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    Moonraker
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    3,0
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    271 critiques spectateurs

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    Simplement Loïc
    Simplement Loïc

    12 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2024
    Si l'humour et l'action est toujours aussi efficace dans Moonraker, le scénario quant à lui est moins captivant que ses prédécesseurs. Néanmoins on ne boude pas notre plaisir grâce encore une fois à mise en scène réussi, un rythme toujours aussi effréné et a un Roger Moore en forme.
    Mais oui niveau récit c'est moins pertinent, moins marquant, un méchant oubliable et un opening tristement pas terrible.
    La dernière est.. Sans jeu de mot, lunaire 😂 mention spéciale pour la BO.
    J31frites
    J31frites

    9 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2024
    Je constate que, sans jamais être géniaux, les vieux films James Bond ne sont jamais dénués d'un charme très fort qui opère notamment grâce à la musique de John Barry et les jeux de mots de Roger Moore.
    Ce "moonraker" se permet de nombreux dérapages humoristiques et part un peu dans tous les sens -on ne comprends pas trop comment on passe d'une scène à l'autre- en voulant aller de la Californie au Brésil en passant par Venise, tout en faisant des références à Rencontres du 3eme type, les sept mercenaires, Lawrence d'Arabie, Wagner...
    Bond se tape tellement de James Bond's girls ici qu'on les confond tous, mais ça fait partir de l'humour bondesque. La fin de SF se révèle à la fois fun et ridicule (les effets spéciaux font pitié), dommage parce qu'un James Bond dans l'espace c'est plutôt cool comme idée.
    Michael Lonsdale et Richard Kiel interprètent deux méchants charismatiques et drôles, les scènes d'action même si souvent invraisemblables sont toujours amusantes. La chanson "Moonraker" une fois de plus chantée par la talentueuse Shirley Bassey, est très belle, mais il faut admettre que ce générique là a un peu vieilli, avec les silhouettes de femmes qui tournent dans les airs.
    fred c
    fred c

    2 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Dans un mood un peu vieillot vu d'aujourd'hui, ce Bond n'est a mon sens pas assez bon pour pouvoir plaire au delà de la génération pour laquelle il a été fait (sauf bien sur exceptions) même si on peut lui reconnaitre des attraits propres a la franchise.
    Yanco13
    Yanco13

    6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2024
    J'ai bien aimé même si ce n'est pas mon James Bond préféré, cela se regarde facilement, Roger Moore est très bon
    JSCooper
    JSCooper

    5 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Onzième opus de la saga James Bond et quatrième avec Roger Moore, "Moonraker" use des habituels ingrédients "Bondesques" pour nous divertir efficacement: cascades, poursuites, gadgets, lieux de tournages tout autour du globe (cette fois-ci même dans l'espace) mais aussi de la touche d'humour propre aux épisodes avec Roger Moore.
    Le scénario et la réalisation sont à la hauteur des attentes.
    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2023
    Aussi culte que kitsch, cette onzième mission de James Bond, réalisée cette fois par Lewis Gilbert et sortie en 1979, n'est pas mal, du moins si on la regarde avec un certain recul. Les gadgets, l'humour noir, le second degré agrémenté d'un certain cynisme ont toujours été la signature de l'ère Roger Moore, contrairement à l'ère Sean Connery se voulant beaucoup plus sérieuse et "classe". Mais il faut bien dire que tous ces éléments propres à l'ère Moore atteignent leur apogée ici dans un film qui a particulièrement mal vieilli. Bond doit cette fois déjouer les plans d'Hugo Drax qui a pour projet de créer une base dans l'espace afin de créer une "race pure" à ramener ensuite sur Terre. Très inspiré du nazisme donc mais surtout visuellement de "Star Wars" sorti quelques années plus tôt dont on retrouve certains ingrédients, comme la base spatiale qui peut faire penser à l'Étoile Noire, les combats dans l'espace et puis surtout les échanges de tirs à pistolets lasers. Oui, oui, vous avez bien lu et pourtant, nous sommes toujours dans un "James Bond" ! Mais un "James Bond" qui ne se lâche complètement que dans sa dernière demi-heure en étant kitsch à souhait, lorgnant même quelques fois du côté de "Barbarella" notamment dans les costumes. En dehors de ça, toute la première heure et demi, eh bien, je dirai que c'est du "James Bond" classique avec ses très bonnes scènes de bagarres et ses courses poursuites (toujours en bateau d'ailleurs, un élément qui revient beaucoup durant cette période). On retrouve également Jaws, personnage aussi culte que le film lui-même, qui a ici plus d'importance que dans "L'Espion qui m'aimait" puisque son personnage est beaucoup plus développé, il se trouve même une petite copine (oui, on fera aussi l'impasse là-dessus). Concernant les acteurs, nous avons énormément de français (comme les décors d'ailleurs) dont nous retiendrons principalement Michael Lonsdale au charisme toujours impeccable. Alors oui, "Moonraker" est un film qui a terriblement mal vieilli et qui était je pense déjà kitsch dès sa sortie mais qui a au moins le mérite de nous divertir et de sortir des chemins battus.
    Docteur No
    Docteur No

    6 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2023
    "Vous connaissez ce type ?" HOLLY GOODHEAD
    "Oui c'est Requin un tueur aux petits pieds" 007

    BOND DANS L'ESPACE

    A l'origine le film devait être Rien que Pour Vos yeux mais les succès aidant des films de sciences fictions (Guerre des Etoiles , Alien ) changèrent l'optique du producteur Cubby Broccoli .

    Dernier Bond de Richard Kiel alias Jaws .

    BOLLINGER SI C'EST DU 69 C"EST QUE VOUS M'ATTENDEZ - JAMES BOND

    Une navette spatiale a disparue lors de son transfert vers l'Angleterre , Bond enquête sur la disparition au siège de Drax Industries en Californie l'enquête menant à un vaste plan de domination mondiale par le propriétaire Hugo Drax .

    spoiler: Bond dans l'espace mais avant c'est à Vaux-Le-Vicomte (pour la Californie) et le centre Pompidou (pour la présentation à Holly Goddhead) , au Brésil , Rio de Janeiro , et Venise . Dépaysement garanti .


    spoiler: Moonraker alterne le bon et le moins bon , un pré-générique dans les airs époustouflant (gâché par une fin cartoonesque - mais regardable cependant) , une course poursuite en bateau à Venise (se terminant par la Bondole sur la place Saint-Marc) , un combat dans une ambulance assez terne (se finissant dans une publicité) ...la fin avec le combat au laser trop Star Wars mais en plein James Bond . Le côté moins bon est donc la dimension cartoonesque du film et parfois les effets spéciaux le trop plein d'effet spéciaux .


    spoiler: Coté bon c'est les personnages , le retour de Requin (mais qui termine trop en comique) , Hugo Drax joué par le très fin Michael Lonsdale fin et froid aimant la musique classique , Chang - Toshiro Suga en homme de main . En Bond Girls Corinne Cléry-Corinne Dufour garde toujours son charme ? superbe Corinne Cléry , Holly Goodhead-Lois Chiles en agent de la CIA expérimenté , puis l'armada des Drax Girls Catherine Serre , Nicaise Jean-Louis , Irka Bortchenko (entre autres) bataillon de charme et de choc fatal . [spoiler] La chanson est de Shirley Bassey .


    MAIS QUE FAIT JAMES BOND ? - MINISTRE DE LA DEFENSE
    JE CROIS QU'IL TENTE DE FAIRE SA RENTREE MONSIEUR - Q

    spoiler: Un Bond certes parfois too much laser , effets spéciaux , humour version cartoon , mais très distrayant et très divertissant un Bond très dans l'air du temps l'espace toute une époque dans un film (des références à des autres films par ailleurs)
    .

    [/spoiler]
    Michael78420
    Michael78420

    45 abonnés 1 447 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2023
    Était-ce une si bonne idée que ça que d'envoyer 007 dans l'espace ? Cet opus est mémorable, mais revu 44 ans après sa sortie, le sentiment oscille entre indulgence et dépit. Il aurait même pu être sponsorisé par une agence de voyage tant le célèbre agent secret se promène : Californie, Venise, Rio, cœur du Brésil, espace... Les vues sur le château de Vaux-le-Vicomte au début sont d'ailleurs superbes. Drax (Michael Lonsdale, qui m'avait marqué dans Hibernatus) et son obsession de la conquête de l'espace, fait étrangement penser à Elon Musk. Moonraker distille aussi quelques étrangetés : le poussoir chocottes, une porte qui grince en jouant le thème de James Bond, un digicode qui interprète Rencontre Du Troisième Type, un hommage aux Mystères De L'Ouest, une gendarmette (Catherine Serre), des placements produits (7 up, Seiko, British Airways), Requin qui tombe sous le charme d'une sorte d'Heïdi à couettes... Le héros navigue dans un florilège de belles femmes. Chaque moment calme est propice à coucher avec l'une d'elle, y compris avec une agent de la CIA. Il y a aussi quelques ratés comme cette descente de téléphérique suspendu à une chaîne avec une femme accrochée au cou du héros, qui manque cruellement de réalisme. On voit aussi un réservoir de fusée qui tombe vers l'espace au lieu de tomber vers la Terre. Quant aux scènes en apesanteur, elles frisent le ridicule, tout comme la bataille spatiale, très loin de la qualité de Star Wars sorti trois ans plus tôt. On peut noter cependant que Moonraker fait décoller la navette spatiale deux ans avant le vol inaugural de Columbia. Côté répliques, James et ses acolytes féminines s'en donnent à cœur joie dans les sous-entendus sexuels. Même Q est contaminé ! Ainsi lorsque le ministre s'exclame : "Mon dieu que fait James bond ?", Q lui répond : "Je crois qu'il tente se faire sa rentrée Monsieur." Roger Moore fait de son mieux pourtant. À regarder avec indulgence en effet.
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    « Emmène-moi encore une fois autour du monde… »

    Une navette spatiale Drax Industries “Moonraker”, prêtée au Royaume-Uni, est détournée en plein vol alors qu'elle se trouvait à bord d'un Shuttle Carrier Aircraft (SCA) – “Aéronef de transport de navette” – soit un Boeing 747-100 modifié pour le transport de la navette spatiale américaine. Le transporteur est détruit mais aucune épave de la navette n'est retrouvée.

    Le MI6 envoie alors son meilleur et plus célèbre agent pour enquêter et faire la lumière sur les raisons de cette tragédie.

    La mission de 007 commence en spoiler: Californie, où il visite l'immense complexe spatial-industriel de Drax Industries, ainsi que la résidence royale importée pierre par pierre de France par son propriétaire, le mégalomane Hugo Drax
    .

    Les indices que James Bond collecte en Californie le conduisent à Venise, en Italie, puis à Rio de Janeiro et enfin au cœur de l'Amazonie. Dans la jungle brésilienne, 007 spoiler: découvre le véritable objectif de Drax, qui est l'extermination de l'humanité, à l'aide de gaz neurotoxiques, et la survie d'une « nouvelle race de maîtres » sélectionnée selon ses critères arbitraires
    .

    Les spoiler: huit navettes exploitées par Drax sont utilisées pour transporter plusieurs dizaines d'hommes et de femmes génétiquement parfaits vers une station spatiale cachée en orbite autour de la Terre
    .

    Lorsque 007 et le Dr Holly Goodhead, spoiler: une agente de la CIA qui joue au chat et à la souris depuis qu'elle a rencontré James en Californie, désactivent le dispositif de brouillage radar, les États-Unis envoient des Space Marines pour intercepter la station spatiale désormais visible
    .

    Roger Moore excelle avec des one-liners mémorables, les deux James Bond girls sont à la fois belles et intelligentes et le film se termine par un combat final dans l'espace, visuellement époustouflant, et des moments romantiques.

    4.5/5
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 septembre 2023
    Un James Bond sans grand intérêt , malgré un début intéressant on se lasse très vite d'un scénario décousu. Michael Lonsdale campe un bon méchant que l'on voit malheureusement trop peu.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2023
    Face au succès de "Star Wars" en 1977, EON Production repousse la sortie du prochain "James Bond" pour sortir "Moonraker" dont le scénario se rapproche de la science-fiction. L'intrigue de cette aventure 007 tourne ainsi autour d'une navette spatiale qui disparait pour recréer une nouvelle race humaine. Face à ce scénario ridicule, Roger Moore avance dans des séquences sans lien entre elles, spoiler: histoire de le faire sauter d'un avion sans parachute ou prendre en main une gondole à Venir ou encore de refaire venir le méchant aux dents d'acier et de lui placer une amourette.
    Si le film est rythmé, il lui manque du sens et de la crédibilité.
    Shining80
    Shining80

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2023
    Excellent James Bond, qui a pris bcp de risques pour en arriver là, et le résultat est juste magnifique. La scène d'entrée avec le saut en parachute est magistrale, le tube de Shirley Bassey très bien composé, le méchant Drax est parfait dans son rôle. Quel plaisir de revoir requin ! La scène de la centrifugeuse décoiffe, tout simplement. La scène du téléphérique culte, la course en bateau aussi. Et puis que dire des décors de Ken Adam, de la base lunaire... Bon même si je peux comprendre que certains n'aiment pas l'idée d'envoyer 007 dans l'espace, pour moi ce film est magnifique et parfaitement réalisé dans la lignée de l'Espion qui m'aimait.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    23 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2022
    Un James Bond opportuniste, juste après la sortie de Star Wars, qui nous emmène dans l’espace. Encore une fois, Roger Moore est fidèle au poste, mais on sent qu’il commence à vieillir sur certains passages d’action…on retrouve aussi Requin, mais qui pour moi, est désavoué en le rendant sympathique ( spoiler: le coup de foudre avec sa future compagne est d’un ridicule !
    ). Pourquoi ne pas conserver ce personnage en méchant charismatique et effrayant ? Pas mal de grosses incohérences dans ce film (Requin qui atterrit sur un cirque après avoir chuté d’un avion dans lequel on se demande ce qu'il faisait, la course poursuite en gondole à Venise avec le fameux regard du pigeon, le repère du MI6 en plein milieu du Brésil..) mais aussi des scènes sympas (le saut en parachute sans parachute, la baston sur le téléphérique à Rio, la centrifugeuse…). Du coup, au final, c’est distrayant mais il ne restera pas dans les annales (les gadgets ne sont par exemple pas forcément fous non plus). Encore une fois des décors assez remarquables de la part de Ken Adam.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Moonraker »
    11ème volet de la saga James Bond réalisé par Lewis Gilbert, son troisième.
    Incroyable, je ne l’avais encore jamais vu ! Déjà 9 sur 11 !

    Je trouve le générique un peu paresseux, il assure le minimum avec les éternelles silhouettes féminines aux seins que l’on devine dénudés en apesanteur.

    « Moonraker » est un gros délire !
    Comme je l’ai écrit précédemment, il faut regarder James Bond comme une grosse BD. Et là, ce 11ème volet est vraiment à regarder comme une BD.
    Un gros délire, vous-dis-je !

    Après Tintin dans la Lune, 007 dans l’Espace.

    James Bond doit enquêter sur la disparition d’une navette spatiale. Il doit contacter Hugo Drax, le constructeur même de la navette.
    spoiler: C’est le méchant de service joué par un Français : Michael Lonsdale.

    Son timbre de voix, sa diction particulière apportent un plus à son personnage au tempérament calme, froid et acide.
    Je le préfère à Curt Jurgens.
    Remarque : il n’est pas le seul Français à jouer dans ce Moonraker.

    L’air de rien, « Moonraker » devance la réalité. La navette spatiale effectuera son premier vol en avril 1981, soit près d’un an et demi après « Moonraker ».
    Jules Verne et Tintin avaient effectué un voyage dans la Lune bien avant le discours de J.F Kennedy !

    Dans « L’espion qui m’aimait », James Bond s’était associé avec Triple X, une espionne soviétique, ici, spoiler: l’agent 007 accomplira sa mission avec une espionne de la CIA, miss Goodhead.

    Chacun son tour.
    Au même titre qu’ Anya Amasova, Holly Goodhead fera jeu égal avec son homologue britannique. Voilà deux James Bond de suite où les partenaires féminines de l’agent 007 ne sont pas des faire-valoir.
    Et le couple fonctionne bien.

    J’avais écrit que retrouver le shérif Pepper dans « L’homme au pistolet d’or » après « Vivre et laisser mourir » était une bonne idée, spoiler: ici, on retrouve Jaws (Richard Kiel) après « L’espion qui m’aimait ».

    J’apprécie les liens, petits soient-ils, qui font référence à des opus précédents.
    spoiler: Je comprends que d’aucuns n’apprécient pas le retournement de situation de Jaws,
    mais comme ce « Moonraker » flirte avec la science fiction parodique, cela ne m’a pas du tout irrité.
    Car il faut bien avouer que ce 11ème volet n’est pas du tout à prendre au sérieux !
    spoiler: Compte tenu du discours de Drax sur la race humaine parfaite, j’avais comme une intuition que Jaws ne pouvait pas faire partie du plan.

    C’était prévisible.
    James Bond s’en est bien chargé.

    La James Bond Girl ?
    J’en compte deux. Avant miss Goodhead sous les traits de Lois Chiles, une Française Corinne Cléry qui interprète Corinne Dufour. spoiler: Elle ne fera pas long feu
    .
    Elle pilote un hélicoptère (comme Pussy Galore) avec une tenue évidemment échancrée laissant entrevoir une poitrine délestée de tout soutien-gorge ; elle pilote aussi sans casque qu’elle abandonne après deux plans !
    Brushing oblige !
    Bref, son rôle correspond au cahier des charges de la saga. Décoratif.

    A voir en V.O pour la diction particulière de Michael Lonsdale…
    Jonathan M
    Jonathan M

    131 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Dernière apparition de Bernard Lee, aka M, dans la saga, çà mérite un salut. C'est peut-être le second rôle masculin le plus insipide de l'histoire du cinéma. Si on l'a vu une multitude de fois derrière son bureau délivrant les consignes de mission à notre agent préféré, il concourt avec MoneyPenny aux personnages qui sont devenu des meubles au fil du temps, sans connaître réellement leur utilité aux aventures. James Bond combat les plus gros mégalomanes de la planète, aux fantasmes toujours plus farfelues. Ce Drax est une sorte d'Elon Musk de l'époque, qui souhaite faire de l'espace un terrain de jeu pour embarquer ses folies de société parfaite. Michael Lonsdale y est crédible sans être tout à fait terrifiant. De la place St-Marc à Rio et la forêt amazonienne, en finissant par l'espace, Bond accumule les miles comme les conquêtes amoureuses. Corinne Cléry et Lois Chiles sont des sommets de beauté par ailleurs. Les multi-références aux films cultes de l'époque sont les clins d'oeil qui font très plaisir au cinéphile : Richard Kiel, aka Jaws, pour Les dents de la Mer, les premières notes de Strauss pour le 2001 de Kubrick, la musique de la serrure du laboratoire à Venise pour Rencontre du troisième types. Enfin, évidemment La Guerre des Etoiles avec le combat interstellaire final. Un côté mi-hommage mi-parodique qui est marqueur d'une décennie. Enfin, l'opus décomplexe définitivement la saga avec le placement de produit. Un peu trop, peut-être.
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