Kevin Costner dans le rôle du prince des voleurs de riches, c’était pas mal, ici la mise en scène est Croisade versus Djihâd.
On s’inscrira dans un club d’entraînement au tir à l’arc pour se préparer à faire la guerre dans l'opération renard du désert, sur le chemin des croisés GI chevaliers, on se calmera par les lectures critiques apaisantes.
La Kalachnikov fusil sniper tir à l'arc, il faut le savoir, ce film nous apprend des choses, un outil d’arme rudimentaire mortelle et surpuissante.
Le roi Arthur : la légende d’Excalibur et des anachronismes, le discours est extrémiste droite fanatique en ces temps médiévaux d'hier, le British national party actuel se régénère, nulle culture infusée.
C'est des nationalistes conservateurs réactionnaires catholiques, allez hop, tous dans le même sac à poubelle !Le folklore avec un grand bond en avant par le combat syndicaliste du 19ème siècle, des sympathiques CRS moyen-ageux contre les manifestants enflammés, des cocktails Molotov pour les évincés.
La superproduction venue d’autre horizon, une réalisation et sa bande annonce, délivre une certaine architecture et le cours est gratuit, donné par l’expert en art martial maure sarrasin honoré.
C'est Kingdom of Heaven, comment rendre la leçon stylée d'archer plus intéressante, méchant chrétien et gentil musulman, il n'y ni de saint ni d'ange révélation.
L’humour jésuite est insaisissable par les scénaristes, des amourettes triangulaires, de belle Marianne dans sa plus belle entrée sur le devant de la scène, papa you're welcome me to U2, pas de jaloux.
Des scènes époustouflantes de flèche fight, à couper le souffle dans cette matrice de John Woo, oh le manichéisme sera ainsi.
Que l'enfer soit une invention de la politique correctrice, refaire une critique plus lisible sans hostilité acerbe, bien.