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    The Grudge
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    1,5
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    126 critiques spectateurs

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    Moratsuke
    Moratsuke

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Très mauvais ! Scénario bâclé, aucun rapport avec le vrai thé grudge.. Manque de budget, la fin faite en 2min pour plier le film qui était déjà nul..
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2020
    ce film est juste génial
    un excélent remake a mon gout
    ce film est un peut plus sanglant et flippant que les 3 premiers film
    un tres bon film horreur a voir
    kyu f
    kyu f

    97 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2020
    Quelle déception... Donc le film est le remake d'un remake et rien que la ya un problème.! Après 3 films on fait quand même une suite (après tout sa rapporte) pour un film plat qui m'a fait sursauter 2 ou 3 fois mais à force de faire tout le temps le même schéma pour faire peur (gros plan quelque part et d'un coup group visages en sang). Et les fx sont mal fait... Les scènes de voitures particulièrement. Les acteurs plat on est à la limite où les enfants joue mieux que les adultes . Aucune idée original, je regrette d'avoir payer pour ce film. A éviter
    Paulino
    Paulino

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2020
    Je suis passionnés par les films d'horreur. Suis aller voir The grudge aujourd'hui. J'ai aimer le début mais la fin était mauvais et on peut pas comprendre
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 novembre 2020
    Cinq ans après le dernier film, si l'on ne compte pas le crossover "Sadako vs Kayako", Nicolas Pesce relance la marque "The Gruge" avec un film totalement différent des précédents. Un film qui prend un peu ses distances avec l'original, et ce à tous les niveaux puisque c'est le premier film américain pour lequel Takashi Shimizu n'est pas impliqué. Il avait réalisé les 4 films originaux et les deux remakes américains avant d'être producteur du troisième. Après les deux films sortis en 2000, il n'y avait pas eu une once d'originalité dans ceux qui ont suivi, ce qui n'a pas empêché certains d'être réussis, donc proposer quelque chose de nouveau pour la franchise était une bonne idée, mais le résultat n'est pas convaincant. Le film est construit comme un film policier avec l'inspectrice Muldoon qui enquête sur plusieurs morts qui semblent liées à une maison. Importée aux Etats-Unis, elle va découvrir à quel point cette malédiction est dangereuse. Comme dans tous les films, il y a plusieurs histoires en parallèle se déroulant à des périodes différentes, ce qui placerait le film entre les événements des films de 2004 et 2006. Pour rester sur l'enquête en question, je trouve qu'elle n'a pas grand intérêt étant donné que l'on connaît la nature de l'histoire. Il y a bien quelques références aux autres films, mais Nicolas Pesce a fait ce film comme s'ils n'existaient pas et c'est bien là le problème. Il essaie de créer un mystère avec toutes ces histoires, mais on sait déjà tout... C'est comme voir un thriller horrifique avec une présence surnaturelle quelconque. C'est un film qui se veut différent, mais qui manque cruellement d'imagination. Les jump scares sont prévisibles et inefficaces, et l'ambiance est inexistante. Il ne reste finalement de "The Grudge" que le titre. Si cela avait été une nouvelle marque, j'aurais mis 4/10, car ce n'est pas bon, mais pas catastrophique non plus seulement là, je suis obligé de mettre une plus mauvaise note, car ce n'est pas un film digne de cette franchise. J'avais apprécié les deux premiers films du réalisateur, mais celui-ci est vraiment en dessous de tout.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 janvier 2020
    Jamais vu un seul The Grudge de ma vie, et il fallait que je tombe sur le deuxième reboot américain; un peu comme si j'avais découvert la franchise The Ring avec Rings, catastrophe de 2017 sans grand chose à en sauver à laquelle cette nouvelle version 2020 faisait irrémédiablement penser. C'est bien heureusement au dessus de ce qu'avait pu nous offrir F. Javier Gutiérrez, autant au niveau de la réalisation que de sa photographie.

    Tout comme le reboot américain de l'autre grande figure fantôme nippone, The Grudge tente de dépoussiérer le mythe en modifiant la structure de son intrigue : si l'on n'échappe pas aux inévitables phrases d'accroche sur fond de pré-générique glauque (où les mots mort et malédiction seront bien surlignés en rouge), le reste tentera de faire du neuf avec la plume de son réalisateur auteur, Nicolas Pesce, figure peu connue venue du cinéma d'horreur indépendant.

    L'idée de mêler les époques et les personnages dans une seule enquête était excellente : mais comme avec le Seules les bêtes de l'année dernière, l'entreprise, tout aussi engageante qu'elle soit, se perd très rapidement dans ses idées et plonge son intrigue dans un gloubi boulga d'idées pourtant intéressantes, si elles n'avaient pas été si mal agencées entre elles.

    Il profitera d'ailleurs de ses cinq dernières minutes aux CGI affreuses (passons, c'est naturel avec un budget assez faible) pour régler le cas de la première famille entraperçue dans ce massacre géant, montrant finalement les origines du personnage de Melinda, et nous faisant comprendre à son dernier plan qu'on aura finalement rarement vu le fantôme attendu, cette fille vengeresse aux cheveux noirs et sales qu'on attendait de pied ferme; Melinda, version américanisée et fade du personnage, tiendra lieu de gosse flippant repompant largement les poncifs d'enfants flippants de films américains sortis post-Shining.

    S'il est plutôt gênant de ne pas bien voir le personnage attendu, ses quelques apparitions discrètes marqueront un grand coup, notamment son ultime apparition, maligne et bien mise en scène, témoin du savoir-faire horrifique de son réalisateur. Un nouveau venu qui n'hésitera pas à jouer sur la symétrie de l'intérieur de la maison et une alternance suggestion/gros plans pour créer au départ un suspens qui se changera rapidement en frissons.

    Un réalisateur talentueux à la photographie réussie (encore que certaines scènes de nuit manquent de lisibilité) dont le travail, très honorable, se voit rapidement gâché par la trop grande présence d'effets horrifiques attendus, des jumspcares vulgaires aux gros plans soudains révélant toute l'horreur et le gore de visages pour le coup bien maquillés. Autant agression pour les yeux que pour les oreilles, ces moments de sursauts n'atteignent pas en terme d'émotions la violence de quelques images très réussies, du cadavre dans la voiture au couple massacré en fin de film.

    Il y a d'ailleurs, dans cette jonction des destins absolument impitoyable, un genre d'ironie terrifiante : l'écriture présentant très mal l'achèvement de toutes ces vies irrémédiablement liées entre elles, la mise en scène du réalisateur remplacera ce que la narration ne peut transmettre, donnant à un climax dans la maison maladroit mais esthétique et marquant, qu'une écriture raisonnable et de bons acteurs (tous sont abominables, particulièrement la femme enceinte, hilarante quand elle dit aimer son mari et son gosse) auraient bien aidé.

    Coupé du soutien sur la forme, Pesce s'est lui-même handicapé en terme d'intrigue (il est l'unique scénariste du film) en multipliant l'ensemble des pires clichés de caractérisation de personnages : l'héroïne, Détective Muldoone, grande âme protégeant l'humanité, a perdu son mari d'un cancer et doit gérer seul son fils qu'elle aime plus que tout; le héros, flic torturé au grand coeur dénommé Détective Goodman (tout de même), est une personnage solitaire et maudite qui fume comme un pompier, ironisant sur ce cancer qu'il pense ne jamais rencontrer, et boit son whisky comme un homme, un vrai.

    Tous les personnages présentés ayant une vie globalement pourrie, on s'amusera de compter les différents clichés, présentés ici comme cache-misère d'une rédaction incapable de présenter des personnages un tant soit peu humains, fragiles, normaux. Ils sont tous le reflet d'un caractère particulier utilisés par la plupart des films d'exploitation sans imagination, registre auquel The Grudge 2020 fait partie intégrante.

    D'un autre côté, ce reboot donnera un peu de lisibilité à Nicolas Pesce, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Espérons qu'il reviendra à la charge avec un film personnel, loin des carcans d'Hollywood et de ses sentiers battus.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 février 2020
    J'aime beaucoup la franchise de "The Grudge", américaine et japonaise, réalisée par Takashi Shimizu entre 2000 et 2006. L'esthétique asiatique et la retenue des effets, l'ambiance sonore et les origines de cette malédiction ont toujours su me faire frissonner et me mettre mal à l'aise. C'est donc avec impatience que j'attendais ce reboot/suite/spin-off, toujours produit par Sam Raimi, et réalisé par un tout jeune réalisateur, Nicolas Pesce, aux premiers films d'horreur méconnus. Et quel gâchis ! Ce n'est pas que l'atmosphère macabre n'est plus mais plutôt que ce film vient défaire toute la logique de la saga initiale pour en faire un film gore rempli d'effets faciles. spoiler: En gros, on assiste ici à la naissance d'une nouvelle malédiction suite à une introduction en lien avec la maison nippone des premiers volets.
    Cette idée est totalement insensée car si on se penche sur "The Grudge 2", on voit bien que voyager à l'autre bout de la planète ne fait pas peur au fantôme de Kayako... Ensuite, le film essaye de suivre les traces de ses prédécesseurs en éclatant son récit dans le temps et l'espace. Sauf que là, le montage est très fouillis et bancal et m'a perdu et lassé dans tous ces allers-retours spatio-temporels... Et surtout, ce film ne sert nullement la franchise dans le sens où il n'apporte absolument rien. C'est prévisible et on a rien de croustillant à se mettre sous la dent. Le scénario s'étale quasiment pas sur l'origine de cette nouvelle malédiction, offrant alors un plat garni de meurtres pas très effrayants et autres jumpscares réchauffés. Là où le film marque quelques points, c'est grâce à son image jaunie, sa tension sonore et le jeu déboussolé de Andrea Riseborough. Par contre, pour ce qui est de la petite fille maudite aux long cheveux noirs devant le visage, c'est tellement un cliché des années 2000 que ça en devient rigolo... Pour la nouvelle génération, ce film fera sans doute flipper (ça criait dans la salle !), mais pour les connaisseurs, apportez votre oreiller !
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 février 2023
    Cette énième itération de la saga "The grudge" ne compte que sur ses innombrables jump scares pour faire peur et en oublie toute notion de tension et de subtilité. C’est grossier, souvent prévisible et exaspérant.
    NammJones
    NammJones

    112 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2022
    Rien de nouveau, rien de surprenant et surtout rien d'effrayant.
    Une ultime version qui n'était pas nécessaire
    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    74 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Une bouse américaine comme on en voit trop souvent. Scénario paresseux, prévisible, des clichés usés jusqu'à la corde, une réalisation académique, plate et sans âme, des acteurs qui cabotine et sur joue au possible. Rien ne peut sauver ce film de ce qu'il est : une perte de temps, d argent, un accident industriel qui n aurait jamais du voir le jour avec un minimum de bon sens. Fuyez ce film comme la peste ou le coronavirus ( comme quoi on essaie de vaincre le confinement comme on peut)
    mistermyster
    mistermyster

    59 abonnés 1 276 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2023
    Séance de rattrapage pour ce film horrifique tout droit tiré d'une trilogie déjà classique, et n'ayant vu aucun des précédents films, point de comparaison.
    Rien de bien nouveau sous le signe du démon et de la malédiction, mais, le film reste assez prenant, avec des effets horrifiques suffisamment bien réalisés pour nous plonger dans cette histoire. La façon de nous faire découvrir cette entité à travers plusieurs périodes, plusieurs personnes et plusieurs atrocités, est assez originale, même s'il faut bien suivre le mouvement et si on ne veut pas pousser trop loin à l'exactitude de laps de temps qui s'écoule; mais comparé à d'autres films du même genre, ce n'est pas si mal.
    Tigrou Erwan L
    Tigrou Erwan L

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 janvier 2020
    Nul sans intérêt plat et ne fait pas peur. ils ont surfé sur la vague d'un nom de film tout en massacrant son concept..
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2023
    Sans être forcément très utile, cette version 2020 à quelques propositions intéressantes. Une identité visuelle, quelques meurtres impactant, une volonté de ne pas tomber dans la surenchère, et une conclusion intelligente. Mais globalement c'est pas terrible...

    https://www.cineserie.com/news/cinema/the-grudge-ou-se-situe-la-version-de-2020-par-rapport-au-reste-de-la-saga-5537377/
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mars 2021
    La seule chose qui fasse peur, c'est d'avoir perdu une heure trente de sa journée à regarder ce McDo cinématographique, purement destiné aux jeunes ados en quête d'une séance de minuit pour frimer entre potes (ou devant Madame). Ces derniers sortaient des séances en nous prévenant du danger (braves petits) : "n'y allez pas, c'est nase", et si les premières fois on a préféré un autre film (d'après les bons conseils), on a quand même fini par y aller (on regarde tout ce qui passe au cinéma, donc...). Et effectivement, "c'est nase". On ne comprendra jamais l'envie de faire des remakes de remakes (de reboot de prequel, etc) qui anéantissent l'intérêt d'une saga avec leur médiocrité, et The Grudge (2020) en fait partie (il faudrait que Sam Raimi regarde ce qu'il finance, un peu). Quant à nous, nous revoilà dans le scénario discontinu (on suit plusieurs familles à différentes époques) avec la bébête qui rôde... Mais en plus du sentiment de réchauffé au micro-ondes, on ne parvient pas à avoir vraiment peur. Premièrement, si vous avez vu la bande-annonce, vous êtes grandement "spoilé", on reconnaît la plupart des scènes d'épouvante à cent kilomètres, aucune surprise à l'arrivée de la main dans les cheveux (expédiée), les mains qui sortent de la baignoires au ralenti... On se demande d'ailleurs quel est le délire du scénariste avec les mains (celle qui sort de la poubelle, des cheveux, de la baignoire, celle que la mamie coupe en rondelles...), peut-être une frustration refoulée de ne pas s'être foulé le poignet pour écrire le scénario (psychanalystes, c'est à vous). Ensuite, on sent sans cesse le poids des références aux précédents films : les éléments qu'on ne peut comprendre que si l'on a vu la saga The Grudge, car ce n'est pas ré-expliqué, même rapidement, ce qui est toujours sympa pour le spectateur néophyte qui va ramer pour comprendre le pourquoi du comment de la malédiction (d'où sort-elle, son fonctionnement, la créature, etc...) On nous balance les événements comme s'ils allaient de soi, et vos connaissances combleront le reste (merci pour rien). Enfin, niveau épouvante, on a droit à un mélange très déséquilibré de jumpscares (sans arrêt ! C'est plus que pénible de toujours avoir ce "et je coupe le son" - "Bouh !" - "et je recoupe le son, et attention" - "Bouh !", on se croirait dans Louxor J'adore) et de scènes gores minuscules (on bascule dans un ersatz de Walking Dead, sans plus). La vraie terreur, celle qui nous fait encore trembler en rentrant chez soi, est complètement absente. On a droit à de stupides montées de volume sonore pour nous décrocher de notre siège, et cela marche si l'on est bon public aux sursauts (on plaide coupable), mais dès que l'on a touché surface de nouveau sur le fauteuil, la peur a déjà disparu, pour une durée d'environ une demi-seconde. Le final part littéralement en fumée dans sa cohérence, il espère vainement qu'on n'a rien écouté au peu d'informations données pour expliquer la malédiction, à savoir qu'on ramène à la maison (et partout avec soi) cette damnation, ainsi il semble que l'héroïne croit sérieusement qu'en spoiler: craquant une allumette sur la baraque
    , tout rentrera dans l'ordre (une cousine des Bisounours, certainement). On est donc consterné d'être pris pour des idiots par cette fin, et l'on n'est clairement rien d'autre que désabusé quand, en plus, on nous sort de la manche le "twist final" qu'on attendait patiemment, sans broncher... Fuyez ce film plutôt que la créature, en effet : "c'est nase".
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2021
    Cette "suite" (on peut clairement parler de remake, c'est pas parce-que ça se déroule en 2004 qu'on peut appeler ça une suite) de la trilogie américaine remake "The Grudge", réalisée cette fois par Nicolas Pesce et sortie en 2020, est mauvaise, tout simplement. Bon, sans réelles surprises non plus hein, je veux dire, ce genre de projet (déjà remake d'un remake), on sent que c'est toujours un peu fumeux dès l'annonce de ce dernier. Et ce fut effectivement le cas, malgré quand même quelques scènes réussies (qui se font très rares !). C'est donc ici l'histoire, en gros, d'une flic qui enquête sur une série de meurtres ayant eu lieu dans un pavillon de banlieue pavillonnaire mais, une fois rentrée dans la maison, elle se fait à son tour poursuivre par la fameuse malédiction japonaise. Mais ici, on dit au revoir à la petite fille aux cheveux longs (enfin, on la retrouve quand même à quelques reprises) car c'est chaque nouvelle personne (ou famille) qui meurt dans cette fameuse maison qui hante la suivante. C'est pas forcément une mauvaise idée mais c'est très mal exploité ! Et c'est également ainsi qu'on se retrouve avec trois ou quatre temporalités qui nous racontent en gros la petite histoire de la maison et les différents propriétaires qui se sont fait "avoir" par la malédiction. Bon déjà, c'est un peu casse-gueule pour un film de seulement une heure et demie car trois temporalités, ça prend du temps à mettre en place et il faut surtout savoir les gérer. Ici, ce n'est pas vraiment le problème car, si c'est un peu perturbant au début, on s'y fait assez facilement. Non, c'est surtout que c'est un procédé qui ne sert strictement à rien ! Une fois que l'on a compris le schéma (notamment avec la scène d'introduction), ça ne sert à rien de nous le resservir trois fois, c'est un peu comme si le film nous prenait pour des débiles en nous expliquant trois fois une malédiction pourtant simple à comprendre. Ainsi, malgré ces trois temporalités, le film ne raconte rien et on s'ennuie finalement énormément ! Dans les scènes d'angoisse, ou visant en tout cas à faire peur, le film se foire également car il suit le même schéma que les grosses productions américaines horrifiques de ces dernières années, à savoir jongler entre jump-scares prévisibles et effets datés. Ainsi, c'est rare que l'un de ces effets arrive réellement à nous effrayer et, la plupart du temps, ces scènes angoissantes sont finalement lassantes ! Le réalisateur tente quelques idées à travers sa mise en scène et on voit très clairement qu'il a été bridé par moments afin de plus coller au cahier des charges. Ce qui est bien dommage et la seule chose vraiment effrayante et dérangeante que nous retiendrons du film est finalement le générique de fin qui, en laissant tourner la caméra sur ce pavillon tranquille de banlieue, sans musique, est porteur de beaucoup plus de choses que durant la précédent heure et demie. Concernant les acteurs, c'est cliché, c'est plat, c'est stéréotypé, rien d'intéressant non plus à ce niveau-là ! Cette dernière version en date de "The Grudge" n'a donc rien d'intéressant à offrir !
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