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Florentin Drugmand
8 abonnés
59 critiques
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2,0
Publiée le 16 juin 2020
Selon moi James Bond Moonraker est l'un des plus mauvais de la saga malgré des effets spéciaux pas si moche pour l'époque et une bonne performance des principaux 2 protagonistes. Ici , nous sommes en présence d'un placement de produit géant qui propose une histoire avec plein d’incohérences et de platitudes dans les dialogues... Ce film qui est à la limite du nanar dénature le personnage principal par des scènes de batailles spatiale.Le 11ème opus de la saga est juste un remake du 10ème qui lui proposait quelque chose de meilleur.. spoiler: En effet dans le 10 ème opus, nous avions un méchant mégalomane voulant créer une civilisation sous les eaux et ici nous avons un autre méchant mégalomane voulant créer une civilisation dans l'espace... Et évidemment l'humanité serait anéanti . Grosse déception pour moi qui adore la sage.
Moonraker est un Bond trop mésestimé,car il a tous les ingrédients qu’un bondophile de ła première heure,aime:une intrigue linéaire ,une navette spatiale visionnaire qui ressemble beaucoup à celle réelle qui entrera en fonction 5 ans plus tard,de l’action,des decòrs grandioses,un méchant parano (excellent M.Lonsdale),un Moore a l’aise dans le personnage et une musique sublime de J.Barry,je le classe parmi mes cinq meilleurs de la saga
Moonraker, 11eme épisode de James Bond, raconte l’enlèvement de la navette « Moonraker », navette que doit retrouver James Bond, navette appartenant à la société Drax. Petite anecdote : dans « L’espion qui m’aimait », le film suivant annoncé était « Rien que pour vos yeux ». Sauf qu’entre temps, un ouragan nommé Star Wars sort en salle. Albert R Brocoli, décide alors d’adapter en film Moonraker, histoire de Ian Fleming la plus Science-fiction. On voit d’ailleurs énormément l’influence de Star Wars dans le film. La scène d’introduction du film est impressionnante et spectaculaire. Le film continue ensuite son histoire sur Bond allant enquêter chez Drax. Le film est bourré de scènes d’action, certaines plus impressionnantes que d’autres. Les combats sont bien chorégraphiés et les poursuites drôles et mouvementées. Hélas même si le scénario est bon, le film est trop long et aurait mérité d’être raccourcis. Du côté des personnages, James Bond est toujours aussi bien joué. Drax est très antipathique et froid, joué par Michael Lionsdale. La James Bond girl est un personnage très intéressant qui rabâche James très souvent pour sa misogynie. Pour la scène finale, je trouve que tout ce qui se passe a l’intérieur du vaisseau est passionnant alors que tout a l’extérieur est ridicule. J’aime d’ailleurs bien la fin de Requin, seul méchant à avoir eu une fin heureuse. Le film souffre aussi d’ailleurs du ridicule ce qui nous sort parfois du film. La musique est très inspirée et le thème de Shirley Bassey est sublime. Les effets spéciaux sont impressionnants et quasiment meilleurs que ceux d’alien. Un bon film en outre.
Souvent considéré dans les pires James Bond, j'ai trouvé qu'il se débrouille plutot bien. Mais effectivement ce n'est pas non plus transcendant. Le point fort, je pense que c'est Michael Lonsdale que j'ai eu l'immense plaisir de voir en role de méchant principal. Pour le reste, il y a quelques bonne idées. Mais je trouve ça dommage de faire si peu d'effort pour la réalisation et le scénario quand on a autant de moyen.
Ce film est une alarme dans la série. Références idiotes à Star Wars, 2001, rencontres du 3ème type. James bond girls à foison. Générique laid. Bond sur la place Saint Marc dans une gondole. Une deuxième partie dans l'espace ridicule. Homophobie latente, heureusement Octopussy et Dangereusement votre sauveront le final Moore. Une étoile pour la sublime musique de John Barry.
Moonraker est sans doute le moins bon James Bond de Roger Moore. Bond doit enquêter sur la disparition de la navette spatiale Moonraker. Il va découvrir que c'est le concepteur lui même qui la dérobait. En effet ce dernier prévoit l’anéantissement de l'espèce humaine pour créer une nouvelle espèce d'homme. Après l'opus précédent qui avait mis la barre haute, Moonraker est une déception. Même le personnage de Requin qui incarnait la terreur dans l'opus précédent, est ici tourné au ridicule. La fin de ce Bond est même grotesque (une caricature de Star Wars) la faute à l'influence des films de SF. Enfin les prestations de Roger Moore et Londsale sauvent un peu la mise
On reprend la même équipe que pour « L’Espion qui m’aimait » (The Spy Who Loved Me) sorti deux ans plus tôt : le réalisateur Lewis Gilbert et, pour le casting, Roger Moore dans le rôle de l’agent 007 et Requin / Jaws en tueur à gages. On y ajoute Michael Lonsdale, parfait, en grand méchant et des James Bond Girls à foison. D’ailleurs, il est symptomatique – autres temps, autres mœurs – de noter sur l’affiche française du film que les 4 femmes sont aussi peu vêtues que les 3 hommes sont chaudement habillés. Le scénario, à trop tirer sur l’humour, est moins crédible que son prédécesseur. Heureusement, quelques moments de grande intensité font passer un moment sympathique.
Avec ses multiples clins d’œil tout azimut, ses nombreuses scènes d'action et son ton qui se veut clairement porté sur la dérision les producteurs ont cherché à à la fois à rebondir sur le succès du précédent opus et sur le phénomène de l'époque : Starwars. En dépit de ces efforts louables la fusée Moonraker n'arrive jamais à décoller pleinement. La faute entre autre à ses personnages sans saveur, ses décors qui sentent bon le carton pâte ou ses placements de produits envahissants. On passe cependant un très bon moment devant ce sympathique 007 !
Un 007 un peu kitch mais divertissant, avec de l'humour, des scènes d'action assez spectaculaires et des décors sympas. A noter également la présence convaincante de Michael Lonsdale et celle savoureuse du redoutable requin amoureux.
Un des meilleurs opus de la saga, qui sait divertir en nous offrant de l'espionnage, de l'action toutes les 10 min et de la SF dans le dernier tiers. L'humour est présent, sans être grotesque comme dans certains épisodes précédents. Roger Moore est au mieux de sa forme dans ce 4e James Bond, le meilleur pour lui, accompagné d'une James Bond girl qui ne joue pas une potiche pour cette fois. Je conseille de regarder en totale VO, le film étant franco-britannique, il est assez aisé de comprendre les dialogues, en particulier avec les acteurs et actrices de chez nous.
Dans mon marathon Bondesque je continue de les regarder dans l'ordre et celui-ci est digne des James Bond avec Roger Moore : très bof ! Spoil : qu'est-ce qu'elle est nulle cette bataille dans l'espace, avec les lasers portatifs... et les petits bruits qui vont avec ! D'un kitch... Et Roger Moore toujours aussi lourd. Heureusement Requin est là ppur sauver ce film qui est l'un des plus mauvais Bond pour moi !
Adoré par les uns, détesté par les autres, Moonraker est un film qui divise les fans de James Bond. En effet, il faut accepter que cet épisode joue la carte du pur délire et de l’irréalisme total pour l’accepter. En 1979, le cinéma de divertissement est encore influencé par le succès de Rencontres du troisième type et surtout de Star wars. Longtemps cantonné aux séries B fauchées, la science-fiction est désormais le summum du grand spectacle. Albert R. Broccoli et Michael G. Wilson décident donc de reporter l’adaptation de Rien que pour vos yeux annoncée à la fin de L’Espion qui m’aimait et d’offrir une version de Moonraker très éloignée du roman d’origine et envoyant James Bond dans l’espace. Dès l’énoncé de ce principe, on devine que cette nouvelle aventure de 007 va tout baser sur le fun et non plus sur la crédibilitéspoiler: (James Bond qui sait conduire une navette spatiale !!!) . Si la partie spatiale ne constitue que la dernière demi-heure, le reste de l’aventure se déroulant sur Terre n’est pas plus sérieuse pour autant : l’humour est constamment présent sans être trop lourd, les gadgets sont ultra-présents et apparaissent en très grande majorité sans avoir été présentés par Q, le scénario accumule les clins d’œil (reprises dans la bande musicale des thèmes musicaux des Sept mercenaires, de 2001, l’Odyssée de l’espace ou encore de Rencontres du troisième type), enchaine les séquences d’action et se permet de faire revenir le personnage de Requinspoiler: en le faisant devenir amoureux et gentil à la fin (il réalise que lui et sa chérie font partie du type de personnes que Drax ne souhaite pas conserver en vie) . Si on accepte donc que ce film est uniquement axé sur le plaisir de spectateur en se moquant totalement du réalismespoiler: (on le comprend dès la mémorable scène pré-générique se terminant sur un Requin tentant de voler comme un oiseau pour ne pas s’écraser !) , Moonraker offre au final un résultat assez jouissif car la formule est très bien rodée (Roger Moore est la parfaite incarnation de cette version légère du personnage, les scènes d’action sont spectaculaires, le méchant possède un plan totalement diabolique, l’humour fait souvent mouche, les James Bond girls sont plus belles les unes que les autres, les décors exotiques sont très nombreux, le générique est toujours aussi beau et est accompagné une fois de plus par une chanson de Shirley Bassey…). Ainsi, Moonraker est très divertissant et amusant ou totalement énervant selon que l’on accepte le fait que l’angle adopté est celui d’une grande légèreté et assez proche de la parodie.
J'adore les films 007, notamment tournés par Sean Connery et Roger Moore. J'ai lu les critiques, et j'ai quelque chose à ajouter, à savoir: Les scènes se passent d'abord en Californie: c'est l'été. Bon... Ensuite, à Venise, c'est toujours l'été. Logique... Par contre, l'histoire se poursuit au Brésil, donc à l'hémisphère sud... et c'est toujours l'été!... Est-ce possible d'avoir la même saison à la fois à l'hémisphère nord et sud?...
Ah la la j’ai beaucoup apprécié ce James Bond que les fans détestent, on lui reproche d’avoir un scénario idiot et qu’un James Bond dans l’espace ça ne le fait pas du tout. Ce que je retiens de celui ci c’est le méchant interprété par Michael Lonsdale qui est un grand acteur français bien trop oublié. Les scènes d’actions sont superbes notamment celle du téléphérique et de la centrifugeuse. Et les effets spéciaux ne sont pas mauvais pour l’époque, on sent que le film a voulu surfer sur le succès de Star Wars. On remarque des références à 2001 l’odyssée de l’espace et rencontre du 3ème type. Ce James Bond a été pour moi l’un des satisfaisant et divertissant que j’ai vu. Je vous le conseille