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Jaoui/Bacri décrivent le pouvoir de la célébrité, petite ou grande. Ils croquent à merveille les protagonistes. J'ai adoré les retrouver tous les deux.
Un ennui... purement et simplement. Pas d’histoire véritable, pas d’action. Un russe, on ne comprend aucune réplique. Le film est lent et sans aucun intérêt.
beau jeu d acteurs théâtral entre Bacri Jaoui et Lea Druker dans cette comedie caricaturale du microcosme de la TV moderne
Le tandem Bacri-Jaoui, c'est un style : des films qui s'inscrivent dans une unité de lieu et de temps, comme au théâtre. C'est un ton aussi : un cynisme débordant de générosité, tout à la fois piquant et touchant, en général assaisonné d'une bonne dose d'humour et de dérision.
N'ayant pas été très emballée par “Au bout du conte� en 2013, j'attendais de retrouver le feu, la verve, la magie d' “Un air de famille�, et c'est indéniablement le cas dans “Place publique�.
Voici donc la pendaison de crémaillère d'une parisienne aisée qui s'installe à la campagne. Le film se déroule tel une sorte de vaudeville 2.0 et propose une sacrée galerie de personnages, hauts en couleur et délicieux, plus vrais que nature. On se laisse rapidement porter par le rythme de cette soirée ponctuée par les intermèdes musicaux. Pour ces parisiens perdus dans un déballage de faux airs, l'honnêteté et la simplicité des sentiments semblent parfois inaccessibles, voire incompréhensibles. Ce n'est pas un hasard si le seul personnage du film qui parle d'amour avec son cœur n'a pas les mots pour le dire. En effet, derrière les mots cinglants et la fausse légèreté de ton se cache une fable sur l'amour, sur ses codes et sur son langage. Les relations humaines, familiales, amoureuses sont étalées sur la place publique sans complaisance ni voyeurisme, et sans prosélytisme non plus. Ici, pas de bonne ou de mauvaise morale : c'est la vie, c’est tout. Libre à chacun d'en penser ce qu'il veut.
Les acteurs sont d'une justesse implacable et les dialogues absolument jouissifs. C’est le film idéal pour s’offrir une parenthèse de bonne humeur. J'ai bien rigolé, et j'en rigole encore !
N'ayant pas été très emballée par “Au bout du conte� en 2013, j'attendais de retrouver le feu, la verve, la magie d' “Un air de famille�, et c'est indéniablement le cas dans “Place publique�.
Voici donc la pendaison de crémaillère d'une parisienne aisée qui s'installe à la campagne. Le film se déroule tel une sorte de vaudeville 2.0 et propose une sacrée galerie de personnages, hauts en couleur et délicieux, plus vrais que nature. On se laisse rapidement porter par le rythme de cette soirée ponctuée par les intermèdes musicaux. Pour ces parisiens perdus dans un déballage de faux airs, l'honnêteté et la simplicité des sentiments semblent parfois inaccessibles, voire incompréhensibles. Ce n'est pas un hasard si le seul personnage du film qui parle d'amour avec son cœur n'a pas les mots pour le dire. En effet, derrière les mots cinglants et la fausse légèreté de ton se cache une fable sur l'amour, sur ses codes et sur son langage. Les relations humaines, familiales, amoureuses sont étalées sur la place publique sans complaisance ni voyeurisme, et sans prosélytisme non plus. Ici, pas de bonne ou de mauvaise morale : c'est la vie, c’est tout. Libre à chacun d'en penser ce qu'il veut.
Les acteurs sont d'une justesse implacable et les dialogues absolument jouissifs. C’est le film idéal pour s’offrir une parenthèse de bonne humeur. J'ai bien rigolé, et j'en rigole encore !
Décevant
Tout est encore là, la matière n’a pas disparu mais le traitement n’a plus d’énergie, à l’image du personnage principal. Une situation n’est pas abordée qu’elle est déjà abandonnée, sans même parfois un bon mot . Le film se déroule comme du théâtre ennuyeux, les personnages démissionnent sans que pour autant quoi que ce soit triomphent. La fin d’une époque où il y a encore de l’argent à perdre dans ce genre de film
Tout est encore là, la matière n’a pas disparu mais le traitement n’a plus d’énergie, à l’image du personnage principal. Une situation n’est pas abordée qu’elle est déjà abandonnée, sans même parfois un bon mot . Le film se déroule comme du théâtre ennuyeux, les personnages démissionnent sans que pour autant quoi que ce soit triomphent. La fin d’une époque où il y a encore de l’argent à perdre dans ce genre de film
Un coup de fatigue de Jaoui !! Une suite laborieuse du "sens de la fête" sur le cynisme et l'égocentrisme du monde des medias . Un scénario inexistant et un enchaînement de scènes musicales qui semblent vouloir combler le vide du script
Seul Bacri dans son rôle habituel et naturel de désabusé blasé nous arrache un sourire grâce à qlqs répliques qui claquent
Seul Bacri dans son rôle habituel et naturel de désabusé blasé nous arrache un sourire grâce à qlqs répliques qui claquent
Clémentine K.
Dans la même veine que Le sens de la fête mais sous un format quand même très différent. Le film manquait peut-être un peu de rythme mais reste très authentique dans ce qu’il raconte.
Très déçu : histoire creuse. Film cynique qui dure. On s’ennuie. Dommage. J’avais adoré le sens de la fête
Je n'ai pas aimé du tout, j'ai trouvé ça vain, sans intérêt.
Comme si j'étais invitée à une fête où je ne connais personne, obligée d'écouter les histoires d'un clone d'Ardison antipathique qui souffre de vieillir, d'une bande de jeunes YouTubeurs arrogants, et d'une pétitionneuse professionnelle.
Tout cela est d'un nombrilisme incroyable dans le petit milieu de la télévision, des média et du cinéma, dans un joli cadre très vert et très chic à 35 minutes de Paris.
Je me suis sentie dans la situation du chauffeur, en attente de la fin de cette fête qui n'en finit pas pour pouvoir partir.
Comme si j'étais invitée à une fête où je ne connais personne, obligée d'écouter les histoires d'un clone d'Ardison antipathique qui souffre de vieillir, d'une bande de jeunes YouTubeurs arrogants, et d'une pétitionneuse professionnelle.
Tout cela est d'un nombrilisme incroyable dans le petit milieu de la télévision, des média et du cinéma, dans un joli cadre très vert et très chic à 35 minutes de Paris.
Je me suis sentie dans la situation du chauffeur, en attente de la fin de cette fête qui n'en finit pas pour pouvoir partir.
Hélas, ce film ternit l'image de Bacri et Jaoui qui nous ont habitués à mieux. C'est sombre, décousu, pauvre et l'on peut s'y ennuyer ferme.
Film absolument génial, une terrible galerie de portait, une réalisation parfaite, des dialogues savoureux, une superbe musique, bref je reste un inconditionnel du couple Jaoui/Bacri, deux grands du cinéma français .
Encore un bon moment avec Agnès Jaoui et Bacri toujours aussi excellents. On savoure les dialogues. Un peu trop de cynisme à mon goût soit.
Tout de même vivement leur prochain film !
Tout de même vivement leur prochain film !
Un excellent film , avec des acteurs que l'on adore ... et justement on les adore tellement qu'on devient exigeant avec eux ... le scénario est un peu trop convenu ... sans grande surprise.
La scène que je retiendrai du film est celle ou Bacri chante ... plutôt bien d'ailleurs.
Je pense que l'histoire serait mieux adaptée au théâtre qu'au cinéma vu l'unité de temps et de lieu.
La scène que je retiendrai du film est celle ou Bacri chante ... plutôt bien d'ailleurs.
Je pense que l'histoire serait mieux adaptée au théâtre qu'au cinéma vu l'unité de temps et de lieu.
mieux que ce que j'espérais, une petite comédie sociale avec un mélange familiale et professionnelle sur ce qui se passe dans le monde réel du travail qui est souvent hypocrite malheureusement. un bon casting avec un "jean pierre bacri" toujours au top avec son côté cynique qui lui va toujours aussi bien, une "agnès jaoui" égal à elle même et une "léa Drucker" bien aussi dans son rôle très bourgeois.
Il ne se passe rien dans ce film et on s’ennuie. Il se veut dans les veines des « un air de famille » mais là, la sauce ne prend pas. On a du mal à accrocher à ces personnages et à leurs histoires. Un film à oublier. Dommage car je suis vraiment fan de ces deux-là.
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