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Votre avis sur Une heure de tranquillité ?
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Le concept de départ est sympathique mais noyé dans un marasme de mauvais goût et de maladresse. Christian Clavier est une nouvelle fois coincé dans ses imitations ridicules de Louis de Funès et le reste du casting est également dans la caricature. C’est mal réalisé, c’est cliché, c’est tout sauf drôle et c’est clairement à fuir.
Michel trouve enfin un disque de jazz qu'il attend depuis toujours. Il ne lui reste plus qu'à l'écouter tranquillement chez lui, durant une petite heure, pas plus.
On ne peut pas dire que Christian Clavier fasse souvent autre chose que du Christian Clavier. D'ailleurs je n'ai aucun exemple de contre-emploi dans sa filmographie. Mais il faut aussi dire que pour faire du Christian Clavier, le mieux est que ça soit fait par Christian Clavier. Et dans ce film, c'est le cas.
Les situations s'enchainent à grande vitesse, avec la femme au bout du rouleau, la maîtresse au bout du rouleau, le fils au bout du rouleau, ... Les portes qui claquent, les canalisations qui claquent, je me demande même s'il n'y a pas eu une ou deux claques qui claquent. Bref, c'est vaudevillesque, c'est théâtral, c'est parisien. C'est chouette.
Quelques défauts à mes yeux; l'ouvrier portugais n'aurait-il pas pu être joué par un type avec un vrai accent portugais ? Pavel, joué par Stéphane De Groodt n'aurait-il pas pu être joué par un autre que Stéphane De Groodt ? Rien de personnel bien sûr, mais je ne sais pas, je crois bien que je n'aime pas trop sa gueule. C'est peut-être personnel au final.
Sans rien dévoiler, le moment avec Jean-Pierre Marielle est très émouvant. Du grand Jean-Pierre Marielle, encore et encore.
Tout ça pour dire que c'est sympa, ça se regarde facilement; c'est pas fou mais voilà.
On ne peut pas dire que Christian Clavier fasse souvent autre chose que du Christian Clavier. D'ailleurs je n'ai aucun exemple de contre-emploi dans sa filmographie. Mais il faut aussi dire que pour faire du Christian Clavier, le mieux est que ça soit fait par Christian Clavier. Et dans ce film, c'est le cas.
Les situations s'enchainent à grande vitesse, avec la femme au bout du rouleau, la maîtresse au bout du rouleau, le fils au bout du rouleau, ... Les portes qui claquent, les canalisations qui claquent, je me demande même s'il n'y a pas eu une ou deux claques qui claquent. Bref, c'est vaudevillesque, c'est théâtral, c'est parisien. C'est chouette.
Quelques défauts à mes yeux; l'ouvrier portugais n'aurait-il pas pu être joué par un type avec un vrai accent portugais ? Pavel, joué par Stéphane De Groodt n'aurait-il pas pu être joué par un autre que Stéphane De Groodt ? Rien de personnel bien sûr, mais je ne sais pas, je crois bien que je n'aime pas trop sa gueule. C'est peut-être personnel au final.
Sans rien dévoiler, le moment avec Jean-Pierre Marielle est très émouvant. Du grand Jean-Pierre Marielle, encore et encore.
Tout ça pour dire que c'est sympa, ça se regarde facilement; c'est pas fou mais voilà.
Étant très souvent déçu par les derniers films de Clavier j'ai été très agréablement surpris par cette comédie légère mais efficace. Rien que le pitch m'a conquis, Michel, passionné de jazz qui retrouve son album mythique et qui n'arrive jamais à l'écouter en toute tranquillité, est hilarant. On retrouve un Christian Clavier en pleine forme qui est poilant de pars ces nombreuses réactions et mimiques, qui, à lui seul porte le film. Les acteurs secondaires sont également bons.
Une bonne comédie française comme on les aime.
Une bonne comédie française comme on les aime.
Cette comédie aux airs de pièces de théâtre raconte les déboires de Michel Leproux qui ne cherche qu’une seule chose : avoir une heure de tranquillité pour écouter son disque de Jazz.
De cette petite chose il va en découler imprévu sur imprévu entre trahison, problèmes de travaux, familiaux ou de voisins.
Le coup de maître du réalisateur est que l’on ne s’ennuie à aucun moments, le scénario est très bien écrit et Christian Clavier est magistral dans ce personnage détestable mais attachant.
Une réussite.
De cette petite chose il va en découler imprévu sur imprévu entre trahison, problèmes de travaux, familiaux ou de voisins.
Le coup de maître du réalisateur est que l’on ne s’ennuie à aucun moments, le scénario est très bien écrit et Christian Clavier est magistral dans ce personnage détestable mais attachant.
Une réussite.
Tel une pièce de théâtre, ce film bien rythmé et drôle nous plonge dans une série de gags, de dialogues savoureux et de répliques pétillantes. Si le scénario n’est pas tant développé que cela, le casting est bon. Ce film comblera de plaisir à n’en pas douter les fans de Christian Clavier.
J'ai eu de bons moments. Seulement, l'action se passe dans un appartemrnt ce qui est monotone. Il est toujours diffice de faire un film d'une pièce de théâtre.
Ca ressemble à une pièce de théâtre, filmée.
Je me suis rarement autant ennuyé pendant un film.
Je pense que ce c'était censé être un film comique, mais les gags sont tellement peu originaux, tellement prévisibles, que je n'ai même pas décroché un sourire.
Je me suis rarement autant ennuyé pendant un film.
Je pense que ce c'était censé être un film comique, mais les gags sont tellement peu originaux, tellement prévisibles, que je n'ai même pas décroché un sourire.
Au début, c'est très amusant et on sourit pendant une bonne dizaine de minutes. Seulement, très progressivement, la répétition rend l'histoire de moins en moins crédible et un peu lassante. Pourtant Clavier joue bien et il est parfait pour ce rôle de dentiste centré sur sa petite personne. Simplement, la répétition est mieux tolérée au théâtre qu'au cinéma. Heureusement la deuxième partie apporte de la nouveauté et la fin est réjouissante.
J’ai bien aimé l’idée de base, Mr Clavier tient le film à lui tout seul, seul à se démener pour remonter le jeu global de tout le monde.
L’idée de cette « mini aventure » de la vie quotidienne m’a plus, mais je trouve que les personnages manquent de « profondeur ». Tout es survolé et je reste sur ma faim.
Je trouve le rythme trop effréné, la conclusion tombe parce qu’on ne sait plus comment faire terminer le film.
J’ai passé un bon petit moment, mais j’aurais rajouté 15mn de film, le temps de rendre les clichés moins clichés et les personnages secondaires plus appréciables.
L’idée de cette « mini aventure » de la vie quotidienne m’a plus, mais je trouve que les personnages manquent de « profondeur ». Tout es survolé et je reste sur ma faim.
Je trouve le rythme trop effréné, la conclusion tombe parce qu’on ne sait plus comment faire terminer le film.
J’ai passé un bon petit moment, mais j’aurais rajouté 15mn de film, le temps de rendre les clichés moins clichés et les personnages secondaires plus appréciables.
Quelle déception !
J'attendais mieux de Patrice Leconte qui nous entraine dans une succession de catastrophes très agaçantes.
Pourtant le casting était réussi.
Dommage.
J'attendais mieux de Patrice Leconte qui nous entraine dans une succession de catastrophes très agaçantes.
Pourtant le casting était réussi.
Dommage.
Tirée de la pièce de théâtre du même nom, "une heure de tranquillité" est un court film réalisé par Patrice Leconte. Il met en scène un homme (Christian Clavier , qui d'autre pour incarner un homme énervé) qui ayant trouvé un disque rare de jazz, se fait une joie d'avance de l'écouter tranquillement dans son appartement.
Et bien sûr, cela ne va pas se passer comme prévu.
On assiste aux scènes habituelles ( spoiler: travaux avec fuite d'eau, ascenseur en panne, vaudeville avec qui trompe qui avec qui ...
)
Rien d'original mais la bonne interprétation de tous permet de passer une heure de tranquillité à regarder un film.
Et bien sûr, cela ne va pas se passer comme prévu.
On assiste aux scènes habituelles ( spoiler: travaux avec fuite d'eau, ascenseur en panne, vaudeville avec qui trompe qui avec qui ...
)
Rien d'original mais la bonne interprétation de tous permet de passer une heure de tranquillité à regarder un film.
Quoi qu'on en dise le comique est un art difficile et il est bien plus difficile de faire rire que d'émouvoir. Et en l'occurrence ce film m'a bien fait rigoler, il y avait longtemps que ne n'avais pas autant ri devant un film. Autant dire que j'ai apprécié. Et qu'on arrête les critiques du genre "c'est invraisemblables...") nous sommes au cinéma, que diable. Et puis il y a l'interprétation. On peut raconter ce qu'on veut sur Clavier n'empêche qu'il prouve là encore que c'est un excellent acteur. Le reste de la distribution ne démérite pas avec en tête Stéphane De Groodt dans un rôle à la Séraphin Lampion qui lui sied comme un gant, Rossy de Palma, impayable comme d'habitude, Valérie Bonneton toujours aussi craquante. Et l'apparition éclair du regretté Jean-Pierre Marielle. En revanche Carole Bouquet déçoit et l'acteur qui fait le fiston nous agace. Rendons aussi grâce aux scénaristes pour cette fin fabuleuse ! Tout n'est pas parfait mais on s'en paye une bonne tranche...
On sourit assez souvent en regardant cette "heure de tranquillité" surtout grâce à l'énergie deployée par Christian Clavier, malheureusement les situations et les gags deviennent bien trop rapidement répétitifs et on a l'imrpession que le film fait du sur place.
Fêtons le cinéma
Le théâtre filmé d’Une Heure de tranquillité n’évolue jamais en film théâtral ou film sur le théâtre, comprenons l’adaptation d’une pièce par des moyens cinématographiques aptes à en retranscrire les enjeux, comme le proposaient Francis Veber dans Le Dîner de cons (Francis Veber, 1998) ou plus récemment Florian Zeller, dramaturge à l’origine de ladite pièce de théâtre, dans The Father (2020). La surprise vient alors de l’incapacité de la mise en scène à signifier, et de sa difficulté à suivre ses acteurs dans leurs déplacements à l’intérieur d’espaces pourtant restreints – le montage charcutier nuit à la fluidité des gestes et perturbe les scènes de dialogue. Trop enfermés dans un trait de caractère périlleusement conjuré en clausule, les personnages s’avèrent peu vraisemblables ; la comédie de mœurs prétend attaquer la bourgeoisie et raccorder ses membres à leur artificialité congénitale ainsi, in extremis, qu’à leur humanité, en témoigne la seule séquence émouvante du long métrage, rencontre entre Christian Clavier et Jean-Pierre Marielle. Nous cherchons en vain le Patrice Leconte de Viens chez moi, j’habite chez une copine (1981) – qui adaptait déjà une pièce de théâtre –, absent au scénario et réduit à l’état de filmeur peu inspiré.
2,5 étoiles - Une heure de tranquillité
Vaudeville un peu plan plan mais qui n'est pas déplaisant. Il est surtout sauvé par la prestation amusante de Christian Clavier. Le reste du casting (malheureusement) va du correct au médiocre. Film court (heureusement), donc ça passe pour occuper un petit temps mort de notre existence.
Vaudeville un peu plan plan mais qui n'est pas déplaisant. Il est surtout sauvé par la prestation amusante de Christian Clavier. Le reste du casting (malheureusement) va du correct au médiocre. Film court (heureusement), donc ça passe pour occuper un petit temps mort de notre existence.
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