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    The Birth of a Nation
    Note moyenne
    3,6
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    155 critiques spectateurs

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    Ophélie C
    Ophélie C

    10 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Je sors de l'avant-première et je ne peux que vous recommander d'aller le voir !
    Un moment d'histoire assez survolé dans notre cursus scolaire français.
    Un film poignant et bouleversant qui est interdit au moins de 12 ans et c'est justifié car il pourrait être perturbant pour ce public.
    Aussi impactant que La Liste de Schindler !
    Efoe S
    Efoe S

    23 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Excellent film qui retranscrit une histoire qui résonne de manière très singulière aujourd'hui.
    L'acteur/réalisateur/producteur est juste extraordinaire a l'écran ! A voir absolument pour mieux comprendre l'histoire de notre humanité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    L'année 2017 commence bien !
    En allant voir "The birth of a nation" le jour de sa sortie, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre pour le premier film de Nate Parker en tant que réalisateur.
    Et bien je dois avouer que ce film m'a beaucoup plu !
    Tout d'abord pour son fond, le sujet de l'esclavage des afro-américains est un sujet plutôt lourd mais efficace quand il est bien abordé. J'ai trouvé très pertinent de la part de Nate Parker de ne pas diaboliser les blancs mais aussi de ne pas idéaliser les noirs avec certains esclavagistes plutôt "bons" étant donné leur place et certains esclaves mauvais ou en tout cas lâches. La première partie fait aussi référence à la situation actuelle du monde. Des riches qui dominent en laissant des miettes aux pauvres sans totalement les asservir (Toutes proportions gardées évidemment mais je trouve que ça fait pas mal écho à notre époque).
    Au niveau de la réalisation, Nate Parker fait un très bon taff pour un premier film, avec des scènes magnifiques comme celle du baptême ou celle juste après le fouet. J'aime beaucoup la manière dont les corps cachent l'arrière plan pour l'embellir quand on les découvre enfin.
    Ensuite les acteurs sont impeccables, Mention spéciale à Nate Parker qui a un charisme incroyable. Il joue aussi bien la tristesse que le courage. Il m'a parfois fait pensé à Jamie Foxx dans "Django Unchained ce qui est très bon signe. Simplement parfait ! Au passage ça me fait plaisir de revoir Strand de FTWD qui comme à son habitude fait le taff !
    Enfin le scénario est attendu mais fonctionne, on est pas dans un type de film pour lequel on cherche à être surpris. C'est plus le message de fond qui nous intéresse et nous émeut. Quelques facilités scénaristiques mais que l'on pardonne rapidement au vu de la qualité du reste.
    In fine, "The birth of a nation" me fait démarrer mon année cinématographique de manière idéale. Peut être pas un chef d'oeuvre éternel mais très sûrement un des films phares de l'année et nous ne sommes que le 11 Janvier !
    4/5
    Myk O
    Myk O

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Attention, cet avis est purement personnel.
    Voila un film touchant, nous montrant la dureté de l'esclavagisme du peuple noir. Ce film m'a quelque peu rappelé "12 years a slave" que pour ma part j'avais preféré et m'a permis d'apprendre une partie de notre passé que je ne connaissais pas. Une rebellion du peuple noir qui mit un peu du temps à se dessiner dans ce film (à mon gout). Solidarité, amour et religion sont les trois mots qui définissent ce film.
    Une belle découverte.
    📞 Appelez-moi Jo
    📞 Appelez-moi Jo

    29 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Il faut voir THE BIRTH OF A NATION, comme un hommage à la souffrance de ces femmes, hommes et enfants. Parce qu'il faut affronter l'effroi et ne jamais oublier l'histoire et les horreurs dont les hommes sont capables.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    L'un des premiers actes révolutionnaires contre l'esclavage aux Etats-Unis méritait bien un film. Le réalisateur, scénariste et acteur Nate Parker le met en images pour nous faire connaitre la prise de conscience et le soulèvement que l'esclave et prêcheur Nat fit pour libérer les esclaves de sa région. Scénaristiquement, le film est bien construit. Il reste très proche de l'écriture classique des biopics mais on se prend au jeu. Visuellement, il est majoritairement très bien filmé, dont des images très poétiques. On regrette le manque d'audace lors de certaines scènes d'actions, surtout vers la fin. Les acteurs sont tous bons. Un bon film sur un acte important qui a conduit au durcissement des lois envers l'esclavage puis à la guerre de sécession.
    Hubert Guillaud
    Hubert Guillaud

    124 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Il y a dans le personnage de Nate Turner incarné par Nate Parker une fragilité qui se transforme peu en peu en force, en rage, jusqu'à tout dévaster. La mise en scène est à l'unisson de cette plongée dans l'esclavagisme, qui rappelle avec puissance ce que signifie qu'un homme en possède un autre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Très bon film, meilleur que " 12 years a slave ". Ce film atteint son objectif, dénoncer l'esclavage et raconter la révolte de Nat Turner.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    53 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Très bien, mais je l ai trouvé trop à charge et pas assez nuancé.

    C est plus un sentiment diffus sur l ensemble du film, une impression générale et pas forcément étayée sur un fait ou une scène. C est toute la difficulté de l art, la même chose peut être ressentie différemment selon les jours, les circonstances, l œuvre.

    Cette impression est arrivée au moment du dîner annuel. Alors que jusqu'alors je pensais que film avait de la nuance, Samuel dégoûté par les pratiques des autres exploitations par exemple, il s avère que finalement, dans le film, le blanc est méchant et le noir bon. Cela m a semblé bien trop manichéen.

    Elisabeth : durant la scène où cherry étend le linge, nous est montré comme pas fiable est la seule blanche avec une nuance différente mais qui sert le happy end : cherry s en sort.
    Le jeune noir qui n' est bien sûr pas le lâche opportuniste qu on pourrait penser.

    Au sujet de la prise de Jérusalem, les pierres montrent une préparation. Ce qui se passe juste après, en particulier avec la porte de l eglise me semble totalement incompatible avec ce qui s est passé juste avant dans la cour. Jamais "ils" n auraient laissé faire ce qui s est passé dans la cour, si "ils" avaient eu le moyen de l éviter. Parker, le réalisateur le réalisateur a voulu se faire plaisir en faisant du sensationnel et a discrédité 1h30 de film.
    Agathe R.
    Agathe R.

    13 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    Les acteurs sont bons, quelques scènes fortes et choquantes. Un bon film de la part de l'acteur-réalisateur Nate Parker sur un sujet souvent traité. Cependant, aucune comparaison possible sur le sujet avec "Twelve Years a slave"...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    film parfaitement réalisé, mérite un oscar, film choc et qui fait réagir avec le contexte actuel aux États-Unis
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 janvier 2017
    Nate Parker, réalisateur, producteur, scénariste et acteur principal dans le même film n’envisage rien de bon. En reprenant le titre mythique du contesté film muet de D.W. Griffith de 1915, on voit d’avance que Monsieur Parker a des idées d’égos prononcés. The Birth of a Nation était censé décrire et dénoncer l’esclavagisme en Virginie de 1800 à 1830 mais c’est l’inverse qui se produit. D’ailleurs, nous ne verrons pas grand-chose d’autre que Nate. Tout d’abord car le personnage central se nomme pareil. Ensuite car les mimiques prétentieuses de la bouche du comédien sont prépondérantes. Parler de discrimination ? On a du mal à comprendre comment cet homme noir plus beau, plus propre, plus talentueux, plus intelligent plus courageux, mieux habillé, mieux rasé et qui est même qualifié de prophète, peut exposer une quelconque idée d’égalité et d’intégrité. Trop démonstratif, le film n’est réalisé que pour mettre Nate au-dessus de tous en employant une mise en scène trop larmoyante et sentimentale. Nous sommes d’ailleurs bien heureux que le film n’ait même pas été pressenti aux Oscars, car la mise en scène correspondait à plein nez au style. The Birth of a Nation est un film creux super centré sur Nate Parker, ce héros qui sait lire, prêcher, baptiser, travailler dans les champs de coton, s’interposer dans des conflits, redonner la raison aux blancs, rouler une charrette, hausser le ton sur les blancs, retrouver les jouets des enfants, monter à cheval, se battre, sauver des vies, se faire fouetter sans pleurer, est un bon père de famille, a été désigné par Dieu pour guider le peuple noir dans la Révolution, bref Nate est surhumain, voici son film.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
    Pomme Acide
    Pomme Acide

    7 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Un film très classique sur l'esclavage des noirs "D'après une histoire vraie", comme d'hab, il semblerait qu'il n'y ait plus d'auteurs dans le cinéma US. Le vrai intérêt de ce film est dans la version française avec Abd al Malik et son phrasé très littéraire et facilement reconnaissable 😲
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Très beau film, dans la lignée de 12 years a slave. Belle interprétation de NATE PARKER. Scénario tiré de faits réels bien ficelé, on ne s'ennuie pas un seul instant. A voir absolument.
    ObiwanagainKennobi
    ObiwanagainKennobi

    7 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    … Euhhhh l’oscar ? Ca va pas être possible … Et maintenant, le plus dur : il va falloir essayer d’oublier …
    Pour sa première réalisation, Nate Parker s’en tire pas si mal ; Pour devenir Tarentino ou Clint Eastwood il faudra travailler pendant les vacances et pas se relâcher au troisième trimestre, mais on a vu des acteurs se prendre plus méchamment les pieds dans le tapis rouge en voulant se placer derrière la caméra. C’est pas mal filmé, la photographie est bonne, le montage est fluide, l’histoire que Parker raconte est peu connue, et méritait de l’être ...
    Malheureusement, on a bien vite la légère impression d’être pris pour des lapins de trois semaines … Côté jeu des acteurs, c’est clairement « La case en moins de l’oncle Tom » ; Les acteurs ne jouent pas vraiment mal, mais sont poussés à un jeu tellement caricaturé (… Zou, on va leur faire çà au hachoir et à la truelle…) que c’en devient risible. Nate Parker est aussi expressif qu’un panda géant, affichant toujours le même regard de petit lapin pris dans des phares de voiture face à chacune des turpitudes de ses abominables geôliers. Les trois quarts du film, Il fait penser à un bisounours découvrant l’esclavage, pas à un homme ayant grandi dedans… Et quand le bisounours finit par décrocher son fusil d’assaut pour faire la misère à la moitié blanche de ce monde … Après son arrestation, le vrai Turner sera décrit comme un homme extrêmement intelligent, un « fanatique qui fera glacer le sang dans les veines » de l’officier qui prendra sa déposition. … Pas comme « Tinkie-Winkie au pays de la vengeance », non, vraiment çà passe pas.
    Les rôles de blancs ne sont pas joués avec plus de nuance, qu’on se rassure, il ne leur manque que le filet de bave leur coulant sur le menton pour exprimer tout le crétinisme sadique qu’on leur connait ... La plupart des rôdeurs de « Walking dead » jouent avec plus de finesse… Bref, devant l’alternance manichéenne entre « très très gentils » et très très méchants » on a rapidement l’impression de voir Parker-le-réalisateur jouer à Jacquouille la fripouille avec son interrupteur « … JOUR !!!! … NUIT !!! ». Et pour que le viol mental soit complet, cà se double d’une musique qu’on a bien compris qu’on devrait la trouver super-émouvante mais que non, désolé, la prochaine fois peut-être, mais là elle devient aussi omniprésente et lourde que les vannes du Tonton Daniel…
    … Et tout a coup, on réalise que pour faire le film de ses rêves, Parker a pris pas mal de libertés avec l’histoire (… Le chenapan…) ; on passe beaucoup de temps sur la femme de Turner et son idylle avec elle, mais on ne sait pas bien s’il a vraiment été marié, et le fils de sa possible femme n’était pas le sien. Une chose est certaine : Turner n’a jamais agi par vengeance d’un hypothétique viol de sa femme. Il était illuminé et se pensait prophète ; il croyait sincèrement recevoir des messages divins, et les décrit très longuement dans ses confessions comme étant à l’origine de ses actes, et sans jamais faire la moindre allusion à sa femme. Ce n’est pas rendre hommage à son histoire – d’activiste ou d’illuminé, sans doute des deux- que de la ramener à une simple histoire de « sérieux t’aurais pas dû, ayé j’chuis colère … ».
    Parker « omet » par ailleurs un autre détail d’importance, le fait que dès le début de leur expédition punitive, Turner avait clairement donné l’instruction d’assassiner les hommes, mais aussi les femmes et les enfants. La première victime de Turner fut d’ailleurs Joseph Travis, sa femme et leurs enfants, Travis dont Parker dira plus tard toujours dans ses confessions « Travis était un maître gentil qui avait toute confiance en moi. Je n’ai jamais eu à me plaindre de ses traitements envers moi ». Ceux qui ont le cœur bien accroché pourront lire le rapport de police du massacre de l’école Waller par la bande Turner : au final, la moitié des victimes de Turner et sa bande auront été des enfants.
    Bon, ayé, j’arrête de faire mon intéressant genre « moi je connais l’histoire ». Pour les autres omissions, libertés prises avec la vérité, mensonges, lire les « confessions de Nat Turner », on y découvrira que 1° J’invente rien, 2° Nat Turner de toute évidence ne faisait pas que lire la bible, il la fumait aussi, et de toute évidence, « …c’était de la bonne ».
    Des détails ? Peut-être, mais de détail omis en mensonges avérés, Parker (Le fripon) nous emmène peu à peu d’un fait historique : « Turner était un illuminé sanguinaire qui n’avait pas toute sa raison» (même si vu ce qu’il a vécu, on peut le comprendre) à « Turner avait ses raisons » et enfin à « Turner avait raison ». A ce rythme là, moi, je peux vous faire un biopic sur Torquemada ou Gilles de Rais sur le mode « … Des mecs sympas qui ont peut-être un peu déconné… » Par les temps qui courent, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée de donner des arguments aux intellectuels qui se trouvent des bonnes raisons de soulager leur prochain du fardeau de la vie.
    On peut violer l’histoire, à condition de lui faire de beaux enfants … Là, çà voudrait être épique et très beau mais au final, la seule réflexion profonde qu’inspire ce film est qu’on peut aussi s’emmerder sévère devant une histoire dans laquelle tout n’est pas totalement faux.
    Donc si un soir d’hiver de traquenard télévisuel on vous somme de choisir entre le DVD de « Birth of a nation » ou « Louis la brocante »… Eh ben à vous de voir, perso, j’ai rien contre les vieux meubles, et Victor Lanoux, lui, il joue pas si mal …
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