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Frédéric M
17 abonnés
323 critiques
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2,0
Publiée le 2 août 2017
Je m'attendais à ressentir quelques émotions ; que nenni, de l'ennui seulement. Une réalisation sans imagination a affadi cette histoire, qui méritait un meilleur traitement. J'aurais aimé en apprendre plus sur cette danseuse (et même sur Isadora Duncan), et c'est vrai que le manque de repères temporels nous perd. Grande performance de Soko, qui ne m'a toutefois pas touché. Ulliel fait de l'Ulliel. Mélanie Thierry bien. Quant à LRD, on va attendre quelques années avant de porter un jugement. J'espère juste qu'elle ne restera pas aussi inexpressive. Trop sophistiquée (dans la vie), il va falloir qu'elle s'abandonne... Pour en revenir au film, je suis resté sur ma faim.
Un superbe film plein de délicatesse et de puissance où les acteurs font merveille. Lorsque les artistes, ceux qui font bouger les frontières de la création en donnant tout ce qu'ils ont jusqu'à se perdre dans leur chemin de vie. domi...
Dans le milieu de la danse moderne, la danseuse pionnière est Isadora Duncan. C'est elle qui est passée à la postérité et j'ai appris à danser selon sa technique. Je pensais que le film allait me montrer la vie de cette femme. Erreur de ma part puisqu'il s'agit de celle de Loie Fuller et franchement, l'interprétation me semble ratée car l'actrice principale ne sait déjà pas danser. Un comble pour un film intitulé "La danseuse".
Un excellent film d'époque . Soko incarne la célèbre dansuese Loie Fuller . Lily-Rose incarne sa rivale Isodaora Duncan. Gaspard Uliel tient le rôle du comte Louis Dornay. François Damiens joue un metteur en scène . On évoque l'homosexualité entre deux femmes.
Film que je suis très content d'avoir vu même si je dois avouer qu'il ne m'a pas transporté de A à Z !! Trop de longueurs, un scénario un peu plat à mon goût...mais en contrepartie quelle prestation de la jeune Soko !!! Elle illumine ce film de son talent et j'ai été complètement charmé par son interprétation. Les chorégraphies, les décors, les danses, les lumières...tout est féerique dans ce film et j'ai vraiment passé une excellent soirée !! Quel dommage que Soko n'ait pas gagné le César pour ce rôle !!
Le cinéma français continue à s’intéresser aux artistes novateurs oubliés de l’histoire avec Loïe Fuller. Dans ce filon certainement rentable après le clown noir (« Chocolat »), la chanteuse casserole (« Marguerite »), l’artiste peintre qui s’ignore (« Séraphine ») ; Stéphanie Di Giusto met en scène une danseuse visionnaire amorce de la danse moderne. Et qui se fera évincer par Isadora Duncan sur les planches et dans la mémoire collective. Pour porter le rôle de « La danseuse » Loïe Fuller ; Soko, au-delà de la performance artistique et athlétique, habite le rôle et tient le film de bout en bout par une présence forte à chaque plan. La réalisatrice, dans ce premier film, restitue aussi très bien l’émerveillement visuel produit par les fulgurances visuelles de l’artiste auprès de ses contemporains. Ensuite, la presse attirée comme des mouches par la fille prodigue du couple Paradis/Depp (Lilly Rose dans le rôle d’Isadora) a surévalué le film. Le scénario s’éparpille et l’arrivée de la mante religieuse Isadora, incarné par Lilli Rose Depp Paradis, n’apporte que confusion au propos. Surtout que l’on a des difficultés à croire à l’entreprise de séduction/destruction massive par elle-même auprès de Soko. La relation de cette dernière avec le mécène enamouré et énigmatique joué par le très bon Gaspard Ulliel revêtait plus d’intérêt ; mais comme la relation avec Isadora, celle-ci est traitée de manière bâclée. Un énième film sur les gloires oubliées qui n’apporte guère plus que les précédents : une performance d’actrice essentiellement.
Il y a quelque chose d'attirant dans l'esthétique du film, la chorégraphie, la photographie et la manière de filmer les acteurs et plus spécialement les actrices. En revanche le récit est décousu avec un début de film un peu poussif. dommage il me semble que ce film aurait pu me faire planer à des hauteurs stratosphériques.
Il n'y a aucun doute, Stéphanie Di Giusto possède un sens remarquable de l'esthétisme et de celui de raconter des histoires troublantes et uniques. Ce premier long métrage détonne dans le paysage audiovisuel actuel et laisse entrevoir un bel avenir à S. Di Giusto. Ceci étant dit, la réussite de ce film est aussi due à un entourage de grande qualité. Elle a clairement su s'entourer de véritables artistes et prodiges dans leur domaine respectif. Les chorégraphies de Jody Sperling sont absolument grandioses, notamment la scène du spectacle aux Folies Bergère qui est absolument magnifique. La photographie du film est magnifiée grâce aux talents indiscutable de Benoît Debie et la distribution, à l’exception de Lily-Rose Depp qui m’a moins convaincu, est incroyable. Soko est particulièrement belle et juste dans son interprétation. J’ose espérer que grâce à La Danseuse, Stéphanie Di Giusto aura participé à rendre à Loïe Fuller son éclat oublié et en quelque sorte les lettres de noblesse qu’elle mérite amplement. Cette histoire laisse aussi une grande et belle porte ouverte à la légitimité d’être un artiste dans la société. On confond trop souvent et à grands torts, selon moi, la performance et la création, la technique et les idées, les créateurs et les interprètes...
Déjà on nous a survendu Lily Rose Deep qui au final n'apparaît qu'à la deuxième partie du film, tenu par Soko en personnage principal. Mais du coup on s'attendait à un film type Black Swan finalement on a très peu de choses qui sont en commun avec le chef d'œuvre américain : des scènes anecdotiques, quelques longues scènes de danse mais c'est tout
J'avais vraiment envie d'aimer ce film, mais pour moi, mission impossible. Quel ennui ! Quelle lenteur ! Pas que les acteurs ne soient pas bons, Mélanie Thierry et Gaspard Ulliel en tête. Mais quant aux danseuses elles-mêmes, le masochisme de l'une (Soko) et la froideur de l'autre, voire son manque total d'expression (Depp) sont décourageants et lassants. Je ne suis pas arrivée à croire un seul instant à leur relation. J'ai quand même admiré Soko qui dans magnifiquement avec cette robe sublime, puis ne m'y suis plus intéressée à mesure qu'elle sombrait : elle ne me touchait plus. J'ai trouvé la mise en scène plate et sans charme aucun. Bref... pour moi, un beau ratage.
Pour son premier long métrage, Stephanie di Giusto n'a pas choisi la facilité en évoquant la vie de la "fée électrique", performeuse qui fit sensation dans les milieux parisiens jusqu'à l'apparition de la prodige Isadora Duncan. Mise en scène solide et audacieuse, reconstitution soignée, notamment pour les scènes dansées du personnage central, le film n'aurait pas la force qu'il dégage sans la composition inspirée de Soko, littéralement possédée par son personnage. Elle l'incarne avec force et fureur et ne cesse de nous étonner tout le long du film. Dans le rôle d'Isadora Duncan, la jeune Lily-Rose Depp fait elle aussi sensation; sa présence à l'écran est fascinante, sa beauté, son charisme, son insolence et sa fragilité font merveille dans le rôle de la célèbre danseuse. Di Giusto, Soko, Lily-Rose, 3 belles révélations à suivre absolument.
Ce premier long-métrage de Stéphanie Di Giusto est un véritable chef d'oeuvre, à la fois émouvant et électrisant. L'histoire (vraie qui plus est) est éminemment romantique (au sens littéraire du terme), la mise en scène est sublime, notamment les scènes de danse qui sont totalement envoûtantes, les personnages sont totalement incarnés par des acteurs et actrices fabuleux, notamment Soko et Gaspard Ulliel. Il est rare que la beauté soit saisie et rendue de façon si pure et transcendante. Un grand merci.
au delà de l'aspect biographique, la réalisatrice dont c'est le 1er film, livre une vision sur la création autant que l'obsession du surpassement. Touchant, poétique, visuellement magnifique dans les scènes dansées, le film se décline un peu rapidement depuis les prémices jusqu'à la consécration.difficile de ne pas succomber à cette artiste avant-gardiste qui croise le chemin d'Isadora Duncan, dans une compétition qui rappelle le sublime film "All about Eve". la comédienne Soko investie totalement dans son rôle est entourée d'une jolie distribution. Magique!
Il n'est jamais trop tard pour faire quelque chose, c'est ce que prouve Loïe qui on peut le dire commence réellement sa vie à 25 ans. Avant ça, elle n'avait jamais connu l'amour, elle n'avait semble-t-il jamais travaillé et elle décide de se lancer dans une discipline qui d'habitude requiert des années de travail et de sacrifices. Le combat semble perdu d'avance, mais à force de persévérance, elle se fait sa place grâce à un numéro avant-gardiste. Elle met toute son énergie dans ce spectacle qui la lui prend peu à peu en retour... Ce film dégage vraiment quelque chose d'unique à l'image de cette performance qui l'était à l'époque. La mise en scène élégante et épurée de Stéphanie Di Giusto n'y est pas étrangère, le réalisateur pour son premier film a vraiment fait un superbe travail à tous les niveaux et notamment sur le plan esthétique en rendant hommage à la beauté de cet art. Mis à part quelques longueurs, c'est un excellent film plein de grâce, de sensibilité et de sobriété qui est magnifique sur la forme et intéressant sur le fond pour la compréhension de l'art puis le plus important, il est porté par une sublime Soko qui dégage beaucoup de force et de fragilité ce qui la rend très attachante.
4 etoiles c'est la moyenne des notes pour ce film je crois. Bon le film raconte la vie d'une personne qui a vécue. Un grand cineaste qui a obtenue la plame d'or a déclaré "se mefier beaucoup des "biopic". As t-on le droit en tant que réalisateur d'utiliser la vie de quelqu'un pour mentir et se faire plaisir.? Je ne pense pas. Donc c'est un film à la realisation normale (sauf certain moment de danse) et vie racontée de manière mensongère. 4 etoiles oui pas mal comme moyenne. Desolé. j'aurai aimé pouvoir apprecier ce film.