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Loïck G.
Un animateur TV sur le déclin assiste impuissant à la chute de son audimat, au cours d’une crémaillère où le petit monde du petit écran semble lui avoir donné rendez-vous pour un adieu final. Sur une idée bien faite le couple de scénaristes Jaoui-Bacri rabâche ses certitudes dans un méli-mélo d’idées reçues qui se faufilent par des portes ouvertes. Quelques portraits parmi les invités retiennent un moment l’intention, mais l’insistance à vouloir dire que le monde est à côté de la plaque ne tient pas très longtemps. Il reste une interprétation très homogène, mais là encore assez convenue.
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
C’est Jaoui Bacri sans équivoque !
L’histoire de célébrités invités à une crémaillère... des histoires romantiques compliquées... des questions existentielles et des personnages aux caractères bien trempés... tout y est !
De bons fou-rires mais un peu de lenteur parfois.
L’histoire de célébrités invités à une crémaillère... des histoires romantiques compliquées... des questions existentielles et des personnages aux caractères bien trempés... tout y est !
De bons fou-rires mais un peu de lenteur parfois.
Un pur bonheur de retrouver le tandem Jaoui/Bacri . Une fresque social aux dialogues pertinents et hilarant. Des personnages juste assez caricaturés pour les rendre plausible. C’est frais ,joyeux et léger. Un moment de divertissement qui fait du bien.
Aïe, je me suis ennuyée durant presque toute la séance, et pourtant je suis fan de Bacri. Le film est mou, toutes les bonnes réparties sont dans la bande annonce, et que de les lieux communs ! Tout n'est pas honnête, par exemple il n'y a pas que des crétins sur les réseaux sociaux (d'ailleurs ce sont souvent les "Elites"qui disent ça). SPOILER On est content à la fin quand le voisin vient exploser la sono !
Après une légère baisse de régime pour leurs deux précédents films, je trouve que là on retrouve le niveau excellent de leur début.
Attention, sous couvert de comédie, cette histoire est relativement cynique et déprimante car elle met en exergue la noirceur normale des gens.
Le scénario est excellent, tout est parfaitement travaillé : les caractères des personnes, les dialogues, le rythme.
Attention, sous couvert de comédie, cette histoire est relativement cynique et déprimante car elle met en exergue la noirceur normale des gens.
Le scénario est excellent, tout est parfaitement travaillé : les caractères des personnes, les dialogues, le rythme.
Pendant toute la durée du film j'avais l'impression d'être un invité de cette crémaillère à,laquelle je n'avais pas ma place.
On rit peu, on s'ennuie, beaucoup de clichés du milieu médiatique, de la jeunesse/vieillesse, parents/enfants et des comparaisons qui n ont rien à voir entre elles. Le rôle de JP Bacri donne l'impression d'être à bout de souffle malgré quelques répliques "téléphonées" et que le spectateur connaît d'avance. Beaucoup de de scènes ne sont pas crédibles.On a été habitué à beaucoup mieux.
On rit peu, on s'ennuie, beaucoup de clichés du milieu médiatique, de la jeunesse/vieillesse, parents/enfants et des comparaisons qui n ont rien à voir entre elles. Le rôle de JP Bacri donne l'impression d'être à bout de souffle malgré quelques répliques "téléphonées" et que le spectateur connaît d'avance. Beaucoup de de scènes ne sont pas crédibles.On a été habitué à beaucoup mieux.
film mauvais, scénario vide, bonne moralité mais on ne suit pas l'histoire, dommage car le jeu de Castro est excellent bien que caricaturé
Ce film pour moi est très semblable aux films "Un air de famille" et "Cuisines et dépendances".
Cela se passe de la même façon : sur un temps court, lors d'une soirée et le début d'une nuit entre plusieurs personnes pour célébrer un évènement ou une fête.
Pour "Un air de famille" c'était pour célébrer un anniversaire dans le bar/resto d'un membre de la famille, pour "Cuisines et dépendances" c'était pour une petite fête/soirée dans un appartement et là pour "Place publique" c'est pour une pendaison de crémaillère dans une maison de campagne.
Pour ces trois films, même ambiance et même scénario : on retrouve plusieurs personnes ensemble, des gens de la même famille et des amis (toutefois là, pour "Place Publique il y a en plus des invités plus variés) et tout commence parfaitement et tout finit très mal car au cours des soirées les gens vont finir par balancer et mettre à jour leurs frustrations, leurs besoins, leurs désirs, leurs jalousies, leurs cachotteries, leurs rancoeurs, leurs reproches.
"Un air de famille" et "Cuisines et dépendances", c'était un régal, de vrais petits bijoux et ce "Place Publique" aussi.
Cela se passe de la même façon : sur un temps court, lors d'une soirée et le début d'une nuit entre plusieurs personnes pour célébrer un évènement ou une fête.
Pour "Un air de famille" c'était pour célébrer un anniversaire dans le bar/resto d'un membre de la famille, pour "Cuisines et dépendances" c'était pour une petite fête/soirée dans un appartement et là pour "Place publique" c'est pour une pendaison de crémaillère dans une maison de campagne.
Pour ces trois films, même ambiance et même scénario : on retrouve plusieurs personnes ensemble, des gens de la même famille et des amis (toutefois là, pour "Place Publique il y a en plus des invités plus variés) et tout commence parfaitement et tout finit très mal car au cours des soirées les gens vont finir par balancer et mettre à jour leurs frustrations, leurs besoins, leurs désirs, leurs jalousies, leurs cachotteries, leurs rancoeurs, leurs reproches.
"Un air de famille" et "Cuisines et dépendances", c'était un régal, de vrais petits bijoux et ce "Place Publique" aussi.
Portrait cynique sur un microcosme de bobo parisiens largués à la campagne le temps d'une crémaillère. On retrouve l'ambiance un peu spéciale de A. Jaoui et de JP Bacri. Plus grinçant que comique. La musique accompagne tout le film et fini sur une superbe interprétation du tube de Baschung ( osez Josephine) à la JP Bacri.
WutheringHeights
Une comédie acide à la fois hilarante et mélancolique qui brocarde le théâtre des vanités de la célébrité et les lâchetés ordinaires à tous les niveaux de la société. Du grand « Jabac » !
bonne histoire, bon fond mais trips long, on s'ennuie, pas d'action , plat , le sens de la fête était beaucoup mieux réaliser.
quand on se rend voir un film d'Agnès Jaoui avec un grand Jean Pierre Bacri
on sait vraiment à quoi s'attendre.
un acteur bougon aigri des situations cocasses et non conventionnelles.
le casting est royal et l'histoire en huis clos nous plonge dans le monde fermé
et égocentrique des "vedettes" ou soit disant vedette.
coups bas règlements de comptes en tout genre la journée sera éprouvante.
on sait vraiment à quoi s'attendre.
un acteur bougon aigri des situations cocasses et non conventionnelles.
le casting est royal et l'histoire en huis clos nous plonge dans le monde fermé
et égocentrique des "vedettes" ou soit disant vedette.
coups bas règlements de comptes en tout genre la journée sera éprouvante.
je l'ai vu avec une amie très " bon public" , donc pour lui faire plaisir , je me suis un peu forcée à rire ...mais je n'adhère pas trop à cet univers de "bobos " et ces ambiances de fêtes .
On en a trop eu depuis 10 ans dans les films français
.Faire d'un film une fête , c'est la solution de facilité pour ne pas avoir d'histoire à raconter, et au bout de 10 mn, on se rend compte qu'il ne va rien se passer ( en fait , au bout de la 3ème fois que Léa Drucker dit " c'est à 35 mn de Paris.... " )
Les personnages sont tous laids , est ce fait exprès ? ( l'écolo éleveur de légumes, les voisins casse-couilles pas crédibles une seconde avec leurs habits de Deschiens le mec fade de Jaoui , l'assistant de Léa Drucker avec ses dents prohéminentes , le jeune chauffeur , la fille avec sa robe sac rouge .... )
Il y a également beaucoup trop de musique , et en tant que musicienne professionnelle , j'ai été agacée par le surjeu des instrumentistes qui en font des caisses pour se faire remarquer des caméras ( ça sent le "placement de potes intermittents " à plein nez )
Les potes du " Youtubeur" sont très mauvais aussi , à mi chemin entre la figu et les seconds rôles , mais on y croit jamais .
Héléna Noguerra ne sert pas à grand chose spoiler: ( on aurait presque aimé qu'elle revienne à la fin pour dire à bacri qu'elle l'aimait )
bref , tout ça manque cruellement d'amour et d'originalité .
ma copine a passé un bon moment , tant mieux pour elle ....
On en a trop eu depuis 10 ans dans les films français
.Faire d'un film une fête , c'est la solution de facilité pour ne pas avoir d'histoire à raconter, et au bout de 10 mn, on se rend compte qu'il ne va rien se passer ( en fait , au bout de la 3ème fois que Léa Drucker dit " c'est à 35 mn de Paris.... " )
Les personnages sont tous laids , est ce fait exprès ? ( l'écolo éleveur de légumes, les voisins casse-couilles pas crédibles une seconde avec leurs habits de Deschiens le mec fade de Jaoui , l'assistant de Léa Drucker avec ses dents prohéminentes , le jeune chauffeur , la fille avec sa robe sac rouge .... )
Il y a également beaucoup trop de musique , et en tant que musicienne professionnelle , j'ai été agacée par le surjeu des instrumentistes qui en font des caisses pour se faire remarquer des caméras ( ça sent le "placement de potes intermittents " à plein nez )
Les potes du " Youtubeur" sont très mauvais aussi , à mi chemin entre la figu et les seconds rôles , mais on y croit jamais .
Héléna Noguerra ne sert pas à grand chose spoiler: ( on aurait presque aimé qu'elle revienne à la fin pour dire à bacri qu'elle l'aimait )
bref , tout ça manque cruellement d'amour et d'originalité .
ma copine a passé un bon moment , tant mieux pour elle ....
On s'ennuie ferme, en attendant que le film décolle. Ce qu'il ne fait jamais. Les portraits s'amorcent puis s'épuisent avant même qu'ils aient eu le temps d'être approfondis. Tout est très superficiel, survolé et inabouti. Manque d'inspiration ou autosuffisance ? On cherche le sens de tout cela, sans réussir à le trouver. Au fait, de quoi parle ce film ? Un moment sympa toutefois les trois minutes finales
spoiler:
où Bacri chante Joséphine accompagné à la guitare. On ne sait pas trop ce que cela fait là, mais c'est sympa quand même ! spoiler:
Jean-Pierre Bacri fait du Jean-Pierre Bacri. J'étais allé le voir en pensant retrouver la finesse et la dynamique du "sens de la fête". Rien de tel. Un film quelque peu raté dont on peut donc tout à fait se passer : on renonçant à aller le voir, on ne rate rien.i
où Bacri chante Joséphine accompagné à la guitare. On ne sait pas trop ce que cela fait là, mais c'est sympa quand même ! spoiler:
Jean-Pierre Bacri fait du Jean-Pierre Bacri. J'étais allé le voir en pensant retrouver la finesse et la dynamique du "sens de la fête". Rien de tel. Un film quelque peu raté dont on peut donc tout à fait se passer : on renonçant à aller le voir, on ne rate rien.i
Si à première vue, "Place Publique", nouvelle réalisation d'Agnès Jaoui co-écrite avec son complice de toujours Jean-Pierre Bacri a des airs de déjà-vu, c'est normal. Le film partage plusieurs similitudes avec "Le sens de la fête" sorti l'année dernière : une fête, Jean-Pierre Bacri et Kevin Azaïs. Nul doute qu'aujourd'hui, "Place publique" souffre d'ailleurs de la comparaison qui ne reste en tête qu'un temps puisque Jaoui dirige rapidement son film vers autre chose. Comme toujours avec le tandem Jaoui-Bacri, le film va croquer des personnages savoureux et tâcher de lorgner tous les petits défauts de notre époque en brocardant les apparences. S'il est vrai qu'on a connu le duo plus inspiré, "Place publique" fait néanmoins mouche à de nombreuses reprises, offrant une fois de plus un fabuleux rôle de composition à Jean-Pierre Bacri en ersatz de Thierry Ardisson bougon et cynique. Le reste du casting, choisi avec soin, n'est pas en reste et vient dispenser au final un discours assez touchant sur le temps qui passe et sur ce que cela fait de ne plus "être dans le coup". Bien que parfois un peu trop écrit pour être honnête, le film n'en demeure pas moins une belle chronique croquant à pleine dents des personnages dépassés et touchants.
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