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    La Mécanique de l'ombre
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    220 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    L'interprétation de Cluzet est très juste malheureusement le film traine en longueur et la fin est juste invraisemblable.
    Avoine M.
    Avoine M.

    51 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Un cinéaste qui cite Pakula et Pollack dans ses références ne pouvant être mauvais, c'est plutôt bien disposé que le spectateur prendra son ticket pour La Mécanique de l'ombre. Et la première demi-heure, intrigante à souhait, lui donnera raison. Mais l'histoire virant au thriller classique avec gros bras brutaux et morts violentes et le personnage principal d'employé manipulé étant trop longtemps passif pour susciter l'empathie, le spectateur ne pourra se défaire du sentiment déceptif qui l'envahira lentement. Et ce, malgré les jeux impeccables de Podalydès en barbouze cynique et de Bouajila en agent de la DGSI impassible et l'ultime révolte de la marionnette - au prix de sa morale personnelle - jouée ( brillamment, c'est le rôle qui est ingrat ) par Cluzet. ll sera néanmoins reconnaissant à Kruithof d'avoir essayé de remettre au goût du jour un genre plus guère en faveur dans le cinéma fr.ançais
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    44 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Une histoire un peu triste au début qui nous laisse voir un François Cluzet dans un job de bureaucratie éprouvant et deux ans plus tard au chômage.
    il recherche un nouvel emploi et miracle sous les traits d un bon ami il est contacté par Mr Clément qui l,engage pour retranscrire des écoutes téléphoniques sur une machine à écrire et la les ennuis commencent. La guerre des services secrets débute. Ce film est servi par de très bons acteurs.
    histoire politico policière réussi à voir.
    missfanfan
    missfanfan

    82 abonnés 836 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Sur une trame somme toute assez banale voilà un film qui nous prends aux tripes, excellent thriller avec une histoire qui ne nous lâche pas jusqu'à la fin Etienne Duval nous emporte dans son chaos
    François Cluzet est comme dab super ce rôle lui colle à la peau et lui va à merveille Denis Podalydès est cynique et glaçant à souhaits Simon Abkarian et Sami Bouajila ne sont pas en reste ainsi que la jeune actrice slave bref courrez voir ce film formidable
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Pour un premier film, il s'agit là d'un très bon thriller d'espionnage soutenu par un casting d'exception.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    396 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Si ce pitch vous semble familier, pas de panique ! Kruithof a composé son premier film comme un berceau de références à un genre qu’il affectionne. Avec une application maniaque presque remarquable, le cinéaste suit le manuel du thriller tendu à la lettre : récit flirtant avec la saloperie politique, mise en scène au cordeau, direction d’acteurs minimaliste, photographie expressionniste au bord du film noir…
    jeff21
    jeff21

    59 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film d'espionnage noir dévoilant les intrigues des réseaux politiques parallèles sur fond d'écoutes illégales. Un suspense et une mise en scènes accrochent le spectateur dès les premières images. Et puis, François Cluzet est remarquable dans ce rôle d'ancien alcoolique, de cadre moyen pris au piège par un système dur et féroce dont il n'est pas si facile d'échapper.
    Fiers R.
    Fiers R.

    72 abonnés 313 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Avec les élections présidentielles qui approchent, ce thriller voguant dans les abîmes du renseignement et des services secrets français tombe à point nommé. De prime abord, le long-métrage est intriguant et complexe juste comme il faut. Puis, « La Mécanique de l’ombre » devient volontairement nébuleux et joue de tous les instruments en rapport avec la paranoïa et la peur inhérentes à ce type de milieux. Le scénario retors nous balade au gré des trahisons, volte-face et autres secrets d’états sans nous ennuyer une seconde grâce à un montage habile et resserré.

    Sans les égaler, on est dans la veine des grands films d’espionnage des années 80 qui pullulaient des deux côtés de l’Atlantique en pleine Guerre Froide. François Cluzet y est l’interprète idéal pour jouer ce quidam qui se retrouve malgré lui au cœur d’une machination politique qui ne dresse pas un très beau tableau des méthodes obscures utilisées par nos dirigeants pour parvenir à leurs fins. Face à lui, Denis Podalydès incarne le parfait contrepoids en homme de l’ombre manipulateur et immoral. On aurait d’ailleurs aimé que ce dernier protagoniste, à priori passionnant, soit davantage creusé plutôt que d’ajouter un personnage féminin purement inutile et à peine fonctionnel.

    Le film ne réserve cependant guère de surprises au niveau de la narration et des tenants et aboutissants de l’histoire, on est en plein dans les magouilles des hautes sphères de l’état avec ce que cela entend comme passages obligés. Ensuite, si tout cela est réalisé avec soin, on regrette tout de même que tout le décorum soit si froid et peu esthétique dans le rendu de l’image. Des lieux de tournage choisis à l’ambiance générale tout est glacial et sans âme. Un climat anxiogène est certes le bienvenu dans ce type de récit mais là ça vire à l’ascétisme formel le plus excessif. Néanmoins ce type de thriller est assez rare pour qu’on ne se prive pas d’en profiter.
    Kyara P.
    Kyara P.

    11 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Brillantissime !!!! surtout pour Un premier film.
    Un suspens entier de la première image à la dernière. Un casting de qualité et un scénario vraiment haletant. L année 2017 s annonce excellente pour le cinéma français.
    traversay1
    traversay1

    3 248 abonnés 4 688 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    François Cluzet est l'interprète idéal pour incarner les hommes lambda et obéissants qui se trouvent soudain pris dans un engrenage fatal qui dépasse leur entendement. La mécanique de l'ombre en est l'illustration parfaite et notre Dustin Hoffmann à nous y fait merveille. Il faut dire qu'il est bien servi par ce premier film à l'écriture exceptionnelle, un bijou de thriller noir, politique et paranoïaque mis en scène de façon implacable. C'est bien simple : aucune scène n'est gratuite dans La mécanique de l'ombre, tout y fait sens même si ce n'est pas immédiat. La direction d'acteurs est également de première force avec Cluzet mais aussi Bouajila, Podalydès, Abkarian et Alba Rohrwacher. C'est une bonne nouvelle : les grands films noirs américains des années 70 signés Pakula ou Pollack ont un héritier et il est français. Le film devrait faire date et son metteur en scène, doux géant dans la vie, est assurément au début d'une belle carrière.
    cylon86
    cylon86

    2 336 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Le cinéma français se porte bien. C'est en tout cas la constatation que l'on peut faire récemment alors que de jeunes cinéastes décident de sortir des sentiers battus d'un cinéma souvent étriqué qui évite le genre depuis plusieurs années. Dans le registre du thriller, on repense encore à "Irréprochable" et sa glaçante Marina Foïs. Avec "La mécanique de l'ombre", premier film de Thomas Kruithof, on plonge dans le thriller d'espionnage façon années 70 avec la paranoïa qui va avec. L'idée de départ est simple : Duval (François Cluzet, tout en intériorité et en intensité) est un homme simple qui a fait un burn-out il y a deux ans. Depuis il n'a plus travaillé. Lessivé mais décidé à remonter la pente, il se voit contacté par un mystérieux homme d'affaires pour une offre d'emploi. Ce travail, bien rémunéré et avec des horaires fixes, semble convenir à Duval qui cherche désespérément un cadre dans lequel il pourrait enfin se poser. Le voilà donc qui passe ses journées à retranscrire des écoutes téléphoniques à la machine à écrire et la routine s'installe. Mais pas pour longtemps...

    Suite de la critique sur
    Alexis Seny
    Alexis Seny

    54 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    François Cluzet fait sa Loi du Marché en pays espion

    Un film d'espionnage made in France! Avouez, ça ne tombe pas toutes les semaines sur nos écrans. Ces dernières années, certains s'y sont risqués avec plus ou moins de succès, avec de bonnes surprises mais aussi d'amères déceptions. Et résolument, c'est à la première catégorie qu'appartient La mécanique de l'ombre du jeune réalisateur Thomas Kruithof avec un François Cluzet une nouvelle fois sidérant de justesse et de charisme.

    Duval n'a pas de prénom. Tout juste a-t-il un nom assimilé à un numéro prêt à être croqué dans la mâchoire des assurances pour lesquelles il travaille. Et aujourd'hui, c'est le jour J, son supérieur, l'air méprisant, vient de lui demander de réunir tous les dossiers d'un même projet pour le... lendemain. Une mission impossible que Duval va prendre à coeur le temps d'une nuit interminable et pourtant si courte, nageant dans cet océan de solitude fait de chaises, de bureaux et d'une île de feuilles de papier à démêler. Rien ne viendra le secourir, pas même le technicien de surface surpris de l'immense bordel qui règne désormais dans ce gigantesque désert inhumain. Vous croyez tenir le fil de l'histoire? Que nenni, ce n'est que le début de la descente aux enfers de Duval, hanté par le burn-out, viré peu après, mis au chômage à 50 ans. Un âge raisonnable qui pourtant ne garantit plus un job, que du contraire. L'homme sans histoire a trouvé matière à cauchemars dans l'alcool et n'en dort plus. Mais il ne laisse pas tomber les bras. Décalé mais combatif.

    Et puis, un jour, l'improbable, une rencontre avec un lointain ami (Philippe Resimont) et le téléphone qui sonne. Qui sonne à une heure où l'on n'appelle plus. "Je vous appelle pour une offre d'emploi. (...) Nous cherchons un profil comme le vôtre pour un poste à pourvoir très rapidement." Une aubaine. Et si, à l'autre bout du fil, le mystérieux M. Clément (Denis Podalydes) ne s'épanche guère, un rendez-vous est fixé le lendemain, un improbable samedi, dans la Tour Topaze à la Défense. Les questions sont dérangeantes, déstabilisantes, "N'êtes-vous pas patriote?", mais Duval tient sa première victoire depuis longtemps: il va travailler dans l'intérêt de ses compatriotes dans un organisme de surveillance de personnes "pouvant être dangereuses pour la France".

    Et tant pis si la tâche implique une rigueur loufoque. Dans un appartement ne comptant pour ainsi dire qu'un bureau et une machine à écrire, Duval va devoir retranscrire, à la virgule près, d'obscures conversations. Sans queue ni tête, parfois, sans aucun intérêt, plus que souvent. Mais qui paye bien: 1500€/ semaine. Et pourtant, l'homme qui surveille en vient même à être surveillé par Gerfaut (un Simon Abkarian aux airs louches comme il sait si bien les prendre). Pas l'air fréquentable le gaillard, mais Duval doit aller jusqu'au bout, envers et contre lui, plongé un peu plus dans un complot politique à chaque lettre tapée sur sa machine ancestrale. Et suivre Gerfaut à contrecoeur. L'éternel recommencement, l'engrenage infernal dans lequel Duval est à nouveau réduit à être un maillon décidément bien faible. Et qui sait si l'inspecteur Labarthe (Sami Bouajila, redoutable) et la douceur de Sara (Alba Rohrwachter, sensible) ne le feront pas chuter encore plus?

    Si on osait la comparaison, on dirait que La mécanique de l'ombre tient un peu d'une Loi du Marché qui aurait versé dans l'espionnage. Dans son désespoir premier de chômeur qui ne demande qu'à travailler, Duval est jumeau de Thierry Taugourdeau, le personnage incarné jusqu'à la désincarnation par Vincent Lindon. Deux personnages profonds (ne fût-ce que dans leur regard) qui, dans le nouvel élan procuré par le nouveau job qui leur arrive, vont acquérir un certain pouvoir. La surveillance directe dans une grande surface pour Thierry, la surveillance indirecte et insondable pour Duval. Un pouvoir bien dérisoire tant les deux héros ne sont finalement que de vulgaires et fragiles jouets dans la main de ceux qui les dirigent. Manipulables et piégés.

    Avec le très 70's La mécanique de l'ombre (tourné dans un Molenbeek qui prouve tout son potentiel cinématographique), Thomas Kruithof signe un premier long-métrage audacieux tant il joue de la dosette pour le bien de sa crédibilité. Assez de rythme que pour ne pas endormir le spectateur, mais pas trop pour ne pas en faire un film d'action. Social mais pas trop Dardennien. Psychologique, aussi, mais pas assez que pour engluer les personnages. Sans oublier un aspect "huis-clos" qui étouffe le personnage incarné par François Cluzet. Souvent abonné aux rôles d'hommes en péril (tout en trouvant à chaque coup des rôles différents et innovants dans sa carrière), Cluzet prouve, une nouvelle fois, qu'il est le monstre sacré qu'on a eu tendance à négliger avant le succès de Ne le dis à personne et, encore plus, d'Intouchables. Impeccable et profond, le sexagénaire campe un homme tout en failles et en solidité. Un anti-héros auquel il est facile de s'identifier. D'autant plus qu'en cinq premières minutes magistrales, Thomas Kruithof installe un malaise qui va perdurer tout le film durant.

    Servi par un casting infaillible, La mécanique de l'ombre est bien plus qu'un film d'espionnage à suspense dont il est impossible d'envisager la fin, c'est une oeuvre dans le moule de l'air du temps qui laisse peu de chances au héros, pardonnable autant qu'impardonnable. Un film cruel dont la musique (intense dans les mains de Grégoire Auger) continue de trotter dans les têtes. Il faudra suivre de près Thomas Kruithof, talent pur et intrigant, dans les années à venir.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    100 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    J'attendais pas mal de choses de ce thriller à la belle affiche. Le fait est que les acteurs sont bons. Denis Podalydes inquiétant de froideur et d'assurance, Sami Bouajila portant bien le rôle d'officier de la DGSI, et François Cluzet en pékin dépassé par le monde dans lequel il se retrouve embringué sans le savoir.
    Côté scénario, plusieurs pistes inabouties, une fin un peu bizarre qui laisse sur sa faim et des interrogations, sur fond de campagne électorale et de libration d'otages. En gros, on a l'impression que l'histoire surfe sur les rumeurs d'écoutes, de campagne etc, un peu par facilité, sans vraiment creuser.
    SUr le déroulement, c'est lent et ennuyeux à la longue. Il faut arrêter de placer François Cluzet en position de pauvre gars hébété qui cherche à sortir de la mélasse.
    David L
    David L

    6 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    Note : 15/20
    Bon thriller avec une mise en scène maîtrisée, un scénario palpitant et sombre, un casting masculin très intéressant (notamment François CLUZET !) ...
    Georges P.
    Georges P.

    64 abonnés 834 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2017
    Oui c'est pas mal mais le film souffre quand même dans l'ensemble d'un rythme pas très agréable. A force de jouer la psychologie, le risque est de rapidement décrocher. Certes la prestation de François Cluzet est intéressante mais ce thriller à la française pêche sur la fin. En effet au moment du dénouement, les motivations des uns et des autres sont vraiment tirées par les cheveux et c'est dommage.
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