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Votre avis sur Victoria ?
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Madame Justine a trouvé le filon americain:filmer des procès.Il faudra trouver autre chose la prochaine fois.Petit film.
C'est globalement très faible. Une scène où deux font sourire, mais le scénario tient sur deux cm²... À voir si vous avez autre chose à faire en même temps, en toile de fond.
Film oscillant entre la comédie et le drame, celui-ci m’a tout d’abord intrigué et amusé. Puis ne sachant pas où tout cela voulait me mener, j’ai fini par être lassé d’autant que la fin, que l’on avait bien évidemment deviné, ne m’a absolument pas paru crédible. Je mets la moyenne car j’ai apprécié une partie du film, mais pour moi, ce dernier reste un mystère.
Une avocate débordée se bat contre son ex, jongle avec ses clients et ses Babys sitters. Objet étrange ce Victoria, on oscille entre comédie ou drame. Le scénario est confus et bordélique sans doute à dessein mais le tout est très plat, très bobo, absolument pas drôle. On ressort ennuyé et surpris par autant d'éloges pour une œuvre sans aucun intérêt
Victoria (ou Sibyl...) est un film ennuyeux et creux, que les germanopratins doivent adorer.
Justine Triet a bien de la chance, sans l'exception culturelle française qu'elle dénonce par ailleurs, et les commentaires louangeurs des critiques bobo, elle n'existerait pas. On peut essayer de copier Woody Allen mais n'est pas Woody Allen qui veut. Pour le côté bobo, elle rivalise sans problème. Pour les scénarios bavards, c'est OK. Pour l'humour aussi. Mais pour la fluidité de la mise en scène, pour la qualité de la lumière, pour toutes ces choses qui font que l'on sort heureux à la fin d'une projection, la comparaison est douloureuse . Peu importe qu'elle soit nommée ici ou là, il lui reste encore une belle marge de progression.
Justine Triet a bien de la chance, sans l'exception culturelle française qu'elle dénonce par ailleurs, et les commentaires louangeurs des critiques bobo, elle n'existerait pas. On peut essayer de copier Woody Allen mais n'est pas Woody Allen qui veut. Pour le côté bobo, elle rivalise sans problème. Pour les scénarios bavards, c'est OK. Pour l'humour aussi. Mais pour la fluidité de la mise en scène, pour la qualité de la lumière, pour toutes ces choses qui font que l'on sort heureux à la fin d'une projection, la comparaison est douloureuse . Peu importe qu'elle soit nommée ici ou là, il lui reste encore une belle marge de progression.
tortueux - une histoire d'amour qui se veut impossible - des scènes de tribunal surréalistes, et surtout irréalistes, qui oscillent entre le comique et l'absurde, sans faire rire - film compliqué à souhait, parce qu'en fait la réalisatrice n'a rien à dire - fil sauvé par virginie efira et vincent lacoste, mais que sont-ils allés faire dans ce navet !
L'occasion de réviser ce qu'a fait précédemment la lauréate de cette année à Cannes.
Mauvaise pioche, Triet a de la chance de bénéficier du système de financement français pour un résultat qui hésite entre comédie, et drame psychologique, ou séance de tribunal, et qui finalement reste en surface des choses et n'approfondit pas les situations.
A partir de là, les personnages sont vains, et je m'en suis senti très lointain. Beaucoup d'énergie certes, et malgré les louables efforts de Efira et Poupaud, on voit venir les chutes longtemps à l'avance, et on subit les dialogues dont il ne restera rien en mémoire. Le scénario ne manque pas d'invraisemblances, et filmer la belle plastique de Efira (dès la première image de la bande annonce) va de pair avec des séances chez le psy très bobo parisien. On se croirait chez Woody Allen, mais sans humour ni auto-dérision. On pourra aisément se passer de l'exercice.
DVD juillet 23
Mauvaise pioche, Triet a de la chance de bénéficier du système de financement français pour un résultat qui hésite entre comédie, et drame psychologique, ou séance de tribunal, et qui finalement reste en surface des choses et n'approfondit pas les situations.
A partir de là, les personnages sont vains, et je m'en suis senti très lointain. Beaucoup d'énergie certes, et malgré les louables efforts de Efira et Poupaud, on voit venir les chutes longtemps à l'avance, et on subit les dialogues dont il ne restera rien en mémoire. Le scénario ne manque pas d'invraisemblances, et filmer la belle plastique de Efira (dès la première image de la bande annonce) va de pair avec des séances chez le psy très bobo parisien. On se croirait chez Woody Allen, mais sans humour ni auto-dérision. On pourra aisément se passer de l'exercice.
DVD juillet 23
Premier point, Virginie Efira illumine entièrement ce film de sa beauté. Deuxième point : cela ne suffit pas pour faire un bon film.
le scénario est un peu trop vide. Il manque certaines tensions, certains mouvements, certaines scènes un peu plus stressante qui aurais pu réveiller un peu le spectateur a tendance inattentive que j'ai pu être durant le visionnage.
Le scénario est bien trop accès sur les déboires sentimentalo-amoureux de Virginie que sur son travail d'avocat; l'inverse aurait renversé complètement la situation. La réalisatrice a certainement voulu faire un film essentiellement réaliste, c'est vrai, mais ce n'est pas ce que je cherche.
A voir par les fans de Virginie
le scénario est un peu trop vide. Il manque certaines tensions, certains mouvements, certaines scènes un peu plus stressante qui aurais pu réveiller un peu le spectateur a tendance inattentive que j'ai pu être durant le visionnage.
Le scénario est bien trop accès sur les déboires sentimentalo-amoureux de Virginie que sur son travail d'avocat; l'inverse aurait renversé complètement la situation. La réalisatrice a certainement voulu faire un film essentiellement réaliste, c'est vrai, mais ce n'est pas ce que je cherche.
A voir par les fans de Virginie
Une avocate brillante voit sa vie basculer suite à son meilleur ami, accusè de tentative de meurtre, qui plus est par sa compagne! Après le succès critique de "La Bataille de Solfèrino" Justine Triet confirme son statut de jeune rèalisatrice dècalèe! Sorti au printemps 2016, "Victoria" est le genre de comèdie sentimentale qui tente de sortir des sentiers battus par son côtè burlesque et ravageur! Le genre d'histoire qui raconte une victoire même s'il faut passer par plusieurs dèsillusions amoureuses! Triet trouve la bonne manière de faire pour diriger ses acteurs : Virginie Efira dans tous ses ètats, mais qui a tendance à tomber dans les rôles de cougar vulnèrable! Vincent Lacoste, lui, a toujours cette forme de naïvetè qui lui sied à merveille! Quant à Melvil Poupaud, c'est l'acteur insaisissable, capable de tout faire pour rentrer dans la peau d'un personnage ambigu! Ce portrait de femme approchant de la quarantaine est pas mal à l'arrivèe, ça passe assez vite, et on n'a droit à quelques scènes cocasses au tribunal! La dernière scène du film, pour plus de vèritè, mèritait d'être valorisèe par un plan sèquence! Juste histoire de finir sur une bonne note...
Probablement une histoire vécue, un scénario tortueux pour faire trainer le film : à se demander ce que Virginie Efira vient faire dans ce film tourné en 15 jours. Difficile de visionner le film jusqu'au mot fin !
Un film à regarder sous la couette un soir d'hiver, sans plus.
Je n'ai pas réussi à comprendre l'histoire d'amour improbable et ce n'était pas très drôle ni même prenant.
Je n'ai pas réussi à comprendre l'histoire d'amour improbable et ce n'était pas très drôle ni même prenant.
La perdition d'une femme contemporaine, sans véritables valeurs, cherchant à tout prix à remplir son vide intérieur. Il y a de beacoup de monde autour d'elle, son psy, son acupuncteur, sa voyante, son ex, etc. Par contraste avec le modèle traditionnel de la femme, sa relation avec ses enfants est quasi nulle, bien qu'elle en ait la garde, allez comprendre pourquoi, ses deux filles étant livrées à elles-mêmes dans un bazar innommable. Virginie Efira fait évoluer son personnage dans un brouillard qui s'épaissit au fil du film, jusqu'à trouver une éclaircie qui ne semble que la remplir de nouveau. Cette fois-ci en endossant le rôle de cougar, dans une inversion des rôles traditionnels qui semble être le propos de Victoria, dans le soucis de déstructurer. L'héroïne, dans un rare moment de clairvoyance, s'exprimant : "Ce qui est misogyne c'est de penser que les femmes sont victimes par nature". Peut être la seule réflexion rationnelle de ce charivari.
AV ciné
Une comédie dramatique particulière.
L'histoire est spéciale et Virginie Efira est en revanche pas désagréable dans son rôle.
Vincent Lacoste est satisfaisant et les autres acteurs sont corrects, l'ambiance est par contre trop ennuyeuse.
Un film donc trop étrange, personnellement je n'ai pas adhéré mais l'idée n'est pas non plus inintéressante.
L'histoire est spéciale et Virginie Efira est en revanche pas désagréable dans son rôle.
Vincent Lacoste est satisfaisant et les autres acteurs sont corrects, l'ambiance est par contre trop ennuyeuse.
Un film donc trop étrange, personnellement je n'ai pas adhéré mais l'idée n'est pas non plus inintéressante.
Pour son deuxième long-métrage, Justine Triet signe une comédie dynamique sur les déboires d’une femme moderne prise en étau entre sa vie professionnelle, familiale et sentimentale. Certes, Virginie Efira est tourbillonnante dans son rôle de Wonder Woman au bord de la déprime. Vincent Lacoste est également parfait dans son traditionnel rôle de jeune homme lymphatique et les autres acteurs se donnent de la peine. Finalement, le scénario comporte beaucoup trop de facilités et/ou d’incohérences pour rendre l’histoire crédible. Bref, on se rapproche régulièrement du téléfilm, ce qui interroge sur les multiples nominations de ce film aux César de 2017.
la descente aux enfers de cette avocate ne m'a pas passionné, contrairement à ma compagne. Notre V. Lacoste national s'en sort bien dans un rôle un peu hot :-) . 2 petites étoiles pour ma part. ----Février 2021----
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