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    Fais de beaux rêves
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    Orno13
    Orno13

    13 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2024
    Fais de beaux rêves, on a tous le souvenir étant petit les paroles de notre mère pour nous border, juste avant de s endormir. Pour massimo, ce sont les dernières paroles de sa mère avant de mourir.
    Marco bellochio signe un très grand film qui parle du deuil douloureux, impossible, en convoquant les fantômes, en effet massimo face au silence de son père convoque belphegor, son ami imaginaire pour surmonter sa douleur, qui ne va cesser de le poursuivre même étant adulte.
    Bellochio realise une très belle mise en scène touchante et signe un très beau film.
    J ai toujours en mémoire cette dernière scène du film qui nous fait comprendre son comportement lors de la découverte du cercueil de sa mère lors de son enterrement, qui est tellement déchirante que j en ai versé des larmes.
    Grand film
    Agnes L.
    Agnes L.

    166 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2024
    Un traumatisme dans l'enfance, la mort de sa mère alors qu'il a neuf ans, perturbe encore, trente ans plus tard, la vie d'un homme adulte, journaliste à succès. Le film va et vient entre le présent et le passé pour montrer l'attachement fort qui reliait cet enfant sensible à sa mère. Pas mal mais un peu trop long pour ce qu'il donne à voir.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Portrait intimiste sensible et pudique d’un homme hanté par le trauma causé par le deuil de sa mère lors de son enfance, traversé de scènes poignantes mais terni par un récit trop fragmenté et par son acteur principal assez neutre.
    SAVONAC
    SAVONAC

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2023
    Oui et non... Un sujet intéressant, mais un traitement un peu languissant et un acteur principal un peu pâle. Comme le chantait Jean Ferrat, "nul ne guérit de son enfance". Cet enfant perd sa mère avec laquelle il entretenait une relation fusionnelle. Mais Bellochio refuse les facilités du pathos. Il a peut-être eu tort. Peut-être... Le film manque d'émotion, de chaleur. En même temps, on nous évite (ou à peu près!) les scènes larmoyantes qui auraient été faciles à insérer dans un film au sujet perturbant pour tout le monde...
    En résumé, un film pas assez fort mais respectable.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2020
    C'est un film qui, bien que n'étant pas foncièrement mauvais, est maladroitement déconstruit et pâtit fortement de sa tendance à s'éparpiller dans des scènes totalement inutiles. Cela affaiblit le propos, fait pencher en faveur d'un vide scénaristique qui pousserait au remplissage et, lorsque survient ce qui se veut être une révélation, on se surprend à avoir tout compris depuis le début et à trouver l'ensemble d'une inutilité assez surprenante.
    vincent L.
    vincent L.

    240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2018
    Une bien belle surprise que ce film Italien. L'interêt majeur du film tient à l'attente à un dénouement , une réponse, qui arrive en toute fin de ce long métrage. Une histoire donc bien contée et remarquablement interprétée.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2018
    Marco Bellocchio a souvent fait le portrait de familles éclatées par des non-dits, vecteurs de drames intimes au long cours. Le cinéaste italien a trouvé dans Fais de beaux rêves, mon enfant, roman autobiographique du journaliste turinois Massimo Gramellini, matière à prolonger le traitement de ses thématiques favorites que sont les conflits familiaux, les rapports mère-fils, l’absence d’un être aimé et les questionnements intimes. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2017
    "Fais de beaux rêves" est un film intéressant par bien des aspects mais qui m'a personnellement totalement laissé en dehors. J'étais pourtant très attiré par ce film mais je ne suis jamais parvenu à m’impliquer au sien de ce long-métrage qui n'a jamais vraiment démarré. L'idée de représenter la dureté du deuil mêlée à un certain complexe d’œdipe me plaisait mais je ne me suis jamais attaché aux personnages. Tant dans le déroulement de l'histoire que dans le message qu'il renvoie, le film est convenu du début à la fin et ne m'a jamais surpris. Plutôt que d'étendre son propos pour tendre à l'universalité, Bellocchio livre une oeuvre très personnelle dans laquelle il est difficile de s'identifier. Le cinéaste italien apporte lui même les réponses et ne laisse aucun élément en suspens ou à la libre interprétation du spectateur. J'ai eu l'impression d'embarquer au sein d'un long-métrage qui me prenait la main pour m'embarquer dans un récit qui accumule les évidences et les passages obligés en alternant gauchement passé et présent. Le casting est pourtant judicieux et certaines scènes sont brillamment mises en scènes, mais ces dernières restent trop anecdotiques au sein d'une oeuvre de plus de deux heures. Pas de quoi crier au ratage complet mais je reste très déçu par ce film dont j'attendais beaucoup plus.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    57 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2017
    je dois dire que je n’ai pas été vraiment touché par cette histoire, même si l’ensemble est vraiment intéressant et réussi. Question de sensibilité, peut-être juste du moment. Trop long pour une histoire simple.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 novembre 2017
    Magnifique épopée dramatique venue d'Italie, ce qui le rend encore plus belle, malgré sa durée et ses multiples péripéties, je n'en reviens pas d'une telle histoire, l'enfant grandi sans sa mère tragiquement disparue sans raison cherche la vérité et le découvrira par un dénouement profondément émouvant, l'interprétation des acteurs le sont aussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mai 2017
    Un film très fort et touchant, avec de acteurs d'une grande justesse. Une relation fusionnelle entre un enfant
    et sa mère prend fin et laisse l’enfant dans le
    désarroi, lui qui faisait preuve d’une si forte joie de vivre. La logique dramatique est posée d'emblée. Mais l'enfant
    ne se laisse pas abattre pour autant, son tempérament rebelle et son
    caractère lui permettent de rebondir. Pour s’en convaincre il
    suffit de voir son air buté de gamin qui n’a pas eu ce qu’il voulait,
    avec son regard noir inoubliable. Le film montre très bien le temps qui passe, puisqu'on est vite projeté dans le futur. Devenu reporter de guerre en
    Yougoslavie dans les années 1990, il reste tourmenté par le souvenir de
    cette mère, et se fait aider par un médecin joué par Bérénice Béjo, qui fait le job elle aussi. Ce
    film n’a pas eu une grande résonance dans les médias français, alors
    qu’il traite d’un sujet quelque peu similaire à Manchster by the Sea,
    à savoir les tourments suite à la perte d’êtres aimés. A l’inverse du
    film de Bellocchio, le film de Kenneth Lonergan fit l’objet d’un
    véritable matraquage médiatique, certains parlant même du meilleur film
    de l’année ! Personnellement je trouve ce film très surfait, quelque
    chose ne fonctionne pas, il y a une lenteur, une retenue mal gérée,
    presque classique dans un certain cinéma contemporain, et qui vire à
    l’ennui, en plus le film est trop long, alors que le film de Bellocchio,
    qui a la même durée, contient quelque chose d’émouvant et ce peu
    importe qu’il s’agisse de l’enfant ou de celui-ci devenu adulte, bref
    c’est une question de dosage, sur laquelle même les meilleurs
    techniciens et acteurs peuvent se ramasser.
    Bref, un des meilleurs films de 2016, comme vous pouvez le voir dans mon
    classement des meilleurs films de l'année sur mon blog, où se trouvent
    également des critiques (illustrées et avec quelques extraits) sur quelques uns
    des films de l'année : 7emeart.wordpress
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2017
    Sorti dans la plus grande discrétion (un 28 décembre en même temps...), "Fais de beaux rêves" est un film qui fait du bien, sortant des sentiers battus à l’heure où le spectaculaire et la superficialité dominent de nombreuses réalisations. Marco Bellocchio est un cinéaste qui n’a jamais fait semblant et qui livre ici un récit en toute pudeur à la construction narrative éclatée. "Fais de beaux rêves" nous conte l’histoire de Massimo, un homme hanté par la mort mystérieuse de sa mère quand il avait neuf ans. Refusant cette disparition, Massimo reste hanté toute sa vie par cette figure maternelle et presque trente ans plus tard, devenu journaliste accompli, il a encore du mal avec les femmes, préoccupé par des souvenirs trop présents. Seule sa rencontre avec une médecin (Bérénice Bejo, rayonnante) semble l'apaiser un peu... Avec "Fais de beaux rêves", Marco Bellocchio nous installe confortablement devant un film dont la structure est effectivement proche du rêve, faisant des allers-et-retours entre le passé et le présent, nous offrant des séquences parfois étranges qui ne font sens qu’après-coup. Balade dans la vie de Massimo (interprété à différents âges par trois excellents acteurs), le film démontre une parfaite maîtrise de son histoire par Marco Bellocchio. En dépit de ses quelques longueurs, le film paraît justement dosé et chaque scène semble nécessaire à nous faire comprendre le parcours de Massimo et à faire naître les émotions. Drame à la puissance aussi délicate qu’évocatrice, "Fais de beaux rêves" est une œuvre presque onirique, oscillant sans cesse entre l’ombre et la lumière, offrant de beaux moments de grâce et de subtilité.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2017
    Est-ce la perte de sa mère qui a autant fragilisé Massimo ce qui serait logique ou alors le fait d'avoir grandi dans une sorte de déni sans savoir réellement comment elle est morte ce qui l'a empêché de faire son deuil ? On peut se poser la question, car c'est vraiment quelque chose qui le hante et il revient quelquefois sur cette question et ce peu importe son âge. On peut aussi se demander quels sont les véritables enjeux de ce film : si c'est voir comment un jeune garçon se construit sans la présence de celle dont il était si proche ou alors si tout tourne autour des circonstances mystérieuses de ce décès. C'est loin d'être clair et souvent, je me demandais ce que j'étais en train de regarder... Il fallait peut-être sacrifier quelques scènes qui sont loin d'être utiles ce qui rajoute de nombreuses longueurs. Je suis partagé sur ce film, je m'attendais à quelque chose de très fort vu le sujet et finalement, il n'y a quasiment aucune émotion, j'en ai ressenti uniquement quand Massimo écrit cette lettre émouvante à un lecteur. À part ça, c'est un film assez terne et lent qui n'est pas aidé par une construction laborieuse qui n'amène strictement rien au récit. Au final, un film pas désagréable à regarder, mais je suis resté sur ma faim.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2017
    1969, Turin ; Massimo a 9 ans et Marco Bellocchio nous montre la relation tendre et complice avec sa mère. Dans les premières scènes, on les voit danser ou plutôt la mère entrainer son fils dans cette danse endiablée. Ensuite chaque scène nous montre un profond attachement entre eux. Le père hors champ est quasi inexistant. Puis, la nostalgie et la tristesse s’empare de toutes les scènes de la journée précédent la mort de la mère de Massimo. Réveillé en fracas en pleine nuit par la police entrant dans leur appartement, sa mère est morte. Il devra attendre plus de 30 ans pour en apprendre les circonstances et faire son deuil. Il a alors plus de 40 ans et une danse tout aussi endiablée avec son amoureuse vient clore pour lui de longues années de torpeur, comme une délivrance. Un grand moment d’émotion.
    Comme Massimo, on comprend à la toute fin du film comment cette mère aimante a disparu subitement de la vie de Massimo. Bellocchio use d’allers-retours fréquents entre passé et présent via des vignettes intenses et significatives. Avec une grande fluidité narrative incomparable. Spectateur, on comprend beaucoup plus tôt que Massimo ce qui s’est passé cette nuit-là. Lui a les billes aussi, mais ne le sait pas encore. On pourrait être frustré que ce suspens soit un peu trop dévoilé pour qui sait que dans le cinéma (et encore plus chez Bellocchio) aucune scène n’est inutile. D’où mon regret de ne pas m’être souvenu plus tôt de la fin de la série française des 60’s « Belphégor ». Tout y est dit puisque cette série est celle qu’il partageait avec sa mère. Aussi comme, il est délicieux de voir le petit Massimo en appeler après « Belphégor » à chaque moment difficile de sa vie pour se sauver ; comme s’il s’agissait de son ange gardien. Une façon de prendre des distances avec la foi chrétienne omniprésente. Bellocchio, 77 ans, parvient de manière incroyable à capter la finesse et la rébellion de l’enfance.
    Mais le véritable sujet du film est bien ailleurs du suspens autour de la mort de cette mère aimante. Bellocchio s’intéresse surtout aux traumatismes de l’enfance et la difficile construction d’un homme et parfois à l’impossibilité d’en guérir. Et c’est pourquoi les deux scènes de danse embrassent le film avec force. Ce film est aussi une ode à l’amour maternelle. Enfant c’est une perte dont on ne se remet jamais surtout lorsqu’elle est entourée par le silence. Et là, Bellocchio prend son temps mais frappe juste tout comme ses comédiens, des plus jeunes aux plus anciens.
    Cependant on peut déplorer quelques facilités et longueurs surtout sur le passé journaliste de conflits de Massimo. Et aussi regretter que Bellocchio ait choisi de conserver les mêmes comédiens pour jouer des trentenaires devenus sexagénaires (le père de Massimo et la tante) et de conserver le même comédien pour le personnage de Massimo de 20 à 45 ans. Il faut alors adhérer à 100% au propos du film pour ne pas en sortir.
    Limpide et émouvant : à voir impérativement.
    rerererere
    rerererere

    3 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2017
    Ce film a un charme certain. J'ai particulièrement aimé les scènes de l'enfance du héros, l'enfant est plein de talent, sa relation avec sa mère est très touchante ! Je n'ai par contre pas compris la mise en avant de Berenice Bejo qui joue un rôle mineur et pas très crédible.
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