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C'est amusant parce que c'est exactement la même histoire que
spoiler:
San Andreas
mais c'est en Norvège sans les moyens de Hollywood, et avec donc des situations et personnages un peu plus creusés. Lequel est le meilleur ? Soyons sérieux : Hollywood n'avait aucune chance.
mais c'est en Norvège sans les moyens de Hollywood, et avec donc des situations et personnages un peu plus creusés. Lequel est le meilleur ? Soyons sérieux : Hollywood n'avait aucune chance.
The wave, un film catastrophe plutôt réussi, porte en son sein les réussites du film de genre et les défauts de celui-ci. Très efficace, hyper réaliste dans sa manière de filmer la nature en révolte, bien interprété par des acteurs peu connus dans nos contrées, excepté Thomas Bo Larsen, vu dans Festen et La chasse, excellent dans le rôle d'un homme qui panique, The wave remplit son contrat de film catastrophe dont les codes du genre sont très bien respecté, à l'américaine avec ses trois parties classiques : PDR, prévention, destruction et recomposition. Ce schéma fixe aussi les limites d'un film trop prévisible et classique jusqu'à l'insupportable Happy end propre aux films américains du genre. The wave a au moins le mérite de nous faire visiter les superbes contrées norvégiennes, belles et spectaculaires. Long à démarrer, les scènes de désastres sont cependant très efficaces, dont celles, fortement asphyxiantes et claustrophobes, aquatiques. L'action est alors vu, semble t-il, en temps réel. Notons l'excellent personnage principal, comme souvent un scientifique prévoyant mais qui fuit les responsabilités familiales (dont celle de réparer un évier qui fuit, quelle coïncidence ! et de déménager sa maison). La petite fille, personnage sous développé, possède un jeu bizarrement très mature. The wave, bon film de genre très professionnel, malgré certaines facilités, mérite d'être vu.
Je ne suis pas cliente des films catastrophe mais comme les productions nordiques me déçoivent rarement, je me suis laissée tenter et j'ai vraiment passé un bon moment. Rien à voir avec les films américains de ce type. Ici, aucun effets spéciaux, beaucoup d'émotions, une dimension humaine tout à fait réaliste. Une bonne mise en scène, des personnages attachant, à voir.
elriad
il y a d'abord les sublimes paysages de fjords norvégiens, dont la beauté renvoie à la sérénité et à la contemplation méditative. Et quand les premiers signes annoncent une colère de dame nature, cette image d’Épinal devient soudaine autre, terrifiante, anxiogène. Comme la seconde partie du film, réussie dans les effets spéciaux et le suspense. Un bon petit film de catastrophe à voir en VO, bien sûr, comme tous les films étrangers pour permettre une immersion totale.
🎬 RENGER 📼
Sous couvert d'être le "1er film catastrophe européen", on était en droit d'espérer autre chose... :
En réalité, le film ne se démarque absolument pas des innombrables merdes qui sortent en salles ou en DTV chaque année.
Dans la lignée des précédentes sorties telles que Black Storm (2014) ou San Andreas (2015) pour ne citer que les plus récentes.
Un scénario chiant comme la mort où il aura fallut attendre 50min pour qu'il s'y passe réellement quelque chose.
Il ne suffit pas de filmer de jolis paysages en dehors des sentiers battus (les 3/4 des films catastrophe se déroulant sur les terres de l'oncle Sam), situer l'action en Norvège s'avère bien maigre si le scénar' ne tient pas la route, d'autant plus si tous les poncifs du genre y sont réunit.
Pour son premier film distribué au cinéma (sous le label "Panorama Films", le groupe AB (connu du milieu de l'audiovisuel pour avoir enfanté "Le Club Dorothée" et diverses sitcoms à la con telles que "Hélène et les garçons" ou encore "Salut les Musclés") commence très mal et n'augure rien de bon concernant ses prochaines sorties ciné...
En réalité, le film ne se démarque absolument pas des innombrables merdes qui sortent en salles ou en DTV chaque année.
Dans la lignée des précédentes sorties telles que Black Storm (2014) ou San Andreas (2015) pour ne citer que les plus récentes.
Un scénario chiant comme la mort où il aura fallut attendre 50min pour qu'il s'y passe réellement quelque chose.
Il ne suffit pas de filmer de jolis paysages en dehors des sentiers battus (les 3/4 des films catastrophe se déroulant sur les terres de l'oncle Sam), situer l'action en Norvège s'avère bien maigre si le scénar' ne tient pas la route, d'autant plus si tous les poncifs du genre y sont réunit.
Pour son premier film distribué au cinéma (sous le label "Panorama Films", le groupe AB (connu du milieu de l'audiovisuel pour avoir enfanté "Le Club Dorothée" et diverses sitcoms à la con telles que "Hélène et les garçons" ou encore "Salut les Musclés") commence très mal et n'augure rien de bon concernant ses prochaines sorties ciné...
Le film catastrophe n'est pas seulement américain, il peut être scandinave ! C'est ce que démontre "The Wave", premier film catastrophe norvégien réalisé par Roar Uthaug (à qui l'on doit "Cold Prey" et bientôt le nouveau "Tomb Raider" avec Alicia Vikander) et qui vise avant tout le réalisme : en Norvège, les montagnes près des fjords sont traversées par des failles prenant 10 à 15 centimètres par an. Ce qui risque donc de causer un glissement de terrain provoquant un immense tsunami un de ces jours... Partant de ce scénario catastrophe totalement vraisemblable, Roar Uthaug nous emmène alors dans une petite ville au bord d'un fjord que Kristian, géologue, va quitter avec sa famille après des années passées à surveiller la montagne. Bien entendu, c'est à ce moment que celle-ci décide de perdre un de ses pans, provoquant alors l'inévitable. Ce qui frappe dans "The Wave", c'est la façon dont la tension est construite et amenée graduellement. En tant que spectateur, nous savons parfaitement que la vague va arriver, reste à savoir comment elle frappera... En resserrant son intrigue autour de Kristian et de sa famille, le film crée rapidement de l'empathie et donc du suspense, amenant une véritable tension. Le point culminant sera bien évidemment les dix minutes précédant l'arrivée de la vague, dix minutes qu'ont tous les habitants de la ville pour atteindre les hauteurs afin d'échapper au désastre. Dix minutes angoissantes où Roar Uthaug met magnifiquement en scène le sentiment d'urgence qui règne dans ce genre de situation. Malheureusement, l'intérêt du film s'effondre une fois le tsunami passé alors que l'intrigue met en avant Kristian lancé à la recherche de sa femme et de son fils dans les décombres de la ville. Une partie beaucoup plus mélodramatique, pas loin des défauts des productions américaines et qui nuit certainement au rythme et au suspense du film, beaucoup plus éventé et relâché. Reste tout de même un sacré divertissement qui a de la réserve et qui contient une jolie tension dramatique dans ses débuts.
Bravo aux producteurs Norvégiens d'avoir eu le culot de se lancer dans un genre exclusivement réservé aux Américains (voire Coréens). Non seulement c'est prenant, mais c'est aussi extrêmement bien joué. Des effets spéciaux dignes de la côte Ouest, ni trop ni trop peu, le tout sur un scénario qui vous fera regarder la beauté des fjords désormais avec un soupçon d'appréhension.
Les amateurs du genre ne seront pas déçus.
Les amateurs du genre ne seront pas déçus.
Film très bien réalisé et mené par des acteurs qui n'en font pas des tonnes. Bon sens du suspense et très bons effets spéciaux malgré un budget restreint. Hate de voir sa version de Tomb Raider
Pas franchement meilleur que les productions hollywoodiennes (enfin ça ne pouvait pas être pire), même si pour le coup la catastrophe ne touche qu’un petit village et non tout une ville voir un pays entier, c’est plus confiné et moins ouvert aux diverses exagérations de mise en scène, on est au niveau de l’humain, la dernière partie se concentre d’ailleurs sur un ressort psychologique plutôt pas mal mais qui finit par tomber inévitablement dans le pathos, je pensais que le film serait tout de même plus appliqué et résolument fataliste, loupé, dommage.
traversay1
C'est excessivement joli, un fjord. Et dangereux aussi quand la montagne s'affaisse provoquant un énorme tsunami qui emporte tout. C'est arrivé dans un passé lointain, cela se passera encore, c'est inéluctable. Le discours scientifique de The Wave qui occupe toute la première partie du film n'est pas là que pour faire patienter l'amateur de sensations fortes. Accessoirement, elle permet aussi de planter le décor et de nous intéresser à la petite famille qui sera au coeur des événements à venir. Labellisé film-catastrophe, The Wave est avant tout à ranger dans la catégorie "survie" et c'est là où l'aspect humain prend toute son ampleur. Le réalisateur, Roar Uthaug, a mis quelques effets spéciaux, évidemment, mais ceux-ci, vu le budget (bien employé), ne tiennent pas la vedette. Réalisme et sensation de claustrophobie s'imposent dans un cheminement dramatique d'un classicisme absolu mais efficace. Il y a quelques scories dans la dernière partie qui semble calquée sur les blockbusters hollywoodiens mais on peut les négliger : globalement, le film se tient et fait froid dans le dos avec cette fjord probabilité que le cauchemar aura lieu un de ces jours.
Jorik V
Il ne faut pas se fier à l’affiche plutôt désastreuse qui semble annoncer une vieille série B voire Z. Non, car ce film catastrophe se place directement dans le haut du panier de ce genre de productions et, pour une fois, il n’est pas américain. Ce qui sous-entend que beaucoup de défauts inhérents à leur cinéma nous sont épargnés comme la surenchère ou les personnages creux et clichés. Depuis quelques années, nos confrères d’outre-Atlantique se font concurrencer sur leur propre terrain par d’autres pays. La Corée du Sud qui braconne avec brio dans tous les genres ou encore l’Espagne dans le genre horrifique mais aussi catastrophe avec « The Impossible » sur le tsunami en Asie. Un film qui ressemble beaucoup à « The Wave » dont il aurait pu emprunter le titre avec le côté impressionnant et dur en plus et l’excès de pathos en moins.
Ici, une fois n’est pas coutume, voilà un long-métrage 100% norévgien. Et si l’on pourrait craindre un côté plus cheap, il n’en est rien, les moyens sont là. Les codes du genre sont respectés à la lettre avec un côté minimaliste et sobre bienvenu. Le scénario se concentre sur l’histoire unique d’une famille, ce qui a pour effet de davantage creuser leurs liens et donc de les rendre plus attachants. La pléthore de personnages destinés à optimiser un maximum de situations impressionnantes est évitée tout comme le personnage soi-disant drôle. Le contexte du danger est bien exposé et les paysages sublimes des fjords norvégiens sont excellemment mis en valeur.
Si le script suit effectivement le traditionnel découpage en trois temps de ce type de film (présentation, dévastation et sauvetage), chacun d’entre eux est effectué avec soin. Il y a ce qu’il faut de tension et de stress au début, les effets spéciaux sont impeccables avec quelques scènes bien impressionnantes ensuite et l’émotion s’avère bien présente sur la dernière partie. Le tout dernier acte charrie un peu trop dans l’émotionnel et tout cela ne contourne pas l’effet de déjà-vu mais le contexte scandinave permet de pardonner cela et le réalisme mis en avant est à souligner. Un bon divertissement dans le genre que l’on préfèrera à la surenchère bêta du dernier avatar en date, « San Andreas ».
Ici, une fois n’est pas coutume, voilà un long-métrage 100% norévgien. Et si l’on pourrait craindre un côté plus cheap, il n’en est rien, les moyens sont là. Les codes du genre sont respectés à la lettre avec un côté minimaliste et sobre bienvenu. Le scénario se concentre sur l’histoire unique d’une famille, ce qui a pour effet de davantage creuser leurs liens et donc de les rendre plus attachants. La pléthore de personnages destinés à optimiser un maximum de situations impressionnantes est évitée tout comme le personnage soi-disant drôle. Le contexte du danger est bien exposé et les paysages sublimes des fjords norvégiens sont excellemment mis en valeur.
Si le script suit effectivement le traditionnel découpage en trois temps de ce type de film (présentation, dévastation et sauvetage), chacun d’entre eux est effectué avec soin. Il y a ce qu’il faut de tension et de stress au début, les effets spéciaux sont impeccables avec quelques scènes bien impressionnantes ensuite et l’émotion s’avère bien présente sur la dernière partie. Le tout dernier acte charrie un peu trop dans l’émotionnel et tout cela ne contourne pas l’effet de déjà-vu mais le contexte scandinave permet de pardonner cela et le réalisme mis en avant est à souligner. Un bon divertissement dans le genre que l’on préfèrera à la surenchère bêta du dernier avatar en date, « San Andreas ».
Au vu de l'affiche qui annonçait du spectaculaire, forcément je m'attendais à en prendre plein les yeux. Ou au moins, que la vague dévastatrice soit présente plus longtemps et que l'on nous montre davantage l'étendue de sa course folle. Il s'avèrera assez vite que nous somment ici face à un film qui se veux surtout porter sur la famille et l'entraide, plutôt que sur le côté épique. Toutefois, même si l'affiche est à prendre avec des pincettes, l'histoire de ses personnages très attachants m'a captivé et c'est avec attention que j'ai suivi leurs péripéties. Et il est vrai que passée la déception du grand spectacle non assuré ou pas assez, on en vient à s'intéresser encore plus au sort réservé à cette famille, à ce père et à cette mère débordants de courage et ne perdant jamais l'espoir de survie. C'est donc un message certes rébarbatif tant il a été vu des centaines de fois, mais quand les personnages on un minimum d'envergure et que les acteurs assurent, ça reste un petit plaisir lors d'un dimanche ou l'ennui planerait. The Wave à beaucoup plus l'allure d'un téléfilm de grande qualité que d'un film à proprement parlé, l'intrigue et le déroulement scénaristique n'ont rien d'original et le film n'innove en rien, mais grâce à ses acteurs et à la maitrise de son sujet ainsi qu'à son rythme soutenu, il reste un petit film catastrophe honorable.
J'aime bien les films catastrophes. En général, on ne s'ennuie jamais avec ce genre de cinéma. Celui-ci vient de Norvège et rien que pour ça, le film mérite d'être vu. Les effets spéciaux sont convaincants. L'histoire, basé sur une histoire vraie en 1934, raconte un tsunami survenu suite à un glissement de terrain sur un village norvégien assez touristique.
Malgré quelques longueurs et quelques dialogues assez simplistes, on est tenu en haleine pendant 1h puis vient la fin... nulle... complètement ratée comme beaucoup de films catastrophes.
Il faudrait que ces films soient plus originaux mais c'est rare.
Bref : ne jamais s’arrêter de courir face à un tsunami... sage conseil !!
Malgré quelques longueurs et quelques dialogues assez simplistes, on est tenu en haleine pendant 1h puis vient la fin... nulle... complètement ratée comme beaucoup de films catastrophes.
Il faudrait que ces films soient plus originaux mais c'est rare.
Bref : ne jamais s’arrêter de courir face à un tsunami... sage conseil !!
Une daube bourrée de clichés ! Dommage car y a une histoire passée ayant existée , très intéressante, un pays sympa à voir bref y avait du potentiel....
Ce n'est pas un film, c'est une succession de clichés, tous empruntés aux modèles du genre, jusque dans l'épilogue grotesque.
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