AlloCiné
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Ce film est pour moi une bonne surprise, en lisant le sypnosis cela peut nous paraître ennuyant et inintéressant mais bon je pense que bon nombre d'entre nous ne connaissent pas l'histoire de cette franchise aussi vieille qu'est Mcdonald's. C'est plutôt sympa de voir l'évolution de la restauration au fil des années dans ce film et ce qui a poussé certaines personnes à essayer de trouver les solutions pour réussir à satisfaire tout le monde.
spoiler:
J'ai également pu apprendre que les créateurs du concept ne sont pas ceux qui ont bénéficié de la notoriété de cette franchise pour devenir riche mais plutôt qu'ils se sont laissés bernés par un beau parleur.
Ce film est parfait pour notre culture personnelle, il peut intéresser même les personnes n'ayant jamais mis un pied dans un Mcdo depuis un moment.
Ce film est parfait pour notre culture personnelle, il peut intéresser même les personnes n'ayant jamais mis un pied dans un Mcdo depuis un moment.
Une histoire à découvrir ! L'histoire vraie de la multinationale McDonald's et de celui qui en a fait cette marque mondialement connue. Si le film a ses défauts, notamment un démarrage lent et quelques longueurs, il a le mérite de traiter l'historique de l'enseigne de façon assez juste, sans parti pris. Un film qui permet de brosser le portrait du monde impitoyable des affaires, du capitalisme moderne.
Comme un mec parviens a voler l'entreprise Mc Do à leur propore créateur!! A la base son côté "j'ai envie", "je fonce" après les multiples échecs subit j'avoue que j'apprécie mais par la suite il ce comporte comme un gros biiip.!!!! Il les arnaques jusqu'au maximum, entouré d'arriviste !!! Dire que les fondateurs auraient pû touche chaque année 100M de dollars et qu'au final ils ont touchés 1M chacun et dû fermer leur tout premier fast food...punaise cela me dégoûte...ce "rêve américain" de cette manière perso...
un joli biopic au titre légèrement trompeur car visiblement Ray Kroc n'est pas le fondateur de MC DO ... mais ça on l'apprend dans ce très beau film superbement interprété par un M. Keaton au sommet de son art !
Clémentine K.
Un film dynamique qui raconte une histoire vraie et qui est donc également instructif. Michael Keaton est bon jusqu'à en devenir insupportable.
Film biopic sur la Saga Mac Do. Film trop long pour une histoire somme toute sans réels rebondissements, où on apprend que les frères Mc Do se sont bien un peu les dindons de la farce.
Etant donné que c'est un biopic, donc véridique a priori, voilà qui conforte l'idée des détracteurs de cette chaine de restauration rapide de boycotter encore un peu plus ce symbole d'impérialisme américain sans scrupules ni morale.
Il n'en demeure pas moins intéressant de voir comment cette saga est née et par quels chemins et concepts les choses ont évolué favorablement dans une Amérique en plein essor. spoiler: De voir par exemple qu'en fait le concept de commande au comptoir est né avant le concept du drive ! Alors qu'en France c'est complètement l'inverse !
Bref, ce film est à l'image du sandwich éponyme : assez indigeste, et qui laisse un arrière gout d'amertume avec sa conscience personnelle, mais permettant de s'abandonner à une sieste bien méritée.
Etant donné que c'est un biopic, donc véridique a priori, voilà qui conforte l'idée des détracteurs de cette chaine de restauration rapide de boycotter encore un peu plus ce symbole d'impérialisme américain sans scrupules ni morale.
Il n'en demeure pas moins intéressant de voir comment cette saga est née et par quels chemins et concepts les choses ont évolué favorablement dans une Amérique en plein essor. spoiler: De voir par exemple qu'en fait le concept de commande au comptoir est né avant le concept du drive ! Alors qu'en France c'est complètement l'inverse !
Bref, ce film est à l'image du sandwich éponyme : assez indigeste, et qui laisse un arrière gout d'amertume avec sa conscience personnelle, mais permettant de s'abandonner à une sieste bien méritée.
Un excellent Biopic. Michael Keaton incarne le fondateur de McDonald's. Laura Dern interprète sa femme . Linda Cardellini tient le rôle de l'épouse de l'un des franchisants. John Carroll Lynch joue Mac McDonald.
La fondation incroyable de l'Empire McDonald's tel que nous le connaissons aujourd'hui. L'histoire valait carrément qu'on la raconte. Le développement du "Fast Food", repas servi en 30 secondes au lieu de 30 minutes. Les franchises et les quelques astuces pour que Ray Kroc touche plus d'argent que les inventeurs du premier restaurant McDonald's. Je trouve l'issue à la fois triste et totalement dans l'esprit américain. A voir pour toutes les personnes qui se posent la question du comment McDo est venu au monde.
elriad
ce portrait aussi captivant que glaçant de celui qui a "volé" la marque mondiale du fameux Hamburger hégémonique est une démonstration cinglante du business qui fait froid dans le dos. A l'origine, savoir comment ces deux frères, heureux et naïfs, souhaitaient tout sauf ce qui est devenu le symbole de la mal-bouffe se sont fait déposséder sur un coup de génie rappelle combien les contrats et la propriété intellectuelle sont importants. D'autres comme "Laguiole" ou l'inventeur français de la précieuse carte à puce en ont fait les frais. Passionnant.
Cinememories
Après « The Blind Side » et « Dans l'ombre de Mary - La promesse de Walt Disney », John Lee Hancock s’empare du récit de l’Empire industriel qu’est McDonald. Le décor planté, le monde ignore le pourquoi du comment la révolution du service rapide s’est vu franchisée, d’une part à l’échelle nationale puis à l’international. Le concept de challenge met le feu à l’homme qui en a voulu plus et qui ne manquera pas de saisir chaque opportunité pour racheter sa fierté.
Ray Kroc (Michael Keaton) est cet homme, cette figure de l’ombre que la société contemporaine exclut de sa culture, au nom d’un bienfait acquis. Le restaurant qu’il représente est bien plus qu’un point de vente, comme on le laisse entendre. Il s’agit d’un symbole fort et Américain. On s’égare ainsi dans la vision d’un animal rusé, cherchant sa place parmi les gros poissons. Cela s’étend également sur l’écran, où l’omniprésence du personnage étouffe, voire sacrifie de nombreux personnages secondaires. La démarche linéaire permet toutefois de poser de bons repères. Ce ne sera donc pas dans la subtilité que le discours de Kroc passera.
Cependant, une idéologie fortement marquée par un marketing bagarreur et agressif se heurte aisément au parti conservateur de la chose. Les frères Dick (Nick Offerman) et Mac McDonald (John Carroll Lynch) sont les réels « génies » derrière ce décor. La recette ne tient qu’en un système de préparation synchronisée, une chorégraphie pure pour l’amour de sa cuisine. Il n’y a pourtant rien de gracieux, mais plutôt de graisseux dans chaque menu. Mais à chaque étape de l’ascension, leur fierté se voit peu à peu exposée aux yeux du monde, conquis par la bonne affaire. Est-ce un mal pour un bien en fin de compte ? C’est là que réside toute la réflexion. Kroc tient le dernier mot, mais la part d’émotion est bien absente de tout cet échafaudage. Le fond y est, mais la forme laisse à désirer pour le plaisir gustatif d’un cinéphile moyen. Un divertissement pédagogue, certes, mais qui ne semble pas totalement convaincu de son projet, à présent que tout soit éclairé au grand jour.
La course à la vente et aux franchises laisse ainsi place à l’obscure histoire de l’emblème McDonald. Le revers tient toutefois ses promesses, en renforçant le sentiment d’escroquerie et de détermination. La passion entrevoit alors les portes que « Le Fondateur » a emprunté, semant ainsi les bénéfices d’un progrès techniques au détriment de valeurs familiales, bien prononcées.
Ray Kroc (Michael Keaton) est cet homme, cette figure de l’ombre que la société contemporaine exclut de sa culture, au nom d’un bienfait acquis. Le restaurant qu’il représente est bien plus qu’un point de vente, comme on le laisse entendre. Il s’agit d’un symbole fort et Américain. On s’égare ainsi dans la vision d’un animal rusé, cherchant sa place parmi les gros poissons. Cela s’étend également sur l’écran, où l’omniprésence du personnage étouffe, voire sacrifie de nombreux personnages secondaires. La démarche linéaire permet toutefois de poser de bons repères. Ce ne sera donc pas dans la subtilité que le discours de Kroc passera.
Cependant, une idéologie fortement marquée par un marketing bagarreur et agressif se heurte aisément au parti conservateur de la chose. Les frères Dick (Nick Offerman) et Mac McDonald (John Carroll Lynch) sont les réels « génies » derrière ce décor. La recette ne tient qu’en un système de préparation synchronisée, une chorégraphie pure pour l’amour de sa cuisine. Il n’y a pourtant rien de gracieux, mais plutôt de graisseux dans chaque menu. Mais à chaque étape de l’ascension, leur fierté se voit peu à peu exposée aux yeux du monde, conquis par la bonne affaire. Est-ce un mal pour un bien en fin de compte ? C’est là que réside toute la réflexion. Kroc tient le dernier mot, mais la part d’émotion est bien absente de tout cet échafaudage. Le fond y est, mais la forme laisse à désirer pour le plaisir gustatif d’un cinéphile moyen. Un divertissement pédagogue, certes, mais qui ne semble pas totalement convaincu de son projet, à présent que tout soit éclairé au grand jour.
La course à la vente et aux franchises laisse ainsi place à l’obscure histoire de l’emblème McDonald. Le revers tient toutefois ses promesses, en renforçant le sentiment d’escroquerie et de détermination. La passion entrevoit alors les portes que « Le Fondateur » a emprunté, semant ainsi les bénéfices d’un progrès techniques au détriment de valeurs familiales, bien prononcées.
Biopic qui se concentre essentiellement sur le personnage controversé et son ascension même si celle-ci n'est pas forcément extraordinaire. Au niveau réalisation rien de bien original avec un style classique et assez linéaire mais le film se suit assez bien. Les acteurs sont quant à eux crédibles notamment le personnage principal.
En résumé un film assez instructif sans être transcendant.
En résumé un film assez instructif sans être transcendant.
intéressant, dans le même style que l'histoire de Facebook et on n'a plus qu' une envie bouffer un gros burger en sortant. :-)
Un chef d'oeuvre, Michael Keaton au top, une très belle fable sur le capitalisme : le propos est top, posé, méthodique, vivant et d' une terrible cruauté.
Un poil déçu car je m'attendais véritablement à un très bon film.
Déjà l'idée du biopic m'attirait particulièrement d'autant plus que cela n'avait jamais été exploité ce qui peut paraître dingue tellement Mac Do est emblématique.
Les acteurs sont excellents Keaton en tête mais ce n'est pas une nouveauté
La reproduction de ces années est véritablement bien faite la réalisation est solide et tient la route.
Malheureusement le film pêche un peu en longueur dans sa première partie.En effet le moment où Ray croc découvre le concept MacDo et l'applique en franchise est un peu trop longue à mon goût et trop répétitive. Si bien que son idée de génie de spoilers : acheter le foncier de ses futurs MacDo et les louer pour ensuite avec le cash engendré racheter la marque entière arrive un peu trop loin dans le film et du coup celui ci perd en intérêt et en intensité.
Un peu dommage car la fin est excellente
Déjà l'idée du biopic m'attirait particulièrement d'autant plus que cela n'avait jamais été exploité ce qui peut paraître dingue tellement Mac Do est emblématique.
Les acteurs sont excellents Keaton en tête mais ce n'est pas une nouveauté
La reproduction de ces années est véritablement bien faite la réalisation est solide et tient la route.
Malheureusement le film pêche un peu en longueur dans sa première partie.En effet le moment où Ray croc découvre le concept MacDo et l'applique en franchise est un peu trop longue à mon goût et trop répétitive. Si bien que son idée de génie de spoilers : acheter le foncier de ses futurs MacDo et les louer pour ensuite avec le cash engendré racheter la marque entière arrive un peu trop loin dans le film et du coup celui ci perd en intérêt et en intensité.
Un peu dommage car la fin est excellente
Cinéphiles 44
Faire un film sur une industrie, c’est souvent le risque d’en faire un film promotionnel. John Lee Hancock a fait le pari de décrire comment McDonald’s est aujourd’hui McDo. Tout commence avec Ray Kroc, vendeur de machines à milk-shake, qui fait la connaissance des frères McDonald’s dans les années 50. Fasciné par leur concept innovant de restauration rapide, il souhaite développer ce réseau en franchisant des restaurants à travers les Etats-Unis puis dans le monde. On y apprendra beaucoup de secrets sur cette société désormais connu de la moindre personne sur Terre. La recette, les idées nouvelles, les tensions entre les fondateurs et le commercial, les stratagèmes des locations des terrains, le non-respect de certains franchisés, les magouilles en tout genre de Kroc pour arriver à ses fins, la productivité avant tout pour certains et la qualité pour d’autres, la création du logo et des bâtisses, la publicité…tout y passe. Un figurant tient même le rôle de Fred Turner en simple employé qui terminera président de McDonald’s. Le Fondateur est donc un film extrêmement enrichissant, porté par un Michael Keaton au plus haut de sa forme.
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