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weihnachtsmann
Très beau portrait stylisé et élégant. La danse est superbe. La rencontre avec Isadora Duncan aurait mérité d'être davantage creusée mais le personnage ici est très bien incarné.
D'abord le négatif, qui me fait retirer une étoile : le manque de véracité concernant certains passages de la vie de Loie Fuller pourtant largement développés dans le film (Loie affirme qu'elle ne sait pas danser alors qu'elle a été initiée à la danse depuis son adolescence, le lieu et la vie de la mère de Loie sont inexacts, l'existence du conte d'Orsay fictive). Je comprends le besoin de la réalisatrice d'inventer une présence masculine forte mais j'aurais préférée la voir en second plan afin de ne pas dénaturer l'histoire.
Le positif : une interprétation remarquable de Soko !! Cette force déterminée à subir sa souffrance physique pour envoler sa danse sur scène. Le film montre très bien les difficultés physiques, techniques, d'une telle danse. J'ai grandement apprécié. Car les spectateurs ne voient pas ces difficultés. La légèreté, le mouvement aérien masquent les sacrifices physiques.
Soko montre brillamment le paradoxe entre l'attitude quotidienne un peu bourrue de L. Fuller et sa légèreté sur scène.
La relation entre Loie et Isadora est également subtilement montrée. On perçoit bien le désir de Loie pour Isadora mais l'on remarque bien comment Duncan se positionne en rivale qui l'évincera. Lilly Rose Depp joue parfaitement ce jeu. Sa grâce naturelle, son évanescence pleine d'assurance contrastent bien avec le jeu de Soko.
Visuellement beaucoup de joie devant les danses chromatiques, devant les répétitions dans le parc très modernes voire contemporaines, pleines de vie, d'animalité jubilatoire.
Gaspard Ulliel interprète aussi son rôle à merveille. Présent et effacé, sacrifié.
L'ensemble est donc visuellement très beau, très cohérent, propre. Pour moi, ce n'est pas loin du chef d'œuvre. Alors bravo à toute l'équipe.
Le positif : une interprétation remarquable de Soko !! Cette force déterminée à subir sa souffrance physique pour envoler sa danse sur scène. Le film montre très bien les difficultés physiques, techniques, d'une telle danse. J'ai grandement apprécié. Car les spectateurs ne voient pas ces difficultés. La légèreté, le mouvement aérien masquent les sacrifices physiques.
Soko montre brillamment le paradoxe entre l'attitude quotidienne un peu bourrue de L. Fuller et sa légèreté sur scène.
La relation entre Loie et Isadora est également subtilement montrée. On perçoit bien le désir de Loie pour Isadora mais l'on remarque bien comment Duncan se positionne en rivale qui l'évincera. Lilly Rose Depp joue parfaitement ce jeu. Sa grâce naturelle, son évanescence pleine d'assurance contrastent bien avec le jeu de Soko.
Visuellement beaucoup de joie devant les danses chromatiques, devant les répétitions dans le parc très modernes voire contemporaines, pleines de vie, d'animalité jubilatoire.
Gaspard Ulliel interprète aussi son rôle à merveille. Présent et effacé, sacrifié.
L'ensemble est donc visuellement très beau, très cohérent, propre. Pour moi, ce n'est pas loin du chef d'œuvre. Alors bravo à toute l'équipe.
Un personnage dévoré par son art, interprété par l'émouvante Soko. L’image cinématographique devient picturale. C'est beau, envoutant et poétique.
Illuminé par l’interprétation vibrante de la révélation Soko, un biopic envoûtant sur une artiste visionnaire méconnue qui électrisa le Paris de la Belle Époque, qui se regarde plus comme un spectacle avec des chorégraphies majestueuses, que pour son récit qui manque malheureusement de fluidité. 3,25
Merci à Stéphanie Di Giusto de nous avoir fait connaître Loïe Fuller, pionnière de la chorégraphie moderne dont j'ignorais l'existence.
J'ai trouvé Soko très pertinente dans le rôle, en revanche je ne comprends pas bien la présence de Lily rose Depp qui ne sert à rien dans le film.
Lily Rose n'a rien apporté au film et elle est tout de même présentée comme une actrice ''principale''... non mais lol quoi.
Elle ne fait qu'une courte figuration, vraiment très inintéressante en plus, et le reste du temps elle est doublée. Il aurait été plus intelligent de proposer ce rôle à un petit rat de l'Opéra qui aurait été aussi photogénique, sinon plus, et aurait eu son talent à nous offrir.
Bref... à part cette aberration de casting, remarquée de beaucoup, Soko et Mélanie Thierry font oublier la transparence du rôle d'Isadora qui doit se retourner dans sa tombe la pauvre.
Pareil pour Gaspard Ulliel qui joue vraiment très mal, ou que l'on a vraiment fait très mal jouer.
Son rôle est insipide et on se demande, en fait, le sens de ce personnage dans l'histoire car on a cru comprendre qu'il n'y avait eu que des femmes dans l'entourage de Loie. Alors bon.... quel intérêt de lui prêter des amants qu'elle n'a probablement jamais eu...
C'est ridicule.
J'ai trouvé Soko très pertinente dans le rôle, en revanche je ne comprends pas bien la présence de Lily rose Depp qui ne sert à rien dans le film.
Lily Rose n'a rien apporté au film et elle est tout de même présentée comme une actrice ''principale''... non mais lol quoi.
Elle ne fait qu'une courte figuration, vraiment très inintéressante en plus, et le reste du temps elle est doublée. Il aurait été plus intelligent de proposer ce rôle à un petit rat de l'Opéra qui aurait été aussi photogénique, sinon plus, et aurait eu son talent à nous offrir.
Bref... à part cette aberration de casting, remarquée de beaucoup, Soko et Mélanie Thierry font oublier la transparence du rôle d'Isadora qui doit se retourner dans sa tombe la pauvre.
Pareil pour Gaspard Ulliel qui joue vraiment très mal, ou que l'on a vraiment fait très mal jouer.
Son rôle est insipide et on se demande, en fait, le sens de ce personnage dans l'histoire car on a cru comprendre qu'il n'y avait eu que des femmes dans l'entourage de Loie. Alors bon.... quel intérêt de lui prêter des amants qu'elle n'a probablement jamais eu...
C'est ridicule.
Au cours des dernières décennies nous avons eu des films nous montrant la crasse derrière le monde apparemment beau de la danse. C'est une autre film trop long qui n'a rien de nouveau à ajouter. Nous voyons beaucoup de scènes laides dans les coulisses puis très rarement un aperçu de la beauté d'une performance Fuller. Cela tient en partie au fait que si l'on en juge par ce film Fuller était vraiment un poney à un tour. Elle n'était pas dans un sens significatif une danseuse. Elle était plutôt une femme de spectacle qui savait comment utiliser l'éclairage et les miroirs pour créer un bel effet magique alors qu'elle tournoyait autour de robes agitées sur des bâtons de bambou. La vraie Loie Fuller était une femme fascinante et très polyvalente impliquée dans le développement de nouvelles techniques d'éclairage et toutes sortes d'autres choses pour améliorer les performances sur scène. Ce film la change très mal et ne doit en aucun cas être considéré comme un biopic. Pourquoi une femme réalisatrice réduirait-elle une femme manifestement très intelligente et intéressante à un faisceau d'émotions incontrôlées. Nous nous retrouvons donc avec sa vie. Si c'était tel qu'il est présenté dans le film et il n'y a aucune raison de supposer que c'était aussi misérable. Nous voyons qu'elle passe beaucoup de temps à développer les muscles de ses épaules pour pouvoir continuer à agiter ces robes avec pour résultat que ses bras lui font souvent mal. La lumière colorée lui fait mal aux yeux. Elle se retrouve dans plusieurs relations déroutantes et mauvaises. Une vie difficile en d'autres termes. Mais le film ne fait rien pour nous inquiéter. Ce film avait besoin d'un meilleur scénario pour nous faire comprendre et sympathiser avec Fuller. Sinon à instants où elle entre dans sa danse ce sont juste beaucoup d'émotions incontrôlées dont nous n'avons aucune raison de nous soucier. Cela semble vraiment dommage d'avoir réduit ce qui était évidemment une femme très intéressante et intelligente à un paquet d'émotions sans intérêt...
C'est un joli film sur une histoire que je ne connaissais pas.
Car oui je n'avais pas entendu parler de Loie Fuller avant.
C'est bien fait, c'est beau, c'est propre.
Les personnages sont très forts dans leur personnalité, bien marqués et cela donne de la matière au film.
En plus de Soko, que je ne connaissais pas, il y a une bonne équipe d'acteurs dont G. Ulliel, M. Thierry, F. Damiens...
Car oui je n'avais pas entendu parler de Loie Fuller avant.
C'est bien fait, c'est beau, c'est propre.
Les personnages sont très forts dans leur personnalité, bien marqués et cela donne de la matière au film.
En plus de Soko, que je ne connaissais pas, il y a une bonne équipe d'acteurs dont G. Ulliel, M. Thierry, F. Damiens...
La mise en place est à peine longue, et certains passages sont un peu lent aussi. Cependant, ce film reste passionnant, envoutant, déroutant, dramatique et beau.
J'attendais beaucoup de ce film. Mais l'interprétation de Soko m'a gêné pendant toute la durée du film.
De surcroît la réalisation n'a pas fidèlement reproduis l'histoire. Dommage
De surcroît la réalisation n'a pas fidèlement reproduis l'histoire. Dommage
Saisissant portrait que LA DANSEUSE à travers lequel Stephanie Di Giusto nous conte le destin de Loïe Fuller en s’intéressant, plus qu’à son ressenti, à la passion qui anima celle qui, à la Belle Epoque, incarna le fantasme de l’idéal féminin. Fort de son énergie, ce premier long-métrage est éblouissant dès lors que la réalisatrice rend son héroïne, résolument moderne pour son époque, universelle voire intemporelle tout en levant le voile sur sa singularité. Servi d’un casting époustouflant, le film électrise nos sens jusqu’à ponctuellement nous hypnotiser. Magique.
C'est le genre de film que tu emportes dans ta t^te, dans ton lit et dans tes rêves. L'histoire de ce génie de l'art, pas seulement de la danse, qui va briller par une volonté physique hors norme pour porter ses costumes mais par les jeux de lumières qu'elle saura imposer par force de volonté. Il y a aussi Lily rose Deep, gracieuse et belle, empathique et attentive, pour la conduire au bout de ses rêves.
A voir et revoir
A voir et revoir
Audrey L
Un drame esthétique sublime dans ses moments de danse faisant tourbillonner soieries légères et lumières douces. Un peu moins intéressant cependant dans son intrigue, surtout s'agissant d'une histoire librement adaptée d'un fait réel, mais qui se proclame dès le générique de début : "Une histoire vraie.". On devrait donc tout croire vraisemblable dans cette histoire vraie, sauf que certains éléments n'ont jamais eu lieu (rôle de Uliel). Assez désapointant. Mais Soko ferait oublier jusqu'au nom du film tant sa grâce nous transporte loin dans la beauté artistique pure, et joue avec une honnêteté qui transparaît. Aux adulateurs de la performance formidable de Lily-Rose Depp, soyons sincères : elle ne joue que quelques minutes dans l'entièreté du film, et ne se revendique pas comme star dans le générique de fin où elle apparaît tardivement et discrètement, en toute bonne modestie qu'elle a. Alors l'acclamer de la sorte ne lui rend pas hommage, risquant de la faire passer pour une diva qu'elle n'est pas. Je tire donc mon chapeau à la miss qui assure un bon second rôle en n'éclipsant pas le premier rôle par son nom, une honnêteté rare aujourd'hui dans les génériques. L'intrigue se laissant parfois manger par la beauté pure, on reste tout de même rêveur devant l'esthétique parfaite du film, avec une grande Soko.
Inspiré de la vie de Loïe Fuller, danseuse et chorégraphe américaine injustement oubliée qui connut la gloire sur les planches parisiennes dans la première moitié du XXème siècle, avant de se faire éclipser par sa compatriote Isadora Duncan, ce biopic possède des qualités incontestables. Hélas, la belle prestation des actrices, la photographie et les superbes séquences chorégraphiées ne parviennent pas à sauver ce film trop académique d'une forme d'ennui plus ou moins prononcée.
Un film raffiné et esthétique relatant l'histoire de Loie Fuller cette femme avant- gardiste qui a révolutionné le monde de la danse avec ses numéros éblouissants et novateurs pour l'époque. Elle était une pure artiste et a tout donné à son art. Non seulement elle dansait, mais elle créait tout ses costumes, ses éclairages, ses chorégraphies. Une première réalisation soignée avec une très belle lumière mettant en valeur Soko, qui est complètement habitée et investie pour ce rôle.
Un très beau film avec une Soko envoutânte.
Une belle réussite.
Un très beau film avec une Soko envoutânte.
Une belle réussite.
Eric C.
Au départ le physique de Soko altère un peu le personnage, biopic de Lois Fuller, par un certain manque de féminité, de grâce, voire de charisme. Puis son talent fait peu à peu la différence et elle s'impose comme une évidence. Elle incarne, elle est, et sa confrontation avec la gracieuse, précieuse et filiforme Lily Rose Depp, ovni médiatique, people mais aussi pétri de talent, la met encore plus en valeur, relevant sa performance au niveau supérieur. Un quasi affrontement entre danse au sens classique et puriste et mise en scène, spectacle fait de lumière, mouvement de voiles, un type de danse contemporaine tourné vers l'audace et l'esthétisme mais avec une vraie performance physique. Confrontation également entre 2 visions de la société française de l'époque, entre conservatisme et aspiration à la nouveauté, aux défis et à la liberté. Ce film est tout cela, un magnifique premier film et biopic, un film à l'esthétisme raffiné et à la narration très fluide avec 2 superbes actrices, Soko dans le rôle principal et Lily Rose Depp qui explose l'écran, bon sang ne saurait mentir.
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