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    The Grudge
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    zafkiel
    zafkiel

    58 abonnés 905 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2020
    Je ne comprends pas les mauvaises notes. Je ne regarde quasiment que des films d'horreur depuis presque 10 ans, et bien the Grudge 2020 m'a vraiment convaincu !
    La malédiction qui a commencé à Tokyo ne peut pas être stoppée, tout va dans ce sens dans ce film qui n'est pas un remake mais une vraie continuité.
    Le film est gore sans entrer dans la démesure, les apparitions sont flippantes voire choquantes par moments, l'ambiance à l'américaine état profond est bien là, tout colle dans ce film, même le montage avec 3 scénarios, voire 4 montrés en parallèles, un peu comme dans le premier film japonais Ju-On.
    Non vraiment absolument rien ne m'a déçu, tout était là pour mettre mal à l'aise. Certes ce film n'est pas novateur en matière d'horreur mais je trouve qu'il fait partie du haut du panier si on le compare à ce qui se fait depuis 10 ans dans ce registre.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2020
    Après avoir vu Samara se prendre méchamment les cheveux sales dans le tapis avec la pitoyable tentative de ressusciter la saga "Ring" US en 2017, on pensait que les spectres nippons (et leurs équivalents "corrigés" au ketchup US) étaient repartis une bonne fois pour toutes se faire un soin capillaire dans l'au-delà... Ben non. Nous voilà en 2019 avec un nouveau "The Grudge" et toujours autant surpris de sous-estimer le manque cruel d'inventivité de l'industrie hollywoodienne en matière d'épouvante. À bien y regarder, la manœuvre est pourtant logique d'un point de vue purement mercantile : en 2004, "The Grudge", remake de "Ju-on", a été un tel carton (avec son prédécesseur "Le Cercle" deux ans auparavant) qu'il a entrainé tout un tas d'adaptations plus ou moins heureuses de longs-métrages estampillés J-Horror (les films de fantômes japonais), alors pourquoi ne pas imaginer qu'une nouvelle version aurait le potentiel d'en faire de même durant la décennie à venir ?
    Pour cela, rien de tel que de mettre le joli nom du producteur Sam Raimi en argument de vente comme à l'époque, de dénicher un réalisateur venu du l'horreur indé (Nicolas Pesce) pour signifier un semblant de vision artistique, d'avoir quelques acteurs plus que solides devant la caméra (Andrea Riseborough, Demían Bichir, John Cho, Lin Shaye et Jacki Weaver) et d'obtenir un petit R-Rated synonyme de scènes chocs afin d'affirmer une certaine différence face aux produits aseptisés du même genre. Tout cela sentait donc la formule et les astuces marketing à plein nez dans le but de nous vendre à peu près une soupe établie voilà déjà une vingtaine d'années.
    Étonnamment, et même s'il n'est pas une franche réussite (soyons clairs là-dessus !), "The Grudge" 2020 va toutefois venir nous contredire en constituant réellement une proposition d'épouvante cherchant à ne pas se fondre totalement dans le moule habituel...

    Bon, passons sur l'introduction sans intérêt qui valide en un éclair le passage de la malédiction du Japon à une maison américaine (car, oui, un tel bidule surnaturel peut traverser un océan de toute évidence...), elle ne fait que confirmer nos pires craintes après à peine quelques minutes et n'est pas vraiment représentative de ce qui va suivre, tout juste un simple clin d'oeil raté au passé.
    En effet, "The Grudge" dévoile ensuite rapidement son approche bien plus intéressante de polar surnaturel où l'enquête menée par l'héroïne va devenir le fil conducteur de l'historique de toutes les victimes de la malédiction dans sa nouvelle demeure. Et, à notre grande surprise, ça fonctionne !
    Certes, la démarche d'un cheminement policier couplée à une sombre histoire de fantôme n'a bien sûr rien d'inédite mais Nicolas Pesce l'exécute avec conviction en faisant baigner son long-métrage dans des ténèbres d'une envergure que l'on n'attendait pas à ce niveau ! Les partis pris esthétiques évoquent ainsi la noirceur d'un automne éternel, l'atmosphère instaurée parvient à demeurer pesante sur la durée, la lente vitesse de croisière est mûrement réfléchie, le ton est adulte et morbide à souhait (avec quelques pointes d'une violence inattendue de surcroît), le choix du casting apparaît on ne peut plus judicieux vis-à-vis d'une palette de rôles torturés (Andrea Riseborough en tête)... Bref, que cela soit dû à leurs propres douleurs, à la malédiction ou aux deux, l'espèce d'état ultra-dépressif permanent dans lequel évoluent tous ces personnages mal rasés ou aux bagages de cernes records déteint sur la totalité de "The Grudge" et lui confère une identité à contre-courant des canons commerciaux actuels du genre. D'ailleurs, le film ne sera jamais meilleur que lorsqu'il utilisera tous les éléments de son cadre dans une optique de suggestion, avec ces petits moments de tension très réussis avant l'apparition des fantômes.

    A contrario, lorsque Nicolas Pesce se veut plus démonstratif à l'écran, le film sombre complètement.
    On ne parle pas ici des quelques séquences sanglantes ou des plans sur des cadavres en décomposition, "The Grudge" affiche un (relatif) jusqu'au-boutisme dans la représentation de sa violence et cela fait plutôt plaisir à voir (et ce jusque dans l'épilogue).
    Le coeur du problème réside surtout chez les spectres en eux-mêmes. En perdant leurs spécificités physiques qui faisaient leur charme dans les anciens opus, ils sont ici occidentalisés et deviennent par conséquent extrêmement banals. Hormis la présence surabondante d'eau croupie et de baignoires, les modalités de la malédiction "grudgienne" à base de meurtres familiaux n'ont jamais été d'une grande originalité mais, si, en plus, leurs fantômes n'ont plus aucune caractéristique pour en symboliser la portée, ça ne peut hélas déboucher que sur des apparitions très lambdas. D'autant plus qu'à l'exception de quelques jumpscares efficaces, Nicolas Pesce se montre bien moins doué afin de nous surprendre avec leurs manifestations beaucoup trop nombreuses, répétitives et sans grande imagination pour la plupart.
    C'est d'ailleurs un peu le même souci en ce qui concerne l'intrigue. La progression de l'enquête par ses allers-retours chronologiques nous exposant le destin de chaque habitant de la maison prend beaucoup trop de temps et se limite finalement à enchaîner les exécutions (amusantes pour certaines) sans laisser vraiment le temps de nous passionner ou de creuser les enjeux de la trame principale dont découlera un final plutôt terne...

    Avouons néanmoins que l'on aura été un poil surpris par certaines qualités de ce "The Grudge" version 2020 tant on redoutait une catastrophe de bien plus grande ampleur. Le film n'est pas bon pour autant et ne remettra sûrement pas cette franchise ou les adaptations de J-Horror sous le feu des projecteurs mais tout de même... les ambitions qui l'animaient étaient loin d'être inintéressantes.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    779 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 janvier 2020
    Je ne connaissais pas du tout la franchise "The Grudge" et sa trilogie des années 2004, 2006 et 2009, mais j'avais tout de même envie de tenter l'expérience horrifique avec ce numéro 4 : mauvais choix !
    Pour résumer en quelques mots, différentes personnes commencent à avoir des hallucinations effrayantes et dangereuses après avoir mis les pieds dans des maisons hantées par des esprits torturés.
    Le récit n'est pas chronologique (pour compliquer un peu) et se passe à différents points du globe.
    Le scénario n'a donc rien d'emballant et d'original à première vue, mais c'est loin d'être le seul défaut !!
    Car côté personnages, dialogues et mise en scène, c'est faible, hyper prévisible et sans grand intérêt.
    Certes, un film d'horreur doit tenter de faire peur mais pas uniquement !
    J'ai eu l'impression de monter à bord d'un vieux train fantôme oublié au fond d'une fête foraine sans âme.
    D'une pauvreté affligeante.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2020
    The Grudge réalisé par Nicolas Pesce (2020) et produit par le maître de l'horreur Sam Raimi, nous montre une femme revenir du Japon aux États-Unis et la malédiction qui l'accompagne dans le film l'original. Avec beaucoup de craquements et jumpscares, The Grudge est un film ou il y a du gore intelligent, des superbes maquillages et des excellent effets spéciaux. Ce film ne m'a pas déçu mais pour être honnête, il n'y avait pas assez de jumpscares pour moi. Mais le réalisateur Nicolas Pesce introduit juste assez d'effroi pour garder ce film très intéressant. Et a mon avis, c'est mieux que la "japonaiserie" originale. Je donne donc quatre étoiles pour ce film...
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Faut vraiment que les ricains arrêtent avec leurs remakes…dernière idée en date : et si on remakait "The Grudge" le film de 2004 : il avait cartonné à l’époque non ? A l’origine de cette « saga », on a "Ju-On" et "Ju-On 2", deux chefs-d’œuvre de l’horreur japonaise réalisés par Takashi Shimizu. Puis les américains ont voulu faire un remake et ont demandé à Shimizu de le réaliser lui-même : au final, le film est un énorme carton au box-office mondial. Sur la lancée les producteurs lancent une suite toujours réalisée par Shimizu mais très différente du "Ju-On 2"d’origine et là déjà on sentait un ralentissement, Shimizu étant moins libre artistiquement que sur le premier volet. Le film fut un semi-fiasco si bien que le troisième épisode sortit directement en dvd et sans Shimizu aux commandes….bref "The Grudge" était encore hier une licence moribonde et au point mort. Mais c’était sans compter avec Hollywood qui, étant plus que jamais en quête de marques à exploiter jusqu’à la dernière goutte, décide alors de lancer une sorte de reboot du remake de 2004 (vous suivez toujours là ?!), espérant ainsi remettre au goût du jour l’horreur japonaise (non, en fait y’a que le fric qui les intéresse). Et pour mener cette mission difficile, les producteurs ont choisi le metteur en scène Nicolas Pesce dont les premières réalisations sont passés totalement inaperçus ("The Eyes of My Mother" et "Piercing") : rien que ça, ça sentait déjà le pâté périmé à des kilomètres !!! Et soyons franc, cette version 2020 est tout simplement C-A-T-A-S-T-R-O-P-H-I-Q-U-E !! Le film échoue sur tous les domaines : 01) Le récit est bordéxxxxlique au possible, multipliant les lignes temporelles, les lieux, les intrigues et les personnages alors que, techniquement, seuls deux d’entre eux sont réellement importants. C’est inutilement complexe et cela donne vraiment l’impression qu’on a essayé faire du cache-misère scénaristique pour combler le vide et les incohérences (sans déc, à un moment on nous sort que l'inspecteur a bossé des mois sur une enquête sans jamais se rendre sur le lieu du crime : vous y croyez vraiment ??!!) Et le pire c’est quand les producteurs assurent que le film se situe bien dans la timeline de la franchise entre le premier et le second remake : sérieux ??!! 02) La mise en scène de Nicolas Pesce va au-delà du simple académisme : c’est plat, fade, à la limite de la fainéantise. L’action se passe souvent de jour, cassant totalement avec les codes du genre, en nous proposant une photographie immonde tirant sur un jaune cendré, une sorte de sépia du pauvre qui donne à l’écran une image baveuse et nauséeuse absolument dégueux. 03) Le métrage oublie constamment sa première raison d’être : l’effroi. A aucun moment le film ne fait peur !! D’ailleurs, dès le début du film le ton est donné : spoiler: au bout de deux minutes, on assiste à la première apparition de Kayako (enfin, de la « nouvelle » Kayako pour être précis)…dans la rue en pleine journée ??!!
    Ensuite il faut atteindre le premier quart d'heure pour voir une vague tentative de frayeur (qui est vaine bien entendu), puis 11 minutes de plus pour un premier jumpscare bien naze...et ouais une demi-heure de film et rien à se mettre sous la dent, sauf un petit saignement de nez qui pourra peut-être faire de tourner de l'œil un hématophobe ou deux !! La suite, ce n’est qu’une vulgaire succession de sursauts au rabais (ah ça, vous allez en bouffer des jumpscares relous !!) : jamais le métrage ne vous proposera la moindre scène de suspense ou un seul véritable moment de terreur. 04) Les personnages sont totalement fades, insignifiants, à un tel point qu’on n’éprouve aucune implication émotionnelle ou identification envers eux…finalement, qu’ils crèvent ou pas on s’en tape royalement ! Le pire, c’est que beaucoup d’entre eux ne servent à rien sinon à rendre confus le visionnage. 05) Les acteurs sont totalement à la ramasse : Andrea Riseborough est transparente n’affichant pratiquement qu’une seule et même émotion sur son visage pendant 90 minutes (on est bien loin de ces prestations dans "Birdman" et "Mandy"), Demian Bichir fait mal au cœur tant il essaye de donner de la consistance à son perso alors qu’il se demande constamment ce qu’il peut bien faire ici, Lin Shaye est grotesque à un tel point que sa « performance » m’a rappelé celle immonde de Deanna Dunagan dans "The Visit", William Sadler surjoue tellement la folie qu’il en devient pathétique à chaque fois qu’il est à l’écran, quand à Jacki Weaver et Frankie Faison bin…bin…comment dire….c’est comme regarder un tableau entièrement blanc accroché sur un mur blanc ! Non franchement, ceux qui s’en sortent le mieux c’est John Cho et Betty Gilpin, mais leur temps à l’écran est tellement minime qu’on finit tout aussi vite par oublier leur prestation ! Sincèrement, comment on peut gaspiller autant de fric à produire des péloches aussi nazes ? C’est vraiment une production Ghost House, la boîte de Mister Sam Raimi, ceux qui ont produit "Don’t Breathe" et le remake d’ "Evil Dead" ?? Plombé par ces égarements scénaristiques et la mise en scène ultra fainéante de Nicolas Pesce, "The Grudge" 2020 n’est qu’un film sans âme, un autre produit de consommation de plus dans le grand fast-food de l’horreur : fastidieux et indigeste (en fait, c’est juste parfait si vous voulez simplement pioncer pendant 1h30 !)…une nullité qui crache sur les fans de cinéma horrifique et qui est une véritable insulte aux chefs-d’œuvre de Takashi Shimizu !
    7fabcool7
    7fabcool7

    56 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    Très bien ce petit film - allez y et faites vous votre propre avis. Mais il est vrai que les jumpscare ne fonctionnent pas toujours! Faut suivre ces histoires de familles qui s'entremellent. Assez glauque biensur mais faut que je retourne le voir une fois. Les acteurs sont vraiment tous bons en + (pour moi).
    Revu et non franchement il est très réussi. Allez y il vaut le coup quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    Mais quelle "blague" ce film (assez édulcoré pour vous?)
    En regardant le teaser, je pensais qu'ils nous avaient pondu une sorte de parodie de "The Grudge": une parodie aurait été meilleure que cet ersatz de films d'horreur.
    Le scénario ne tient absolument pas la route, les effets spéciaux semblent tout droit sortis d'un film amateur et les éléments horrifiques sont loin de l'être.
    Même les efforts de Lin Shaye et John Cho n'y pourront rien: ce film est juste mauvais sur tous les points.
    À moins que vous ne souffriez d'insomnie chronique ou que vous soyez simplement masochiste, passez votre chemin si vous ne voulez pas perdre votre temps.
    Maryssa
    Maryssa

    4 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2020
    Extrêmement décevant.
    J'avais hâte d'aller voir ce film, aimant beaucoup cette légende japonaise.
    Eh bien je dois dire que j'ai été bien déçue.
    Au bout des cinq premières minutes du film, j'ai cru que j'allais partir tellement les scénaristes ont défoncé cette histoire.
    Le film ne se passe même pas au Japon.
    L'endroit que l'esprit est censé hanter est remplacé sans aucune raison dès le début.
    Et surtout, le pire du pire, the Grudge.
    Kayako (C'est le nom originel de la jeune femme devenu the Grudge) apparaît moins de 5 minutes dans le film.
    C'est...honteux. Elle n'est quasi jamais présente, mais seulement les fantômes des gens qu'elle a tué, ce qui n'a d'ailleurs quasi aucun sens. Ça a toujours été elle qui tuait ses victimes et il n'y avait quasi jamais de fantôme.
    C'est probablement ça, qui m'a le plus dégoutée. The Grudge n'est PAS une histoire de fantômeS, c'est l'histoire d'un esprit, de 2 esprits, Kayako et son fils (qui est d'ailleurs totalement absent) tués et animés d'un immense colère, ce qui a conduit à la malédiction concernant le lieu de leur MORT.
    Sa back story est bâclée en 2 minutes, avec de belles écritures sur un fond blanc, wwooooooaaaa.
    En fait, à plusieurs moments, j'ai plus eu l'impression de voir Samara (l'esprit de The Ring) plutôt que The Grudge, c'est pour dire à quel point les scénaristes en avaient rien à foutre.
    Sinon les incessants retours dans le temps sont plus ennuyants qu'autre chose, avec des persos dont on se fiche beaucoup. Des scènes sont littéralement INUTILES, elles apportent vraiment nada (et pour que moi je le remarque il faut le faire), et les jump scares sont beaucoup trop nombreux et n'apportent absolument rien.
    Et la fin est prévisible.... mais bon à la limite face aux autres défauts du film ça passe.

    En résumé, le problème de ce film c'est que c'est pas vraiment un film sur The Grudge.
    On enlève le titre et les 5 minutes d'apparition de The Grudge et on a un film de fantôme lambda qui peut plaire à certains.
    Donc voilà, si vous appréciez les The Grudge originaux, passez votre chemin.
    Rene J
    Rene J

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 janvier 2020
    il n'y a rien d'intéressant dans ce film, cet un mélo sans queue ni tête, avec une fin sans aucune ambition.
    Roobie
    Roobie

    44 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    4 destins qui s'entrecroisent pour tenter de faire revivre une franchise qui à déjà tout dit. C'est le sentiment général qui m'a traversé à la fin de cet opus que je n'ai pas apprécié. Je ne soutient pas que j'ai la science infuse et que mon avis doit prévaloir sur ceux qui ont apprécié le film, mais j'essaie toujours d'aller au cinéma en n'attendant rien des films que je vais découvrir, et RiEN, est précisément ce que j'ai eu en allant voir The Grudge 2020
    Kana57
    Kana57

    42 abonnés 942 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Vu The Grudge franchement Reboot ou remake on sait pas très bien, quoi qu il en soit c'est mauvais sa tient pas la route sa n'a aucune saveur des flashbacks entre 2004 et 2005 dont on perd le fil durant tout le long, bref c'est un bien médiocre film⭐
    Ann Val
    Ann Val

    89 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mars 2020
    Une version à la sauce 100% américaine, sans saveur et sans terreur. On est très loin de la tension et du suspens des Ju-On et des versions avec SMG ! A part qq sursauts, il n'y a rien dans le scénario qui suscite de la peur. Rien de nouveau et rien à retenir de cet opus terne et insipide...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 janvier 2020
    Bonjour,
    Honnêtement je ne sais que dire de ce film, aucune peur, le scénario est éclaté au sol, les flashbacks incessants perdent le spectateur, la j'écris mon avis en même temps que le film parce que vraiment je comprends pas pourquoi il est aussi nul.
    Bon courage à ceux qui veulent le regarder.
    j'ai perdu 10 euros
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Je suis fan de la franchise que ce soit la version japonaise ou américaine de Takashi shimizu. Donc forcément malgré les mauvaises critiques je suis allé le voir. Je comprends les mauvaises critiques car les gens voulait de l'horreur alors que ce film c'est plus une enquête policière qui nous montre comment des événements ce sont produits. Donc y a beaucoup de flashback et l'intrigue et va crescendo. Moi j'adore quand c'est comme ça.
    D'ailleurs Rings 2017 utilise le même procédé. Plutôt que de faire un remake/reboot avec un autre scénario ou un copié collé montrer l'intrigue sous un autre angle est un choix judicieux !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2020
    The Grudge 2020 pose, une fois encore, la question de la violence lorsque celle-ci quitte progressivement le champ du récit pour devenir une fin en soi, lorsqu’elle s’autonomise au point de ne plus rien dire de l’univers dont elle est censée émaner. Aussi le film se dégrade-t-il à mesure qu’il avance : l’enchâssement des intrigues et des temporalités constitue d’abord une bonne idée en soi, et l’agencement de ces épisodes, telles les pièces d’un vaste puzzle, reste lisible. Nous avons là un kaléidoscope horrifique dont les facettes renvoient toutes à la même malédiction, déclinée selon le pays, l’âge de la cellule conjugale qui la subit, si bien que la vengeance, étalée sur une heure et demie, prend l’aspect d’une épidémie qui jamais ne cesse. Pourtant, au fil des révélations, les scènes tendent à se répéter, les images glauques sont reprises et montées les unes à côté des autres, petit condensé dégoûtant de la barbarie dans laquelle le film paraît désormais se complaire. L’expression artistique de cette malédiction perd en originalité et recourt aux codes éculés du genre, à commencer par ces terribles jump scare qui pullulent lorsque les fils dramatiques se resserrent. En résulte non seulement un appauvrissement de l’horreur construite mais également un oubli de l’univers mis en place par Takashi Shimizu. Si l’actrice principale, Andrea Riseborough, s’avère plutôt convaincante et campe un personnage à la force fragile, les seconds rôles ne bénéficient pas d’une écriture suffisante pour les complexifier : bien interprétés, ils se suivent, se ressemblent et s’annulent entre eux, à l’image des séquences d’épouvante. The Grudge 2020 aurait dû penser la violence au lieu de s’y jeter avidement ; en résulte une production aux réussites locales et à la mise en scène propre, mais qui manque d’audace et surtout n’impose jamais une nouvelle lecture du récit original ici investi.
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