crochet, Last Action Hero ou True Romance) à cause d’un découpage totalement raté. En outre, l’ensemble est également desservi par une photographie particulièrement terne et laide et par des effets spéciaux par moments voyants. Dommage pour un film ayant dans son casting des acteurs de la stature de Morgan Freeman et Nick Nolte. La Chute du Président est donc une série B d’action loin d’être passionnante et plutôt oubliable.
Nous avons certainement fait le tour avec cette franchise qui n’arrête pas de détruire son pays de l’extérieur. Il fallait donc un antagoniste de l’intérieur pour se convaincre d’une bonne médiation, à la suite du niveau moyen du précédent volet. Changement de réalisateur, Ric Roman Waugh prend les commandes, mais n’exploite le tout à fait le filon des mauvais garçons des rues. Il va falloir un brin plus diplomatique afin de jongler avec ce qui a fait le succès de « La Chute de la Maison Blanche » et le délire assumé de Gerard Butler. Cependant, le juste milieu n’est jamais atteint et feint souvent s’assumer son sujet, ses propos et son ton. Le blockbuster nous habitue à mieux, malgré son burlesque incessant et pesante sur la tension qui devrait régner en cas de crise.
Où est le sentiment de danger ? Le super soldat a une longue lignée sur les petits écrans, comme sur les grands, mais on finit par s’en lasser, faute à un pauvre scénario ou une mise en scène peu créative. Tout semble décontracté, à l’image de cette réalisation qui ne vole pas haute et qui se contente de surnager au mieux. Mais c’est bien la tasse que boit cette troisième aventure qui boite, par manque de budget. On se répète, mais c’est bien la crise, car on ne parvient pas du tout à se renouveler. Ce film est comme un appel à l’aide, suffisamment maladroit pour qu’on se dise qu’il y aurait eu bien mieux à faire. Au lieu de cela, on ne sait pas quelle direction prendre, car le nanar n’est jamais très loin, une fois le personnage de Nick Nolte lancé.
Mais plus important que cela, où est la surprise dans l’histoire ? On peut aisément reprocher un manque de consistance dans l’intrigue, en plus d’une écriture hasardeuse chez les personnages. Mais dès les premières scènes d’exposition, le puzzle à quatre pièces ne sera pas la gymnastique mentale la plus satisfaisante du visionnage. Mike Banning est sans doute un personnage torturé, au sens propre comme au sens figuré, mais il n’y a pas de mystère derrière ses dilemmes intérieurs. La relation père-fils est survolé ou laissé pour mort dans un festival pyrotechnique négligeable. Morgan Freeman est un président américain progressiste sacrifié, ou définitivement noyé, dans une astuce scénaristique qui nous catapulte à des confrontations soutenues, mais qui peinent à nous immerger. Quant à l’antagoniste, il serait futile de s’y attarder.
Entre trahisons et reconquête du passé, « La Chute du Président » reste anecdotique. On pourra en retenir quelques passages musclés de Butler, mais ce sera en vain pour témoigner son implication dans un projet bancal et mal coordonné. Toujours généreux dans ces moments d’impact, le producteur n’a pas su utiliser l’appât adapté pour toucher son public et au-delà. Le film est sans arguments, comme l’attestent les scènes post-génériques qui désamorcent ce qui avait suscité notre attention, à savoir l’audace.
Où est le sentiment de danger ? Le super soldat a une longue lignée sur les petits écrans, comme sur les grands, mais on finit par s’en lasser, faute à un pauvre scénario ou une mise en scène peu créative. Tout semble décontracté, à l’image de cette réalisation qui ne vole pas haute et qui se contente de surnager au mieux. Mais c’est bien la tasse que boit cette troisième aventure qui boite, par manque de budget. On se répète, mais c’est bien la crise, car on ne parvient pas du tout à se renouveler. Ce film est comme un appel à l’aide, suffisamment maladroit pour qu’on se dise qu’il y aurait eu bien mieux à faire. Au lieu de cela, on ne sait pas quelle direction prendre, car le nanar n’est jamais très loin, une fois le personnage de Nick Nolte lancé.
Mais plus important que cela, où est la surprise dans l’histoire ? On peut aisément reprocher un manque de consistance dans l’intrigue, en plus d’une écriture hasardeuse chez les personnages. Mais dès les premières scènes d’exposition, le puzzle à quatre pièces ne sera pas la gymnastique mentale la plus satisfaisante du visionnage. Mike Banning est sans doute un personnage torturé, au sens propre comme au sens figuré, mais il n’y a pas de mystère derrière ses dilemmes intérieurs. La relation père-fils est survolé ou laissé pour mort dans un festival pyrotechnique négligeable. Morgan Freeman est un président américain progressiste sacrifié, ou définitivement noyé, dans une astuce scénaristique qui nous catapulte à des confrontations soutenues, mais qui peinent à nous immerger. Quant à l’antagoniste, il serait futile de s’y attarder.
Entre trahisons et reconquête du passé, « La Chute du Président » reste anecdotique. On pourra en retenir quelques passages musclés de Butler, mais ce sera en vain pour témoigner son implication dans un projet bancal et mal coordonné. Toujours généreux dans ces moments d’impact, le producteur n’a pas su utiliser l’appât adapté pour toucher son public et au-delà. Le film est sans arguments, comme l’attestent les scènes post-génériques qui désamorcent ce qui avait suscité notre attention, à savoir l’audace.
Film américain par excellence.
Le héros seul contre tous.
Scénario irréaliste et acteurs qui surjouent...
Bof bof
Le héros seul contre tous.
Scénario irréaliste et acteurs qui surjouent...
Bof bof
Les précédents étaient pas mal. Celui est en bien dessous et même en bien en dessous de la moyenne des films d'actions au ciné. Le scénario n'est vraiment pas plausible. On a du mal à regarder jusqu'au bout.
Gerard Butler reprend du service en bodyguard fatigué. Piégé, il se retrouve dans la peau du fugitif traqué, qui doit prouver son innocence tout en évitant de déclencher un conflit mondial et en sauvant le président. De facture assez classique, le film reste plaisant grâce à la classe de Morgan Freeman, à l'honnêteté de Gerard Butler et à l'autodérision de Nick Nolte, épatant !
pas le meilleur de la saga, un peut long,mais on ne s'ennuie pas, en attendant un hypothétique 4 ème volet qui devra redresser la barre
bon divertissement un peu longuet mais ça tient la route la scenario est pas ouf mais ça se mate butler et freeman tiennent la baraque
C'est bourré d'effets spéciaux (mention spéciale pour une attaque de drones), de gars surentrainés qui meurent comme les pommes mûres tombent des arbres, d'explosions, etc. Malgré Gerard Butler, Morgan Freeman et Nick Nolte, la sauce a du mal à prendre. Comme si on n'arrivait pas à croire à l'histoire du héros pris dans un tourbillon dont on a du mal à comprendre la raison profonde. Ses histoires personnelles avec son père ne prennent pas, du coup on a du mal faire preuve d'empathie et on décroche à moitié. Le seul point surprenant pour un film sorti en 2019 et vu en 2022, c'est le rôle de la Russie. Voir Vladimir Poutine aux côtés de Morgan Freeman (Président des États-Unis), alors que la guerre en Ukraine est en court, donne l'impression que l'actualité s'invite dans un film. À réserver aux amateurs de compositions armées.
Pas de grosses surprises pour ce troisième opus après « La chute de la Maison Blanche » et « La chute de Londres », si ce n’est l’originalité de l’attaque de drones. On retrouve Gérard Butler et tout ce qu’il faut avec : un président en danger, des traitres insoupçonnés, du muscle, de l’action, et bien sûr un héros dévoué à sa mission et son pays.
Le troisième est le meilleur ou le moins pire plutôt tant cela dans un même genre de guerillas outrancières. Avec le même principe du héros qui crève l'écran, sa famille etc .. et un maximum de pétarades et de cadavres. Un peu mieux parce que plus simple, un peu plus intimiste, un peu moins tordu, excessif et tortueux.
Ce film est juste de l action de l action et de l action et c ewt tout ce que l on demande on s eclate 👍
Un film dans le style de ce que j'appelle "tracker movie", c'est-à-dire film concentré sur un personnage qui est poursuivi (en général par un organisme d'état) mais lui c'est le gentil et il va tout faire pour passer entre les mailles du filet jusqu'à renverser cette organisation malfaisante pour libérer l'Amérique de ce scelerat car il est très fort.
Malheureusement pas le meilleur opus de la saga comme l'annonçait l'affiche promotionnelle mais réellement un super divertissement.
La narration mêle habilement la traque d'un fugitif, un complot politique et le recours à une société paramilitaire.
Synopsis :
Le film met en avant un complot qui réside dans le fait d'entrer en guerre contre la Russie pour l'empêcher de récréer l'ancienne URSS (un prémice de l'actualité d'aujourd'hui ?) au lieu d'engager des pourparlers diplomatiques au G20.
Pour cela, attenter à la vie du Président en place, en faisant porter la responsabilité criminelle sur son ange-gardien, toute une stratégie élaborée par une société paramilitaire en déclin financier.
Cette même organisation, en lien avec un politique, obtiendrait ainsi un contrat avec un nouveau gouvernement recréé.
En là, la trame narrative est plutôt bien recherchée.
Par ailleurs, tenant-compte des 2 précédents volets de la saga, on nous présente un héros protecteur du Président au corps vieillissant car usé par de trop nombreux traumatismes, ce qui rend le personnage vulnérable et fort crédible car plus réel.
Les séquences de combats sont moins spectaculaires mais plus rapides et tranchantes.
Les fusillades sont très bien calibrées et exécutives car très percutantes.
Toutes les scènes d'action sont millimétrées, bien pensées et probablement plus ancrées dans une certaine réalité.
Malheureusement, Gérard Butler n'assure plus la totalité de ses cascades soit environ 80%, ce qui reste assez plaisant malgré tout.
Mais voilà, dans ce type de production, on s'attend tout de même à du grand spectacle comme cela fut le cas dans les 2 premiers films, même si la crédibilité en pâtit légèrement...
Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce qu'on aime se retrouver devant un méga blockbuster ultra calibré avec des scènes à nous clouer à notre fauteuil.
Le côté négatif de ce film réside dans le fait que les agents du FBI sont assez vite balayés du scénario, pas assez exploités, ce qui est fort dommage.
En effet, ces personnages sont trop vite retirés de la narration et leur dernière scène aurait méritée une scène de fusillade d'anthologie.
On assiste à des séquences intimistes fort bienvenues entre le personnage de Gérard Butler, sa famille et son père dont il est le digne successeur.
Nick Nolte apporte un côté bourru à son personnage traumatisé par l'horreur de la guerre et l'abandon subi par son pays à son retour du champ de bataille.
Pourra t-on suivre de nouveau de nouvelles aventures du personnage de Mick Banning comme annoncées dans la presse sous le titre "Night Has Fallen" ?
On aimerait énormément tellement ce type de scénario à la sauce années 80/90 nous délecte d'un plaisir (très) coupable et addictif.
Cependant, au vue des dernières informations en date, rien n'est moins sûr malheureusement... mais les studios nous ont déjà réservés de belles surprises qu'on pensait enterrées alors il ne nous reste plus qu'à espérer...
Ma note :
Excellent
4/7.
La narration mêle habilement la traque d'un fugitif, un complot politique et le recours à une société paramilitaire.
Synopsis :
Le film met en avant un complot qui réside dans le fait d'entrer en guerre contre la Russie pour l'empêcher de récréer l'ancienne URSS (un prémice de l'actualité d'aujourd'hui ?) au lieu d'engager des pourparlers diplomatiques au G20.
Pour cela, attenter à la vie du Président en place, en faisant porter la responsabilité criminelle sur son ange-gardien, toute une stratégie élaborée par une société paramilitaire en déclin financier.
Cette même organisation, en lien avec un politique, obtiendrait ainsi un contrat avec un nouveau gouvernement recréé.
En là, la trame narrative est plutôt bien recherchée.
Par ailleurs, tenant-compte des 2 précédents volets de la saga, on nous présente un héros protecteur du Président au corps vieillissant car usé par de trop nombreux traumatismes, ce qui rend le personnage vulnérable et fort crédible car plus réel.
Les séquences de combats sont moins spectaculaires mais plus rapides et tranchantes.
Les fusillades sont très bien calibrées et exécutives car très percutantes.
Toutes les scènes d'action sont millimétrées, bien pensées et probablement plus ancrées dans une certaine réalité.
Malheureusement, Gérard Butler n'assure plus la totalité de ses cascades soit environ 80%, ce qui reste assez plaisant malgré tout.
Mais voilà, dans ce type de production, on s'attend tout de même à du grand spectacle comme cela fut le cas dans les 2 premiers films, même si la crédibilité en pâtit légèrement...
Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce qu'on aime se retrouver devant un méga blockbuster ultra calibré avec des scènes à nous clouer à notre fauteuil.
Le côté négatif de ce film réside dans le fait que les agents du FBI sont assez vite balayés du scénario, pas assez exploités, ce qui est fort dommage.
En effet, ces personnages sont trop vite retirés de la narration et leur dernière scène aurait méritée une scène de fusillade d'anthologie.
On assiste à des séquences intimistes fort bienvenues entre le personnage de Gérard Butler, sa famille et son père dont il est le digne successeur.
Nick Nolte apporte un côté bourru à son personnage traumatisé par l'horreur de la guerre et l'abandon subi par son pays à son retour du champ de bataille.
Pourra t-on suivre de nouveau de nouvelles aventures du personnage de Mick Banning comme annoncées dans la presse sous le titre "Night Has Fallen" ?
On aimerait énormément tellement ce type de scénario à la sauce années 80/90 nous délecte d'un plaisir (très) coupable et addictif.
Cependant, au vue des dernières informations en date, rien n'est moins sûr malheureusement... mais les studios nous ont déjà réservés de belles surprises qu'on pensait enterrées alors il ne nous reste plus qu'à espérer...
Ma note :
Excellent
4/7.
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