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    Moonraker
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    stallonefan62
    stallonefan62

    289 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2022
    On surfe sur la vague Star Wars et voici un Bond à la sauce SF !! Le scénario parait quelque peu farfelu avec quelques scènes Kitsch mais j'ai beaucoup apprécié cet épisode !! Les scènes dans l'espace ont pas trop mal vieilli vieilli !! On a bien évidemment droit à pas mal de cascades et un Bond toujours aussi sexiste mais qui arrive toujours à ses fins ....
    Julien P
    Julien P

    14 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2021
    Pas mal mais je m'attendais à mieux. L'intrigue est à revoir. Le scénario aussi. La mise en scène en revanche est pas si mal. Le casting est aussi bon que le précédent. La BO peu présente.
    Berserk Gatsu
    Berserk Gatsu

    84 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Pour moi c'est un des meilleurs ok c'est kitsch mais la charte bond est remplie : méchant bien megalo est charismatique , merci m Longsdale vous êtes géniale avec une des répliques les plus cultes de toute la saga : occupez vous de m Bond et veillez à ce qu'il lui arrive malheur.

    Plan de megalo bien foireux, spoiler: m Drax veux repeupler la planète avec des élus qu'il a lui même choisi et exterminer tout les autres avec une sorte de toxine végétale.

    Homme de main excellent avec le retour de Requin
    Jolie Bond girl avec les magnifiques Corinne Clery et Lois Child
    Et dépaysement assuré, Brésil, Italie, USA, et bien sur des gadgets de ouf spoiler: ( lance dard au poignet, gondole overcraft )
    .
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 octobre 2021
    La quatrième épopée de Roger Moore est pour le moins médiocre. Après le succès du film précédent les créateurs de Bond perdent complètement le fil avec ce film. Je suis un fan inconditionnel de Bond j'adore les films et il m'est difficile d'y trouver des défauts. Cependant bien que le film ait certaines caractéristiques rédemptrices en général c'est mauvais. Moonraker contient le point le plus bas dans lequel les films 007 ont sombré jusqu’à présent le méchant aux dents d'acier tombant amoureux est une formule trop classique et ce n'est rien de plus que du Bond par les chiffres. A l'époque c’était le film de Bond le plus cher jamais réalisé il n'est pas difficile de voir que la majorité du budget alloué est allé aux effets spéciaux plutôt qu'à celui du scénario. Le personnage de 007 n'a jamais été aussi diminué qu'il ne l'est dans ce film. Bond n'est plus qu'un outil qui fait la démonstration de gadgets et non de vivacité d'esprit. Le film peut être divertissant si l'on fait abstraction des précédents grands films de 007. C'est en comparant ce film à ces derniers que l'on réalise à quel point la série a déraillé. Shirley Bassey interprète la chanson thème pour la troisième et dernière fois elle est assez agréable mais pas particulièrement mémorable. Bernard Lee fait sa dernière apparition dans le rôle de M. Si vous avez 12 ans et que vous aimez les films de science-fiction qui demandent peu d'attention ou de réflexion alors ce Bond est fait pour vous désolé de faire un tel stéréotype...
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2021
    La navette spatiale Moonraker disparaît. James Bond (Roger Moore) est chargé de l’enquête qui l’emmène à Venise puis à Rio.
    La scène d’ouverture avec la chute d’avion est impressionnante pour l’époque. Globalement les scènes d’action sont d’ailleurs assez réussies, je pense notamment à spoiler: l’affrontement entre Requin et Bond en haut du téléphérique
    .
    Le méchant Drax (Michael Lonsdale) est crédible, idem pour la James Bond, le Dr Holly Goodhead (Lois Chiles).
    La première partie du film est prenante mais ensuite l’histoire est tirée par les cheveux, on passe parfois d’une séquence à une autre sans transition (exemple : spoiler: Bond s’échappe d’une ambulance, le plan d’après il se retrouve en habit traditionnel avec un poncho, à cheval, on dirait un faux raccord
    ).
    La thématique de l’espace a déjà été vue dans plusieurs James Bond, on a l’impression de revoir une énième fois le même film avec des décors différents, c’est vraiment dommage. Quant à la scène de fin, spoiler: avec l’affrontement entre les deux camps, c’est aussi du déjà vu, la scène semble interminable, c’est bien trop long et il n’y a aucun rythme dans la bataille
    .
    maxime ...
    maxime ...

    242 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    Le ridicule ne tue pas ! La Saga 007 s'en est fait son mot d'ordre. Sous bien des angles, Moonraker est sans conteste son champion toute catégorie.

    Les situations pour exploiter le filon sont pléthoriques. Cascades, dialogues, Gadgets en touts genres ... Tout prend des allures de gags, en atteste se fight improbable avec un python ! Oui, sérieusement ( rires ).

    Un film très gênant mais aussi paradoxalement amusant. Ca change de quelques précédents opus tout aussi lourdauds et plombant par la même occasion. Néanmoins, je vais freiner ma consommation de vieux James Bond pour un temps je crois ... Il me reste encore trois films avec Moore à me coltiner et je dois dire que là je sature quelque peu.

    A dans quelques semaines.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2021
    Moonraker ne laissera pas un souvenir impérissable et c'est le moins que l'on puisse dire. Déjà au début, le générique, passage obligé et remarqué de la saga, est d'une pauvreté affligeante. S'en suit un film dont les cascades sont vues et revues dans les précédents films, surtout les courses en bateaux qu'on nous ressort maintenant à chaque épisode. Pas de grand méchants, des jolies filles sans charme et un coté parodique mal venu. Après le très bon L'espion qui m'aimait qui redonnait ses lettres de noblesse à l'agent secret, on vire ici dans le pastiche de Star Wars avec une guerre aux pistolets laser dans l'espace ! Oui, vous avez bien lu, l'espace est devenu une zone de guerre, non pas avec des vaisseaux mais des bonhommes en combi qui se baladent, Moonraker où le vide intersidérale...
    Alexarod
    Alexarod

    280 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2021
    Loupé. Oui un James Bond peut être raté, même avec Roger Moore, pourtant pas le plus mauvais par ailleurs. Si on a tous les ingrédients habituels ils sont poussés ici au maximum : double dose de gadgets, de James Bond girls toutes aussi potiches les unes que les autres (dont une agente qui ne sait rien à part mal mentir), d’effets spéciaux foirés et d’actions en accélérés moches. Du coup on a plutôt une impression de caricature non voulue que de véritable agent secret aux trucs incroyables. Cela gâche évidemment tout et montre l’uniformité sur laquelle étaient construits les opus de l’époque.
    En découle un ennui terrible car l’histoire se complique sans raison, mais sans apporter d’intérêt non plus, la trame est trop connue pour ne pas être devinée (uniformité…), la mise en scène est trop mal foutue pour être suivie tranquillement à cause de coupes anarchiques, des longueurs inutiles, un rythme cassé, des silences ch.iants et trop peu de transitions acceptables.
    Si on continue malgré tout (faut en vouloir) on peut remarquer, hormis de mauvais acteurs, des décors mal exploités ou moches, des incrustations affreuses, de trop nombreux passages en accélérés, des FX ratés donc, mais surtout des placements produits qui valent une plage de pub de TF1 à 20h50 (donc qui dure 10 minutes au moins). On a donc British Airways, Seiko, 7up et Marlboro comme coupables de dénaturation de film et entreprises trop friquées. A noter pour la dernière qu’elle contourne donc l’interdiction de faire de la publicité, mais surtout que le docteur qui les utilise ici ne fume pas, pur placement produit sans même chercher à l’intégrer un tant soit peu au long métrage…
    Malheureusement ça ne s’arrête pas là car on a aussi des costumes ridicules et kitch, une mauvaise musique sauf quand elle reprend le thème de John Barry, un générique inconnu pour de bonnes raisons, des dialogues niaiseux, un humour hors service, et beaucoup d’invraisemblances. Dès le début, Requin (seul bon point du film) spoiler: survit à une chute libre de plusieurs milliers de mètres grâce à un chapiteau, une femme arrive en voiture mais quand elle est poursuivie par des chiens elle part… à pieds, les héros s’enfuient du feu du décollage d’une fusée sans soucis (pourtant à quelques mètres le feu va plus vite qu’eux, et leur oxygène est un peu cramé), puis Bond se planque en fermant la porte juste devant des scientifiques qui arrivent mais ne voient rien bien sûr, sans parler du lanceur pro de couteaux qui rate Bond en face de lui (l’inverse n’est pas vrai, et du 1er coup) ainsi que les habituels méchants qui arrosent à la mitraillette mais loupent sans cesse tout.

    Je conclurais avec le fait qu’en plus ça pompe pas mal sur d’autres long métrages : 2001 l’odyssée de l’espace pour le style astronaute (1968), Star wars 4 pour les batailles spatiales (1977) et Rencontre du 3è type pour la petit musique (1977), rappelons que Moonraker date de 1979. Bref c’est loupé sur toute la ligne, et même les fans de Bond ne devraient honnêtement pas le compter dans la saga, trop un navet.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2021
    RM était le James Bond de l’époque. Il a la classe c’est vrai mais au niveau de l’action, il ne faut pas s’attendre à grand chose.
    C’est vraiment mou.
    Peut-être dû à ses 50 ans.
    Dur de le comparer aux films des années 2000.
    Pour ce qui est du film, beaucoup de scènes ridicules entachent le récit.
    On est pourtant ravi de voir le Concorde se poser à Rio.
    Bref un JB vraiment moyen
    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2021
    "Moonraker" est le onzième opus de la saga des James Bond. Un volet divertissant, une histoire à la conquête spatiale que j'ai bien aimé et les effets spéciaux sont bien fait pour l'époque. Je trouve qui y avait un peu de longueurs à certains moments du film et certaines scènes d'action sont un peu mal faites.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 novembre 2023
    Dans ce onzième opus de la saga « James Bond », sorti en 1977, le célèbre agent secret (Roger Moore) finit par s’embarquer sur une navette spatiale afin d’empêcher l’extermination de l’humanité par un dangereux criminel (Michael Lonsdale). Avec cette aventure, on a le droit au pire at au meilleur. Si la première partie du film est plutôt bien réussie avec des scènes d’action efficaces, des rebondissements et de l’humour, le final reste médiocre et bâclée. Il est vraiment dommage que le réalisateur Lewis Gilbert soit tombé dans la caricature et la facilité. Bref, même la présence du méchant aux dents d'acier (Richard Kiel) ne parvient pas à relever le niveau.
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    La saga tombe ici dans la surenchère et l'humour à deux balles, pour finir par flirter avec le ridicule lors du final spatial. Dommage car la première partie était intéressante et Michael Lonsdale fait un méchant génial.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    83 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Avec la course a la conquête spatiale et surtout celle de Mars, ce film retrouve un certain intérêt, et plus particulièrement par rapport a l'antagoniste, Hugo Drax (Michael Lonsdale) qui rappelle Elon Musk (ce dernier est quand même moins mégalomane, quoique). Le film commence bien, mais pour reprendre les paroles de ma moitié : "ça part en cacahuètes". Effectivement ça se transforme vite en blague, a l'image du retour de Requin (Richard Kiel), et Roger Moore était définitivement une erreur de casting.
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    "Moonraker" est probablement le pire Bond de la saga. Tout y est sous/surexploité. Exemple flagrant avec le très bon Michael Lonsdale, récemment décédé. Son personnage aurait vraiment mérité d'être beaucoup plus fouillé et mis en avant. A l'inverse, les cruches girls sont omniprésentes. Le rythme reste trop pépère du début à la fin. Si la 1ère partie du film est acceptable (normes 007 basiques), la seconde tombe carrément dans le nanar faute à un scénario se liquéfiant rapidement. Parallèlement, paysages magnifiques et effets spéciaux très réussis (pour l'époque) sont grandement utilisés afin de pallier le vide scénaristique. Mais rien n'y fait. Et ce ne sont pas les navrants clins-d'oeil et références à "Rencontre du 3ème Type", "Star Wars" (le gros LOL de la bataille sidérale sidérante) et autres "2001" qui remonteront le niveau, bien au contraire.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Le succès record de “L’espion qui m’aimait” galvanise Albert Broccoli, devenu l’unique producteur de la saga James Bond qui décide de frapper un grand coup pour le onzième épisode, doté d’un budget faramineux pour l’époque. C’est “Moonraker”, le troisième roman de la série écrit par Ian Fleming en 1955 qui sera choisi pour être adapté par Christopher Wood ayant déjà officié sur “L’espion qui m’aimait”. John Barry composera la bande originale de son huitième James Bond. Roger Moore est désormais familiarisé avec le rôle auquel, il a apporté les caractéristiques de son jeu empreint d’humour désinvolte et de charme british. Tout semble donc réuni pour que cette nouvelle aventure de l’agent 007 batte à nouveau tous les records. Ce sera effectivement le cas, “Moonraker” dépassant toutes les espérances de la production qui a débloqué pour l’occasion le plus gros budget de la saga. On ne saurait en dire autant au niveau de la qualité de cet épisode dont il faut bien dire qu’il est de loin le plus ennuyeux depuis “Docteur No”. L’équipe déjà en place, sans doute à court d’imagination et devenue un peu routinière n’a visiblement misé que sur les recettes soigneusement rodées qui ont fait le succès de la saga. L’intrigue est basée sur l’étrange disparition d’une navette spatiale américaine orchestrée par un riche milliardaire californien (Michael Lonsdale) désireux de refonder une nouvelle race d’humains sélectionnés puis sauvegardés dans l’espace avant de revenir sur Terre une fois que celle-ci sera définitivement débarrassée du reste de l’humanité grâce à un virus mortel. Tout un programme! Mais l’intrigue en question intéresse peu les producteurs qui se contentent d’organiser pour un Roger Moore commençant à accuser les ans, un tour du monde où les sublimes paysages servent de cadres à des courses-poursuite ne faisant en rien progresser une intrigue qui se dilue progressivement au rythme des roucoulades de l’agent 007 à qui bien sûr aucune femme ne résiste y compris les plus jeunes. On passe donc par Londres, la Californie, Venise, Rio de Janeiro et la forêt amazonienne avant de décoller pour l’espace. Le scénario a beau faire revenir le géant Richard Kiel dit le Requin à cause de sa mâchoire en acier qui avait donné une coloration Tex Avery très réjouissante à “L’espion qui m’aimait”, rien n’y fait : “on s’ennuie ferme”. Le final interminable avec sa déambulation interstellaire mollassonne donne le coup de grâce. L’expérimenté Lewis Gilbert tout comme l’excellent Michael Lonsdale ne peuvent rien faire pour empêcher le naufrage qualitatif de ce onzième segment. On peut être logiquement inquiet pour la suite, Roger Moore déjà âgé de 51 ans, n’étant pas appelé à rajeunir.
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