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Votre avis sur Road Trip ?
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« Qu’est-ce que je vais faire d’autre ? Rester et apprendre ? Road trip ! »
Première réalisation, premier scénario également, de Todd Phillips, ce Road Trip, s’il reprend pas mal de codes des potacheries estudiantines étasuniennes, fixe déjà les personnages archétypaux qui deviendront le Wolf Pack de la trilogie Very Bad Trip/Hangover : le respectueux (qui a merdé, ici, et tente de réparer), le lubrique, l’effacé, tous trois particulièrement égoïstes, et le peureux, dans une quête initiatique jouissive. S’y ajoutent le débile (le narrateur resté sur place) et l’ennemi vicieux (en la personne du pompeux croyant). La distribution est nettement moins aboutie mais la direction d’acteurs y pallie et l’image, déjà, est énergique et fluide, ajoutant au rythme du scénario. Tout l’art de Todd Phillips est déjà concentré en germes dans cette œuvre et c’est ce qui fait son intérêt majeur, ce talent qui sera plus tard couronné par un Lion d’Or à la Mostra de Venise pour son Joker (2019).
Pour le reste, voici une œuvre qui pourrait passer pour une comédie pour adolescents attardés de plus, sympathique, drôle souvent, prévisible parfois, inattendue également, héritière de celles des années ’80. Le film fut d’ailleurs le premier produit par The Montecito Picture Company, la société d’Ivan Reitman (notamment réalisateur de Ghostbusters, 1984, mais aussi producteur d’American College/National Lampoon’s Animal House, John Landis, 1978).
C’est surtout une comédie fondatrice, dans la lignée rythmique et visuelle d’un cinéma qui s’approprie tous les codes et les clichés des œuvres passées pour mieux les exploser et repousser les limites du conventionnel. Une œuvre qui dépasse le genre, à l’image de la scène entre Rhonda/Mia Amber Davis (actrice et mannequin trop tôt disparue) et Kyle/DJ Qualls.
Road Trip est un film jubilatoire et libérateur.
Première réalisation, premier scénario également, de Todd Phillips, ce Road Trip, s’il reprend pas mal de codes des potacheries estudiantines étasuniennes, fixe déjà les personnages archétypaux qui deviendront le Wolf Pack de la trilogie Very Bad Trip/Hangover : le respectueux (qui a merdé, ici, et tente de réparer), le lubrique, l’effacé, tous trois particulièrement égoïstes, et le peureux, dans une quête initiatique jouissive. S’y ajoutent le débile (le narrateur resté sur place) et l’ennemi vicieux (en la personne du pompeux croyant). La distribution est nettement moins aboutie mais la direction d’acteurs y pallie et l’image, déjà, est énergique et fluide, ajoutant au rythme du scénario. Tout l’art de Todd Phillips est déjà concentré en germes dans cette œuvre et c’est ce qui fait son intérêt majeur, ce talent qui sera plus tard couronné par un Lion d’Or à la Mostra de Venise pour son Joker (2019).
Pour le reste, voici une œuvre qui pourrait passer pour une comédie pour adolescents attardés de plus, sympathique, drôle souvent, prévisible parfois, inattendue également, héritière de celles des années ’80. Le film fut d’ailleurs le premier produit par The Montecito Picture Company, la société d’Ivan Reitman (notamment réalisateur de Ghostbusters, 1984, mais aussi producteur d’American College/National Lampoon’s Animal House, John Landis, 1978).
C’est surtout une comédie fondatrice, dans la lignée rythmique et visuelle d’un cinéma qui s’approprie tous les codes et les clichés des œuvres passées pour mieux les exploser et repousser les limites du conventionnel. Une œuvre qui dépasse le genre, à l’image de la scène entre Rhonda/Mia Amber Davis (actrice et mannequin trop tôt disparue) et Kyle/DJ Qualls.
Road Trip est un film jubilatoire et libérateur.
Shawn777
Ce premier long-métrage réalisé par Todd Phillips et sorti en 2000, n'est franchement pas mal du tout ! Et ce fut une sacrée surprise car j'y suis pourtant allé à reculons ! En effet, que ce soit dans l'affiche ou dans la bande annonce, rien n'allait vraiment, le film avait l'air d'être un ersatz de "American Pie", sorti un an plus tôt, mais en encore plus lourd ! D'ailleurs, la présence de Seann William Scott (qui nous refait d'ailleurs ici du Stifler) n'était pas de très bonne augure. Le film nous présente l'histoire de quatre amis qui traversent les États-Unis afin de récupérer une sextape envoyée par erreur à la copine de l'un d'entre eux. Voilà, le synopsis laissait également entrevoir quelque-chose de bien lourd. Et, si le film ne fait clairement pas dans la finesse (nous sommes toujours devant un teen movie relativement graveleux), eh bien, ce n'est pas non plus super lourd ! Je veux dire que le film n'en fait jamais des caisses, en tout cas sur l'humour pipi/caca,. Les blagues lourdes passent surtout par le personnage resté sur le campus qui doit nourrir le serpent, scènes un peu fatigantes et redondantes qui ne sont clairement là que pour gonfler un peu la durée du film. Nous sommes alors finalement devant un teen movie très 90's qui est très sympathique, tout d'abord de part le traitement des personnages. Même s'ils sont assez clichés (teen movie oblige), on retiendra surtout l'alchimie qu'il y a dans ce groupe de potes qui s'apprécient de plus en plus les uns les autres et qui évoluent au fil de l'histoire. Bon, c'est un parcours initiatique prévisible (et ce, pour chacun des personnages) mais tout de même sympathique. "Road Trip" n'est donc clairement pas la comédie du siècle mais, si vous êtes amateurs de teen movies, elle aura alors de grandes chances de vous plaire !
Alexarod
J'avais laissé une critique mais elle a dû disparaitre car la note n'était vraiment pas haute, nevermind recommençons.
De ce dont je me souviens c'est que c'était vraiment pas top, quelques originalités comme les apartés du conteur/héros, Stiffler et les nanas. Pour le reste circulez ia rien à voir. Des situations exagérées, alambiquées, tirées par les cheveux, une musique pourrie, des acteurs qui jouent très mal, du comique graveleux mais dans le sens show sans raisons et pas marrant, des dialogues de maternelle, des longueurs bien chiantes... Bref à part le respect du film typé road trip c'est vraiment nul, on rit rarement et c'est trop cliché pour marcher. Pour ma part, bien qu'appréciant ce genre de film habituellement, là c'est vraiment pas passé.
De ce dont je me souviens c'est que c'était vraiment pas top, quelques originalités comme les apartés du conteur/héros, Stiffler et les nanas. Pour le reste circulez ia rien à voir. Des situations exagérées, alambiquées, tirées par les cheveux, une musique pourrie, des acteurs qui jouent très mal, du comique graveleux mais dans le sens show sans raisons et pas marrant, des dialogues de maternelle, des longueurs bien chiantes... Bref à part le respect du film typé road trip c'est vraiment nul, on rit rarement et c'est trop cliché pour marcher. Pour ma part, bien qu'appréciant ce genre de film habituellement, là c'est vraiment pas passé.
Il fallait s'y attendre : American Pie a fait des émules… Celui-ci, comme beaucoup d'autres, n'a aucun intérêt. Ce film est affligeant de bêtise et de mauvais goût, et n'est même pas sauvé par l'interprétation. Quant au scénario, ils ont oublié de faire semblant d'en écrire un.
Délire entre potes plus qu'autre chose. Sympathique et louable sur la forme. Ordinaire et dispensable dans le fond.
Film mythique des teenagers des années 1999 2000 qui est toujours sympa à regarder pour se divertir (pas réfléchir mais ça fait du bien de temps en temps) simplement se laisser porter par ce groupe de potes.
Je ne m'attendais à pas grand chose mais finalement ce film est plutôt drôle et sympa. Un teen movie divertissant : 3,5 étoiles mérité à ma grande surprise !
Sortie à une époque ou les college movie étaient en vogue, cet épisode ne tient pas le haut du pavé malgré quelques bonnes idées. Néanmoins parfait si on veut s'arrêter de réfléchir durant 1 heure 30.
Devant ce film pour ado avec un humour assez bas (en tout cas souvent plus bas que la ceinture !), je suis nostalgique de l'âge d'or des films pour ado menés par le grand réalisateur John Hugues : par exemple, sur le même thème de la virée de copains en voiture, il y avait l'excellllllllllllllent "La Folle Journée de Ferris Bueller" (Ferris Bueller's Day Off) avec Matthew Broderick.
Cependant, j'ai quand même apprécié le film car on ne s'ennuie pas et il y a même des trouvailles spoiler: (le T-shirt très kitch avec la marque "ATARI" de l'un des héros, l'incursion dans une confrérie d'étudiants très spéciale...)
.
Mais le plus drôle dans ce film a sûrement été un spectateur présent dans la salle qui riait comme Dominique Faruggia (hiiiihiiiihiiiiiihiiii) et qui, à chaque manifestation de son rire, entraînait l'hilarité générale de la salle.
Cependant, j'ai quand même apprécié le film car on ne s'ennuie pas et il y a même des trouvailles spoiler: (le T-shirt très kitch avec la marque "ATARI" de l'un des héros, l'incursion dans une confrérie d'étudiants très spéciale...)
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Mais le plus drôle dans ce film a sûrement été un spectateur présent dans la salle qui riait comme Dominique Faruggia (hiiiihiiiihiiiiiihiiii) et qui, à chaque manifestation de son rire, entraînait l'hilarité générale de la salle.
Bonne surprise ! Dans l'esprit d'Américan Pie mais en bien mieux aussi bien côté réalisation que côté casting, on a aussi un peu plus de rafraîchissantes nudités. Le scénario tente de ressembler à quelque chose et on se prend (ce qui n'avait rien d'évident !) à s'attacher à cette bande de guignols et à suivre cette histoire rocambolesque dont les conclusions n'ont rien à voir avec le politiquement correct. Ça n'a rien d'inoubliable mais dans le genre teen-movie sans prétention on passe un bon moment
Avec cette virée entre potes jonchée de sexe et d'alcool, Road trip s'inscrit dans la lignée d'American pie et vise un public adolescent. Avec le recul, cela reste drôle de voir cette joyeuse bande de décérébrés universitaires prêts à tout pour sauver ce qui est important à leurs yeux, en négligeant par ailleurs tout un ensemble d'autres paramètres révélant l'insouciance de leur état d'esprit.
FaRem
"Road Trip" fait partie de ces nombreux teen-movie qui sont sortie après le grand succès d'American Pie, Todd Phillips le futur réalisateur de la trilogie "Very Bad Trip" ne réinvente pas le genre, mais il nous fait quand même passer un bon moment avec ce film qui est classique, mais efficace et plutôt drôle.
Humour complètement débile et infantile. Si vous n'aimez de pas ce genre de films légers, passez votre chemin ! Les acteurs sont bien choisis et l'aspect esthétique du film est travaillé !
Stephenballade
Ce qui devait être un teen-movie hilarant s’est révélé être une comédie ratée qui nous tire trois/quatre rires francs, et autant de sourires. C’est en fait un road-movie à la sauce adolescente qui nous est servi ici, au scénario trop prévisible, mais qui a l’originalité d’intégrer la notion de sex-tape. Autant le dire, inutile de réfléchir, sinon les méninges risquent d’en prendre un coup. A peine distrayant pour les uns, il le sera quand même pour les adolescents pas ou peu sages, l’humour et les discours philosophiques (notez, je n’ai pas dit "hautement philosophiques") se situant très souvent en dessous de la ceinture. Je trouve donc totalement inutile de zoomer sur les poitrines des filles qui discutent librement de… de… de quoi déjà ? Oups, j’ai oublié. Pas grand-chose à retenir donc, si ce n’est que Todd Phillips a essayé de faire du "American Pie" en traversant les USA, en s’adjugeant les services de l’intrépide Sean William Scott, figure emblématique de la saga "American Pie". D’ailleurs, je préfère rester personnellement sur cette saga, ou encore "Quatre garçons pleins d’avenir", comédie nettement plus enlevée et qui a le mérite d’être française, deux titres vers lesquels "Road trip" lorgne sérieusement.
Un bon road movie avec Seann William Scott de l'époque American Pie, toujours cool de le retrouver en forme. Par contre, je ne suis pas fan de l'humour Tom Green, un peu cinglé sans être drôle. Mais il ne gâche pas le film, puisqu'il ne fait pas partie du voyage ;)
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