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    La Mécanique de l'ombre
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    Los Bazinos D
    Los Bazinos D

    1 abonné 55 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Thriller d'espionnage politique sombre et captivant. La réalisation est efficace et la mécanique de ce machiavélisme monte crescendo. La fin est moins crédible. François CLUZET est, comme toujours, imperccable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Très bon film ! nous sommes dans l'angoisse et le suspens du début à la fin !! très bon jeu d'acteurs également , et remarquable pour un film Français ! à voir absolument . le film porte bien son nom . Pour conclure ce n'est qu'une partie de ce que nous pouvons savoir .......
    julos2b
    julos2b

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Honnêtement, j’y suis allé avant tout pour le casting et la promesse d’un film de genre. J’en ressors avec en plus un réalisateur. Images travaillées, mise en scène au cordeau, lumières superbement choisies… Le gars maîtrise clairement son sujet. Le film est sombre mais, pour une fois dans cet exercice si compliqué, tendu à l’extrême. Ça nous embarque et nous malmène comme je ne l’avais pas ressenti depuis longtemps. La musique fait corps avec le sujet et nous emmène avec Duval fouiller cette ombre promise dans le titre. Encore une fois, les promesses sont tenues sans artifice, sans numéro d’acteur (ce qui est une gageure, compte tenu du casting) : tout le monde est au service du film et, en plus d’être réussi, c’est rafraîchissant, dans un paysage cinématographique français où ce genre de nouveauté est rare, voire absente. Coup d’essai (premier apparemment) : coup de maître.
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    les films d'espionnage ne sont pas ma tasse de thé mais la mécanique de l'ombre m'a bien plu , un film d'espionnage mais inséré dans la vie d'un homme ordinaire (françois cluzet) qui se retrouve entraîné malgré lui dans les arcanes du pouvoir et de la criminalité .qui pouvait mieux que lui interpréter cet homme dépassé mais qui lutte quand même ? le film est lent mais on le suit avec intérêt par l'originalité du scénario et l'interprétation brillante.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    65 abonnés 589 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un thriller "à la française" haletant et bien mené de bout en bout. François Cluzet est, une fois de plus, excellent.
    tixou0
    tixou0

    662 abonnés 1 979 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Un citoyen lambda, et même des moins attirants, que ce "Duval"... Proche de la retraite, vivant seul dans un appartement sinistre, avec pour seul loisir faire d'interminables puzzles, ce comptable honnête et terne s'est retrouvé licencié à la suite d'un "burn-out". 3 ans plus tard, déprimé et alcoolique, il a quand même réussi (un peu) à remonter la pente, grâce aux "AA" (où il vient de rencontrer une infirmière italienne - créature fragile à prendre sous son aile...), et pense que la chance lui sourit enfin, avec la proposition d'emploi (grassement payé) d'un certain "Clément" (1.500 euros la semaine - en espèces). Mais est-ce bien la providence qui lui a fourni cette prébende ?... Et un premier grain de sable vient rapidement gripper "La mécanique de l'ombre" (sous la forme d'un certain "Gerfaut"). Suivi de pas mal d'autres, le travail de bureau se transformant en tâche à risque(s), grand(s) risque(s)... Une histoire bien écrite, une mise en scène redoutablement minimaliste, une excellente distribution (François Cluzet, Denis Podalydès, Simon Abkarian, Alba Rohrwacher...) - voilà qui fait de ce premier "long" (par Thomas Kruithof) une très bonne surprise, celle d'un cinéma de qualité, dans une veine peu brillamment illustrée en général dans le cinéma français récent, celle du "thriller", entre (contre)-espionnage peu reluisant et magouilles politicardes. Sous l'oeil d'un témoin "civil", pas si dépassé que cela par le cynisme de la « raison d'Etat », et les impératifs du « secret-défense »....comme on le verra.
    dejihem
    dejihem

    127 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Polar correct sans plus. Lors de l'introduction des personnages, le passé et la psychologie sont mal dégrossies de celui incarné par François Cluzet. Ce qui obère de la suite. Les acteurs sont tous très bons mais le scénario ne fait pas tout !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Nous avons beaucoup aimé. La façon de filmer, le scénario, les couleurs, l'ambiance. Un film prenant. A conseiller.
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un bon thriller des familles, bien ramassé, avec un scénario à la fois créatif et crédible et bien mis en scène, bref, un thriller moderne, voilà ce que j’attendais de « La mécanique de l’ombre ». Je ne connais pas le réalisateur Thomas Kruithof, et pour cause, sa filmographie est minimaliste et il s’agit, sauf erreur, de son premier long-métrage. Mais je sais que le polar français, et au-delà de ça le thriller français, sont en plein renouveau, débarrassés de leurs complexes, n’hésitant plus à oser mettre en scène avec rythme des sujets brulants, parfois même polémiques. « La mécanique de l’ombre », de ce point de vue, ne déçoit pas. Il y a de l’idée dans la réalisation de Kruithof, avec des vraies bonnes trouvailles : des gros plans intéressants, une utilisation de l’ombre et de la lumière intelligente, une musique appropriée et bien placée, et surtout une obsession pour les endroits déserts : les autoroutes vides de voitures, les centre commerciaux déserts, les stades vides, les appartements abandonnés, l’Esplanade de la Défense complètement vide (ce qui ne doit jamais arriver, même le samedi ou le dimanche !). En vérité, Thomas Kruithof mise sur ces idées pour poser une atmosphère, une ambiance et ça fonctionne. Ici, pas de cascade (juste une, très courte), peu de scènes de violences (mais elles n’ont pas besoin d’être nombreuses pour être efficace, au contraire), pas d’effets spéciaux, tout est dans le feutré, le dissimulé, l’intimidation en costume-cravate et à mots couverts. A ce petit jeu, des 4 acteurs en tête d’affiche, c’est surtout François Cluzet et Denis Podalydes qui s’en sortent le mieux, sans vouloir manquer de respect ni à Simon Abkarian (dont le rôle est plus « brut de décoffrage ») ni à Samy Bouajila, dont l’apparition dans l’intrigue est un peu trop tardive pour qu’il surpasse les deux ténors. Juste par le regard et le ton, Podalydes glace le sang et Cluzet incarne la panique grandissante du type pris dans un engrenage qui le dépasse complètement et qui va inexorablement le broyer. C’est le propre des grands acteurs, faire passer toutes les émotions sans en faire des tonnes ! Le scénario de « la mécanique de l’ombre » se met en place assez lentement, au début on est dans un brouillard qui va doucement, très doucement se dissiper. Qui est ce Clément qui possède des écoutes téléphoniques de ce type ? spoiler: Des écoutes téléphoniques où il est question d’otages français à l’étranger, d’élections présidentielles imminentes, d’anciens ministres de Kadhafi qui négocie avec les preneurs d’otages, des écoutes téléphoniques qui vont jusqu’à toucher la DGSI elle-même. Pas besoin d’être devin, en tant que spectateur pour comprendre qui, en France, peut se targuer d’écouter jusqu’à la DGSI.
    En fait, le pourquoi du comment peut se deviner assez vite si on est perspicace et observateur. Mais le scénario est malin, il nous enfume un petit peu, nous endors presque avec cette atmosphère de secret et on se laisse emmener par le bout du nez jusqu’à une conclusion qu’on aurait pu deviner très vite tout seul. spoiler: Comme on dit dans ces cas là, « Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existés est purement fortuite », sauf que toute cette affaire d’otages nous en rappelle d’autres, ce candidat au slogan si « patriote » nous en rappelle un autre et le cynisme de Clément à la fin du film, au moment où tout se dénoue, il sonne carrément juste.
    Toutes les « affaires » qui ont été mises au jour ces dernières années, toutes ces collusions avérées entre certains dirigeants et des intermédiaires, des hauts fonctionnaires de la police, tout ce qui remplit les pages de Médiapart donne du grain à moudre aux scénaristes d’aujourd’hui et donnent une certaine crédibilité, pour ne pas dire une crédibilité certaine, à leurs intrigues, mêmes tordues, même bien poisseuses. Malgré toutes ces bonnes intentions, ce scénario crédible, ce casting impeccable et cette réalisation soignée et prometteuse pour un premier film, « La mécanique de l’ombre » se laisse suivre sans déplaisir mais accuse quelques faiblesses. Le film ne dure que 90 minutes et pourtant, il semble se trainer un peu par moment, le passage avec Gerfaut est le vrai trou d’air du film, il dénote un peu. C’est ce passage, un peu trop « barbouze », un peu trop « à l’ancienne » auquel on croit le moins, au final. D’ailleurs ce personnage, qui arrive comme un cheveu dans la soupe dans la vie de Duval, est porteur d’une violence qui ne colle pas avec le reste du film, même si c’est expliqué et justifié ensuite. Et puis, on peut s’interroger aussi sur la pertinence du personnage de Sarah, infirmière rencontrée aux AA et qui incarne une possibilité de rédemption possible pour Duval. Cette petite histoire parallèle, même si elle finira par se heurter à la grande, ne trouve jamais vraiment sa place dans un scénario globalement très noir et très cynique. Mais « La mécanique de l’ombre » est une mécanique de film d’espionnage qui fonctionne malgré ses petits défauts, à condition d’être réceptif à une ambiance aux antipodes d’un « Jason Bourne » !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    La mécanique de l'ombre est un thriller politique brillant, intelligent, captivant, machiavélique (à rendre parano le plus confiant, le plus naïf des spectateurs ...). Porté par deux acteurs que j'aime beaucoup, François Cluzet et Denis Podalydès, tous deux absolument bluffants dans leurs rôles respectifs. François Cluzet en particulier est incroyablement vrai dans le rôle de cet homme au bout du rouleau, ne se posant même plus de questions, car il est prêt à accepter n'importe quel boulot pour retrouver une vie "normale", ne plus tourner à vide ... Il tombera dans le piège ouvert sous ses pas comme un insecte dans une toile d'araignée ... Je salue au passage la finesse psychologique du portrait. Un film que je recommande, où vous ne verrez pas le temps passer, un film réussi qui impressionne et qui interroge sur cette "mécanique de l'ombre" dont nous citoyens lambdas ignorons tant de choses.
    Pascal l
    Pascal l

    13 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    l'année commence fort avec ce film. décor dépouillé, jeu d'acteur de la même eau. une intrigue classique mais solide et suffisamment angoissante pour nous tenir en éveil.
    Détail amusant : Philippe Chalamont était le nom qu'interprétait Bernard Blier dans le Président (avec Gzbin ). hasard ?
    joelle g
    joelle g

    80 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Une ambiance sombre , un François Cluzet convaincant..pour un film décevant....manque de rythme et scénario peu crédible sur les magouilles politiques et électorales.....
    ffred
    ffred

    1 566 abonnés 3 992 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un premier film pour le premier film français de l’année. Voilà un thriller d’espionnage rondement mené qui tient en haleine de bout en bout. Une mise en scène sobre, alliée à des décors et une photo aussi froids que d’humanisés, nous donne une atmosphère particulière. Aussi pesante et étrange qu’inquiétante, tout en étant en plein dans l’actualité. Un très beau casting (Cluzet, Podalydès, Bouajila, Abkarian, sans oublier l’excellente Alba Rohrwacher) pour une interprétation impeccable. Le film est relativement court, 1h33mns, on ne s’ennuie pas une seule seconde. En résumé, La mécanique de l’ombre est un beau thriller paranoïaque au scénario parfaitement huilé. Et un metteur en scène, Thomas Kruithof, à suivre. L’année cinéma français commence donc plutôt bien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un bon film sombre dont la lenteur permet de renforcer une angoisse de plus en plus pesante. Les scènes violentes apparaissent de manière assez éparse pour rester crédibles. Cluzet est parfait dans le rôle du pantin fragilisé par une vie morne, son incrédulité et son impuissance face à une mécanique écrasante permettra à celui qui se laissera prendre au jeu de s'identifier au personnage et à profiter de l'atmosphère pesante du film. Se prendre au jeu, c'est accepter un scénario somme toute peu crédible et dont le dénouement est malheureusement décevant.
    Didier A.
    Didier A.

    19 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Film porté essentiellement par la juste interprétation de François Cluzet et Denis Podalydès. L'histoire elle est un peu poussive et manque de ressort. Je suis sorti de la salle avec cet étrange sentiment de ne pas avoir compris dans le détail cette intrigue politico barbouze, tout en ayant passé un agréable moment mais sans plus...
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