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    Que Dios Nos Perdone
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    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2017
    L’Espagne nous offre une fois de plus un bon policier dans la lignée de « La Isla Minima » il y a trois ans. Atmosphère aussi poisseuse, duo de flics aussi désabusés et antipathiques et crimes abominables viennent garnir cette enquête qui se déroule cette fois non pas dans une Andalousie post-franquisme mais dans la moiteur de l’été madrilène en 2011, année où Benoit XVI décida de venir visiter la capitale espagnole. Ici le contexte historique sert juste de décor accentuant la tension contrairement au film précité où l’affaire était imbibée de cette conjoncture nouvelle. En revanche, les tréfonds de l’âme humaine sont encore une fois sondés dans toute leur horreur avec un penchant avoué pour le nihilisme extrême. Un peu comme ont pu le faire d’autres excellents films policiers récemment comme le chef-d’œuvre de Denis Villeneuve « Prisoners » ou le méconnu film néerlandais « The Beast ». Point de salut ici ; ni pour les victimes, ni pour leurs bourreaux mais pas plus pour les flics chargés de résoudre l’affaire.

    « Que dios nos perdones » fait clairement le choix d’être sombre, sans échappatoire et aucun des personnages qui égrènent le long-métrage de Rodrigo Sorogoyen n’est à sauver. Ils sont tous aussi méprisables les uns que les autres. Dans ce contexte, difficile de s’attacher à l’un d’entre eux, et c’est peut-être aussi ce qui fait la force du film et sa morale : nous sommes tous des âmes pécheresses et point de salut pour l’humanité. En revanche, le scénario prend le soin de s’attarder sur la psychologie de ses deux enquêteurs, en nous détaillant leur vie privée et professionnelle avec soin. Cela permet de mieux les comprendre et, au final, si l’on ne s’attache pas vraiment à eux, on peut les prendre en pitié. Les scènes intimes en deviennent donc aussi intéressantes que celles ayant trait à l’intrigue elle-même. Une intrigue qui, si elle n’est pas proprement révolutionnaire, tient en haleine de bout en bout durant deux heures en dépit d’un ou deux raccourcis faciles.

    Et ce n’est pas tant sa résolution qui importe, mais plutôt la façon dont ces flics interagissent entre eux pour réussir à arrêter le meurtrier. Tout comme la manière d’opérer su serial-killer, sans concessions. On a en effet rarement vu meurtres aussi écœurants et insoutenables que ceux perpétrés par ce tueur et violeur de mamies. Il faut souligner que c’est un troisième film et que la maîtrise narrative du cinéaste en herbe et sa maestria technique, dont l’apogée est un plan-séquence suivant le tueur revenant sur les lieux d’un de ses crimes, est bluffante. On pourra regretter la manière un peu incongrue et étrange avec laquelle se conclue « Que dios nos perdones » alors que l’on saluera son refus du spectaculaire au profit du réalisme le plus extrême. Dans tous les cas, il prouve une nouvelle fois la vitalité du cinéma de genre espagnol comme a pu l’être celle du cinéma de genre scandinave récemment ; et que la France est sacrément en retard dans ce domaine. Un polar moite, violent et prenant qui satisfera donc les amateurs du genre.
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 018 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 août 2017
    Depuis La Movida, avec Almodovar et consorts, l’Espagne nous envoie régulièrement de petites perles. Une fois n’est pas coutume, c’est la bande-annonce qui m’a donné envie de voir ce film. Je m’attendais à quelque chose de très politique. En fait, pas du tout. C'est un vrai thriller, avec serial killer violent et sadique, duo de flics dépareillés, ambiance glauque. Même si c’est sur fond de crise sociale, de protestations, de manifs et de visite du pape (ce qui n’avait rien à voir…). La mise en scène est serrée, tendue. Le scénario est particulier bien écrit. Les personnages, même les « bons flics », ne sont pas spécialement aimables, et même assez détestable. Mais, d’entrée, on est pris dans une atmosphère lourde et un suspens haletant qui le restera jusqu’au dénouement (assez surprenant), après quelques coups de théâtre bien placés. L'interprétation est toute aussi magistrale. Si Antonio de la Torre n’a plus à faire preuve de son immense talent, Roberto Álamo est une vraie révélation chez nous. Très connu en Espagne, il a d’ailleurs raflé le Goya du meilleur acteur cette année pour ce rôle, au nez et à la barbe de son collègue aussi nommé. Bref, un polar noir, violent, pessimsite et poisseux comme on les aime et comme on en voit plus beaucoup malheureusement. Avec Le Caire Confidentiel l’un des meilleurs du genre vu ses dernières années. Et une nouvelle pépite venant d'un des pays européen au cinéma le plus dynamique. A voir sans hésiter donc...
    Alice L
    Alice L

    164 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2017
    Une claque !!
    Un thriller haletant, avec beaucoup de suspense et de rebondissements. Le film est porté par deux acteurs magistraux
    Rodrigo Sorogoyen est un réalisateur à suivre de près
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 août 2017
    Un très bon thriller, l'intrigue est parfaitement ficelée et les personnage très bien écrits, dans une ambiance sombre et envoûtante. Dans la même veine que l'excellent LA ISLA MINIMA de l'année dernière.
    jean l.
    jean l.

    158 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2017
    un très grand thriller, qui est la bonne surprise de ce mois d’août
    deux flics à la recherche d'un serial killer dans Madrid
    Loïck G.
    Loïck G.

    335 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2017
    Pour faire un film policier aujourd’hui il faut être inconscient ou inconscient. Ce que le réalisateur espagnol accumule avec maestria dans ce renouvellement du genre qui sans casser la baraque nous met face à face avec un meurtrier de vieilles dames confronté lui-même à deux flics totalement improbables. Mais à sa manière de casser les codes Sorogoyen profile parfaitement ses enquêteurs au-delà du raisonnable pour mieux les enfoncer dans une histoire qui de plus en plus leur ressemble. Car côté vie privée ce n’est pas la joie dans notre binôme tout aussi mal perçu au sein du commissariat. La formulation parait ainsi classique, mais le mode opératoire ne l’est pas. Le réalisateur pervertit les codes et frustre le spectateur quand il le rapproche du criminel pour mieux écarter les soupçons. Et quand on connaît l’assassin, l’histoire ne s’arrête pas… Magnifique !
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Corbett
    Corbett

    31 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2017
    Un chef d'oeuvre ! Acteurs totalement géniaux, une toile de fonds avec la venue du pape passionnante, une réalisation nerveuse et brillante, des trucs de scénarios qu'on ne va pas spoiler ici mais d"une profonde originalité, probablement le meilleur polar depuis des années. Encore mieux que LA ISLA MIMIMA à mon gout, car réalisation plus personnelle et plus originale.
    A voir absolument.
    Chris58640
    Chris58640

    209 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2017
    Il y a beaucoup de bien à dire sur le polar de Rodrigo Sorogoyen, qui tient en haleine sans jamais faiblir pendant 2 heures bien pleines et bien remplies. On peut découper ce film en deux parts égales. La première verse dans le polar très conventionnel mais avec une efficacité assez redoutable. Un duo de flic se retrouve à enquêter sur un sérial violeur et assassin particulièrement ignoble. Tous les ingrédients sont présents : la recherche des indices, les autopsies, la rivalité entre les groupes de la crim, les retombées sur la vie personnelle (et pas seulement pour celui des deux qui en a vraiment une !). Même si le fond est sans surprise, impossible de décrocher tant l’intrigue est claire, bien charpentée, solide sur ses bases et bien ancrées dans son contexte. Puis, au milieu du film survient une cassure dans l’enquête et la trame devient plus originale, la malaise se fait plus fort, plus poisseux, jusqu’au drame. Sorogoyen manie sa camera avec talent, propose des jolis plans, filme une course poursuite à l’épaule de façon efficace. C’est la façon dont il joue avec les nerfs des spectateurs qui est assez remarquable, en utilisant les contrechamps, en jouant avec une musique qui ressemblent à des battements de cœurs (sans en abuser), à s’amusant avec la lumière (et avec l’absence de lumière). Son film est maitrisé, tendu comme un arc et sans aucune baisse de régime. Même dans les moments où on pense que la tension va retomber, elle ne retombe pas. Comme un équilibriste sur son fil, il reste concentré et affuté de la première image à la toute dernière. Il a un duo de comédiens épatant à sa disposition, Antonio de la Torre d’abord. Cet acteur semble être dans tous les bons coups du cinéma espagnol, de « La Isla Minima » à « La colère d’un homme patient » Il campe ici un flic apparemment inoffensif, bègue (sans jamais singer le bégaiement, en tout cas dans la VOST), à la vie sociale proche de 0. La relation qu’il noue avec la femme de ménage de son immeuble est terriblement maladroite, elle met carrément mal à l’aise. Il faut dire que l’inspecteur Velarde est capable de brusquerie, de réactions un peu inappropriées, comme un homme qui n’arrive pas à se situer par rapport à autrui. A de nombreuses reprises on se dit qu’il est autiste ou quelque chose comme ça. Antionio de la Torre est parfait dans ce rôle difficile. De l’autre côté, Roberto Alamo donne corps très efficacement à un flic en apparence plus inquiétant, qui a le coup de poing facile. Mais très vite, ce n’est pas lui qui semble le plus borderline ! Les seconds rôles sont plutôt bien écrits et bien incarnés, et c’est sur Javier Pereira que l’on s’attarde, dans le rôle d’un assassin monstrueux spoiler: caché sous une apparence de fils de bonne famille bien propre sur lui
    . A 20 minutes de la fin environ, l’identité de l’assassin nous est dévoilée, comme ça, au détour d’un mouvement de caméra. spoiler: On s’est perdu en conjecture pour rien, son identité n’est pas un coup de théâtre.
    Les 20 dernières minutes du film mettent donc en présence deux chasseurs et leur proie et comment ils vont l’appréhender… spoiler: ou pas !
    Le contexte de film, à savoir d’une part la canicule (qui échauffe les esprits), et d’autre part la crise de 2011 (mouvement des indignés, manifs qui dégénèrent, crise du logement) et l’organisation des JMJ n’est pas juste une toile de fond. Ce contexte influence l’enquête d’une façon insidieuse mais bien réelle. C’est à cause des JMJ que l’enquête doit rester secrète et c’est parce que l’enquête ne s’ébruite pas que le violeur s’enhardit et devient de plus en plus violent, se sentant invulnérable. La religion est omniprésente, jusque dans le titre du film. La religion catholique imprègne la société espagnole dans des dimensions qui nous sont inconnues en France (un héritage du franquisme, entre autre) mais ici, elle n’est pas mise en cause avec des gros sabots. Elle a son importance, dans les motivations du tueur, dans le contexte, elle est omniprésente sans jamais être au centre de l’intrigue. Il y a dans « Que Dios nos perdone » de la violence, une violence crue, pas gratuite mais qui peut mettre un petit peu mal à l’aise, j’en conviens, une scène d’agression de vieille dame notamment, et la scène finale qui dure en longueur. Le scénario ne donne pas toutes les clefs des motivations psychiatriques du violeur de vieilles dames, il suggère et laisse le spectateur imaginer le pire, l’ignoble, l’abominable… C’est encore pire, je crois, de laisser les imaginations divaguer sur la question ! Il n’y a pas grand choix dans le rayon des petits défauts si ce n’est quelques incohérences : spoiler: des pièces à conviction mise dans une poche sans protection plastique (et les empreintes ? l’ADN ?), ou bien une absence inexplicable de scellés sur une scène de crime (et c’est une erreur qui va se payer cash !).
    On pourrait passer l’éponge sur ces erreurs un peu grossières si ces deux éléments n’allaient pas être au centre de la résolution (ou pas) de l’enquête ! Mais franchement, à part ces quelques détails, quel bon film que ce polar espagnol ! Quand il a cette qualité, cette personnalité et cette densité, le cinéma européen n’a rien à envier à personne.
    Nadine D.
    Nadine D.

    6 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2017
    Excellent film, avec des acteurs inspirés et impressionnants. Un polar haletant sous tension permanente, des personnages qu'on ne peut quitter des yeux, une bande-son incroyable. Véritable coup de coeur 2017
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2017
    Au début, c'est un vulgaire récit policier, certes crapuleux. Des vieilles dames se retrouvent assassinées par un affreux pervers."Che Dios nos perdone" situe ce récit incroyable à Madrid, en pleine visite du Pape où le scandale doit être tu. A bien des égards, ce magnifique film fait penser au troublant "La Isla Minima" d'Alberto Rodriguez, tant l'ancrage politique et moral hantait l'enquête policière. Le cinéma espagnol règle ses comptes avec une histoire faite de corruption, de laisser-aller policier, et d'indifférence, au nom d'une morale chrétienne au-dessus de tout. Le réalisateur n'affronte jamais son histoire de face. Il emprunte souvent des biais, filmant par exemple ses personnages à travers des vitres, ou perdant sa narration dans les histoires personnelles et souvent tordues de ses héros policiers. Il se dégage de ce film haletant un esprit glauque, une mauvaise haleine, un mystère profond, sous couvert toutefois d'une photographie très belle, précise, montrant une ville de Madrid sous ses meilleurs jours. En fait, le réalisateur cherche à filmer les figures plurielles de l'Espagne : d'un côté, il y a la vitrine touristique, l'imprégnation religieuse des conscience, de l'autre, il y a ses caniveaux troublants où la police étouffe et d'affreux criminels hantent les rues. D'ailleurs, l'enquête n'est pas le centre d'intérêt du film. C'est presque un prétexte pour montrer une Espagne macabre, en pleine décadence, au bord du vide. "Que dios nos perdone" est sans doute l'un des très grands films de l'été 2017.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 août 2017
    Madrid, été 2011. Les rues surchauffent, tant par la canicule que par le climat social : le mouvement des "Indignés" est en pleine effervescence, bousculé par la visite imminente de Benoît XVI. Pendant ce temps, deux inspecteurs, Velarde et Alfaro, mènent l'enquête sur un tueur de vieilles dames récidiviste.
    Le spectateur assiste alors a un polar de qualité, mené par un duo de policiers ultra solides et charismatiques, ou on nous ne laisse pas une seule seconde pour faire une pause. Un rythme effréné, une traque policière incroyable, un montage finement pensé, et un scénario qui ne sait pas s'essouffler : un grand bravo à Sorogoyen qui fait renaître le 7ème art ibérique !
    Shinny
    Shinny

    41 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2017
    Une histoire qui ressemble à un scénario de thriller coréen, des personnages travailles en profondeur et subtilité, une quête pour la vérité dans laquelle on se laisse vite prendre.
    galau7
    galau7

    30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 août 2017
    Un vrai polar noir à souhait, violent, cru, réaliste, dynamique et plein de surprises. Des personnages atypiques avec leur part d'ombre renforcent cette ambiance, en contraste total avec l'effervescence de la venue du Pape.
    traversay1
    traversay1

    3 567 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2017
    Qu'est-ce qui fait d'un polar un excellent film (ou roman) ? Son intrigue, pour sûr, son suspense, c'est une évidence, mais aussi la profondeur psychologique de ses personnages et, cerise sur le holster, une intensité atmosphérique à couper au couteau. De ces deux derniers points de vue là, au moins, Que Dios nos perdone dépasse largement le cahier des charges requis. Ambiance suffocante garantie dans un Madrid sous canicule alors qu'un tueur en (vieille) série court les rues. Rodrigo Sorogoyen, pour son troisième film et avec une longue expérience dans les séries TV, malgré son relatif jeune âge, a la maturité nécessaire pour ne pas se contenter d'un récit linéaire et faire court-circuiter à plusieurs reprises une narration qui semble plus s'attacher aux failles de ses policiers qu'à l'enquête elle-même, celle-ci étant d'ailleurs soumise aux hasards et coïncidences autant sinon plus qu'à la perspicacité des condés (ceci dit, il y a une poursuite à pied véritablement haletante). On passera sur certaines facilités de scénario car manifestement l'intérêt est ailleurs, dans la noirceur humaine et la violence sous-jacente chez tout un chacun. Cela conduit parfois le film aux confins du sinistre et du sordide, ce qui n'était pas vraiment nécessaire. Que le spectateur lui pardonne car son duo de policiers est fort en caféine, notamment celui joué par le génial Antonio de la Torre, déjà à l'affiche de La isla minima et de La colère d'un homme patient, sûrement pas un hasard. A l'instar de la Corée, l'Espagne connait actuellement une recrudescence de cinéastes "noirs" au grand talent. Rodrigo Sorogoyen a démontré avec son film précédent, Stockholm, qu'il était capable d'exceller dans des genres très différents. Il serait étonnant qu'il s'arrête en si bon chemin.
    Pauline_R
    Pauline_R

    176 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2017
    Dans la saga "Ils n'ont rien à envier aux Américains", je vous demande l'Espagne et ce superbe polar qui demeure la belle surprise de l'été. Haletant, socialement hyper bien contextualisé, porté par des acteurs remarquables (dont le sosie ibérique de Dustin Hoffman en la personne du très bon Antonio de la Torre), le tout agrémenté d'une touche d'humour noir. Perfecto ! Perfecta ? Perfecti ? A voir en tout cas ! ( spoiler: mais peut-être sans votre grand-mère..., certaines images pouvant heurter la sensibilité des personnes les plus âgées
    ).
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