Avis : Dans le noir - Page 8

Enfin un film d'horreur qui fait vraiment peur !
Impossible de rester seule à la maison avec les lumières éteintes après avoir vu ce film.
Les acteurs sont bons et on est vite angoissé... Dès les premières minutes. Et ensuite on a carrément très peur.

CRITIQUE SANS SPOILERS.
Vu il y a une semaine, à la Obscure Night de Kinepolis, le film étant déjà sortit en Belgique. Je m’était dit que c'etait pas la peine d’écrire un truc, mais plusieurs facteurs m'ont décidé à le faire. Il faut rétablir la vérité dans un maximum d'objectivité.

C’était une purge totale. Aucune tension (JAMAIS), aucune ambiance installée (le film démarre à 100 à l'heure et ça n’arrête plus jusqu’à la fin,et ceci n'est absolument pas un compliment), des jumpscare vu 10 000x avec des timing même pas travaillés, des personnages sous développés, une fin classique qui vous laisse dans l’indifférence totale, ... etc
Je précise pour les jumpscares qu'ils sont aussi réussis que dans des films formatés, comme le pauvre Anabelle. Même pas foutu de vous saisir avec le son monté à fond au moment même c'est dire (technique du pauvre pour faire peur quand le jumpscare n'a rien d'effrayant). Totalement l'inverse de là où James Wan excellait par exemple, dans Insidious ou Conjuring. Le spectateur n'est pas idiot.
Il sait bien quand il va y avoir un jumpscare, le tout est de le réussir
"au bon moment", et aussi avec un truc qui à réellement une raison de
vous faire peur. Et pas le (très) classique "-Qui est là ? -BHOOO ! -Oh mais Albert, tu m'a fait peur !". Maitrisez le "timing" avant un jumpscare, c'est ça qui créer de la tension ! De la vraie tension ! Ici, n'importe qui pourrait littéralement faire un décompte à voix haute avant que un truc ne saute à l'écran ( et bruyamment au passage).

Je voudrais préciser qu'a aucun moment je n'ai idéalisé ce film ( comme beaucoup d'entre vous ont l'air de le faire ici). J’étais juste tenté, premièrement parce que le nom de James Wan y était associé en tant que producteur (et oui, ça marche bien, la preuve), et que le court métrage avait eu un énorme succès. Ça m'a rappeler la succès story du film MAMA de Andres Muschietti, dont le long métrage avait été une totale réussite (et ce, j'en convient est un argument totalement subjectif de ma part, mais personne ne peux nier que ce film a été globalement un succès critique).
Je n'ai vu aussi aucun trailer, parce que c'est bien connu que pour un film d'horreur, c'est la dernière des choses a faire. J'ai juste vu le court métrage original, que j'avais vraiment aimé, d'ailleurs ! D'ailleurs, en revenant de ma séance (mon supplice ?), j'ai regarder la bande annonce de Lights Out. TOUT Y EST ! Tout le film est dans le trailer.

Ici, ce film aurait clairement du rester un court métrage, c'est raté, raté et encore raté. Contrairement à MAMA, le film n'apporte rien de plus que ce que le court métrage n'avait déja donné (et en 1000x moins bien). Le scénario tient sur un post-it. Je veux bien que ce soit un film d'horreur et pas du David Lynch, mais sérieux, y'aurait moyen de pas prendre le spectateur pour un imbécile ? A apporter dans les précisions, vu que il est coutume de se faire incendier directement, que je n'ai pas 13 ans, et oui, je suis fan de film d'horreur (des bons, justement parce que j'ai pas 13 ans).

Ma séance s'est déroulé dans une ambiance respectueuse. Pas de baraki et de Jean Kevin en recherche de sensation forte, à l'horizon. Le film a commencer, s'est déroulé, et s'est fini dans une totale indifférence tellement c'etait plat (avec même un tas de : c'etait nul ! à la fin), sans aucune inventivité (le premier plan du film est un réverbère filmé a l'envers, qui redevient droit par un mouvement de caméra (coucou le plagiat du premier plan de Insidious). Même cet "esprit" qui est l'antagoniste du film est complètement pompé (en a l'air en tous cas), sur l'ombre effrayante de Lipstick dans Insidious (dans la scène du cauchemars de la grand mère), avec ses doigt crochu et désarticulé. Carton rouge ici, ça fonctionne pas.

Je n'ai absolument pas compris comment ce film a pu récolté un 76 ´% actuellement sur Rotten Tomatoes. A noter qu'il fut au tout début a 92 ´%, c'est dire, si la note a bien chuter depuis que des spectateurs lambda on pu se faire un vrai avi sur le film, depuis, et non plus des journalistes, je ne vais pas dire payé, mais forcement influencer par la sponsorisation du film, partout sur internet.

Lights Out, pour résumé, n'est pas meilleur que la moyenne des daubes qu'on nous sert depuis 20 ans, même si la jolie promo autour du film vous affirme le contraire. Je me suis bien fait avoir et je me targue de bien choisir mes films d'horreur d'habitude quand je vais au cinema (pas un seul sur dix ne mérite d’être vu d'habitude, selon mon avis personnel). Vous voulez du bon cinéma d'horreur ? Retourner voir un vrai James Wan, ou bien ces quelques perles du cinema d’horreur indépendant que sont les récents IT FOLLOWS et THE WITCH. Au mieux, revoyez vous vos classiques.... où contentez vous carrement de l'excellent court méttrage qui a inspiré ce .... truc ! Mais n'allez pas voir cette nullité formaté en long métrage.

Je tient a m'excuser auprès de tout ceux qui avait envie d'y croire et que je vais froisser, voir vexer avec cette critique. J'y ait moi même cru, en modérant mes attentes tout de même. Cela reste une belle désillusions quand même.

Tout est dit.

A l ' origine dans le noir est basé sur un court métrage réalisé par David F Sandberg qui avait fait le buzz sur la toile. Le court est métrage est extrêmement bien troussé , le réalisateur en quelques plans et avec une bonne idée de mise en scène arrivait à nous terrifier.
Avec un tel engouement , le réalisateur s ' est fait remarquer par James Wan , qui lui à donner sa chance , en étendant l ' idée de départ sur un long métrage de 1h30.
Lights out ( en VO) à clairement ancré en lui l' empreinte de James Wan ( ici producteur) tant David Sandberg s ' inspire du maître de l' horreur dans ses effets de mise en scènes et dans la construction de ses scènes horrifiques.
On sent toutefois un vrai talent de metteur en scène de la part de Sandberg et ce , dés la scène d' ouverture qui prouve que le bonhomme sait instaurer une atmosphère propice a l' effroi et ce grâce a bon sens du cadrage et du montage.
Le réalisateur a bien su s ' entourer avec un casting de talent.
Les personnages sont peux nombreux dans Lights Out , mais ils sont tous assez développés pour que l ' ont s ' attache un tant sois peu à leur sort.
La ou Dans le Noir se différencie des autres productions horrifiques du même acabit , c ' est que ici on prend le temps de nouer de véritables liens entre les personnages , on leur donne un peu d ' épaisseur.
Les relations familiales ont donc une place centrale dans ce métrage , et le jeu tout en justesse des comédiens est une véritable force pour accentuer le malheur qui pèse sur cetfe famille brisé .
Un conseil regarder de préférence le film en VO tant certains dialogues sonnent faux ou inappropriés à la situation dans la VF
Tout au long du film on nous fait comprendre qu ' une créature , étroitement lié au passé psychiatrique de la mere des deux personnages principaux , veut s' en prendre à cette famille et qu ' elle ne peut frapper que dans le noir.
Le soucis est que l ' histoire qui entoure cet entité est trop floue. Au niveau du scénario il y ' un a vrai soucis d ' écriture sur cette créature.
On essaye de nous expliquer maladroitement en quoi la créature est lié au passé de la mere ( impeccablement jouée par Maria Bello) , mais les scénaristes ne sont pas allés au bout de leurs idées.
Pire encore , ils auraient du garder le mystère sur ce personnage ne pas révéler tout les zones d' ombres, au lieu de se lancer dans le trop pleins d' explications.
Autre bémol et non des moindre , le film dans sa construction est trop classique . Le film manque de prise de risques au niveau de l ' écriture. Tout les poncifs du genre horrifiques y sont présents , et même si le réalisateur applique avec un certain talent ces codes , j ' aurais aimé avoir un film un peu plus surprenant au niveau de ses effets horrifiques ou dans l ' écriture du scénario.

Pourtant Sandberg , nous démontre et ce à plusieurs reprises ( cf la scène d ' ouverture terrifiante) qu ' il sait manier une caméra et qu' avec des plans réfléchis il sait créer une atmosphère glauque.
Il joue constamment durant le film avec les effets de lumières et il s ' en sert habilement pour créer une tension palpable. Le réalisateur comprend comment jouer avec les nerfs du spectateur et il a comprit ce qui fait l ' essence même d ' un film d ' horreur.
La peur du noir est une peur universelle il faut l' avouer et est une thématique que l' ont retrouve régulièrement dans le cinéma de genre, mais peut de réalisateurs ont su capter l' essence de la peur du noir tel que David Sandberg avec Lights Out

Le final , sans rien spoiler , m' a laissé un gout très amer dans la bouche , la ou je m' attendais à une fin nihiliste et vraiment sombre qui sort des sentiers battus il n' en ai rien. spoiler: ( on a le droit à un éniéme happy ending très bateau , et en rien surprenant)


Lights Out ne réinvente en rien le genre il est vrai , il est même d ' un classicisme affligeant.
Mais le film est quand même d ' une réelle efficacité dans ses effets d' angoisse et David Sandberg est un réalisateur de talent , avec de vrai idées de mise en scènes , et sachant construire une atmosphère propice aux frissons.
Je suis donc curieux de voir ce que le bonhomme est capable de livrer dans la suite du sous estimé Annabelle. Wait and See...

Malgré les 1H20 le film tourne en rond malgré en entrée en matière prometteuse ,les classiques du film d'horreur sont présents , dans le noir, la porte qui grince , qui claque, quelques sursauts, mais ça suffit pas pour rester dans les mémoires , déçu donc

Difficile de s’y retrouver avec tous ces films portant plus ou moins le même titre, « Dans le noir » est la traduction française de « lights out », ce qui complique car le film « don’t breathe » s’appelle « in the dark », film également de genre mais n’ayant rien à voir avec le premier. « Lights out » donc est l’adaptation cinématographique d’un court métrage plutôt efficace par le même réalisateur David F. Sandberg. Si l’idée est bonne en court, elle peut se montrer moins brillante lorsqu’il faut l’étirer sur un long.
C’est ce qu’on ressent en visionnant « Dans le noir », la faiblesse du scénario. En dehors des scènes plutôt réussies des apparitions spectrales, on ne raconte pas grand-chose. Le film ne prend pas le temps de se mettre en place, d’emblée, on a une scène avec le spectre, puis il s'agit d'une succession de scènes light on light off. Par ailleurs, j’ai trouvé assez ridicule l’histoire sur les origines du spectre, surtout lorsqu’on entend sur l’enregistrement que le spectre de son vivant avait la même voix rauque terrifiante.
Malgré quelques bonnes scènes, "Dans le noir" n’est pas une réussite.

Diana est une créature originale, mais ce n'est pas ça qui va aidé ce film a être au dessus de tout ce que nous pouvons voir dans ce genre. D'ailleurs ce long-métrage cumule bêtement tout les clichés du genre (la grande maison, la cave glauque, les bruits de griffures, les personnages qui se font avoir facilement etc). Le scénario joue sur la peur du noir et pourtant la mise en scène n'en profite jamais alors qu'il y avait une excellente occasion d'en jouer vraiment. DANS LE NOIR est donc un énième film d'épouvante qui n'a rien de nouveau a proposé.

Un bon petit film d'horreur, original (je trouve.), de bonnes petites scènes, assez clichés dans la construction (le mari distant, la police qui arrive 300 ans plus tard etc), mais ca reste un film sympa a voir. Je trouve cela juste dommage qu'ils n'expliquent pas en profondeur la raison de ce "monstre".

Film "d'horreur" qui change des autres c'est un bon point.
Film parfait à aller voir avec sa copine, deuxième bon point.

Toutefois la fin est plutôt triste, et le film un poil trop court, dommage !

Une bande annonce accrocheuse ne suffit pas à faire un bon film. La même scène d'apparition se répète à plusieurs reprises , ce qui fait qu'on ne sursaute plus du tout à la fin. L'histoire est ridicule et pas du tout crédible. C'est bien la première fois qu'un "fantôme" hante plusieurs lieux...Pas de quoi faire de cauchemars.

Le court métrage Lights Outs arrivait quasiment plus à nous faire frissonner en deux minutes que l’ensemble de sa version cinématographique. Passé l’effet de surprise de cette créature inquiétante, la répétition des scènes et un scénario cherchant presque à lui trouver des excuses d’être si méchante nous font décrocher très vite. Ce n’est certainement pas le final qui tente la surenchère d’effets bidons qui nous fera changer d’avis. Dans Le Noir n’est qu’une série b sans aucune ambition et particulièrement décevante par rapport au bien que l’on pensait de son réalisateu

Film d'horreur sans réel originalité. Le film utilise uniquement la frayeur de notre enfance. Histoire un peu trop simplette!

Produit par la nouvelle caution à la mode du cinéma horrifique actuel, en l’occurrence le maître en la matière du moment James Wan (« Conjuring », « Insidious », …), « Dans le noir » est l’adaptation en format long d’un court-métrage ayant fait sensation sur le Web il y a quelques années. Le principe était on ne peut plus simple mais diablement efficace. On voyait dans ce petit film une femme terrorisée dans son appartement par une entité maléfique dès lors qu’elle éteignait la lumière. Frissons et sursauts garantis. Que reste-t-il dans cette version rallongée et à visée purement commerciale comme toujours ?

Et bien les frissons et les sursauts attendus sont aux abonnés absents hormis peut-être dans l’efficace scène d’introduction malheureusement trop vue lors des présentations et bandes-annonce. C’en est même étonnant à quel point le fait de jouer sur les terreurs nocturnes et la peur primale et ancestrale d’être dans le noir et de l’obscurité aboutit à un film si tiède en matière de peur. David F. Sandberg avait réussi son coup sur un petit format, difficile donc d’expliquer cet échec. Comme sa créature est indéniablement réussie, on pense à chacune de ses apparitions que l’on va être terrifiés ou sauter sur son siège mais ça n’arrive quasiment jamais tellement le film est avare en scène horrifiques entre le début et la fin.

Les jump scares sont aussi agaçants que dans la majorité des productions du genre actuelles avec cette musique qui augmente et nous dit quand sursauter. Horripilant à défaut d’être tétanisant ! En revanche, très bref, « Dans le noir » n’est pas un navet pour autant car il soigne ses personnages et c’est une chose plutôt rare dans le cinéma d’horreur américain. Un peu comme dans les films fantastiques espagnols (autrement plus réussis en général), l’histoire de cette famille qu’on a inventé pour l’occasion sait être intéressante et relativement émouvante grâce notamment à des acteurs convaincants, que ce soit Teresa Palmer ou le petit garçon. A éviter tout de même car c’est un long-métrage qui sera vite oublié et qui se classe dans la catégorie des frissons low-cost et interchangeables.

Énième film d'épouvante lorgnant du côté de conjuring, dans le noir est un petit film de genre assez efficace qui réussit, par intermittences, à nous faire sursauter en jouant assez habilement avec les peurs enfantines. Bien que l'idée sur laquelle tend le scénario soit des plus intéressantes, son traitement reste superficiel tout comme la conclusion finale mélo et convenue. Si dans le noir vaut mieux que les ouija et autres poltergeist récemment sortis, il n'en demeure pas moins un produit convenu mis en scène de manière très sommaire et interprété par des acteurs, si l'on excepte la belle compositions de Maria Bello en mère dépressive, assez médiocres. Bref, pas nul mais trop formaté pour pleinement convaincre.

Un réalisateur peu inspiré, les scènes sont très répétitives; des acteurs bien insipides; un film d'horreur qui ne fait pas peur, c'en est même risible par moment ...

Dans le noir a eu une belle promo et des bandes annonces alléchantes accompagnés de bonnes critiques et surtout avec le nom de James Wan en grand. Malheureusement, si le court métrage était efficace en étant très court, ce petit court métrage est étiré jusqu'à la rupture en version longue. Le scénario reste assez poussif, les dialogues futiles et surtout l'écriture du personnage de Diana est un peu bâclé à croire qu'il était déjà prévu de faire une suite pour approfondir le personnage. L'ambiance et la frayeur sont bien présents dans le film mais cela donne un côté réchauffé par le fait que tout à déjà été vu dans les bandes annonces, et surtout que l'on ne se limitera principalement qu'à du jump scare de base. La réalisation de David F. Sandberg est maîtrisé et il nous offre un photographie assez proche de ce que l'on retrouve chez James Wan. Dans le noir n'est pas aussi catastrophique qu'un Annabelle mais cela restera un film d'épouvante plutôt moyen.