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    The Birth of a Nation
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    155 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    "The Birth of a Nation" s'inscrit à la liste de ces films sur l'esclavage, toujours essentiels en dépit de leurs défauts respectifs, même si celui-ci prend assurément des libertés avec le personnage central de Nat, dont les actes sont situés trente ans avant la guerre de sécession !
    Le prisme de la religion et toutes les réactions qui vont émaner de la part de cet esclave prêcheur, font ici tout l'intérêt de cette histoire même si elle est romancée...
    C'est en effet ce moment essentiel et révélateur, quand la relecture de la Bible devient un véritable déclic pour Nat Turner, qui en est d'ailleurs l'instant T, tel un véritable phénomène, presque une apparition pour cet homme si résigné au départ...
    Et bon nombre de remarques assassines au sujet de l'acteur principal, s'expliqueront donc par ce virage et ce changement d'attitude radical, justifié aussi et également bien sûr par la barbarie dont sont victimes tous ces opprimés.
    Nat Turner passera en effet de son état induit et accepté de soumission, à celui de révolté total et c'est toute cette évolution qui prendra sens et sera le message premier de la réalisation de Nate Parker qui endosse de plus le rôle principal...
    Alors sans nul doute les défauts qui pourront en irriter plus d'un auront toutes leurs explications à travers cette rébellion explosive et soudaine, justement fort bien transcrite dans sa mise en place et son déroulement...
    Alors même si la mise en scène est ici encore classique et académique, ce qui est souvent inévitable dans ce genre de biopic historique, la portée de cette histoire est indéniable et le film réussit clairement à y parvenir ici.
    Toute la crédibilité de ces faits historiques est renforcée par la qualité de la reconstitution et des images fort belles, mais dont certaines particulièrement insoutenables nous montrent toute la monstruosité subie par le peuple noir !
    Encore un film très pédagogique dont on hésitera une fois de plus à se moquer ouvertement, tant la démarche du réalisateur est évidente et primordiale, sans compter ce résultat plus qu'honorable au niveau de toutes les qualités intrinsèque de cette réalisation.
    Émouvant, bouleversant, voire choquant le plus souvent, voici encore un film qui marquera les esprits par l'horreur que l'homme a semée à travers le monde, au nom de la religion et de sa foi...
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2017
    Passionnant et difficile - voire extrêmement difficile. Les images fortes sont terribles, à l'image du destin terrible de ces millions d'esclaves.....Pourquoi vouloir toujours tout comparer... (Twelve years a slave) ? Ce film est très bien fait, des images magnifiques, une profondeur de champ qui donnent encore plus d'impact à la dureté des faits. Deux heures sans ennui, bien au contraire.....Heureusement qu'il y a ce genre de films pour nos jeunes, qui verront autre chose que des jeux vidéos - hélas , et témoigneront d'un passé pas si lointain.... !! **
    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Film qui ne laisse pas indifférent, à la fois émouvant de part la vie de ces esclaves, qui malgré des travaux pénibles et asservissants arrivent à rencontrer l'amour et fonder une famille. De plus ce mélange de foi prodigué par Nate afin d'aider ses congénères à l'obéissance et cette envie de révolte au plus profond de tout ce peuple font que l'on est pris dans l'engrenage et ceci dès le début du film. Bien interprété, avec des scènes d'une extrême violence (j'ai fermé les yeux à une scène particulièrement odieuse) dont la réalisation n'a pas dû être simple, ce dernier ne laisse pas indifférent et l'on comprend fort bien que cette dernière enfouie au plus profond de ces êtres humains (car ce sont des humains et non des animaux) puisse éclater quitte à en perdre la vie. Dommage, que d'après notre histoire cela n'a fait que renforcer l'esclavagisme.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    On peut sans doute reprocher pas mal sur le plan formel au film de Nat Parker, à commencer par la reproduction de clichés hollywoodiens. Birth of a nation manque aussi de souffle et de subtilité. Certaines scènes sont réussies, d'autres non. Ce film a néanmoins le mérite de ne pas se contenter de dénoncer le racisme et l'esclavage de façon larmoyante mais de montrer des esclaves qui relèvent la tête et se battent. C'est peut-être cela qui a déplu aux critiques qui ont traité ce film avec mépris. A croire qu'ils préfèrent les esclaves à genoux que des esclaves debout les armes à la main. On comprend la violence terrible et aveugle de cette révolte après avoir vu de quelle façon barbare étaient traités les esclaves. Comment demander aux opprimés de se conduire mieux que leurs oppresseurs en pareilles circonstances ? On imagine ce qu'aurait pu donner un sujet aussi puissant et dérangeant s'il avait été traité par un cinéaste de l'envergure de Spike Lee. Néanmoins, Birth of a nation est un film qui ne peut laisser indifférent.
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Avant de commencer, je ne saurai que trop vous conseiller de ne pas céder à la curiosité, parce que notre site préféré Allociné pose la question de savoir qui est Nat Turner. Autant que vous le sachiez, "The birth of a nation" s’appuie sur la vie d’un esclave qui a mené une révolte sanglante en 1831. Mais attention ! N’allez pas voir la réponse complète que le staff du site a cru bon d’apporter. Parce que la fin de l’histoire est révélée, ce qui vous privera de ressentir bien des choses. Car si vous avez réussi au moins temporairement à bouder les avis des internautes, le synopsis, et les anecdotes de tournage, je vous promets que vous allez vivre de grandes émotions. Pour tout vous dire, je suis ressorti de la salle fortement secoué, avec une question en tête : qui est Nate Parker ? Parce que ce gars-là est partout, alors que je ne le connaissais ni d’Eve ni d’Adam. Il a occupé tous les postes possibles et imaginables : réalisateur, comédien, scénariste et producteur. Un travail de titan. Et quel talent ! Pour son premier long métrage, il frappe fort, très fort ! Il fait aussi bien (ou presque) pour sa première réalisation que Kevin Costner avec son mythique "Danse avec les loups", ou Mel Gibson avec "Braveheart", pour ne citer qu’eux. Mais parlons d’abord de ce qui se voit le plus ; le travail d’acteur. Il est bluffant. Il porte littéralement tout le film sur les épaules (c’est le cas de le dire, techniquement parlant). Dans un contexte difficile (on peut même dire barbare) qu’est l’esclavage, il réussit à donner à son personnage une délicieuse candeur, une dévotion inébranlable, une gentillesse comme on en croise rarement. Il lui donne un regard bougrement expressif, dans lequel on peut voir par moments une sourde colère qui sommeille en lui et les prémices d’une révolte latente. Des sentiments refoulés par la lecture de la Bible (tiens donc ! personne s’insurge contre la présence de la religion comme certains ont pu le faire envers Mel Gibson…), laquelle nourrit la grâce qui l’anime, apportée par la foi. Une foi qui lui permet de s’en remettre à Dieu, quelles que soient les circonstances. Et en plus il est capable de pleurer ! Je suis admiratif ! Bon il faut dire qu’il est entouré par une sacrée panoplie de personnages qui lui donnent bien la réplique, à commencer par un Samuel Turner à double facette (Armie Hammer très subtil en fausse brute adepte de l’apparence et du qu’en dira-t-on), la douce Cherry (Aja Naomi King superbe de sensibilité), la taiseuse Elizabeth Turner (Penelope Ann Miller toute en sobriété en spectatrice impuissante), et l’affreux Raymond Cobb (Jackie Earle Haley monumental en chasseur froid et implacable). Ensuite la réalisation : elle est étonnante. Etonnante parce qu’il y a de la violence, de la brutalité, sans qu’on ait forcément de grandes giclées de sang qui traversent l’écran ; mais il y aussi de la poésie qui ressort de ce long métrage, par le biais de plans paysagers absolument superbes. Il y va ainsi de cet immense champ de coton sur un coucher de soleil (ou lever, on ne sait pas trop mais là n’est pas l’important), qu’il y ait des silhouettes en ombre chinoise ou pas. Il y va aussi de ce grand arbre de l’exploitation Turner, avec ses grandes inflorescences retombantes. La réalisation est classique, ce qui est souvent le lot des reconstitutions historiques. Mais elle n’est pas académique pour autant, car il ressort de la mise en scène un parfum de naturel. La photographie est léchée, et le tout est fort bien mis en images par ailleurs esthétiquement soignées, accompagné par une magnifique composition d’Henry Jackman. Les tonalités africaines, saupoudrées de gospel, et d’incantations religieuses nous immergent complètement dans le monde peu enviable des noirs. Ainsi, nous vivons ce qu’ils vivent, et le réalisateur réussit même à arracher aux spectateurs des petits cris d’effroi mal étouffés lors des sévices corporels d'une rare cruauté. Certes le point de vue offert peut être vu comme le symptôme d’un certain parti pris. Gardons en mémoire que "The birth of a nation" se focalise sur un esclave noir en particulier, et que le film a été réalisé par un noir, ce qui est très souvent le cas pour les films du genre. Le montage est irréprochable, et se fait même remarquer par des transitions qui nous font passer à travers de nombreuses années sur un seul plan. Un plan sur une larme suffit pour nous faire passer d’un personnage enfant à un personnage adulte. Au prix d’une documentation poussée, Nate Parker signe un premier long métrage plus que prometteur, potentiellement oscarisable. Mais en raison d’une supposée bêtise dans sa jeunesse, Nate Parker n’y sera pas nommé. Peu importe, le succès populaire d’un film ne se construit pas sur les récompenses gagnées ici et là. A quelques exceptions près. Mais attendez-vous à être bouleversés devant ce qu’a pu endurer le peuple noir déraciné de ses terres, devant la barbarie inhumaine dont est capable l’être humain, en l’occurrence blanc dans ce film. C’est à se demander nous aussi où est Dieu là-dedans… "The birth of a nation" est donc la première claque cinématographique que j’ai prise en pleine face en cette année 2017, auquel je donne un 5/5 parce que Nate Parker a su relever le défi, ce qui n’était pas évident pour une première fois, surtout si on tient compte de l’ambition du projet et de son caractère historique. Indéniablement, il sait filmer, n’oubliant pas les petits détails comme les hémorragies pétéchiales sur un petit plan séquence spoiler: lors de la pendaison au cours de laquelle le condamné s’en remet totalement à Dieu
    . Et puis surtout, il a osé porter à l’écran une relecture de la Bible, une autre interprétation qui a donné le changement de cap du personnage principal, comme on peut la voir à travers l’islam et les événements qui secouent le monde actuel. C’est courageux. Une œuvre totalement assumée, et qu’on apprécie ou pas ce film, ou encore moyennement, on ne peut pas lui enlever ça. Chapeau !
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    "The birth of a nation" est un film qui nous plonge dans une histoire véridique, celle de Nat Turner, une histoire qui s'est déroulée dans le comté de Southampton, en Virginie, au tout début du 19ème siècle. Né dans une famille d'esclaves, Nate a de la chance dans son malheur : la famille Turner, celle qui le possède, est plutôt ouverte par rapport aux autres familles du voisinage. C'est ainsi qu'à 9 ans, il est le copain de jeu de Sam, le fils de la famille des propriétaires, qui a le même âge que lui. C'est ainsi que la mère de Sam, s'étant aperçue que Nat a des dons pour la lecture, lui apprend à lire, ce qui, dans ce milieu d'esclavagistes, est totalement inconcevable. Cela étant, ne nous emballons pas, Nat doit quand même aller cueillir le coton, comme les autres enfants esclaves de son âge ! 20 ans plus tard, Sam est devenu le patron de l'exploitation à la mort de son père et Nat, bien entendu toujours esclave, est également devenu un pasteur dont la réputation en tant que prédicateur est importante. Ayant des problèmes financiers, Sam va louer les services de Nat à ses voisins lorsque ces derniers ont besoin de calmer leurs esclaves : rien de tel qu'un esclave/pasteur qui vienne prêcher la bonne parole qui, à partir des évangiles, consiste à montrer que la situation des esclaves est, somme toute, tout à fait normale. spoiler: Jusqu'au jour où, Sam, perpétuellement confronté à une injustice inacceptable, va finir par se révolter et va fomenter une des toutes premières révoltes d'esclaves de l'histoire des Etats-Unis.
    On peut reprocher à ce film, tourné à Savannah, en Géorgie, un certain manque de souffle en matière de réalisation, mais il a le mérite de générer une émotion qui n'a rien de factice ainsi qu'un grand sentiment de révolte. On retrouve le réalisateur Nate Parker dans le rôle principal, celui de Nat. Une scène particulièrement réussie et émouvante : sur "Strange fruit", la fameuse chanson de Billie Holiday chantée ici par Nina Simone, la vision d'arbres avec des fruits bizarres.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    Il y a déjà eu de très nombreux films très réussis contre l’esclavage qui ont marqué l’histoire du cinéma. Sans chercher à révolutionner le genre, le réalisateur Nate Parker a simplement voulu apporter sa pierre à ce combat sans fin contre le racisme avec The Birth Of A Nation. Son film n’a rien à envier à l’excellent 12 Years A Slave et on lui souhaite honnêtement le même succès. Si Nate Parker n’est pas au moins nominé pour l’Oscar du Meilleur Acteur, ce serait vraiment une injustice mais au delà du film, il serait bon que son message rentre enfin dans la tête des personnes dont la mentalité n’a pas encore évolué depuis cette période. [lire la critique complète sur le site]
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    299 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    De facture pesante et académique, le film de Nate Parker est loin de détrôner les dérives racistes du célèbre film dont il adopte le nom pour les exorciser. Il ne renouvelle pas non plus la représentation de l'esclavage, mais offre quelques scènes fortes. Cf. critique complète sur le site d'Africultures
    selenie
    selenie

    6 342 abonnés 6 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Film ayant fait sensation au festival de Sundance 2016. Le scénario prend des libertés et des raccourcis importants.Il y a des très bonnes idées comme insérer des scènes de cérémonie chamanique faisant écho aux fantômes du passé et sur l'importance de la Bible, l'esclave étant aussi prêcheur. Si le film ne réinvente rien avec entre autres un traitement basique pour le genre Nate Parker signe un vrai bon film, bien écrit, qui va à l'essentiel (peut-être trop), un film fort, dur et efficace auquel il manque un peu plus d'émotion et une approche moins "percutante".
    PLR
    PLR

    471 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    Ce n'est pas à un belle histoire magnifiant un libérateur ou un visionnaire que nous convie ce film. Ce qui est montré aux spectateurs est brutal. Un cheminement qui amènera l'esclave prédicateur à substituer au discours de soumission aux maîtres (puisque c'est la place donnée à chacun par Dieu), une exigence (Divine aussi) de lutte et d’anéantissement des oppresseurs. Des faits historiques abordés de manière éprouvante. Provoquant une certaine gêne au regard de ce que fut l'esclavage, ses finalités économiques et sa cruauté sociale. Un film pour réfléchir. Ce n'est certainement pas voulu par l'auteur réalisateur mais à l'heure où la religion se mêle de politique (où la religion est politique), quelques interrogations, réflexions et transpositions sur le monde d'aujourd'hui, tel qu'il est encore, ne manqueront pas de poindre dans l'esprit du spectateur.
    pierrre s.
    pierrre s.

    440 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Bien plus qu'un énième film sur l'esclavage, The Birth of a Nation, est une œuvre puissante et singulière. Nate Parker (acteur/ réalisateur qui m'était jusque là inconnu) parvient à rendre son sujet universel, si bien que l'on fait le lien entre les horreurs d'il y a 200 ans, et celles présentes d'aujourd'hui dans notre société...
    Un film poignant et important!
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    The Birth of a Nation raconte les prémices de la guerre de sécession avec la Révolte de Nat Turner, un esclave afro-américain, intelligent, qui appris à lire très tôt et devint prêcheur pour les autres esclaves de la région.
    Filmé de façon sobre et classique avec un brin de mysticisme, on assiste dans une première partie à sa vie d'esclave et de prêcheur puis dans une seconde partie à la revanche des esclaves dans le comté de Southampton en Virginie porté par lui même.
    Une réponse de la violence par la violence pour un espoir de liberté qui coûtera un bon nombres de vies mais lancera une première alerte sur la suite de l'histoire, un film assez réussi, en émotions.
    Yetcha
    Yetcha

    895 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Un très grand film sur une histoire malheureusement peu médiatisée. Passionnant et fort, parfois même très dur et sanglant. On soutient ces anciens esclaves, abusés, maltraités, traités pire que des animaux. Une revanche bien méritée à l'époque grâce à UN homme qui a mené cette rébellion. Massacré et mutilé après son exécution (pas montré à l'écran et c'est plutôt une bonne chose) il devait servir d 'exemple pour les autres. Le début de l'avancée vers la guerre de sécession 30 ans plus tard. Le doublage d'Abd-Al-Malik est bon, mais son phrasé tellement caractéristique qu'on le reconnaît tout de suite et ça fait parfois un peu bizarre car on attend un peu de musique à plusieurs reprise, nous croyant en pleine écoute d'une de ses chansons. Le film est bon, cru et cruel. Pour moi meilleur que 12 years a slave pour parler de films sur le même sujet car il apporte des choses surprenantes et qu'on ne connaissait pas, à la différence du film de McQueen. Pour une première réalisation, Nate Parker fait fort, très fort!!!
    elbandito
    elbandito

    349 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 octobre 2017
    S’il s’inspire du film de Steve McQueen, "Twelve years a slave", Nate Parker, acteur-réalisateur-producteur-scénariste, accomplit une œuvre narcissique sur la figure messianique de son personnage, esclave plus beau, plus intelligent, plus sage que tous ses semblables… La caméra ne quitte pas un instant Nat le prêcheur-esclave-guerrier-libérateur. Au final, "the Birth of a Nation" manque cruellement de rythme, souffre d’un jeu d’acteur intolérable, n’évoque que lourdeurs et clichés sur un sujet brulant, ne suscite qu’ennui et agacement du spectateur.
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 868 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    "The birth of a Nation" s'ajoute à une pléthore de films consacrés au sujet et même s'il remplit son contrat, même si la réalisation est soignée, si la distribution est réussie, si l'épisode factuel émeut, n'apporte finalement rien de plus à cette période douloureuse et révoltante de l'esclavage aux USA. Un bon film de facture classique qui ne fera pas date.
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